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lundi 28 octobre 2019

L'énergie

La thermodynamique en général

L' énergie c'est la quantification du changement d'état d'un système. Pour l'économie, elle s'appelle la monnaie. La quantité de monnaie est un invariant, sa circulation, transforme l'état des systèmes qui procèdent à des échanges de monnaie.
Mais s'agissant de l'énergie au sein de la nature, il est impossible de savoir qu'est-ce que l'énergie véritablement. Quand l'état dans système a changé on sait seulement que de l'énergie est passé par là.

L'énergie concevable par l'esprit humain se limite à l'échange entre deux type de quantifications, le mouvement et le rayonnement; rien d'autre. 
 
Il est établi que le champ de représentation du réel par notre conscience à savoir le monde est très réducteur du réel complet, ce dans une proportion inconnaissable. Le réel est sorti de l'imaginaire aristotélicien. Il se fonde sur la relativité et le monde quantique des particules. Ces deux phénomènes échappent totalement à nos sens directs ou amplifiés par des instruments. Mais ils se révèlent à notre conscience par l'examen approfondie des incohérences et des évidences.
Les fentes de Young par exemple pour la mécanique quantique, et la chute des corps pour la relativité.
Tout changement d'état appartenant à des systèmes au-delà de notre perception n'existent pas pour notre entendement et n'entrent pas dans notre perception directe ou indirecte.

En vertu de la loi de la thermodynamique, tout changement d'état d'un système clos conserve la quantité d'énergie à l'intérieur du système. Mais de façon usuel, il n'existe pas de systèmes clos.

Le seul système clos qui soit concevable est l'univers tout entier. À partir d'un point de référence quelconque, une sphère de 14 milliards de parsec (à cause le l'expansion) constitue la bulle d'univers à l'intérieur de laquelle le système est considéré comme clos, et donc à l'intérieur de laquelle l'énergie est conservée.

La quantification du changement d'état d'un système n'est pas l'énergie proprement dite mais seulement sa mesure, c'est à dire la preuve de son passage. Comprendre en substance ce qu'est l'énergie, revient à identifier un champs qui serait la source première de tous changements d'état dont les quantifications sont la trace.
La manifestation de l'énergie sous forme thermodynamique étant la seule accessible à nos sens, il est vraisemblable de penser que l'énergie (en substance) étend son champs bien au-delà de nos sens.

La vie par exemple comme phénomène est un changement d'état permanent. La cinétique et la thermodynamique (bouger penser chauffer) sont des conséquences de ce changement d'état et non la cause. De quoi ce changement d'état producteur de vie est-il le nom?

L’idée de dieu, commence là ou commence notre ignorance.

La mécanique quantique et la relativité

Une particule n'est ni un corpuscule ni une onde. C'est autre chose que notre esprit ne peut pas se représenter. L’expérience des fentes de Young montre qu'une particule peut être dans l'état A ou B ou A+B selon l'état des fentes. Un détecteur uniquement sensible à l'état A ou B ne peut pas rendre compte de l'état A+B. On dit abusivement qu'il "force" la particule à choisir au hasard son état après la mesure parce que le système de mesure ne peut "comprendre" que A ou B. 

Une particule est donc un système d'états superposés qui vu du macro-univers fonde le principe d’indétermination (Heisenberg).
La superposition des états d'une particule est la clef de voûte de la MQ.
Pour l'explorer, Einstein l'a étendu à une paire de particule. La superposition qui devient alors intrication, viol la relativité.
Or, la Relativité est vraie, et l'expérience d'Alain Aspect montre de façon irrévocable que l'intrication est vraie aussi.
D'autre part, la matière ordinaire relève d'une collection quasi infinie de particules superposées. Dans ce cas la superposition n'existe plus. La matière, cadre de la physique classique est déterminée.

Le réel n'est pas seulement la matière mais aussi et surtout le processus qui en passant de l’échelle des particules à celui de systèmes de particules (matière courante) fait disparaître la superposition par le principe de décohérence.

Quand un processus échappe à nos sens il est naturel de vouloir le ramener au déterminisme.

Il n'y a que les math et l'imagination pour, au delà de nos sens, aller à la rencontre du réel.
Seulement voilà que la MQ échappe à l'expérience de pensée. C'est pourquoi la MQ ne peut être qu'un formalisme mathématique.

La relativité et l'intrication sont contradictoires sur la question de l'espace temps. C'est donc l'espace temps à l'échelle quantique qu'il serait judicieux d'interroger.

Pour rendre compatible l'intrication et la relativité on peut imaginer qu'il existe une dimension qui courbe infiniment l'espace temps à l’échelle des particules, qui les rapproche rendant possible le passage d'informations sans violer la relativité. Puis cette dimension supplémentaire à l'échelle quantique décroit par quanta (h x.... ?) avec la croissance de la décohérence  qui conduit à la croissance des systèmes de particules liées, c'est à dire à la matière ordinaire.

vendredi 18 octobre 2019

L'école du voile

La loi dit : ".... Tant qu'il n'y a pas de prosélytisme...!".

Mais pour la femme qui porte le voile, qu'elle le veuille ou non, le port du voile est un acte de prosélytisme qui inscrit l'islam profondément dans la société car il se vie au quotidien partout comme mode de vie, comme option politique possible et qui in-finé se veut "concurrence" à la République

La République quant à elle, se veut par principe, ouverte. Se fermer aux autres serait une défaite de la République. C'est cette faculté d'ouverture républicaine qu'exploite l'alternative islamique dans le champs législatif social et politique.

La question du voile est plus importante que le droit ou la (bonne ou mauvaise) volonté des impétrantes qui en ont parfaitement conscience. Le voile cherche à s'imposer partout ou c'est possible au prétexte que le droit ne peut trancher sans renier la République. Vouloir imposer le voile sans la moindre considérations pour la paix publique est significatif d'un rejet de la culture majoritaire.
La question du voile est d'avantage une question de responsabilité vis à vis de la République qu'une question de droit communautaire à n'importe quel prix.

Pour l'islam comme pour n'importe quelle autre courant de pensé, exister dans les médias de toutes les façons possibles y compris par la victimisation et le martyre est le meilleur vecteur prosélyte qui soit. Pour vendre de l'audience, les médias ne s'en privent pas et l'islam jubile.

Le voile à l'école pose problèmes. C'est ainsi!  Alors, pourquoi l'islam veut-il l'imposer ?
L'islam est-il incapable de s'adapter?
L'islam Préfère t-il être source de conflit public et de divisions au lieu de paix et de concorde?
L'Islam en tant que culte est-il compromis si les femmes renoncent au voile dans certaines circonstances?
Au nom de la laïcité revue et corrigée par la République confrontée à l'islam, est-il nécessaire de rependre partout les signes forts de cette religion?

Souvenons nous, pour avoir "la paix", la République à interdit les traditions culturelles séculaires  que sont la crèches de Noël et du sapin à l'école. Et  en échange le  voile veut s'imposer à l'école. N'est-ce pas ainsi?
La pénétration de l'islam est sans trêves ni repos, et je ne vois pas à quel propos la République influe l'islam.

En renonçant à la soutane, les curés n'ont pas porté atteinte au christianisme, ils se sont adaptés... Pourquoi l'Islam comme religion de la paix ne peut-il s'adapter? Parce-que l'islam étant une théocraties (dominer et s'imposer est un "pilier" de l'islam...), s'adapter serait renoncer à son propre fondement.

Parler du voile alimente le prosélytisme que la loi condamne tout en inscrivant durablement l'islam dans le paysage culturel politique et social.
Parler du voile à chaque occasions confère à l'islam toute l'audience nécessaire à sa promotion dans le domaine du droit du politique et du social, bien d'avantage que pour d'autres partis politiques qui se voient interdits de médiatisation (...).

Faire une loi sur le voile, ce serait renoncer à l'idée de liberté chère à la République. Pour l'Islam, La responsabilité vis à vis de sa doctrine l'emporte sur la responsabilité vis à vis de la République. La force de la République c'est aussi sa faiblesse.

Plongé dans la République, l'islam c'est comme de la nitroglycérine. Si on la bouscule un peu elle explose beaucoup.

mercredi 16 octobre 2019

LE PRIX NOBEL D'ECONOMIE

S'agissant de la pauvreté, es travaux économique de Duflot ne traitent absolument pas du fond du problème mais seulement de l'extrême périphérie. Elle ne traite pas des sources et des causes de la pauvreté mais de l'efficacité de l'économie appliquée dans le domaine social pour optimiser son coût. Elle a reçu le Nobel parce que son approche permet au système financier de faire des économies tout en préservant l'idée d'efficacité de l'économie sur la pauvreté.

Pour éradiquer la pauvreté dans le monde il faut simplement apprendre à partager. Mais partager n'est pas un paradigme. Partager fait partie simplement de la morale à l'échelle individuelle. Et quand partager n'est qu'une idée de pauvre elle devient immorale car elle va contre le principe du mérite. Le principe du mérite est en lui-même issu du paradigme de la rétention. Le paradigme de la rétention n'étant pas dialectique à l'échelle de l'ontologie, il est invisible aux consciences....
La pauvreté n'est pas en effet de l'économie mais en effet des consciences.
Traiter la pauvreté dans l'économie comme le fait Duflot avec son prix Nobel c'est s'occuper des effets pour préserver les causes.

dimanche 13 octobre 2019

Le syndrome Zemmour

Eric Zemmour est un homme cultivé qui observe le monde avec une acuité lucide. Il connait bien l'histoire et ses enjeux, il expose les mécanismes politiques et sociologiques avec clarté. Il expose les faits contemporains et construit des raisonnements falsifiables. Il fonde des hypothèses à propos de l'évolution des cultures des sociétés et des politiques qu'il livre courageusement et sans filets.

Zemmour est un homme ouvert aux idées, toutes les idées, ouvert aux débats, tous les débats. Qui peut montrer le contraire?

D’où vient donc l'idée que son propos est non fondé?
Au lieu de débattre, au lieu de lui opposer des idées par la raison, on l'insulte et on "l'accuse". On lui oppose une intention qui ne l'anime pas mais qui au contraire anime ses accusateurs. Elle ne se fonde pas sur la peur mais sur la peur d'avoir peur.
On l'accuse de façon brutale et pulsionnelle car, par la raison, il ouvre les yeux des gens qui ne veulent regarder la vérité que les yeux fermés.

À la raison qui anime le propos de Zemmour on oppose l'opinion la morale et la décence..(!). Pourquoi? Parce que son propos fondé sur le réel est incontestable. Il est très difficilement opposable à l'intelligence. En toute honnêteté intellectuelle ses analyses et ses déductions sont justes. Si ce n'était pas le cas, il serait facile par la raison, d'en rire au lieu de l'accuser.

Pourquoi les médias lui donne t-il la parole? 
Parce qu'il fait de l'audience et donc du chiffre.
Dans la stratégie des médias, le soucis de vérité est toujours accidentel. La vérité est toujours un mal nécessaire quand il est possible de l’étouffer . Si le souci de démocratie animait les médias, la parole  serait donnée à toutes les alternatives politiques contradictoires.

Par exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de l'étouffer car elle ne relève pas de  la peur mais seulement de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de démocratie que le pouvoir confisque de place en place.

Les discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place sont strictement interdits dans ce pays.
Et en face de Zemmour il n'y a simplement que la confiscation de la démocratie et la démission de la République.

Donner la parole à Zemmour rapporte plus que de la lui confisquer. Face à un détracteur démuni envahissant et sans arguments qui ne sait qu’empêcher l'autre d'exister, qui veut l’entraîner sur le terrain de l'opinion et de la pulsion, il garde toujours sa raison. Pourtant "on" le trouve insultant, alors qu'aucune insulte, aucun jugement moral jamais ne vient troubler l'exposé de ses analyses. Vous pouvez chercher, ça n'existe pas.

Le prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat Sifaoui/Zemmour (1) est le même que le voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte qu'elle n'explose.

Zemmour n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs; l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.

(1) Débat Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews


Eric Zemmour est un homme cultivé qui observe le monde avec une acuité lucide. Il connait bien l'histoire et ses enjeux, il expose les mécanismes politiques et sociologiques avec clarté. Il expose les faits contemporains et construit des raisonnements falsifiables. Il fonde des hypothèses à propos de l'évolution des cultures des sociétés et des politiques qu'il livre courageusement et sans filets.

Zemmour est un homme ouvert aux idées, toutes les idées, ouvert aux débats, tous les débats. Qui peut montrer le contraire?
D’où vient donc l'idée que son propos est non fondé?

Au lieu de débattre, au lieu de lui opposer des idées par la raison, on l'insulte et on "l'accuse". On lui oppose une intention qui ne l'anime pas mais qui au contraire anime ses accusateurs. Elle ne se fonde pas sur la peur mais sur la peur d'avoir peur.
On l'accuse de façon brutale et pulsionnelle car, par la raison, il ouvre les yeux des gens qui ne veulent regarder la vérité que les yeux fermés.

À la raison qui anime le propos de Zemmour on oppose l'opinion la morale et la décence..(!). Pourquoi? Parce que son propos fondé sur le réel est incontestable. Il est très difficilement opposable à l'intelligence. En toute honnêteté intellectuelle ses analyses et ses déductions sont justes. Si ce n'était pas le cas, il serait facile par la raison, d'en rire au lieu de l'accuser. 
Pourquoi les médias lui donne t-il la parole? Parce qu'il fait de l'audience et donc du chiffre.

Dans la stratégie des médias, le soucis de vérité est toujours accidentel. La vérité est toujours un mal nécessaire quand il est possible de l’étouffer. Si le souci de démocratie animait les médias, la parole serait donnée à toutes les alternatives politiques contradictoires.

Par exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de l'étouffer car elle ne relève pas de  la peur mais seulement de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de démocratie que le pouvoir confisque de place en place.
Les discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place sont strictement interdits dans ce pays.
Et en face de Zemmour il n'y a simplement que la confiscation de la démocratie et la démission de la République.

Donner la parole à Zemmour rapporte plus que de la lui confisquer. Face à un détracteur démuni envahissant et sans arguments qui ne sait qu’empêcher l'autre d'exister, qui veut l’entraîner sur le terrain de l'opinion et de la pulsion, il garde toujours sa raison.
Pourtant "on" le trouve insultant, alors qu'aucune insulte, aucun jugement moral jamais ne vient troubler l'exposé de ses analyses. Vous pouvez chercher, ça n'existe pas.

Le prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat Sifaoui/Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews est le même que le voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte qu'elle n'explose.

Zemmour n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs; l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.


Dans le débat Asselineau /Zemmour, la rhétorique de Zemmour ne tient pas devant la logique d'Asselineau. Zemmour évite soigneusement d'approfondir la question du FREXIT. Il explique que les français sont lâches et timorés. Si les Anglais font le BREXIT c'est parce qu'ils ont une mentalité de vainqueur! Ce n'est pas un argument...
En tout, ce n'est plus la France ni les français qui décident. C'est un fait.

Travaillons d'abord ensemble au retour à la souveraineté, ensuite on peut discuter avec les français du destin de France. On appel ça la démocratie selon Asselineau et selon les gilets jaunes.

La rhétorique de Zemmour c'est du vent. Comme le Pen, il occupe la place et le rôle de l'épouvantail utile, sinon il serait interdit d'Antenne comme Asselineau.
Cependant, Zemmour a raison dans le sens où La France est conquise, je dirais "rongé", très lentement de l'intérieur par l'islam politique, c'est à dire l'Islam tout cours.

Asselineau a raison quand il dit qu'on est conquis de l'extérieur par l'Union Européenne et qu'il convient d'en sortir par la voie de la loi et non par celle des voyous qui s'assoient sur la loi comme le prône Melenchon et d'autres.
Le bilan prospective de cette situation c' est une France transformée politiquement en landers administrés par l'Allemagne. Qu'il y ai dedans des régions à gouvernance musulmane n'empêche pas de nommer ce groupe de landers "la France", évolution possible qui ne semble pas interroger Gérard Miller.

Voilà où nous mène la politique médiatique de Macron. Il est temps que des gens comme Asselineau soient entendus par les citoyens. ... Alors oui, "Justice médiatique" avant tout encore et toujours car il appartient aux médias de donner aux Français toutes les offres politiques. Et ensuite à eux de décider.

Pérorer sur la démocratie ici et là est un cul de sac. Sans justice médiatique. Pas de démocratie possible.