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mercredi 22 juin 2016

Etat de droit en péril

    Manifestations contre la LOI TRAVAIL de la France:

   Désinformer, Manipuler et  Provoquer, pour Interdire la liberté au prétexte de la sécurité?  Sous Hollande, on peut dire que Valls y va Franco.
    L'état d'urgence est en effet l'alibi de la Gauche pour initier le glissement de l'état de droit vers un état policier.

    Quand les gouvernances ne viennent plus des gouvernements élus mais des énarques de Bruxelles, glisser de l'état de droit à l'état policier en France comme dans les autres pays de l'union, s'avère indispensable au développement de l'économie de l'Europe.
    Pour revenir à un état de droit intègre, il convient maintenant de faire relever l'économie et la sécurité du principe de partage, et les éloigner du principe de rétention qui ici et ailleurs, aujourd'hui comme hier les commande.

    A cet effet, il convient de procéder au glissement du politique et de l'économique depuis la raison pratique vers la raison éthique.
    La raison pratique c'est quand une loi, un décret, une décision , une vision politique constitue oppose et sacrifie le particulier au collectif .
   La raison éthique c'est quand une loi, un décret, une décision, une vision politique constituent  la sécurité du particulier et du collectif par le partage.

    Cette passation de la vision politique demande un peu de philosophie. D'abord pour se saisir du principe de rétention et ensuite pour imaginer les applications concrètes du principe de partage. Il est aujourd'hui urgent de reconsidérer le politique et l'économique dans le champs philosophique pour les faire évoluer dans une direction bien comprise.

    Aujourd'hui, le principe de rétention comme fondement ontologique des rapports à toutes les échelles de l'être arrive à son point de singularité; point (de mondialité...) auquel toutes les avancées politiques et sociales, dans la rétention, s'effondrent en même temps que la notion de profit (rétention). Il faudra bien le remplacer.