La thermodynamique en général
L' énergie c'est la quantification du changement d'état d'un système. Pour l'économie, elle s'appelle la monnaie. La quantité de monnaie est un invariant, sa circulation, transforme l'état des systèmes qui procèdent à des échanges de monnaie.Mais s'agissant de l'énergie au sein de la nature, il est impossible de savoir qu'est-ce que l'énergie véritablement. Quand l'état dans système a changé on sait seulement que de l'énergie est passé par là.
L'énergie concevable par l'esprit humain se limite à l'échange entre deux type de quantifications, le mouvement et le rayonnement; rien d'autre.
Il est établi que le champ de représentation du réel par notre conscience à savoir le monde est très réducteur du réel complet, ce dans une proportion inconnaissable. Le réel est sorti de l'imaginaire aristotélicien. Il se fonde sur la relativité et le monde quantique des particules. Ces deux phénomènes échappent totalement à nos sens directs ou amplifiés par des instruments. Mais ils se révèlent à notre conscience par l'examen approfondie des incohérences et des évidences.
Les fentes de Young par exemple pour la mécanique quantique, et la chute des corps pour la relativité.
Tout changement d'état appartenant à des systèmes au-delà de notre perception n'existent pas pour notre entendement et n'entrent pas dans notre perception directe ou indirecte.
En vertu de la loi de la thermodynamique, tout changement d'état d'un système clos conserve la quantité d'énergie à l'intérieur du système. Mais de façon usuel, il n'existe pas de systèmes clos.
Le seul système clos qui soit concevable est l'univers tout entier. À partir d'un point de référence quelconque, une sphère de 14 milliards de parsec (à cause le l'expansion) constitue la bulle d'univers à l'intérieur de laquelle le système est considéré comme clos, et donc à l'intérieur de laquelle l'énergie est conservée.
La quantification du changement d'état d'un système n'est pas l'énergie proprement dite mais seulement sa mesure, c'est à dire la preuve de son passage. Comprendre en substance ce qu'est l'énergie, revient à identifier un champs qui serait la source première de tous changements d'état dont les quantifications sont la trace.
La manifestation de l'énergie sous forme thermodynamique étant la seule accessible à nos sens, il est vraisemblable de penser que l'énergie (en substance) étend son champs bien au-delà de nos sens.
La vie par exemple comme phénomène est un changement d'état permanent. La cinétique et la thermodynamique (bouger penser chauffer) sont des conséquences de ce changement d'état et non la cause. De quoi ce changement d'état producteur de vie est-il le nom?
L’idée de dieu, commence là ou commence notre ignorance.
En vertu de la loi de la thermodynamique, tout changement d'état d'un système clos conserve la quantité d'énergie à l'intérieur du système. Mais de façon usuel, il n'existe pas de systèmes clos.
Le seul système clos qui soit concevable est l'univers tout entier. À partir d'un point de référence quelconque, une sphère de 14 milliards de parsec (à cause le l'expansion) constitue la bulle d'univers à l'intérieur de laquelle le système est considéré comme clos, et donc à l'intérieur de laquelle l'énergie est conservée.
La quantification du changement d'état d'un système n'est pas l'énergie proprement dite mais seulement sa mesure, c'est à dire la preuve de son passage. Comprendre en substance ce qu'est l'énergie, revient à identifier un champs qui serait la source première de tous changements d'état dont les quantifications sont la trace.
La manifestation de l'énergie sous forme thermodynamique étant la seule accessible à nos sens, il est vraisemblable de penser que l'énergie (en substance) étend son champs bien au-delà de nos sens.
La vie par exemple comme phénomène est un changement d'état permanent. La cinétique et la thermodynamique (bouger penser chauffer) sont des conséquences de ce changement d'état et non la cause. De quoi ce changement d'état producteur de vie est-il le nom?
L’idée de dieu, commence là ou commence notre ignorance.
La mécanique quantique et la relativité
Une particule n'est ni un corpuscule ni une onde. C'est autre chose que notre esprit ne peut pas se représenter. L’expérience des fentes de Young montre qu'une particule peut être dans l'état A ou B ou A+B selon l'état des fentes. Un détecteur uniquement sensible à l'état A ou B ne peut pas rendre compte de l'état A+B. On dit abusivement qu'il "force" la particule à choisir au hasard son état après la mesure parce que le système de mesure ne peut "comprendre" que A ou B.
Une particule est donc un système d'états superposés qui vu du macro-univers fonde le principe d’indétermination (Heisenberg).
La superposition des états d'une particule est la clef de voûte de la MQ.
Pour l'explorer, Einstein l'a étendu à une paire de particule. La superposition qui devient alors intrication, viol la relativité.
Or, la Relativité est vraie, et l'expérience d'Alain Aspect montre de façon irrévocable que l'intrication est vraie aussi.
D'autre part, la matière ordinaire relève d'une collection quasi infinie de particules superposées. Dans ce cas la superposition n'existe plus. La matière, cadre de la physique classique est déterminée.
Le réel n'est pas seulement la matière mais aussi et surtout le processus qui en passant de l’échelle des particules à celui de systèmes de particules (matière courante) fait disparaître la superposition par le principe de décohérence.
Quand un processus échappe à nos sens il est naturel de vouloir le ramener au déterminisme.
Il n'y a que les math et l'imagination pour, au delà de nos sens, aller à la rencontre du réel.
Seulement voilà que la MQ échappe à l'expérience de pensée. C'est pourquoi la MQ ne peut être qu'un formalisme mathématique.
La relativité et l'intrication sont contradictoires sur la question de l'espace temps. C'est donc l'espace temps à l'échelle quantique qu'il serait judicieux d'interroger.
Pour rendre compatible l'intrication et la relativité on peut imaginer qu'il existe une dimension qui courbe infiniment l'espace temps à l’échelle des particules, qui les rapproche rendant possible le passage d'informations sans violer la relativité. Puis cette dimension supplémentaire à l'échelle quantique décroit par quanta (h x.... ?) avec la croissance de la décohérence qui conduit à la croissance des systèmes de particules liées, c'est à dire à la matière ordinaire.
La superposition des états d'une particule est la clef de voûte de la MQ.
Pour l'explorer, Einstein l'a étendu à une paire de particule. La superposition qui devient alors intrication, viol la relativité.
Or, la Relativité est vraie, et l'expérience d'Alain Aspect montre de façon irrévocable que l'intrication est vraie aussi.
D'autre part, la matière ordinaire relève d'une collection quasi infinie de particules superposées. Dans ce cas la superposition n'existe plus. La matière, cadre de la physique classique est déterminée.
Le réel n'est pas seulement la matière mais aussi et surtout le processus qui en passant de l’échelle des particules à celui de systèmes de particules (matière courante) fait disparaître la superposition par le principe de décohérence.
Quand un processus échappe à nos sens il est naturel de vouloir le ramener au déterminisme.
Il n'y a que les math et l'imagination pour, au delà de nos sens, aller à la rencontre du réel.
Seulement voilà que la MQ échappe à l'expérience de pensée. C'est pourquoi la MQ ne peut être qu'un formalisme mathématique.
La relativité et l'intrication sont contradictoires sur la question de l'espace temps. C'est donc l'espace temps à l'échelle quantique qu'il serait judicieux d'interroger.
Pour rendre compatible l'intrication et la relativité on peut imaginer qu'il existe une dimension qui courbe infiniment l'espace temps à l’échelle des particules, qui les rapproche rendant possible le passage d'informations sans violer la relativité. Puis cette dimension supplémentaire à l'échelle quantique décroit par quanta (h x.... ?) avec la croissance de la décohérence qui conduit à la croissance des systèmes de particules liées, c'est à dire à la matière ordinaire.