12 mai 2021 LA FORCE DE MACRON
Dans le meilleur des cas, Macron ne doit pas finir son mandat. S'il le fini, il doit être remplacer par une personnalité politique souverainiste.
Mais l'affaire sera difficile car les élections sont verrouillées par le vote blanc qui ne compte pas dans les votes exprimés et par l'idée folle dans la tête des gens, du vote utile.
Tout cela fait que de moins pire en pire, par la voie électorale nous arrivons inéluctablement au pire.
Pour mettre un terme à ce cycle infernal, nous devons travailler à la promotion de l'#UPR. Il est depuis 14 ans le parti du FREXIT. Il en est même l'inventeur. Il est le parti qui n'a jamais varié d'un pouce dans ces analyses. Elles se sont toutes systématiquement avérées exactes.
Pour mettre un terme au cycle infernal de l'amplification du pire, nous devons tout mettre en œuvre pour que l'#UPR s'exprime librement dans les grands médias, ne serait-ce qu'au nom de la Démocratie.
Chacun s'emploie, ici dans nos bulles fermées de"complotistes", à convaincre des convaincus. En vérité, la reconstruction de la démocratie que chacun défend ici, passe obligatoirement par la reconstruction du droit à la presse. La force de Macron est toute entière initiée dans le verrouillage de la presse qui fut son premier geste de politique.
Ensuite, la force de Macron vient de ce qu'il a réussi à séparer les gens et à briser les conditions du consensus politique, c'est-à-dire tout simplement à détruire "le" politique dans l'esprit des gens. Je rappelle que le politique c'est l'administration du peuple. Le politique est au peuple ce que l'humidité est a l'eau. La politique ce n'est que la forme d'administration du peuple. La politique est la forme du politique.
En démocratie, le peuple construit et gère les processus pour s'administrer lui-même. Mais comme il est impossible de faire l'économie de la délégation de cette administration que sont les hommes politiques, la politique doit obligatoirement contenir une clause de révocation de l'homme politique. C'est ce dont nous devons individuellement nous préoccuper lorsque nous cherchons un homme politique digne de nous représenter en démocratie.
Tant que cette clause de révocation n'existe pas dans la Constitution, la démocratie n'est que le prête nom de la tyrannie.
C'est pour cette raison que l'UPR, dont le programme donne aux citoyens toutes les garanties de contrôle sur la démocratie et le moyen de révocation de l'élu, est victimes d'une omerta médiatique radicale.
La force profonde de Macron vient aussi de ce qu'il a réussi à effacer de la tête des gens l'efficacité et le sens de la politique. Il a réussi à faire en sorte que les gens fuient l'idée même du politique et de la politique. Cela signifie que Macron a réussi à faire en sorte que les gens fuient la démocratie et les moyens de la faire advenir.
En faisant cela, Macron a réussi à faire en sorte que les citoyens se détournent du terrain sur lequel agit sa nocivité et sur lequel il doit être combattu.
Croire et laisser croire qu'une population se constitue en dehors du politique, n'a strictement aucun sens. Cela revient à croire que le sel n'est pas salée, où que l'eau n'est pas humide. Quand les gens fuient la politique, en vérité ils dénoncent leur impuissance à agir sur la politique. En vérité, ils dénoncent l'absence de démocratie, c'est-à-dire l'absence d'une clause de révocation de l'élu dans la Constitution. C'est tout.
Cette clause, assortie de la souveraineté des Français sur leur Nation, indispensable à reconstruire la politique Française en France existe seulement dans le programme de l'UPR.
Force nous est aujourd'hui de constater que la paralysie politique de la société civile à fait sortir l'Armée Française de sa réserve.
Face au fascisme décidé à l'étranger que Macron répand sur la France, il est naturel que l'armée tire la sonnette d'alarme, car en obéissant à l'UE au lieu d’obéir aux français, le gouvernement se comporte comme un ennemi d'occupation du territoire contre l'intérêt de la France et des Français. Mais que personnes ne se bercent d'illusions. À y Regarder de près, l'Armée n'est ni capable ni désireuse de prendre le pouvoir politique en France.
Le message de l'armée aux politiques et à la société civile ne sont que le signe du profond malaise politique que traverse la France sous la domination de Macron, missionné pour la détruire.
Je considère le frémissement de l'armée contre le gouvernement, non pas comme une menace consistante, mais comme un phénomène de société qui exprime l'impuissance de la société civile face au rouleau compresseur politique de la méthode Macron.
Ce ne sont pas des militaires dont Macron a peur et encore moins de la société civile. Il a peur de l'UPR. L'analyse et la proposition de l'UPR, outre de donner au peuple les moyens de révocation de l'élu, restitue à la France son indépendance, sa souveraineté et sa dignité, dont la destruction pour effacer la France au profit de l'UE, constitue le projet de Macron.
La souffrance et la puissance politique de la société civile a fait les Gilets Jaunes. En réponse à quoi Macron a fait couler le sang des Français.
Aujourd'hui l'Armée met le gouvernement en garde, c'est tout. Ce phénomène extrême sur le plan sociétal, indique seulement au gouvernement qu'il touche bientôt au but.
Cette situation n'est rendu possible que parce que l'#UPR qui porte la parole profonde du peuple et du respect de la Nation est privé de médias.
Le droit aux médias pour tous les partis politique est la seule condition de la démocratie.
Oui, j'insiste laborieusement. Parce-que pour contrer la politique de Macron il n'existe réellement que la proposition de l'UPR.
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