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vendredi 26 avril 2019

Le discours de Macron

Il n'existe pas de différence fondamentale entre un bonimenteur des grands chemins qui vous vend l'eau du bayou comme remède à tous les maux, et le monologue laborieux et sidérant de Monsieur Macron pour vendre la France, défaire, les institutions de la République et brader tout le reste au profit de la finance.
N'oublions jamais que ce monsieur, arrivé aux affaire "par effraction" de son propre aveu, représente avant tout les intérêts de la finance et non pas celui de la France et encore moins celui des Français.

Depuis que le monde est monde, et ce n'est pas une allégorie, Macron est le seul monarque à œuvrer de façon radicale et autoritaire à la destruction de son pays, là ou n'importe quel autre souverain aurait tendance à vouloir agrandir et solidifier son territoire.
Pourquoi ?
Parce que le territoire de Macron ce n'est pas la France. Le territoire de Macron ce n'est pas l'Europe. Le territoire de Macron c'est la finance. En conséquence, pour lui la France est un produit comme un autre que l'on peut vendre et acheter pour faire de l'argent, les nations sont des obstacles à la rentabilité du profit, et l'UE est un moyen transitoire vers une économie trans-nationale.

Voilà de quoi relève l'autisme monumentale de ce personnage dangereux et pervers. Ma réponse à la question du "progrès" qui constitue l'axe fondamental du discours de Macron est :

"Le progrès ce n'est pas travailler plus pour gagner moins; Le progrès c'est travailler moins pour gagner plus. (J'ai proposé un sondage en dessous de cet article).

Avec l'accroissement permanent de la productivité, le progrès consiste à favoriser une politique de partage au lieu de renforcer la politique basée sur la rétention. Si on persiste dans la rétention avec un outil de production très puissant, le maintient de la richesse des riches impliquera incontournablement l'établissement de politiques radicalement autoritaires dont celles de Macron est une pâle préfiguration. Le Chaos sociale qui s'ensuivra en sera aussi la justification. C'est ce que préfigure les lois anti-Gilets-Jaunes, c'est à dire Anti-Peuple de Macron, qui ne disent pas leurs noms.

A l'écoute du discours de Macron toujours incapable de masquer son mépris, on a le sentiment d’entendre la rhétorique et les méthodes du diable en personne. Articulant avec une véhémence mal calculée et mal assurée, sur le ton de l'innocence juvénile, des contres vérités et des articulations économiques parfaitement fausses. Il va jusqu'à demander implicitement qu'on le plébiscite pour le mépris courageux qu'il témoigne aux gens et qu'il appel en substance :"prendre des responsabilités courageuses".

Il nous explique que la voie démocratique c'est du passé et qu'il convient (je traduis) de passer à la dictature. (NDA: Ce n'est pas une plaisanterie ni de la contre rhétorique de ma part. Écoutons simplement son propos.)

Je continue donc d'écouter ce diable de Macron. Ce que dit Macron au temps {8:20m} (voir la video en bas) est absolument abominable.

Je cite "...les gilets jaunes c'est le fruit du manque d'humanité...".

De quelle inhumanité parle-t-il?
De la sienne et de ses disciples?
Ou considère-t-il que le peuple de France qui se cristallise dans les gilets jaunes n'a pas d'humanité?

Quel culot, quel affront, et de plus, quelle stupidité dans la communication.
Mais n'oublions pas que les gilets jaunes c'est le peuple qui se donne à se représenter lui-même par carence de son représentant.
Alors il est naturel que Macron qui est par projet politique dans le déni du peuple, soit naturellement dans le déni des gilets jaunes, car les gilets jaunes c'est aussi la dénonciation de sa vacuité et de son impuissance à dominer le peuple.

Nous venons d'assister au discours d'un enfant gâté et désespéré de ne pouvoir atteindre sa toute puissance convoitée. A nous de faire en sorte que ni lui ni ses remplaçant n'y parvienne jamais. Pour cela il faut cesser de servir l'UE pour pouvoir servir les Citoyens.

Alors oui la posture provocatrice et méprisante de Macron se pose comme une déclaration de guerre contre la République (il casse les institutions) et la Démocratie (parlement à sa cause et ordonnances).
Mais en fin d'analyse pour éviter un accroissement de l'autorité en politique qui conduit toujours inexorablement à la guerre qui sera civile (...) , Il est nécessaire de quitter radicalement l'Union européenne comme le préconise monsieur Asselineau de l' #UPR,
Sortir de l'UE c'est retirer à l'autorité politique du pays (Macron ou un autre c'est pareil) le levier considérable que constitue l'UE comme outil de destruction de la souveraineté du pays.
Ne pas perdre de vue que la fin programmée de la souveraineté du pays c'est aussi la fin du peuple de France et sans peuple la question de la Démocratie s'effondre. Tachons d'éviter le pire. Acceptons de "DISCUTER" les questions fondamentales comme le #FREXIT qui est interdit de médias.

A ce sujet je vous invite à faire connaître ma pétition sur la "justice médiatique". (voir en dessous) car la démocratie commence seulement avec la circulation LIBRE des idées.


Analyse du discours de Macron