05 mai 2021 LETTRE OUVERTE À FaceBook
Le 03 mai 2021, j'ai diffusé une information qui est la copie de l'article 21.2 du code de santé publique français.
Pourquoi la "copie collée", d'un article de loi qui provient du site gouvernemental, fait-il l'objet d'une restriction de compte ?
FaceBook a vocation aussi de censurer les articles du journal officiel au prétexte qu'ils sont commentés ?
Il suffit de lire l'article de loi pour comprendre son interprétation.
L'interprétation de cet article de loi fait partie de l'expression libre. Et chaque lecteur peut juger de l'adéquation de l'interprétation avec le contenu de l'article.
Je conteste donc catégoriquement la limitation de mon compte au prétexte que je fais référence à une loi du code de santé publique. Et je reposterais l'article 12.2 du code de santé publique, ici et sur VK (même ID de compte).
Il est remarquable de constater qu'il n'existe pas dans les grands médias la possibilité d'une parole alternative. Une parole alternative ce n'est pas une menace mais une analyse alternative. Une analyse alternative est donc assimilée à un propos menaçant ? Pourquoi ?
Il y a des propos menaçants par exemple dans la bouche de Monsieur Bill Gates ou dans celle de Monsieur Attali ou encore dans celle de Klaus Schwab du forum économique mondiale.
Ces gens-là ne sont pas censuré.
Pourquoi ?
Pourquoi est-ce une entreprise privée, qui dicte aux politiques la conduite à tenir ?
Pourquoi est-ce l'espace économique privé qui décide de ce qui doit circuler sur l'autoroute virtuelle et ce qui ne doit pas y circuler ?
Lorsque vous circulez avec votre véhicule sur l'autoroute, le propriétaire privé de l'autoroute publique n'interdit pas aux voitures Renault par exemple d'y rouler. C'est pourtant ce que vous faites. En effet, de quel droit l'entreprise privé "FaceBook" décide du contenu qui circule sur ses canaux.
Le contenu qui circule sur ses canaux relève de la justice et ne peut ni ne doit relever du "fait du prince".
Réfléchir, penser, offrir une analyse alternative, n'est pas un appel au désordre sociale. C'est un appel à la démocratie, à la justice, et à la liberté.
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