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mercredi 28 août 2019

L'effet de serre monomaniaque

2019-08-28

Ce qui est important ce n'est pas ce que raconte les détracteurs d'une thèse ou d'une autre sur l’énergie, le climat, l'effet de serre etc... La vraie question c'est l'absence absolue, qui est comme une interdiction, d'un débat national sur ces questions. C'est seulement de cette façon que l'on respecte les gens.  C'est pourquoi la justice médiatique est le socle de toute démocratie. Sans la circulation de la parole, il n'y a pas de démocratie.
Réclamer un débat national sur cette question comme sur d'autres comme le Frexit devrait être une priorité constitutionnelle de notre République. ....

L'homme est un produit de la nature. Quoi qu'il fasse  son comportement global en tant qu’espèce relève de l'écosystème. Il est acquis que tout ce qui existe prend naissance, s'épanoui, décline  et meure. C'est vrai aussi pour les civilisations.

Pour autant, l'homme n'est ni condamné ni condamnable. En tant qu’espèce il est en évolution.  On ne peut pas reprocher à un enfant d'être un enfant.....
L'évolution des civilisations  passe par une transformation conceptuelle de l'ontologie. Elle doit devenir dialectique pour permettre la transition des rapports de rétention comme source de sécurité  vers les rapports de partage comme source de sécurité.

 La question de l'ontologie est simple: Existe t'il "l'autre de l'homme"? Oui, c'est la femme.

Dès lors où le féminin comme genre d'être existe à coté du masculin chacun selon leur nature,  il est possible à cette condition de parler d'égalité... Sans l'autre de l'homme à l'échelle des consciences et des cultures, puis à l'échelle des politiques et des économies, il ne peut pas exister l'idée même du Partage.
"L'autre de l'homme" à l'échelle de l'ontologie,  initié dans l’expérience humaine, par la reconnaissance du féminin, c'est aussi la planète et les autres espèces vivantes.

Ainsi, le seul acte politique qui initie le passage de l'humain vers sont humanité (maturité) consiste à favoriser le droit des femmes à disposer d'elles mêmes sans conditions et sans retenues.
Ce point est absolument fondamental. De ce point découle de façon systémique dans tous les domaines de l'humain, la transformation vers l'humanité des humains (altruisme naturel et fondateur....  )... Vous comprendrez qu'il n'est pas possible ici de développer cette "thèse".

Cette transformation des consciences abouti  à l’arrêt instantanée parce que profitable de l'obsolescence programmée par exemple, de la prédation tout azimut, de l'immonde traitement auquel les animaux d’élevages sont soumis, de la nécessite de s'interdire la captation des territoires des autres espèces, l’arrêt de plastiques.....  etc etc...

A tous les problèmes liés à la carence énergétique  l'homme trouvera facilement une solution dans le paradigme de partage. S'il reste dans celui de la rétention, ses civilisations seront contraintes de changer vers le partage ou de disparaître.