Actualités Juillet 2020

01-07-2020 Le dictateur en culotte courte.

Nous sommes en pleine préparation des élections de 2022, la distribution des rôles a commencé. Avec MLP dans le rôle du chevalier noir et Macron dans le rôle du chevalier blanc. Mélenchon le solitaire dans le rôle de l'arbitre qui consiste en réalité à éparpiller les forces citoyennes.
Et puis il y a les souverainistes qui en 2022 auront le vent en poupe. Il y a L'UPR dans le rôle de l'invité surprise, qui n'entre pas dans la stratégie de Macron.... Et la montée fulgurante du "Front Populaire" qui n'est pas un parti politique mais une source d'analyses et de connaissances par le forum, d'où pourrait émerger une vocation politique souverainiste démocrate et donc Girondine.

Pour résumer la situation, en 2022 s'affronteront deux tendances, les souverainistes contre les européistes. C'est-à-dire les pros France contre les Anti-France...

En effet la souveraineté d'une Nation n'est pas compatible avec la souveraineté de l'UE. Le statut de l'Union Européenne interdit de faire coexister les deux souverainetés en même temps. L'UE en tant que souveraineté "pan-nationale" exclue radicalement l’idée même de souveraineté Nationale. De plus, les traités de l'UE sont construits de telle sorte qu'il est interdit de changer ce principe parce que c'est le principe fondateur de l'UE.
Il est très important que les Français et les peuples des autres nations comprennent ce point.

Mais revenons à nos moutons. Pour le moment la stratégie médiatique de Macron reste inchangée. En effet, un débat entre les souverainistes et les européistes tournera obligatoirement en un débat sur le FREXIT. Ce que Macron voudrait éviter à n'importe quel prix car si le FREXIT arrive dans le débat public, Macron l'europeiste impénitent a déjà perdu.

Est-ce que la recette qui consiste à désigner le pire pour forcer la population à choisir le moins pire va prendre cette fois encore ? Je crois bien que cette stratégie des anti-France est inévitable.

Mais cette fois, il faudra que la lucidité des Français l'emporte sur la propagande. La mission médiatique de Macron consiste seulement à déguiser "le pire" en "moins pire" et à changer "le moins pire" en "pire".

Dans l'esprit de la macronie, le match électorale de 2022 aura lieu entre Macron et MLP. Toute la propagande médiatique gouverne dès maintenant dans ce sens.
Mais rien n'est joué encore. Comme parti politique, l'UPR tapis dans l'ombre des médias attend son heure de gloire dans l'oreille des Français.
Toujours est-il que la propagande de diabolisation a commencé à propos de MLP (G.Collard 18 juin 2020 BFM).
La propagande n'est qu'un procès d'intention sans fondement. Tout le monde a compris le rôle d'épouvantail que la macronie veut faire jouer une fois encore à ce parti politique dont il semble tout de même que c'est la vocation.

Mais, à l'épreuve des faits, on constate que tout ce que le macronisme soupçonne du Rassemblement National, Macron l'a déjà réalisé et bien au delà:
Dictature, révolte, dévoiement de la justice, abandon de la souveraineté, incitation aux incivilités étrangères sur le territoire, laxisme du gouvernement face à l'incitation publique à la haine et à l'antisémitisme, trahison régalienne du parlement, destruction de la République au profit de l'UE, destruction de l'indépendance nationale, destruction de tous les services publics, corruption et conflit d'intérêt à tous les étages du gouvernement, confiscation de la presse et pilotage de l'information par une propagande inique, destruction de la sécurité sociale, destruction du système de retraite, destruction du code du travail, destruction de l'hôpital public, destruction du bien commun et du patrimoine national, destruction du tissu industriel, indignité de la diplomatie Internationale etc etc...  Qui dit mieux....?

"Parce que c'est notre projet" a-t-il hurlé dans le poste. N'est-ce pas ainsi?
Qui veut que ça continue?
Au second tour, les citoyens auront le choix. Continuer avec Macron ou mettre un terme à son règne.

Jamais MLP n'aurait osé et encore moins permis un tel saccage de la France. Si elle avait été élue, compte tenu de son étiquette, les Français auraient été extrêmement vigilant à son action.

Alors, si par la vertu trompeuse de la stratégie de Macron elle arrive au second tour, RV avec MLP en 2022 pour mettre un terme à ce désastre.
Il reste à espérer que la lucidité des Français l'emportera sur la propagande détestable des médias. Et qu'en choisissant le moins pire,  les Français se souviendront que le pire fut et serait Macron.
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01-07-2020 Affaire Fillon et démocratie

Rapporté par France info:
"Jean Veil, L'avocat de Marc Joulaud (nda, l'employeur de Madame Fillon) considère que "la prison devrait être réservée aux gens dangereux pour la société".

Une telle déclaration qui au premier abord est tout à fait sensée mérite tout de même une réponse et un peu d'analyse.

Réponse.
"Que n'avez vous fait Monsieur, la même déclaration pour le voleur de pommes qui prend 3 mois de prison et pour les 800 gilets jaunes qui croupissent encore aujourd'hui dans les culs de basse-fosse de l'État français pour délit de manifestation. Parce que la manifestation ce n'est plus un droit régalien du citoyen, c'est devenu un délit qui met en danger la société ? De quel droit si ce n'est du fait du prince ?

Alors en l'état actuel de votre déclaration partisane, je trouve tout à fait normal que Monsieur Fillon n'échappe pas à la rigueur du tribunal.

La loi n'est-elle pas la même pour tous ?
Et quand on est aux affaires ne sommes-nous pas doublement coupable de corruption et de profits illicites?
Contrevenir à la loi alors que l'on fait partie du sérail qui la produit, n'est-ce pas une circonstance aggravante?

Nonobstant, sur le fond, je suis d'accord avec vous on ne doit mettre hors circuit de la société que les gens dangereux. Mais tant que ce principe ne sera pas vrai pour les citoyens de toutes fortunes, je considère vos ci-devant propos comme de la provocation perverse."

Analyse.
Si le cas de Monsieur Fillon doit servir d'exemple, c'est le système judiciaire français qu'il convient de déconstruire. Il est en effet coutumier du deux poids deux mesures.

Sur le fond, son avocat a raison. "On ne doit mettre en prison que les gens dangereux pour la société".
Est-ce que Kerviel est dangereux pour la société ?
Est-ce qu'un voleur de pommes est dangereux pour la société ?
Est-ce qu'un gilet jaune est dangereux pour la société ?

La question de savoir ce qui représente un danger pour la société appartient au juge et non à l'exécutif politique. Et la question fondamentale que soulève le procès Fillon, nous conduit inexorablement à interroger l'indépendance souveraine de la justice, et qui doit la garantir et la contrôler.
Dans l'affaire Fillon, c'est la remise en cause du pouvoir politique qui est en question bien davantage que des costumes et quelques argent.

Dans la déclaration de l'avocat de Monsieur Fillon c'est le gouvernement qui tient lieu de société. "Quiconque représente un danger pour le gouvernement doit être mis en prison".

Monsieur Fillon est-il un danger pour le gouvernement ?
La réponse est non, pas plus qu'il n'est un danger pour la société. Pour autant, doit-il être sanctionné par la loi, alors que bien des membres du sérail gouvernemental y sont soustraits?

La question de l'indépendance et de la souveraineté de la justice est aussi vraie pour les médias qui forgent l'opinion. Ils sont davantage des vecteurs de propagande que des vecteurs de forums éclairant.
Mais les gens ont soif de connaissances dans tous les domaines et d'honnêteté politique aussi. Et ce, de façon démesurée. Ils ont besoin d'avoir confiance en leurs dirigeants. C'est pourquoi la revue Front Populaire reçoit une approbation populaire massive et spontanée. Elle nous parle seulement de démocratie et du retour du pouvoir politique par le peuple et pour le peuple.

Il s'agit de passage d'une organisation politique et sociale Jacobine à une organisation Girondine.
Qu'est-ce que ça veut dire ?
L'organisation politique depuis toujours est centralisée, hiérarchisée, éloignée de la réalité des gens. C'est la politique jacobine. Elle impose son ordre à tous. D'une certaine façon c'est la loi des voyous. Manipulation trahison propagande et nihilisme sont ses vertus.

L'organisation politique Girondine, relève et participe de la démocratie. Elle part de la réalité de la vie des gens pour construire le système d'échange qui structure toute la société en restituant à tous les étages le contrôle politique à la population...

Aujourd'hui plus qu'hier, la démocratie existe dans l'esprit des citoyens comme une référence incontournable de probité de la justice et du pouvoir politique. C'est l'esprit Girondins. Ni plus ni moins.
Pour persister, toutes les formes de gouvernances doivent tenir la démocratie à distance du pouvoir.
Et la seule façon de d'y parvenir consiste en son instrumentalisation par la propagande médiatique.
Il s'agit de faire croire que la dictature c'est la démocratie et que la révolte contre la dictature qui fait les gilets jaunes c'est la dictature.
Cette forme de gouvernance s'appelle le nihilisme.

Le taux de pénétration de l'État dans la gouvernance des médias est un indicateur de la montée en puissance du désir populaire d'une gouvernance démocratique. La démocratie est au cœur du combat des gilets jaunes. Ne nous lassons pas de le faire savoir. Voilà pourquoi ils ne sont pas prêt de sortir de prison au moins pour des questions de dissuasion.

Le comportement du gouvernement nous donne à comprendre que la démocratie est l'ennemi numéro 1 de la politique gouvernementale.
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02 juillet 2020 Opération Big Data

L'opération Covid est montée de toutes pièces pour promouvoir un vaccin qui ne vaccine rien mais installe de la nanotechnologie dans le corps humain. Les milliers de morts en Inde et en Afrique sont dues très probablement à des rejets de l'organisme humain de cette nanotechnologie.

Quand on utilise un badge pour ouvrir la porte de l'immeuble, on utilise la même technologie que la nanotechnologie injectée dans l'organisme humain.
Les nanoparticules de cuivre traités, objet du brevet Bill Gates, composent un code spécifique à chaque individu. Ce code réagis en modifiant le champ électromagnétique de la 5G quand il est soumis à la radiation de la 5G.
Cette modification constitue le signal d'identification du sujet.
La perturbation du signal 5G par les nanoparticules détermine l'identité et la position de l'individu.

Mais si ces microparticules nanométriques peuvent recevoir un signal et le traiter. Les possibilités de cette technologie pour contrôler les individus et les sociétés sont immenses.

Il sera possible de savoir qui est malade et de quoi ? De choisir qui doit être soigné ? De se saisir des habitudes de vie en fonction des revenus et d'adapter la masse salariale en fonction du plus faible coût d'entretien du cheptel humain....  Je ne suis pas capable de deviner toutes les possibilités offertes par cette technologie en terme de maîtrise de l'humanité, mais j'en devine les potentialités immenses.
Cette nanotechnologie est un pouvoir total entre les mains d'un comité restreint à la puissance financière exorbitantes et à laquelle tous les gouvernements se soumettent.

Cette nanoparticule, "accessoirement" tuera beaucoup de gens, ce qui est très rentable pour la finance internationale puisque c'est la masse salariale, c'est-à-dire le coût de l'être humain quand il est inutile à l'accroissement du profit financier, qui est la variable d'optimisation du dit profit. (Principe de rétention maximum.. l'homme se nourrit de l'homme)

Mais ce qui est très important de comprendre c'est qu'avec cette nanoparticule chaque être humain va devenir un acteur du Big data.
Le monde à terme ne sera plus gouverné par les idéologies politiques mais par la maîtrise du Big data.
Bien sûr les idéologies politique et les gouvernements locaux existeront encore longtemps. Il ne servent qu'à faire diversion. On voit bien que les dirigeants de partout, dans l'opposition ou pas, ne sont médiatisées que s'ils participent à cette stratégie en jouant leur rôle correctement. Où avez-vous vu que Mélenchon par exemple s'oppose à quoi que ce soit ?

L'objectif de la gouvernance du monde ce n'est plus le bien-être de la population, ça ne l'a d'ailleurs jamais été, mais l'optimisation capitaliste de l'humanité.
La question est : "Compte tenu du niveau technologique de l'humanité et des ressources de la planète, quelle est la quantité optimum d'humain qui garantit la meilleure croissance de la finance" ? C'est aussi con que ça.

Ce processus "Covid Nanotechnologie et 5G" est une logique surréaliste, un processus inconcevable, une abomination sans fond. Et pourtant c'est vrai.

Si au mois de novembre quelqu'un nous avait dit:  "L'activité humaine sur la planète va s'arrêter au claquement de doigts", personne, absolument personne sauf un fou ne l'aurait cru possible. Mais rendre possible quelque chose d'aussi insensé c'est la vertu du Big data.
L'avenir du monde entre les mains des plus puissants, est aujourd'hui réalisable sans qu'il existe la moindre résistance.

Nous avons devant nous le spectacle de ce que produit le principe de rétention à l'échelle dans l'espace de l'ontologie lorsque ce principe n'est pas identifié.
L'humanité est arrivé à un stade où la prise de conscience est la condition de sa survie. C'est pourquoi la question de l'ontologie est fondamentale. Ce concept est tout à fait inhabituel. Il consiste seulement à se poser la question suivante "Qu'est-ce que ça veut dire être un humain ?"
Penser les problèmes du quotidien et les problèmes de société avec cette question en tête change considérablement la perception des problèmes et des réponses ainsi que la conscience de soi.

Le rôle de la philosophie ne consiste pas à donner des réponses mais à poser des questions. La question qui se pose aujourd'hui à l'humanité ce n'est pas de savoir comment se nourrir, comment se soigner et se chauffer, ce n'est pas de savoir comment conquérir, comment s’agrandir croître se répandre et dominer. Tout ça est déjà réalisé. La question aujourd'hui est de savoir comment devenir humain. Il est clair que si l'humanité n'est pas réalisée elle s'arrêtera. Monsieur de Lapalisse n'aurait pas dit mieux.

Aujourd'hui, l'humanité est en train d'accroître sa domination sur elle-même car elle ne sait faire que ça. Dominer et conquérir. Il ne reste que l'homme à dominer et à conquérir, pour toute la planète et les autres espèces c'est déjà fait.

Se poser la question "qu'est-ce que un humain?"  est une façon de dominer l'homme et de conquérir son humanité. Le Big data est aussi une façon de dominer et de conquérir l'homme en le détruisant. L'avènement du Big data nous invite simplement à nous poser la question de savoir Qu'est-ce que être un humain?"

L'absence d'opposition démocratique au principe de rétention conduit à une transformation destructrice de l'humanité. Le projet Bill Gates est rendu possible par la carence de démocratie. La restauration de la démocratie passe de façon incontournable par la restauration de la justice médiatique. Je ne le répéterai jamais assez.

Nous sommes la première génération à subir l'impact du projet Bill Gates. Il est planifié sur plusieurs générations. Les êtres les plus fragiles qui sont la cible privilégié de "cet enfoiré" ce sont les enfants. Ils n'ont aucune défense parce qu'aucun sens critique. Nous, nous sommes à l'abri nous avons le choix. Eux, ne sont pas à l'abri ils n'ont pas le choix,  ils sont pieds et poings liés à la merci de l'école.

Il semble terriblement difficile de promulguer une loi sur la justice médiatique. Alors, donnons aux médias tels qu'ils sont, c'est-à-dire au service de la propagande, du grain à moudre. Offrons leur un sujet qu'il ne pourront pas réfuter.
D'ores et déjà, mettons autant que possible sur pied des comités de défense de l'enfance. Aucun média national ne pourra refuser de traiter un tel phénomène de société

À travers la défense de l'enfance, la question de la composition de ce vaccin et de sa raison d'être pourra être abordés sur la place publique. La question de la technologie des nanoparticules et de la 5G pourra faire l'objet d'un débat public.

La seule force qui puisse s'opposer à ce rouleau compresseur International  du projet Covid / Gates / Vaccin / 5G,  c'est la démocratie dont la clef est la liberté et l'indépendance des médias.

Bill Gates s'appuie sur la maîtrise de l'enfance pour promouvoir son projet de malade à l'échelle de l'humanité.
Un phénomène de société qui s'oppose à cette technologie, doit être motivé massivement par la protection de l'enfance.
Devant un tsunami massif de la société civile, ni les médias, ni les grandes organisations comme l'OMS, ne pourront se défiler.

Pour mettre la question de cette technologie dont le vaccin n'est que le véhicule et la pandémie l'alibi, sur la place public c'est la protection de l'enfance qu'il faut promouvoir dans les grands médias.

L'objectif étant de faire apparaître au grand jour et à la connaissance du grand public la réalité du projet Bill Gates.
Pour l'immense majorité des gens qui en auraient eu connaissance, ce projet est du ressort de la science-fiction. Pour les autres il est inconcevable.
Et cependant ce projet avance en marche forcée. Il s'agit tout bêtement de l'exploitation du Big data comme alternative mondiale aux politiques nationales usuels, avec le comportement humain comme source directes des données.

La nanotechnologie dans l'organisme humain, les enfants pris en otage à l'école, le vaccin obligatoire ici, toléré là-bas, non obligatoire ailleurs, fera l'objet d'un chantage à l'emploi d'un chantage au voyage d'un chantage à la formation etc etc... Pas de vaccin ? plus de droits ni de liberté!
La propagande sera " il faut se vacciner pour protéger le voisin..."

Voyez déjà ce qui se passe avec le masque. Il s'agit d'arrêter les mouches avec un grillage. Tout le monde le sait, mais les gens obéissent. Ils obéissent parce qu'ils ont reçu des injonctions contradictoires à ce sujet. Alors pour les gens, le doute est permis et le port du masque relève logiquement du principe de précaution.
C'est cette stratégie qui risque d'être employé à propos du vaccin pour que les gens y viennent naturellement par principe de précaution puis, sous la pression de la normalité.

Seule la société civile mobilisée pourra mettre un terme à cette folie.
Cette folie de quelques individus au pouvoir immense, nous oblige pour notre sauvegarde à cesser de nous perdre en déploraison stérile et impuissante pour construire notre démocratie en commençant par l'indépendance de la presse.
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EPILOGUE
On me fait savoir que ce sont des assassins. Oui bien sûr. Leur projet est un crime contre l'humanité. Pire, contre la vie même sur le plan du principe, car le projet "nanoparticules", est une destruction de la singularité et un recul de la diversité. Sur le plan factuel les ravages monumentaux de la 5G sur les espèces vivantes de la planète n'est plus à démontrer...

Mais  aux yeux de qui sont-ils des assassins?
Aux yeux de la population ?
Mais à leurs yeux, eux qui possèdent le pouvoir, ils se voient comme étant la seule population digne de détenir l'humanité.  À leur yeux, ce n'est pas la plèbe qui détient l'humanité, c'est eux. La preuve :  ils ont le pouvoir absolu...

Cette logique est la manifestation cardinale du principe de rétention. son moteur à l'échelle des cultures n'est-elle pas la compétition universelle?. Le principe de rétention est le paradigme des paradigmes qui gouverne tous les esprits, les cultures, les économies et les politiques. C'est ce principe qui fondamentalement doit être interrogé et doit être renversé...

Tout le monde aspire à la maîtrise et au pouvoir. Ce n'est que par dépit que les "hofmmes" du commun limitent leurs ambitions.
Je vous assure qu'il est temps maintenant de réfléchir à la condition humaine.

La question du vaccin c'est la question de la condition humaine qui est posée à l'humanité. Elle lui est posée par les actes puisque l'humanité par essence est incapable de se la poser par les mots. En effet l'humanité n'est pas une personne.

Pour que l'humanité tout entière se pose la question de son humanité par les mots, il faut bien que la presse, l'organe de réflexion et d'information de la collectivité humaine soit libre et indépendante.

La conscience de l'humanité c'est le forum. Son indépendance c'est la démocratie. Celui dont la pensée et la parole sont aliénés, les autres le voient et tentent de le ramener à la liberté de penser, même si son aliénation le rend bienheureux. Pour ce faire, l'usage de la parole et de la communication sont de rigueur. pour la collectivité humaine c'est exactement la même chose.

Mais il n'y a personne pour secourir l'humanité toute entière. Alors, c'est à l'humanité de se prendre en charge elle-même. À elle de libérer sa parole et sa pensée de ses propres forces (dans les deux sens du terme).
À l'échelle de la collectivité humaine, cela signifie tout simplement rendre à la presse son indépendance et sa liberté.
Voilà selon moi le chemin à suivre.
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03 Juillet 2020 l'age du Fléau

Tout le monde voit le fléau arriver. Il est l' œuvre des plus riches qui sont aussi les dirigeants. La population quant à elle, les dirigés, leur a par nature humaine délégué le soin de les diriger.

Dans cette distribution des rôles, l'humanité s'est agrandi et à prospéré. La population des dirigés s'est considérablement développé, et celle de dirigeant s'est considérablement restreinte.
Mais dans le même temps les dirigeants se sont dotés d'une puissance incommensurable.

Peut-on garder la même distribution des rôles alors que les dirigés se comptent par milliards pour quelque centaines de dirigeants tout puissants. Des dirigeants dont la vision est totalement faussée par le pouvoir insensé qui est le leur et dont le seul but est de le conserver voir de l'augmenter à n'importe quel prix.
C'est le principe de rétention qui est à l' œuvre pour construire le monde. Mais aujourd'hui il a atteint sa limite.
Il structure l'esprit des gens, c'est-à-dire à la fois des dirigeants et des dirigés.

Dans le principe de rétention, la trahison est de rigueur dès qu'il est question d'exercer du pouvoir sur l'autre. Il n'y a pas moyen de faire autrement. La trahison des dirigeants à l'égard des dirigés c'est ce qui mène le monde des hommes depuis que l'homme est sur cette terre. Cette trahison systématique a produit les fruits du progrès technologique par exemple. Ce progrès a atteint son maximum, au-delà duquel, l'humain devient la nourriture de l'humain. C'est à ce stade qu' est rendu notre humanité.

Il n'y a pas de méchanceté fondamentale dans l'être humain. Il est simplement inclus dans un système sémantique auquel il ne peut pas échapper sans un minimum de réflexion philosophique.

Cette réflexion n'est possible à grande échelle que par la libération des médias. Au stade où l'humanité se trouve aujourd'hui, le média c'est sa capacité de mettre en mots pour traiter les questions qui se présentent à elle. Mais par souci de puissance, en s' accaparant la maîtrise absolue des médias, les dirigeants on confisqué à la population le droit de s'exprimer.

La réflexion nécessaire à l'échelle de l'humanité devrait appeler par les mots et non pas par les actes à une révolution ontologique. Mais si les dirigeants de ce monde ne renoncent pas à leur toute puissance, n'abdiquent pas devant le peuple, ne se déposent pas, ne démissionnent pas, cette révolution aura lieu par les actes. Cela s'appelle une guerre civile, et nous en prenons la direction.
De la transformation ontologique des humains dépend l'existence d'un avenir pour notre monde.

La création forte et profonde du concept de l'Autre dans la représentation du monde est l'événement en conscience de la transformation ontologique. C'est cette création qui changera radicalement le système de rapport économique que l'homme établi avec lui-même et avec la nature.
Le premier « Autre » qui relève de la transformation ontologique des humains c'est le féminin.
Dès lors où le principe de l'Autre et bien ancré en conscience, toutes les  espèces, y compris les humains qui composent l'environnement naturel de cette planète auront une chance de survie.

La représentation que l'homme se fait de lui-même et de la nature, et de sa place dans la nature relèvent de l'ontologie. L'organisation économique qu'il a mis en place fixe ses échanges avec lui-même et avec la nature selon sa vision ontologique de sa propre nature, c'est-à-dire basée sur la compétition contre tout ce qui vit. A l'aide de sa puissance incommensurable dont il s'est doté grâce au principe de rétention, il est absolument certain qu'il est en capacité de détruire la totalité de la création.

L'homme, parce qu'il a atteint l'apogée que permet le principe de rétention, et parce qu'il est incapable de l'identifier pour le transformer vers le partage, l'humain met en péril la totalité des espèces sur cette terre.

Et parce que le système économique est à la source de l'espace naturel de l'évolution de l'homme, ce même principe de rétention installe l'humain  dans une insécurité majeure.

Il ressort de cela une démographie accélérée de l'espèce humaine. Une croissance démographique source de toutes les inquiétudes et qui dans le système économique actuel appelle incontournablement à des mesures de régulation. Cette tentative de régulation massive est le motifs du fléau artificiel baptisé "pandémie".

Si l'organisation économique n'est pas compatible avec la prévision démographique de l'homme, ce n'est pas l'homme qu'il faut détruire c'est l'économie qui doit être changée. Elle doit abandonner son organisation séculaire de rétention pour organiser le partage. Sans l'invention de "l'Autre" à l'échelle de l'ontologie ce ne sera jamais possible. En effet, si "l'Autre" n'existe pas le concept de partage est sans d'objet.

L'accroissement démographique est un phénomène auto-régulé dans toutes les populations quelle que soit l'espèce concernée.
Dans l'espèce humaine, l'accroissement de la démographie est un reflex de protection contre l'hostilité économique.

Pour réguler la démographie de l'espèce humaine il suffit de passer à une économie de partage. Alors la croissance démographique ne sera plus nécessaire. Il suffit d'abaisser l'insécurité économique pour stabiliser la démographie.

Tout ce à quoi est confronté l'humanité, que ce soit la mondialisation et ses avatars ou la démographie, que ce soient les conflits idéologiques où les conflits de classes, à grande échelle comme à l'échelle individuelle etc.. proviennent du système de rétention qui a atteint son extrême limite comme source de progrès.

Le problème n'est pas que quelques-uns font le mal. Le problème vient de ce qu'il n'y a jamais personne pour les arrêter. (A.Einstein). Et tant que tout le monde sera conditionné par le principe de rétention il n'y aura jamais personne.

La population qui compose les dirigés fait confiance aux dirigeants. Cette sorte de délégation dans le principe de rétention, engendre toujours par un effet de système la trahison. C'est pourquoi la révolution qui permettra à l'humanité de briser le plafond de verre de son évolution vers plus de conscience, est ontologique.
Comment la réaliser au milieu de toutes ces embûches ?
L'objectif est la restitution des décisions politiques au peuple d'une nation; ce qui suppose la sortie de l'Union européenne et la restitution de la parole au peuple. Cela s'appelle la démocratie.

Soit les dirigeants se déposent, ne rêvons pas; soit les médias de l'intérieur militent pour l'indépendance et la liberté de la presse, soit le peuple par les actes exige le droit à la parole en descendant dans la rue.

L'homme doit prendre conscience du principe de rétention qui gouverne ses esprits, ses politiques, ses économies et ses cultures.
En dehors de la révolution ontologique, il ne peut exister que la déploration stérile et vaine à propos de ses actions, jusqu'à extinction ou quasi extinction des espèces vivantes sur cette terre.
Sans cette révolution, l'humanité est en train de créer l'enfer sur terre.

Mais il n'existe pas que l'homme sur la terre. À l'échelle des temps géologiques, cela ne signifie rien.

Épilogue
Si j'écris aujourd'hui ces lignes, c'est parce que je suis convaincu de ce que je pense, et je trouve qu'il est plus confortable de se parler plutôt que d'agir (de se foutre sur la gueule) pour changer le monde.
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03 Juillet Nature et Culture

Si on fait n'importe quoi avec l'électricité on risque la mort.
Si on fait n'importe quoi avec la gravitation on risque la mort.
Si on fait n'importe quoi avec une automobile on risque la mort.
Si on fait n'importe quoi avec quelques créations de l'humain que ce soit. ont risque la mort.

Aujourd'hui, en son état de puissance démesuré, si l'humanité fait n'importe quoi avec l'économie, on risque la mort ... de l'humanité.

L'humanité considère la nature comme un environnement hostile duquel elle voudrait s'affranchir. Illusion et folie que cela.
Bien sûr si on fait n'importe quoi avec la nature on risque la mort.
Sauf que c'est la nature qui nous donne la vie.

L'homme doit apprendre à vivre en harmonie avec tout ce qui est culture où nature, en dépit de quoi il est acquis d'avance qu'il n'y aura plus pour lui ni culture et nature.
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03 juillet 2020 La vaccination aux nanoparticules.

Je ne suis ni technicien ni biologiste. Je me contente de réfléchir sur les informations que je reçois et qui me semblent honnêtes, crédibles, plausibles et logiques. Il est acquis que la parole des journalistes et des pouvoirs publics est mensongère autant que perverse.

Sur la question des nanoparticules quel que soit l'endroit où elles se logent dans l'organisme humain elles ne peuvent pas disparaître. elles sont conçues pour être toujours détectable et réactive au champ magnétique.

J'attends de la part des médias un débat sur la composition du vaccin, et sur la capacité de contrôle des pouvoirs publics sur l'innocuité de ce vaccin à la composition plus que suspecte.

Il est établit aussi de façon crédible que le rendement de l'industrie pharmaceutique est en baisse sur la section médicament. Les gens résistent à la pénétration du médicament dans leur quotidien. Les gens résistent à la pénétration du médicament dans leur quotidien. C'est pourquoi l'industrie pharmaceutique compte sur la vaccination à l'échelle planétaire pour s'assurer des profits financiers. En effet la vaccination n'est pas soumise à la même réglementation que le médicament. Avec la vaccination les laboratoires pharmaceutiques ne sont pas soumis à des contrôles de qualité contraignant, et l'activité de vaccination est exemptée de l'arbitrage judiciaire.

J'attends de la part de la justice la possibilité de demander des autopsies contradictoires en cas de décès, et une législation qui donne le droit de déposer plainte contre les promoteurs du vaccin en cas d'atteinte à son équilibre métabolique.

J'attends aussi un projet de loi susceptible de tranquilliser la population, qui interdira de conditionner les activités humaines, et sociales et professionnelles, à la vaccination. Il est à craindre en effet qu'il pourrait être interdit ne se rendre dans les magasins sans le certificat de vaccination que représentent les nanoparticules dans notre organisme. La lecture en serait complètement automatisé par des portails magnétiques à l'entrée du magasin.
J'insiste lourdement ceci n'est pas de la science-fiction.

J'attends une loi qui subordonne la vaccination des enfants à l'autorisation des parents. Une loi qui interdit de subordonner l'entrée à l'école à la vaccination.

La pandémie et une farce internationale. J'attends un débat public sur cette question.
Le fait que ce débat n'existe pas dans une République Démocratique est la preuve absolue et consommée de l'escroquerie médiatique et politique des populations.
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03 juillet 2020 Remplaçons les médias

La gauche est au pouvoir depuis 40 ans en France. Son travail de "politique Populaire" consiste à masquer sa trahison par des discours séducteurs, dont visiblement sa cible de prédilection à savoir "la classe laborieuse" c'est lassée.

Dans les faits, la gauche a toujours fait une politique économique de droite. La gauche a favorisé implicitement la montée de l'antisémitisme et l'ouverture inconditionnelle des frontières à l'immigration.
La gauche appuie le maintien de la France dans l'Union européenne en entretenant le fantasme que l'Union Européenne peut changer.

Au parlement le travail de l'opposition de gauche consiste à collaborer. Rien ne la distingue de l'opposition de droite.
La liste des incongruités et contradictions de la gauche serait très longue. Ce n'est pas le sujet, et du moment qu'il est établi que la gauche trahi cela suffit pour le moment.

L'idéologie de gauche qui se fonde sur le partage est totalement pervertie par la "réelle politique" de gauche. Le discours de gauche cultive l'idéologie de partage, la pratique de la gauche cultive l'économie libérale.
Le discours est visible, la pratique contrairement à ce que l'on pense est toujours invisible car elle n'est connue qu'à travers le discours dont l'arme de propagande fatale est la rhétorique.
Il ne vous a pas échappé que en la matière le champion c'est Mélenchon (la preuve ça rime....)

Depuis 40 ans, la gauche trahi le peuple qu'elle est censée représenter. La seule politique de gauche qui a existé en France après la guerre et qui perdure encore aujourd'hui ce sont les réformes de Mitterrand entre 81 et 83. Il a fallu 30 ans pour détruire 2 ans de véritable politique de gauche. C'est dire si une politique favorable à la souveraineté nationale et au peuple est extrêmement solide.

Ces 2 ans de Mitterrand, sont les seuls moments où l'idéologie de gauche c'est exprimé en politique.
Le discours de la gauche comme tous les discours politiques conditionnés par le principe de rétention est éminemment pervers.
Tous les discours politiques qu'il soient de droite ou de gauche serviront la soupe selon leur clientèle, mais ils appliqueront la politique de la mondialisation.

Aujourd'hui l'urgence c'est:
1/ Revenir à la souveraineté nationale.
2/ Revenir à la maîtrise de la monnaie.
3/ En finir avec la tutelle européenne dans tous les domaines régaliens de la République.
4/ Reprendre la maîtrise de la politique d'immigration aujourd'hui totalement dépendante des décisions du consortium de l'UE, la France dans ce domaine comme dans tant d'autres est tenue à l'obéissance.
5/Travailler à affirmer la République française à l'intérieur de la France. car ce dont souffre la France ce n'est pas de l'immigration mais d'un déficit de République.

Ces quelques points sont fondamentaux. ils doivent être acquis avant tout autre discussion sur quelques sujets de société que ce soit.
Ces quelques points ne sont pas du tout un programme de gauche; et ils sont en partie, en partie seulement, un programme de droite. Mais c'est avant tout le programme nécessaire pour reconquérir notre propre pays.

Ces quelques points ne sont compatibles de façon sérieuse qu'avec le projet politique de l'#UPR.
Ces quelques points me semble être raisonnablement les priorités essentielles sur lesquelles nous devrions nous attarder. il est intéressant de constater que les seuls partie qui ont droit à la parole dans les médias sont ceux qui ne les réunissent pas dans leur projet.

Quel que soit le parti politique, le programme qu'il déploie aura toujours des zones d'ombre pour les uns ou pour les autres.
Mais je vous assure que nous ne pouvons plus nous payer le luxe de tergiverser avec les priorités.

Après examen de la proposition de l'UPR, que ce soit en matière d'immigration en matière d'économie, d'indépendance et de souveraineté,
tous les ingrédients de la reconstruction d'une République française par la démocratie sont réunis. Le RIC, et gravé dans le bronze du projet de l'UPR. Allez vérifier....!
C'est pourquoi ce parti est radicalement interdit de médiatisation.

L’urgence aujourd'hui c'est la reconstruction d'une France digne de ce nom. Une France digne de la laïcité, c'est à dire intégratrice de toutes les cultures qui la composent mais sans sacrifier la sienne.

Une France dont la République est suffisamment affirmée pour ne plus craindre la menace intérieure de déstabilisation.

Une France dont la République ne rendra plus possible l'idée qui germe dans l'esprit de certains, de pouvoir la détruire de l'intérieure.

Une France indépendante et souveraine, dont la maîtrise du destin est confiée au peuple par la démocratie réelle.

Il est indispensable à toutes les personnes soucieuses de liberté, de sécurité d'indépendance et de concorde de prendre la mesure de la proposition de l'UPR et de décider en son fort intérieur si oui ou non il convient de soutenir ce mouvement.

Comment le soutenir?
Mais c'est très simple il suffit de passer outre les médias publics et de faire connaitre, "à la main", par le bouche-à-oreille et les réseaux sociaux, l'existence de ce parti.

REMPLAÇONS LES MÉDIAS...!
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05 juillet 2020 La "pandemic-stratégie"

Alerte générale à l'infection pandémique de toute l'humanité., "Oh là là.... L'humanité est en danger...!" Aurait crié l'hystérique monsieur Marcadet dans les oreilles de son public". Sauf que cette fois-ci les "Robins des Bois" c'est les gouvernements, le public c'est l'humanité toute entière, et c'est pas de la rigolade.

Rappelez-vous, d'abord: "C'est pas grave c'est du vent", et ensuite; "On va tous mourir".... Et puis: "Oh là là, mais qu'est-ce qu'on va devenir on n'a pas les masques. Vite il faut se confiner..." Comme des écoliers qui joueraient à cache-cache avec le grand méchant loup imaginaire, etc etc...

Aujourd'hui, le gouvernement Français est toujours aussi exceptionnellement borné qu'au premier jour. Il pratique toujours la chasse aux sorcières et la propagande... Une propagande généralisée, une propagande négationniste dans le domaine de cette pandémie; une propagande massive et si diversifiée qu'il est impossible de lui attribuer un qualificatif pour nommer cet assommoir médiatique..

Mais enfin soyons un peu sérieux, si nous étions en danger vous croyez sincèrement que le gouvernement adopterait un comportement aussi débile ?

Ailleurs, les gouvernements qui ont le souci du bien de leur population résistent plus ou moins à la politique de la pandémie. Et les populations elles-mêmes de par le monde désapprouvent et rejettent cette manipulation de masse. Il est vrai que les médias n'en parlent pas. Mais les journaux étrangers mentionnent chez eux les mouvements d'opposition bien supérieur à ce qui se passe en France. Il faut dire que la politique de Macron est particulièrement dissuasive par la menace et la peur.

Les Africains ont chassé l'OMS.
La Russie de Poutine, a refusé catégoriquement et sans appel la pénétration de la "Bill Gates Connexion" dans son pays. Vous croyez franchement que les Africains et les Russes sont crétins au point de condamner à mort leur population en interdisant le remède?

Non de non. Tout cela est un tissu de mensonges pour nous infliger précisément un poison en construisant toutes les conditions nécessaires pour le transformer en thérapie et le rendre incontournable dans l'esprit des gens.

Aujourd'hui, avec le recul du temps,
La seule façon de contrôler la réalité de la pandémie est de compter la quantité de certificats de décès délivrée pour une période donnée et comparer cette quantité à la même période des années précédentes... L'effet Covid est invisible, absent ou non significatif.

Aussi, tout ce qui découle de cette mascarade doit être banni de nos habitudes de vie.

1/ Le masque, symbole de l'aliénation. Portée à longueur de journée, il diminue l'oxygénation de 25 à 30%, nous fait ingérer nos propres déchets métaboliques et finalement nous rend malade à moyen terme. Il est à noter, que techniquement il est impossible d'arrêter des mouches avec un grillage.

2/ Le confinement, il interdit les échanges microbiologiques naturels entre l'homme et son environnement et contribue à abaisser la barrière immunitaire. Si nous avions à faire véritablement à une épidémie, tous les médecins savent que le confinement ne peut que la renforcer en affaiblissant l'organisme humain.

3/ Doivent être banni de façon radicales les traitements à venir, alternatifs au protocole Raoult. Je ne suis ni biologiste ni médecin mais par recoupement il m'apparaît plausible de penser qu'ils sont nocifs à bien des égards. Le protocole Raoult fonctionne à la perfection partout dans le monde.
Tous les dispositifs censés protéger les gens d'une pandémie illusoire, ne sont propices qu'à rendre les gens malades et affaiblir leur système immunitaire. Ainsi la pandémie nouvelle de la rentrée de septembre bénéficiera d'une prophétie auto-réalisatrice.

4/ Le vaccin à venir doit être refusé sans appel. Selon les avis d'experts, son administration n'est pas fondée et sa composition est délétère.
Compte tenu de la pression gouvernementale pour administrer ce vaccin malgré son rejet par la population, rien n'interdit au gouvernement d'organiser un débat public à ce sujet suivi d'un référendum. Le débat public est la seule façon pour la population de distinguer le vrai du faux.
Le principe de précaution élémentaire doit inviter la population à refuser systématiquement et radicalement cette injection.

Ce vaccin intervient directement sur le code génétique humain et le transforme définitivement.
Ce vaccin fonctionne sur l'organisme humain comme les OGM de Monsanto sur le maïs par exemple.

Mais ce n'est pas tout. Ce vaccin injecte des nanoparticules dans l'organisme. Elles attribuent un code unique à chaque individus.
Ces nanoparticules sont des résonateurs aux fréquences EM de la 5G. Exactement comme le badge pour ouvrir la porte d'un l'immeuble.
Il n'est pas nécessaire d'être grand clerc pour comprendre toutes les conséquences à grande échelle d'un tel dispositif... C'est gigantesque sur les libertés bien sur, les politique et la stabilité génétique de l'espèce humaine.

En règle générale, aujourd'hui que les grandes infections sont éradiquées par l'hygiène et le mode de vie essentiellement, il est quasiment impossible pour le profane de distinguer l'utilité d'un vaccin de son motif économique.
Il est établi de façon certaine que l'accroissement de l'autisme d'un facteur 50 en quelques décennies est complètement corrélé à l'accroissement de la politique de vaccination....

La pandémie, et toutes les stratégies qui l'accompagne ont pour objectif l'injection de ce vaccin, généralisé à toute la population planétaire.

Pour arriver à leurs fins, le consortium des maîtres de la finance qui se réduit à quelques individus seulement (c'est surréaliste mais c'est vrai...), va exploiter le "principe de délégation" qui est à la fondation de toutes les constructions humaines grandes ou petites.
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06 juillet 2020 Mr Devilliers : « La France se désagrège »

COMMENTAIRE

Entendons-nous bien, ce sont les européistes qui depuis 1983 désagrègent le pays. Un groupe de manipulateurs menteurs à la solde des maîtres de la finance mondiale, par abus de confiance, propagandes et manipulations, ont subtilisé la démocratie aux peuples pour en faire leur pouvoir despotique.

Pour stopper la désagrégation de la France, désagrégation ethnique, laïque industrielle, politique, économique, et culturel, il est absolument indispensable de faire sortir le pays de sa tutelle par l'Union Européenne. l'Union européenne par traité c'est appropriée tous les leviers politiques économiques et sociales des nations dans le but précis d'effacer les nations.

J'en appelle au gens de bonne volonté désireux de comprendre raisonnablement les raisons de cette désagrégation, d'explorer toutes les propositions et analyses politiques à commencer par l'#UPR, le seul mouvement politique redouté de la macronie. Parce qu'il propose le #FREXIT de façon argumentée et sérieuse, ce mouvement est méthodiquement ignoré des médias et attaqué de l'intérieur. C'est dire à quel point il est l'ennemi le plus redouté de la macronie.

Il est temps de faire front commun par une union sacrée des souverainistes sincères contre le consortium mégalomane du pouvoir europeiste que représente Monsieur Macron.

Messieurs Asselineau, Onfray, De Villiers, Zemmour, et tous les intellectuels et politiciens de bonne volonté. Oubliez pour un instant ce qui vous sépare, et consolidez les forces de survivance de la France qui vous unissent. Je crois, que vous avez le DEVOIR IMPÉRIEUX de vous rencontrer dans le but de faire alliance sur un et un seul objectif : "Chasser Macron et revenir à une souveraineté nationale Républicaine."

Après quoi chacun pourra reprendre son parcours idéologique. La concurrence politique dans la dignité et l'équité républicaine et démocratique, pourra reprendre sereinement dans le respect et le dialogue contradictoire devant le peuple.
Si vous pensez que ce n'est pas possible, que c'est utopique ou même insensé, alors les forces que Macron sert et représente ont déjà gagnées.

Que cette alliance puisse avoir lieu ou pas, il est très important qu'elle soit rendue possible et nécessaire dans l'esprit les gens, qu'elle germe est prenne racine comme une demande émanant du peuple tout entier. Et automatiquement elle aura lieu.

Cette union sacrée est la solution politique indispensable pour traiter le problème politique actuel qui détruit la France par tous les bouts.
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07 juillet 2020 La guerre silencieuse

Tout ce qui fait scandale et déstabilise l'ordre public est provoqué et exploité par Macron. On favorise la manifestation des groupes communautaires musulmans, et "en même temps" on interdit la manifestation des gilets jaunes.

Lorsque le Maire de Stains fraîchement élu se présente aux citoyens, il arbore l'écharpe et le drapeau des palestiniens au lieu de l'écharpe Bleu Blanc Rouge. Et cela ne fait pas scandale au sein du gouvernement qu'un Maire de la République Française détourne son mandat et son statut de façon aussi perverse, en opposant symboliquement l'Islam à la République Laïque de la France.

Et puis il y a l'affaire du genou en terre et des excuses surréalistes de la France en Afrique, en Algérie...

Et puis à l'école de la République, la loi oblige l'enseignement de la langue Arabe. C'est une aberration républicaine d'une gravité sans précédent. C'est un signe majeur de permissivité adressé à la communauté musulmane pour proposer une alternative culturelle à la culture française.
La stratégie de destruction de la République française investi dans les générations futures. N'est-ce pas révoltant de prendre les enfants en otage dans le but avoué de détruire la culture de notre pays ?

Et puis dans notre République laïque on invente le "racialisme", on abandonne la laïcité et la République au communautarisme. Etc... etc...

La population française doit savoir que l'instrumentalisation de l'islamisme en France est rendu possible depuis 1973 par la ratification des'accords Eurabia (ensembles de traités) qui favorisent la pénétration de l'islam dans la République. Plus il y aura d'islam dans la République plus il sera facile de maîtriser la population.

Le nouveau gouvernement Macron c'est plus qu'un scandale c'est de la provocation. "Parce que c'est notre projet..." Rappelez-vous. Le projet de Macron est formellement la désintégration de la France. l'Union Européenne est le moyen de dissolution des nations qui composent l'Union Européenne.

Rien, rigoureusement rien dans cette politique macroniste n'est de l'incompétence.
Il est impossible de faire exister une nation souveraine à l'intérieur de l'Union Européenne, comme il est impossible de faire exister une région souveraine à l'intérieur de la nation.
La France comme nation, comme culture doit disparaître.

Aujourd'hui, si Jupiter recrute dans les poubelles c'est n'est pas qu'il est en mauvaise posture, il persiste et signe dans la provocation et la désagrégation. Quoi de mieux pour alimenter son projet que des ministres douteux.

Et nous, que devrions nous faire? Nous devons forcer les souverainistes à s'associer les uns avec les autres pour dégager Macron et son gouvernement.
Il n'est pas temps de s'opposer entre souverainistes mais de collaborer à une seule tâche, dégager Macron et sa clique, et confier les rênes du gouvernement à l'intérim du Sénat comme la constitution le prévoit.
Cet intérim aurait pour avantage conséquent de geler les réformes Macron.

Messieurs Asselineau, De Villiers, Zemmour, Onfray, Chevènement pour les plus connus et surtout les plus crédibles (nda: avis personnel), doivent s'associer dans une union sacrée.
C'est une façon de s'imposer aux médias pour mobiliser les citoyens.

Il n'y a pas d'autres voies que de s'appuyer sur les citoyens de ce pays pour chasser démocratiquement Macron. Sans la médiatisation, la démocratie ne peut pas exister. Elle est empêchée d'exister parce que contre la démocratie Macron a déjà perdu.
L'association des souverainistes créera un événement médiatique auquel les médias ne pourront se soustraire.

Pour ce qui concerne l'UPR et Mr Asselineau. Compte tenu de la situation de la France en désagrégation accélérée (ce n'est pas un bon mot c'est un fait), l'attitude des opposants à Mr Asselineau à l'intérieur de l'UPR n'est pas irresponsable elle est pilotée et calculée. Il s'agit de ralentir l'UPR, de tenter de le déstabiliser, voir de détruire le mouvement avant même et surtout, qu'il n'existe dans les médias et soit connu du grand public.

Si Macron redoute l'UPR qui est le parti du FREXIT, imaginez la puissance que peut représenter la collaboration des souverainistes de France contre le régime de la macronie...

Grâce à l'union sacré des souverainistes, toutes les déploraisons légitimes mais stériles qui nourrissent les colonnes de Facebook et des réseaux sociaux sortiront de l'ombre. Une association des souverainismes de France est la source incompressible d'un débat national démocratiquement fatal au macronisme.

Puisque c'est la guerre contre la République, il convient de rassembler les troupes contre les européistes. Sinon, la République Française sera perdue.
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08 juillet 2020 Le droit des esclaves

Le fantasme de Bill Gates d'une humanité transformée en "big data" est techniquement possible. Ce fantasme vient d'une vision totalement déformée et folle de la nature de l'humanité entre les mains de quelques-uns à qui le plus grand nombre ont structurellement accordé le pouvoir de les diriger.
C'est aujourd'hui le pouvoir qui leur est accordé qui est remis en cause.

La puissance financière et sa hiérarchisation des pouvoirs qu'elle accorde dans l'esprit de tout le monde, rend le fantasme de Billes Gates possible ....
Dans l'esprit de tout le monde, l'organisation du monde est conçue de façon exclusive dans une relation entre les dirigeants et les dirigés. Aucune autre structure civilisatrice n'est envisageable dans l'esprit de l'immense majorité des humains de ce monde.

Les dirigeants sont logiquement peu nombreux. Ils sont ceux qui possèdent, et les dirigés sont ceux qui n'ont rien, c'est-à-dire qui possèdent le minimum nécessaire au service des dirigeants.

Dans cette distribution des rôles, les dirigeants ont une perception du monde totalement faussée par l'idée d'accumulation sans fin, et les dirigés qui aspirent à leur ressembler sont systématiquement trompés. Il est impossible qu'il en soit autrement. En effet, aux yeux de tous, si la structure dirigeants / dirigées s'effondraient, ce serait en échange de rien. En dehors de cette structure chacun ne voit que le chaos. Les uns et les autres sont victimes des mêmes croyances.

C'est pourquoi, tout en levant le poing pour dénoncer l'injustice du partage des richesses, les dirigés, stimulés par une obscure intuition salvatrice s’ingénient à rester fermés aux lois et principes ontologiques qui pilotent tout ce qu'ils dénoncent.

Tout en pensant ainsi, les gens ne se rendent pas compte qu'ils revendiquent leur statut d'esclave et dans le même temps qu'ils revendiquent des droits. Mais on ne peut pas en même temps revendiquer un statut d'esclave et des droits qui invalident ce statut.

La puissance accordée par l'accumulation financière est une croyance généralisée. Parce que tout le monde y aspire, c'est devenue une norme, c'est juste une convention tacite entre les hommes. C'est ça, l'effet du "Principe de rétention" dans le champ de l'ontologie pour gouverner le comportement des hommes. Le principe de rétention reste invisible dans l'esprit du commun parce qu'il est inconsistant.

De même, la gravitation usuelle de Newton, même si elle fonctionne à merveille, fut une croyance, une norme, une convention. La gravitation, c'est ça l'effet de "la courbure de l'espace-temps" dans le champ de la relativité générale pour gouverner le comportement des corps célestes. La courbure de l'espace-temps reste invisible à l'esprit du commun parce qu'elle est inconsistante.

Comprendre la gravitation en termes d'espace-temps courbe, qu'est-ce que ça change au quotidien?
Rien, strictement rien, sauf que l'on peut comprendre l'univers de façon plus profonde et plus étendue. Et ça change tout.

De la même manière, comprendre l'humanité, c'est à dire identifier les fondements de son comportement global, change tout. Il devient possible d'inventer un avenir.
Cela change que le réel n'est plus tout à fait ce dont on fait l'expérience au quotidien. Le réel relève un peu plus des lois qui gouvernent les phénomènes et un peu moins des phénomènes eux-mêmes.
Que ces phénomènes appartiennent à la physique où à l'évolution de l'humanité, seul la connaissance des lois qui nous gouvernent, est susceptible de transformer le destin de l'humanité.
En finir avec la puissance que les hommes accordent sur eux, à ceux qui ont accumulé l'avoir le pouvoir et le savoir devient envisageable et surtout consensuel.

Mais aujourd'hui, nous sommes loin, très loin du consensuel. Nous en sommes encore au stade du conflictuel. Il est impossible de griller les étapes mais il est utile de comprendre a minima que le conflictuel n'existe que dans le but de construire le consensuel.

Factuellement, en oubliant le principe de rétention qui rend possible l'organisation hiérarchique par l'accumulation de puissance et sa légitimité à gouverner l'ensemble de l’humanité, toute la question est de savoir qui doit avoir la main sur le destin de l'humanité?

Aujourd'hui le pouvoir centralisé (les jacobins) incarné par Bill Gates et compagnie, se trouve confronté à l'idée de démocratie (les girondins) qui légitime le pouvoir dans l'esprit de tous les individus.

Ce combat se joue à l'échelle de la planète aujourd'hui. C'est le combat de la liberté contre l'esclavagisme et de la démocratie contre le dirigisme toujours aveugle par fondement.

Aujourd'hui et de façon pragmatique et concrète,
Les peuples doivent reconquérir la démocratie en se réappropriant par la loi, et par la grève journalistique, la maîtrise des médias.

La liberté et l'indépendance des médias est la première marche absolument indispensable pour aller vers la reconquête de la démocratie.
La reconstruction de la démocratie sans la reconstruction préalable de la liberté et de l'indépendance des médias "publics" est absolument sans issues...
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09 juillet 2020 L'humanité à le vent en poupe

Dans le meilleur des cas, 90 % des gens se fichent de la philosophie et des lois qui gouvernent le comportement de notre espèce. Les gens n'ont pas envie de comprendre. Ils ont juste envie de suivre en confiance. Suivre en confiance, que ce soit le discours dominant ou le discours subversif est nonobstant, le principe qui fonde l'humanité.

Ce qui importe aujourd'hui au citoyen lambda, c'est de remplir son assiette, avoir des loisirs et transférer tout ou partie de sa vie sociale sur les réseaux sociaux.

La convivialité et la sociabilité se déclinent aujourd'hui de plus en plus dans la virtualité qui se substitue au réel. Cette situation n'est pas sans transformations morales, éthiques, politiques, économiques et civilisationnelles...

Les êtres humains délèguent et créent entre eux un rapport de confiance naturelle. (Voir post précédent)
La confiance se dégrade à mesure que l'échelle des rapports grandit.
À l'échelle du politique, le rapport de confiance s'inverse et devient rapport de trahison consentie.
Ce phénomène est directement lié au principe de rétention lorsque celui-ci a permis et a atteint un stade de puissance significative.

Pour que les gens continuent à remplir leur assiette et jouir de loisirs en confiance sans que leur civilisation ne soit détruite, ils doivent construire une organisation basée sur le partage et être capables d'abandonner l'organisation basée sur la rétention.
L'organisation basée sur la rétention au stade de la plus grande puissance possible que l'humanité puisse atteindre n'est pas compatible avec la persistance de ses civilisations.

Tout le monde ressent l'idée d'une civilisation qui "va dans le mur".
La question est : «ou est le moteur ?»
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10 juillet 2020 Écologie et Pandémie, même combat

Tout au long de sa vie, en moyenne, une éolienne a consommé plus d'énergie qu'elle n'en a rapporté. Ceci est vrai pour les panneaux solaires. Ceci est vrai au centuple pour les voitures électriques...

Dans le paradigme de rétention l'écologie est pervertie. Au lieu de s'employer à réorganiser la vie des hommes pour consommer moins d'énergie, elle est employée à créer des besoins nouveaux, c'est-à-dire à cultiver le profit financier. L'écologie est une réponse au profit.

Loi fondamentale:
"La valeur de la monnaie c'est la quantification de la demande".

Pour que la monnaie prenne de la valeur il faut créer de la demande par tous les moyens possibles.
Voiture électrique, panneau solaire, téléphone portable etc...,
Dans la rétention, l'écologie c'est la construction d'une culture qui donne à l'inutile le statut d'indispensable, puis transforme l'organisation des activités et les habitudes de vie qui maintiennent et renforcent la demande ainsi créé.

Pour créer de la demande et transformer les habitudes de vie il n'y a pas que la création des objets manufacturés.
Il y a aussi la destruction de l'offre courante.

Pour promouvoir l'économie mondiale, la destruction de l'offre courante à l'échelle mondiale est une solution adéquate. C'est le rôle joué par la pandémic-connexion.

Le virus, produits de l'ingénierie biologique, poursuit plusieurs buts.

1/ L’enjeu économique: L’économie au service du profit.
C'est un argument populaire pour justifier la destruction de l'offre à l'échelle de la planète pour créer un souffle de demandes au bénéfice de la financiarisation planétaire de l’économie.
Dans ce cas l'économie est pervertie. Elle est structurée pour constituer une source de profit au lieu d'être structurée pour répondre à la demande du plus grand nombre.

Normalement l'économie c'est la gestion de la dépense des richesses produites, et non la gestion de leur rétention.

2/ L'enjeu sociologique: Us et coutumes.
A l'aide du confinement et des masques, deux pratiques absurdes aussi inutiles que nocives, l'opération politique "Pandemic-Connexion" transforme durablement les cultures et les habitudes de vie pour tenter de créer la demande globale d'un vaccin et surtout initier le consentement de population à se faire vacciner.

Pourquoi un vaccin ?
Un vaccin est indispensable pour transformer une peur imaginaire en peur consistante et persistante.
Le virus sera ainsi inscrit dans l'esprit du plus grand nombre comme un partenaire nouveau avec lequel l'espèce humain doit composer en conscience.
C'est tout simplement de la folie généralisée; l'oeuvre du détournement politique des médias.

3/ L'enjeu démographique: Contrôler le cheptel humain.
Le vaccin a pour fonction à long terme de transformer le génome humain. Il contient tout le matériel et la technologie nécessaires à l'échelle moléculaire pour opérer directement sur le génome humain exactement comme Monsanto le fait avec le génome du maïs entre autres...

La pratique du masque, de la distance sociale et du confinement, fragilisent la santé des gens pour justifier le vaccin.
Par la suite, ce vaccin particulièrement délétère de part sa composition, sera administré sur un terrain psychologique et social propice à son auto-justification.
Outre que ce vaccin est une cause de fragilisation de la santé des gens, il aura probablement pour effet une diminution drastique de la fertilité.

L'effet sur la fertilité n'étant pas immédiat, il restera totalement invisible à l'expérience quotidienne.
La mortalité croissante à venir ne sera jamais distinguée comme étant l'effet du vaccin ou l'effet du virus. Le principe de précaution répandu par la propagande médiatique sous contrôle politique ira à l'avantage du vaccin.

4/ L'enjeu politique:
À moyen terme, c'est-à-dire à partir de la génération des écoliers du primaire, les nanoparticules contenues dans ce vaccin auront plusieurs effets. Selon qu'elles seront tolérées par l'organisme, les gens seront plus ou moins malade.

Ces nanoparticules (un composé complexe de cuivre ferrugineux) se comportera à l'intérieur du cerveau des gens comme une antenne capable d'amplifier les signaux radio comme ceux du téléphone portable.

Ce sont des fréquences identiques à celles des micro-ondes qui constituent la 5G mais avec une intensité bien plus grande que la 4G, provoquant des dégâts considérables mais très progressifs à l'intérieur du cerveau humain. Dégâts qui pourront aussi être mis sur le compte du virus.

Ces nanoparticules incrustés définitivement dans la cervelle des gens, sont codées individuellement. Comme un numéro de téléphone portable est unique, le code composé par le cocktail de nanoparticules sera aussi unique pour chaque individu.

Chaque individu sera donc le réceptacle d'une très grande quantité d'information qui le transformera en une source de données instantanée du Big Data, grâce à la surveillance du réseau 5G de façon totalement automatisé et transparente.
Chaque comportement chaque déplacement, constitueront un flot de données ininterrompus traités par les algorithmes.

Plus la population sera vaccinée, plus les algorithmes qui gèrent les données du Big Data seront efficaces en termes de décisions politiques et économiques pour optimiser le rendement financier de la population et interdire l'émergence de toute possibilité d'opposition et de révolte.

Il est à noter que la quantité considérable d'énergie nécessaire à gérer la population humaine en tant que Big Data et moins grande que la quantité d'énergie nécessaire pour nourrir tout le monde. C'est ce raisonnement que poursuivent les maîtres de la finance mondiale.
Seule la folie dans laquelle les a plongé leur toute-puissance dans le paradigme de rétention leur permet de concevoir là-dedans l'éthique la plus adaptée au devenir de l'humanité.

Ce n'est là qu'un aperçu du projet de la "pandémic-connexion". L'alimentation du Big Data en données humaines est une maîtrise passive.
Je fais ici l'impasse sur les possibilités de contrôle actif de la population par le Big Data et la 5G. Les possibilités sont vertigineuses et défient l'imagination car cette technologie déjà bien avancée n'en n'est qu'à son balbutiement.

On comprend alors l'urgence absolue d'un retour à la démocratie... Retour possible exclusivement par la sortie de l'UE et la reconquête de la liberté et de l'indépendance de la presse par une loi contraignant les propriétaires de rédaction.

J'insiste très lourdement pour faire savoir au lecteur de ce présente article que ceci n'est pas de la science-fiction. Ceci existe techniquement aujourd'hui.

Sur le long terme, de par la nocivité de la vaccination, la transformation du génome, l'atténuation de la fertilité, l'effet délétère des nanoparticules conçues pour être concentrées dans le cerveau, la 5G invasive , nous assisterons à une baisse globale de l'espérance de vie à mettre sur le compte des virus.

Pour que tout ce nouveau monde soit rendu possible, le virus doit transformer l'imaginaire populaire comme le téléphone portable l'a réaliser. Il faut voir le virus comme une opération marketing. Un matraquage des esprits qui le rendra aussi indispensable à la vie quotidienne qu'est devenue la télévision ou l'automobile.

Aujourd'hui, pour les maîtres de la finance internationale, "le virus c'est l'avenir de l'humanité"... Et la garantie de leur puissance.

En conclusion,
La pandémic-politique est aux commandes des domaines politiques et économiques. La phase d'autodestruction de l'humanité initiée par la pandémic-connection est l'émanation cardinale du principe de rétention quand il cherche à perdurer alors que son temps est révolu. La pandémic-politique poursuit le but de maintenir une économie basée sur la rétention dans l'espace clos de la mondialité.

Pour que l'économie continue à s'épanouir en vase clos, alors que le principe de rétention suppose un espace ouvert, il est nécessaire de :

1/ Détruire l'offre pour créer de la demande.
2/ Détruire l'excès de population inutile.
3/ Créer dans les us et coutumes et les cultures le contrôle profond et consenti des populations.
4/ Comprendre que l'écologie relève de façon très directe de la pandémic-politique.
La victoire récente des écologistes aux élections municipales est un indicateur extrêmement inquiétant pour l'avenir.

ÉPILOGUE.
Le phénomène humain est un processus singulier à notre espèce. Comme phénomène, son évolution obéit à des lois. Pour s'en affranchir, il est obligatoire de les comprendre en dépit de quoi les humains y seront toujours asservit.

"La loi de la pesanteur c'est dur mais c'est la loi" nous dit Brassens. "Nous devrions écouter Brassens davantage".
Et oui, c'est comme ça, il faut faire avec la gravitation. Mais c'est une fois que la gravitation fut comprise que l'homme a pu s'en affranchir.... Il y a 500 ans...
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10 juillet 2020 Lettre ouverte aux souverainistes de tous bords

Messieurs Dupont Aignan, Onfray, de Villiers, Asselineau, Chouard, Zemmour, Mesdames Polony, Le Pen...et tous les autres , ce n'est pas à vous qu'il est besoin d'apprendre que l'heure est grave.

Oui, le gouvernement favorise le déploiement de l'islamisme en France. Mais il n'y a ni hasard ni fatalité pour expliquer ce choix politique.

La France est un État de droit. Et si le gouvernement orchestre la permissivité faite à l'islam de se déployer en France, c'est qu'il existe des traités entre le monde musulman et la France, que la France a ratifié en 1977 et qui donne le droit et les moyens passifs et actifs aux musulmans, d'imposer leur règles dans la société civile.
Pourquoi voudriez-vous que les ressortissants d'une théocratie conquérante se privent de cette opportunité. L'islam n'est pas à blâmer d'être ce qu'il est. Seule la République démissionnaire est responsable de la situation désastreuse de la France dans tous les domaines.

Tout cela est expliqué avec force de références vérifiées et crédibles dans le livre que vous connaissez et qui s'intitule "Eurabia".
Il est urgent de faire connaître à la population par la voie des médias publics l'existence de ce traité et ce qu'il implique de droits et de facilité fait à l'islam en France

Vous avez, Mesdames et Messieurs les intellectuels et politiques, un accès aux médias. Modestement certes mais ils ne vous sont pas radicalement interdits sauf à l'endroit de Monsieur Asselineau. Vous ne l'ignorez pas et vous savez pourquoi. Cette ostracisme par soucis d'équité démocratique devrait faire l'objet d'une dénonciation publique... Mais passons...

Le gouvernement, par l'intermédiaire des médias prend la population en otage en cultivant la peur, le mensonge, la dissimulation, et la contradiction, rendant la population incapable de se faire une idée saine et raisonnable à bien des sujets.

C'est en employant la puissance médiatique à chaque fois que cela est possible que nous avons une chance de mobiliser la population pour lutter contre les mouvements antidémocratique soutenus par la politique du gouvernement.

C'est en informant la population de façon sérieuse et claire, qu'elle pourra s’opposer dans les urnes le moment venu à l'avancée de cette chienlit.
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11 juillet 2020 La pulsion écologique et sa répression

L’écologie n'est que politique. Si la politique est l'effet d'une économie tournée vers l'accumulation, l'écologie servira cette forme de l'économie, car la politique c'est toujours la politique économique qui permet toutes les autres.

Si la politique est l'effet d'une économie tournée vers le partage, l'écologie servira cette forme de l'économie. Le principe de partage comme alternative au principe de rétention, représente le paradigme dans lequel l'écologie prend tout son sens.

Que l'écologie naissent à la fin du principe de rétention est de très bon augure. Pourquoi?
Parce-que l'écologie préfigure le désir profond et informulable du principe partage pour commander les politiques et les économies, au sein de toutes les populations de la planète. Je dis bien des populations, c'est-à-dire des dirigés.

Individuellement, les dirigés n'ont pas les mots pour le dire car les mots pour le dire concerne un contexte qui n'est pas leur quotidien. En tant que groupes humains, les dirigés n'ont pas les mots pour le dire, car le groupe humain en tant qu'entité holistique n'est pas doté de la parole.

La seule façon de le dire quand on a pas les mots c'est de le dire avec des actes. C'est pourquoi les autorités soumises au principe de rétention et qui en détiennent la puissance s'appliquent à verrouiller la capacité d'agir et la capacité de contester des populations.

Tout se passe comme si le poisson voulait décrire le ciel et les ailes des oiseaux. Mais ils sont inonceptualisables. Si en terme de civilisation, la "culture" des poissons était capable d'évolution, le ciel serait juste pressenti au sein du groupe des poissons.
Pour rendre le ciel conceptualisable il faudrait d'abord identifier l'eau dans laquelle les poissons baignent.

l'humanité quant à elle ne baigne pas dans l'eau elle baigne dans l'ontologie au stade où le principe de rétention lui dicte sa conduite. Que le principe de rétention soit identifié, et instantanément le principe de partage surgit comme une alternative. Avec lui prend naissance le principe de l'Autre.

Sans l'avènement de l'Autre dans l'espace ontologique, le concept le partage s'effondre avant d'exister.

Le motif des dirigés est le partage; au moins pour la raison qu'ils ne sont pas en situation de pouvoir accumuler de l'avoir du savoir et du pouvoir. La place... les places sont déjà occupées.
Le motif des dirigeants est la conservation des rapports économiques qui permettent l'accumulation de l'avoir du pouvoir et du savoir.

On voit bien que le principe de rétention fonctionne à l'échelle de l'humanité comme la manifestation de l’ego de l'enfant unique dans son environnement. Pour celui-là, "l'Autre" n'existe pas.
Pour que l'enfant effectue sa maturation, la manifestation de l'autre ne peut se construire que dans la frustration.
Ce qui est vrai pour le développement du nourrisson est aussi vrai pour le développement de l'humanité; les lois du phénomène humain, comme les lois de la nature ne sont pas à géométrie variable.

Il ressort de tout cela et de bien plus encore, que l'identification du principe de rétention permet la transformation de la politique et de l'économie pour rendre visible le partage comme alternative au paradigme de rétention.

ÉPILOGUE
Il se trouve que traiter de l'économie, de l'écologie et du politique en terme de "lois ontologiques" (désolé pour ce gros mot) n'a pas ou peu d'audience. C'est normal.
C'est exactement comme si on demandait aux gens de s'intéresser à la longueur des poils du balai alors qu'ils n'attendent que de pouvoir faire le ménage... Quelle perte de temps.

Je comprends que ce soit agaçant. À l'échelle du grand groupe et a fortiori de l'humanité, les seules possibilités de langage des humains c'est la mise en acte, où la mise en mots dans le forum public. Ce qui suppose la liberté et l'Indépendance médiatique; les médias étant l'organe vocal du groupe.

Cependant, la prise en compte de ces lois fondamentales du phénomène humain permettent de comprendre en terme de ménage qu'il est indispensable de reconstruire la démocratie qui implique l'obligation de sortir de l'Union européenne. Et que ceci ne représente qu'un premier pas.

Le faire savoir par des mots dans les médias est censuré, et le faire savoir par la mise en acte dans la rue est rendu impossible, interdit et dangereux par la force de dissuasion policière.
Voilà en quel état de mutisme de la population nous en sommes aujourd'hui.

Pas d'amalgame

Comprendre les fondements culturels et les motifs qui animent les groupes sociaux séculaires et communautaires dans leurs conceptions leurs comportements et leurs revendications, c'est exactement le contraire de l'amalgame.

Croire que toutes les cultures se valent en terme de respect et de liberté, en terme valeurs de la vie et de la mort, c'est ça l'amalgame aveugle. Croire qu'il suffit d'avoir deux bras deux jambes et le nez au milieu de la figure pour être humain relève du plus tragique crétinisme pour ceux qui cultivent cette croyance.

Chacun doit au contraire être lucide sur ce qui nous unit et sur ce qui nous distingue pour accueillir positivement la différence.
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11 juillet 2020 DSK, la Mémoire

Lettre à un imbécile.

"...Ne cherchez pas Monsieur à donner des leçons d'humour et encore moins de dignité...."

DSK a été assassiné par les gens que vous dénoncez pour les raisons que vous dénoncez.
Il a été victime d'un matraquage médiatique, d'une propagande honteuse. Et ces mêmes médias que vous dénoncez à gorge déployée, vous les encensez d'avoir créer de toute pièce une affaire scabreuse pour détruire le seul candidat à l'élection présidentielle qui s'est opposé à l'économie de l'Europe à la valeur de l'euro.... Qui a voulu entre autre sauver la Grèce en annulant sa dette. Vous rendez-vous compte de la perte sèche pour les banquiers ?

Lorsqu'il a accepté d'être candidat sous la pression de la demande populaire, il s'est mis à dos la France l'Allemagne et les banquiers Américains. Il n'avait aucune chance.

Sur le plan professionnel il était irréprochable dans tous les mandats qui lui ont été confiées. C'est pourquoi il a été attaqué sur les femmes, sa faiblesse. Si ça n'avait pas marché Sa judéité aurait fait l'affaire. Il le savait, il l'avait prédit de longue date.

Cet homme qui a été plébiscité massivement par les français, qui a une très haute estime de la République et de la France, après avoir été sali, traîné dans la boue comme aucun homme ne l'a été au 20e siècle, avec le talent qu'il a voulu mettre au service de la France, il a travaillé là où il a été honoré, et c'est là où il a été honoré qu'il place le fruit de ses efforts. N'est-ce pas ainsi?

Après tout ce temps qui nous sépare de la propagande destructrice de toute la puissance politique et médiatique que vous dénoncez, vous n'avez encore rien compris à ce qu'on a voulu vous faire gober?
À moins qu'une haine profonde et irrationnel vous anime, vous devriez comprendre que cet homme mérite le respect pour être resté debout au milieu de l'horreur qu'on lui a fait traverser.
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12 juillet 2020 L'islam: le cheval de Troie de l'UE

Un peu partout sur le réseau social on lit l'inquiétude profonde et croissante que suscite la pénétration de l'islam dans le monde occidental et en particulier en France.
Cette inquiétude n'est pas un fantasme. Elle est comptable des zones dites de non droit, dans lesquelles l'autorité de l'État s'est inclinée devant l'ordre des voyous.

Cette inquiétude populaire est aussi comptable des faits de violences et de menaces de plus en plus nombreux et de plus en plus banalisés.
Cependant, ces faits qui s'accumulent ne constituent pas pour autant une menace en soi. La menace est construite par le désengagement des pouvoirs publics et de la justice, sur la nécessité de faire respecter la laïcité et la République sur tout le territoire de la France pour toutes les populations et toutes les communautés qui l'occupe. Mais voilà, l'autorité publique fait des exceptions. En accordant des passe-droits, elle crée des zones de non-droit.

Ces zones sont tout à fait radicalisées dans la mesure où c'est le droit des voyous qui y règne à la place de la loi de la République. Dans ces zones, la présence des représentants de la République n'est pas tolérées.
Dans ces zones, la République a abdiqué. Elle a abandonné une partie du territoire de la France à une autorité tiers. Le renoncement à défendre l'intégrité du territoire français c'est-à-dire a affirmer la présence des institutions en tous lieux du territoire français, n'est pas permis par la constitution. La constitution est bafouée, et cela ne date pas d'hier...
C'est le désengagement de l'autorité des pouvoirs publics qui est la cause de l'accroissement des violences.

La manière dont les pouvoirs publics traitent les manifestations n'est pas équitable. Les manifestations communautaristes sont permises et encadrées, et les autres sont interdites. Des groupes à la réputation sulfureuse se constituent en meneurs avec la complicité des médias et l'absolution de l'État. Ils sont hissés au même rang que le ministre de la justice. Et quand ils sont invités à négocier d'égal à égal avec le pouvoir politique, l’État français reçoit l'humiliation d'un refus et se met à genoux.

Tout se passe comme si les pouvoirs publics donnent l'autorisation implicite aux conquérants islamistes d'affirmer l'ordre islamique sur le territoire de la République pour l'opposer à l'ordre de la République.

Les provocations verbales et picturales d'une violence inouïe ont droit de cité, tous canaux ouverts, sur les réseaux sociaux et dans la société civile.
Ici on crache sur la Marseillaise, ailleurs on piétine le drapeau de la France assorti de menaces gestuelles et verbales dégradantes...
Qui se permettrait de faire ça sans conséquences immédiates et funestes dans un pays musulman?

En Région Parisienne, un maire fraîchement élu remplace sur sa poitrine l'écharpe Bleu Blanc Rouge de la République par l'écharpe des palestiniens assortie de son drapeau. Le Maire représente-t-il le peuple palestinien? La suprématie de l'islam? Où la France ?
D'où vient que ce monsieur se soit senti autorisé à bafouer le symbole de la République? En signe de conquête victorieuse sur ce petit bout de territoire français ?
Et d'où vient que le gouvernement français ne lui a adressé aucun rappel à l'ordre ?
Ce qui en terme diplomatique signifie: "La France ça ce piétine, ne vous en privez pas....". N'est-ce pas ainsi?

Lorsque des gens se font massacrer parce qu'ils sont juifs ou chauffeur de bus, ou parce qu'ils refusent les insultes, les menaces et les provocations de principe au prétexte qu'ils sont blancs ou femmes, les pouvoirs publics parlent pudiquement d'incivilités et trouvent aux assassins des circonstances atténuantes.
Mais pour le voleur de pâtes poussé par la faim il n'y a pas de circonstances atténuantes. C'est la prison sans appel et sans publicité.

A tous les étages il y a des dissymétries politiques et judiciaires qui sont autant de signes d'encouragements fait à la délinquance communautariste pour l'appropriation de la France.
La politique mise en œuvre par le gouvernement assigne à la France et aux Français une identité de proie.

Pourtant, non, l'islam n'est pas responsable d'être ce qu'elle est. Si l'islam s'exprime en France de la pire façon qui soit c'est parce que sa composante prédatrice est non seulement autorisée mais encouragée, et que rien dans la doctrine théocratique qui structure ses motifs ne vient commander du respect pour ceux qu'ils appellent les mécréants.
En résumé, les pouvoirs publics disent à l'islam: "Les Français sont des proies, servez-vous...!"

Seuls les pouvoirs publics sont responsables directement et lourdement de la dégradation du climat social. C'est le pouvoir politique qui planifie l'installation d'un climat de défiance envers les communautés étrangères en France.
C'est la démission de la République qui crée les zones de non-droit.
C'est l'autorité politique qui crée les conditions de l'amalgame usuel qu'elle a beau jeu de dénoncer, histoire d'en rajouter une couche pour culpabiliser les citoyens et les dissuader de se protéger.
La perversité de ce gouvernement Macron dépasse l'entendement.

Pourquoi les choses sont-elles ainsi ?

En 1977 la France a ratifié le traité Eurabia. Ce traité donne aux musulmans toutes l'assistance du gouvernement pour développer l'Islam sur le territoire français en échange de la sécurité énergétique.
Très vite, le développement de l'islam s'est accéléré et la sécurité énergétique a disparue.

Il se trouve que Macron, à la suite de ses prédécesseurs, est très intéressé par le développement de l'islam en France car c'est une source de désordre qui alimente sa politique de démolition de la nation.
La démolition de la nation française est la condition sinequanone pour mener à bien son projet de souveraineté Européenne.

Il est en effet impossible de faire coexister la souveraineté européenne sur les Nations qui la compose et la souveraineté de chaque Nation. On voit bien que les deux ordres de souveraineté s'excluent mutuellement.
Pour mener à bien son projet de souveraineté européenne il est indispensable de créer un maximum de désordre social dans le pays.

La gestion de la pandémie imaginaire fait partie de la stratégie Macron au service de la politique inscrite dans les GOPEs (Grandes Orientations de la Politique Européenne) en lieu et place de la politique des Français pour la France.
Accessoirement, pendant qu'on met le nez des Français dans la pandémie on leur vole leur République...

En vérité, la France ne souffre pas de l'islam mais d'un déficit radical de République qui met le vent en poupe à l'islamisme en France. L'islam n'est pas une religion au sens chrétien du terme. C'est une théocratie conquérante, c'est-à-dire un système politique basé non pas sur le désir d'un peuple mais sur un livre religieux qui le dispense de penser. La conquête politique est la raison d'être de l'islam.

Une République souveraine et forte de sa laïcité est la condition incontournable pour que vivent en paix sur le territoire français des groupes communautaires qui ne se ressemblent pas, en dépit de quoi, la France c'est fini.

Pour rendre possible la cohabitation paisible de toutes les communautés qui composent la France aujourd'hui, que doit-on faire?

1/ Prendre connaissance du traité Eurabia ratifié par la France en 1977 et le faire connaître au grand publique.
2/ Dénoncer ce traité qui nous donne des obligations vis-à-vis du monde arabe sans contrepartie.
3/ Dénoncer le traité de la France avec l'UE qui nous fixe obligations et contraintes sans contreparties avec l'injonction non négociable de l'extinction complète et définitive de la souveraineté de la France.

On voit bien que le phénomène communautariste et l'Union Européenne sont liés pour rendre compte du désordre social et politique que nous traversons.
Le communautarisme est un instrument d'effacement de la souveraineté de la nation. Le laxisme à l’égard de l'islamisme est un choix politique déterminé par la nécessité de la construction européenne.

Pour rétablir la situation et la paix civile, c'est la souveraineté de la France qui doit être reconstruite.
À cet effet, dans le paysage politique il n'existe que l'#UPR à la disposition de la France et des Français.

J'invite les uns et les autres à ne pas céder aux sirènes de la propagande médiatique contre l'UPR. Mais au contraire à prendre un peu de temps pour prendre connaissance directement de sa proposition.
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13 juillet 2020 La trahison électorale

Il est urgent de réformer le mode de scrutin universel. Pourquoi ?

Parce que nous sommes arrivé dans une situation où ce sont les minorités de blocage qui pilotent le destin des élections.
En général, les minorités culturelles de France ne s'abstiennent pas de voter quand ils en ont le droit. Pendant ce temps, la majorité de l'abstention est le fait de la majorité culturelle historique de France.

Nous y verrions plus clair si la loi autorisait de désigner un chat par le nom de "chat". Aux États-Unis grand pays de libertés qui respecte sa constitution, il n'est pas interdit de parler des Juifs des hispaniques des afro-américains etc... Ils représentent des groupes sociaux parfaitement identifiés.
L'hypocrisie et la perversité de la loi française à cet égard favorise toutes les dérives dont le scrutin me semble être la plus perverse des dérives.

Aujourd'hui la minorité de blocage que représente l'islam en France conduit les musulmans à voter massivement pour le candidat qui leur en offre le plus. En terme de bulletins exprimés leur participation est estimé autour de 20 %. Compte tenu de la démographie, les 50 % ne sont pas loin.
C'est un problème parce que tout donne à comprendre que pour les adeptes de l'islam, la promotion de leur théocratie l'emporte sans réserves sur la promotion de la République française.

Alors, pour être élu, les candidats font du clientélisme auprès de l'islam qui représente maintenant la communauté culturelles d'importation la plus importante du pays. Les politiciens, candidats ou non aux affaires, ne font pas de clientélisme seulement au moment des élections mais en permanence par des réformes et des passe-droits implicites ou explicites quand ils exercent le pouvoir, et dans le discours séducteur quand ils ne l'exercent pas. Ce comportement des politiciens est directement conditionnée par le mode de scrutin.

L'islam aujourd'hui représente la communauté culturelle d'importation la plus importante. Il faut encore un peu de temps pour que le qualificatif d'importation disparaissent et l'islam devienne la communauté culturelle de souche de la France.
Aujourd'hui le concept de communauté culturelle de souche c'est à dire blanche et chrétienne est interdit. Devant la pression islamique sur le territoire de France il est pourtant indispensable de pouvoir nommer les groupes d'influence politique. L'islam est un groupe d'influence politique qui ne dit pas son nom.

Les juifs qui vivent en France comme communauté depuis l'aube des temps n'ont jamais exercé la moindre pression politique relative à leur doctrine qui par fondement est renoncement à tout prosélytisme.

Les gens du voyage comme on les appelle, représentent un groupe social qui n'exercent strictement aucune pression politique. Ils tentent seulement d'exister dans la République sans sacrifier leur culture, ce qui n'est pas une mince affaire.

La liste des groupes sociaux singuliers qui constituent la France est longue. Tous sont intégrés dans la République Même les sectes. Seul le groupe social islamique exerce une pression politique et une revendication sociale forte pour imposer sa culture comme alternative à la culture séculaire de la France.

La composante politique de l'islam qui fait de cette doctrine une théocratie et non pas une religion au sens du terme fonde l'islam dans le développement du prosélytisme.

Il ressort de tout cela que l'islam est la seule doctrine d'importation qui alimente par une pression sociale et politique continue son opposition à la République. Cette pression amplifie et exploite les failles de la République. Cette pression les révèle chez ceux qui ont des yeux pour voir.

Conquérir sans repos et sans trêve est la nature prosélyte de la théocratie qu'est l'islam. Et alors ?
puisque la République laïque de la France est une République intégratrice, elle doit ouvrir les yeux sur cet état de fait et s'adapter pour ne pas être détruite de l'intérieur. C'est très simple à comprendre.

Il n'est pas question de dire aux musulmans ce que doit être l'islam, de même, il n'appartient pas aux musulmans d'expliquer aux citoyens français ce que doit être la République.
Vue de la République cette symétrie ne tient pas car les musulmans sont avant tout des citoyens français. Vue de l'islam, cette symétrie n'a pas de sens car les musulmans sont avant tout des serviteurs de l'islam.

La laïcité fonde le respect de la République dans l'ouverture aux autres cultures. En tant que théocratie, les adeptes de l'islam constituent leur vision du respect dans par et pour l'islam.
Dans l'Islam, le prosélytisme conquérant qui fonde cette théocratie n'est pas compatible avec l'art de cultiver la doctrine du voisin. Alors que dans la République, la laïcité est précisément le principe par lequel toutes les tendances peuvent cohabiter.
C'est ce malentendu relatif à deux points de vues distincts qui constitue la faiblesse de la République très intelligemment exploité par l'islam dans la durée.

Si le mode de scrutin est conservé en l'état, il sera une source de désordre puis d'effacement de la République tel qu'on la connaît aujourd'hui. Au fil des mandatures, la République démocratique de la France prendra la direction d'une République Islamique. L'idée de démocratie n'est pas compatible avec l'idée de théocratie.

Il semble que le sénat prends conscience de la situation. Si au moins le mode de scrutin n'est pas changé, la fin de la République démocratique de France n'est qu'une question de temps. Les adeptes de l'islam le savent eux.

Le mode de scrutin, tel qu'il est maintenu en faveur des ambitions personnelles des candidats se contente de démobiliser le vote des adeptes de la République et de stimuler le vote des adeptes de l'islam.
Pour le moment, le mode de scrutin ne creuse que des clivages profonds sans conséquences apparentes au sein de la société citoyenne. L'étape de la transition phase de la laïcité vers l'islamisation une fois franchie, il n'y aura plus de retour en arrière possible.

En l'état de la composition du pays, refuser la réforme du scrutin universel c'est livrer la France à l'islam, c'est utiliser la démocratie pour détruire la France au profit d'une ambition personnel et de la construction européenne.

ET MAINTENANT
Quelle réforme simple minimum et logique doit-il être entreprit pour expurger des enjeux politique, le clientélisme islamique qui s'oppose à la République?
C'est très simple il suffit de jouer la carte de la démocratie sans concessions faites aux ambitions personnelles, et de rendre caduc la motivation personnelle.

1/Il faut qualifier "d'exprimés" tous les bulletins qui pénètrent dans l'urne, tout simplement parce que c'est ça la définition d'un bulletin exprimé. À cette règle il n'y aura aucune expression.
Faire une exception à cette règle et aussi stupide que de considérer qu'il existe des cas où l'eau n'est pas humide.

2/ Lorsque les bulletins exprimés sont inférieurs à 50 % des inscrits, c'est-à-dire quand l'abstention l'emporte, cela signifie que les citoyens ne veulent pas des propositions politiques en présence. Le vote doit être invalidé.

Conséquences :
1/ Les candidats cesseront de raconter n'importe quoi pour se faire élire. Séduction-Élection-Trahison qui est la règle depuis 1983.

2/ Les médias seront obligés de faire connaître toutes les propositions politiques à égalité car ils devront tout mettre en ouvre pour éviter l'abstention.

Je vous laisse réfléchir là-dessus
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14 juillet 2020 Affaiblissement programmée de la France

On me fait savoir que mes propos vont à l'encontre des intérêts de l'état d'Israël...! Ah bon....

Mais ils vont aussi à l'encontre des intérêts de l'Allemagne, ils vont aussi à l'encontre des intérêts Anglais (BREXIT) ou Chinois (prise de conscience), peut-être vont-ils aussi à l'encontre des intérêts du Japon ou de Zanzibar... La France n'est à la disposition des intérêts de personnes ni des ambitions de l'islam.
Pourquoi voudriez-vous que la France soit l'instrument de l'intérêt des autres ?

C'est en cela que la question qui m'a été posée me semble être du plus grand intérêt. La France subit un déficit de respect de l'extérieur comme de l'intérieur. Il n'y a que le gouvernement qui porte la responsabilité de cette dégradation.

Je traite de façon logique et éthique de la politique de la France. La France est fragilisée quand le système politique est vicié au point de le mettre au service de l'étranger comme l'UE contre la souveraineté du pays et la volonté de son peuple.
Tout ce qui constitue la France est en péril quand une organisation politique théocratique qui combat la laïcité tente de s'infiltrer de l'intérieur dans tous les rouages politiques et administratifs du pays.

Que faire ?
A l’extérieur, il s'agit de rétablir la souveraineté de la France. À l’intérieur, la question de l'instrumentalisation de la France au service d'une communauté excluante et non plus des Français, concerne le renforcement de la laïcité et de la République, à commencer par le mode de scrutin universel qui me semble fondamental (post sur le scrutin)

La France a développé une République démocratique et Laïque. C'est sa culture profonde. Elle permet de faire coexister de façon harmonieuse des doctrines religieuses de tous bords, c'est sa grande qualité.
Aujourd'hui, la culture profonde de la France n'impose aucun respect. N'est-ce pas ainsi?

Sur le plan des principes, qu'est-ce que la création? C'est toujours la constitution de la diversité. La culture de la diversité dans tous les domaines est directement induite par le principe de création..... De ce fait, il ressort que la République démocratique laïque constitue un progrès pour l'humanité puisqu'elle permet de formaliser la coexistence harmonieuse des diversités. Cette organisation politique et sociale spécifique à la France mérite donc ontologiquement d'être défendue "bec et ongles"

Il se trouve que cette culture spécifique de la France est mise en danger par l'État dans l'espace politique quand le gouvernement favorise l'UE. Elle se trouve aussi en danger quand elle est confrontée à une théocratie envahissante et conquérante que tout le monde perçoit comme une religion débarrassée de son ambition politique. Rien n'est plus faux. L'ambition politique est le cœur, le motif et la condition essentielle de l'islam.

Pour que l'islam trouve sa place au sein de la laïcité il est absolument indispensable de renforcer laïcité c'est-à-dire la République.
Le principe selon lequel une culture doit être chassée en raison de sa nature est contraire à la laïcité. L'islam met la laïcité en face d'un paradoxe que la République doit se rendre capable de dépasser au lieu de se saborder.

La séparation de l'Église et de l'État est profondément ancrée dans l'esprit des Français. C'est pourquoi ils perçoivent l'islam en ignorant sa composante politique de la même manière qu'ils perçoivent le monde chrétien. Ce qui offre à l'Islam l’opportunité de se positionner en victime et de promouvoir son ambition politique abrité par la cécité de la population.

Cette confrontation de la démocratie avec la théocratie révèle des failles qui doivent être corrigées pour que la République démocratique Laïque de la France continue d'exister et d'accomplir son œuvre de Concorde entre les cultures qui peuplent son territoire.

Je considère (c'est une opinion) que toute personne moralement honnête, se doit de respecter la culture du territoire qui l'accueil et le nourrie dans tous les sens du terme au lieu de s'en nourrir avec mépris.

Israël est une autre nation avec un autre peuple et une autre culture qui elle aussi est intégratrice. Les intérêts de l'état d'Israël ne peuvent pas être les mêmes que ceux l'État de la culture et du peuple de France.
La question que je traite ici est la question de la France.
Précisément, la France souffre de ce que les communautés sur son territoire voudraient orienter la politique du pays vers des intérêts qui ne sont pas les siens. Ceci est un effet pervers de la laïcité quand elle s'est affaiblie. C'est pourquoi il faut concentrer les efforts pour renforcer la laïcité, surtout quand l'ambition de Islam nous en révèle les failles.

Pensez-vous qu'identifier les failles de la République française pour qu'elle se protège des ambitions théocratique de l'islam puisse nuire à Israël ? De la même manière l'Union européenne s'occupe t-elle de savoir si ses dispositions nuisent ou non à la France ? Et cela vaut pour chaque pays du monde.

D'où vient l'idée que l'instrumentalisation de la France au service d'un pays tiers puisse émerger dans les consciences? Cette idée vient de la déstabilisation de la République, de la dissolution lente de sa laïcité, de son renoncement à la démocratie et à sa souveraineté. Tout cela entraîne une perte de respect pour la France et les Français. Tout cela fait de la France une proie à tous les vents. De cela l'islam n'est pas responsable.

Si dans une génération, la République Française intègre les lois de l'islam dans sa constitution et abandonne peu ou prou la laïcité, serait-ce une bonne nouvelle pour Israël ?

Ce qui m'intéresse ici ce n'est pas le bien d'Israël ou un autre pays. Leur bien c'est leur affaire. Ce qui m’intéresse c'est le bien de la France selon sa doctrine Républicaine séculaire.
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16 juillet 2020 4 mars, jour de la Saint Covid ?

La date à laquelle le confinement fut décrété sera sans doute discutée par les historiens à venir. Ce sera une date importante car c'est la date anniversaire de la chute de notre civilisation. Elle célébrera la victoire de l'obscurantisme sur les lumières. (Nda... "Au train où vont les choses en ce jour du 16 juillet de l'an de grâce 2020, je vous fais grâce de l'heure, faut pas exagérer quand même...")

L'acceptation du masque et son usage n'est pas rationnel.
Avec la gestuelle du masque, du confinement, du dépistage douteux et bientôt du vaccin scélérat, les gens ont le sentiment de s'occuper d'eux mêmes au quotidien. C'est le même processus psychologique que l'usage de l'homéopathie et des huiles essentielles dont les efficacités ne sont plus à démontrer. C'est pourquoi pour des raisons à la fois mercantiles et de contrôle social, le gouvernement les a interdit comme il empêche de façon drastique l'usage de la phytothérapie. (Voir post ancien)

D'une façon plus générale, aujourd'hui, avec l'avènement de la mondialisation de l'économie, la vie n'est qu'un marché qu'il s’agit de gérer pour sa rentabilité financière. Voilà à quoi se réduit la vie dans l'esprit du petit groupe de malades à qui le plus grand nombre délègue le soin de les diriger.

Nda): "La transformation du statut de la vie, va avec la transformation de l'organisation économique. Le principe de délégation qui structure les sociétés dans le paradigme de rétention est tout à fait éclairant sur le mécanisme de cette transformation (du statut de la vie)... Le paradigme de rétention c'est comme le feu sous la casserole. Le principe de délégation c'est la soupe qui chauffe dedans. Il faut bien un jour baisser le feu pour ne pas qu'elle brûle. C'est aussi con que ça. La poursuite de la métaphore risque d'être un peu surréaliste parce que c'est la soupe avec ses petits bras qui doit baisser le feu... "

Les "sociales-pratiques" du Covid, créent une interface concrète maîtrisable entre le sujet et le monde, entre chacun et l'autre. Ces pratiques rituelles relèvent d'avantage de l'esprit religieux que de l'esprit rationnel. La propagande massive créé la croyance au sein du peuple profond.

Il s'invente sous nos yeux une nouvelle religion par la culture de la peur et de la menace aussi irrationnelle que la menace de l'enfer. Par l'usage d'une réglementation assimilable à l'Inquisition, ceux qui ne portent pas le masque, ceux qui refuseront le vaccin seront excommuniés.... La comparaison du Covid avec la religion peut-être prolongé à l'envie....

Il y a similarité entre l'avènement d'une religion et celle du Covid. Toutes deux associent le sentiment de sécurité par l'obéissance et la foi en la parole publique. Qu'elle soit contradictoire et paradoxale ne fait rien à l'affaire. Le danger est là et le sauveur aussi à condition de lui obéir aveuglément.
La culpabilité et la désignation publique en cas de désobéissance, le rituel du masque, l'inquisition du dépistage et le catéchisme médiatique permanent, relèvent du religieux pas de la raison.

En s'appuyant sur le mécanisme de la foi, le gouvernement exerce une pression considérable sur les foules tout en gagnant leur consentement.
Jamais la rationalité profane si évidente soit-elle n'a pu amender la foi d'où qu'elle vienne.

C'est pourquoi il est difficile de retirer aux gens ce qui pour les uns leur tient lieu de "tutute" et de sésame pour les autres.
Entre ces deux catégories il y a ceux qui doutent.
Pour ceux là, le bénéfice du doute se partage entre ceux qui refusent et ceux qui acceptent.

Sur le plan statistique on voit bien que la résistance au rouleau compresseur médiatique de la "covid-mess" est dérisoire.
De plus, ce qui se joue ici sur le réseau social principal n'est en aucun cas communicatif.
Les algorithmes construisent des bulles à l'intérieur desquelles les analyses et les opinions sont définies une bonne fois pour toute et n'en sortent pas. Pire encore, quiconque ose transporter une idée dans un lieu qui n'y est pas dédié se voit excommunié. Pourtant les idées ne peuvent se construire et s'enrichir que dans et par la transversalité.

En vérité, la communication sur le réseau social tient davantage de l'aliénation que de la communication. C'est la mise à exécution du nihilisme de la communication qui profite à la propagande. L'opposition à cette propagande est captée dans des circuits qui tournent en boucle en donnant aux participants l'illusion de communiquer. En réalité ces circuits qui tournent en boucle sont autant de ghettos consentis, ou trop souvent l'insulte prend le pas sur l'argument le raisonnement, l'analyse et la contradiction.

Comme les idées ne se nourrissent essentiellement que de la transversalité, il n'y a aussi que du contradictoire que peut surgir la vérité. S'extraire de la croyance qui tient lieu de repère et de cadre de sécurité est l'effort le plus difficile qui soit.

La seule façon de faire apparaître la vérité au grand jour c'est de déclencher, je ne sais pas comment, un débat national, public et contradictoire, autrement dit, le forum, sur la question du Covid, dans les grands médias publics..... Pour commencer.
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20 juillet 2020 Le Covidisme où la théocratie républicaine

Il existe une argumentation et une documentation très importante et tout à fait fondée qui démontre de façon rationnelle que le coronavirus n'est qu'une opération politique.

La stratégie politique "coronavirus" ne s'appuie pas sur la raison ni sur le débat public. J'ai déjà abordé ce point dans un post précédent.

La stratégie "coronavirus" est une opération très particulière. Elle exploite les ressorts qui fondent les religions et l'adhésion aux sectes, à l'échelle des nations et à l'échelle planétaire.

La "Covid connexion" orchestrée par une poignée de propriétaires financiers fonde une sorte de nouvelle-religion qui ne dit pas son nom mais que je désignerais par "Covidisme".

Pour se répandre, "le covidisme" active les ressorts de la croyance et de la foi. Cette religiosité construit le rituel du masque et de la distanciation par exemple et fixe les règles de l'excommunication.
Par la suite, cette nouvelle religion exigera le marquage des corps par le vaccin rendu moralement puis légalement obligatoire.

Pour préparer les esprits, le ministre lui même nous fait savoir que l'émotion doit l'emporter sur la loi. Un tel propos signe la destruction politiquement volontaire de l'ordre Républicain pour favoriser un retour à l'ordre de la barbarie parce que la barbarie c'est quand la croyance et l'émotion font loi.

C'est parce que ce le covidisme est une religion, qu'il n'existe aucune espèce d'argumentation raisonnable dont l'évidence est incontestable, qui puisse contredire la conviction issue de la foi que les médias et les politiques ont forgé par le doute la peur et la menace, dans l'esprit de la population. Ceci est vrai pour quelque religion que ce soit.
Avec la République convertis au covidisme, la France abandonne la démocratie pour entrer en théocratie.
Pour obtenir l'obéissance aveugle de sa population, n'importe quelle théocratie fais appel à la peur à la menace et à l'arbitraire.

La clé du rétablissement de la raison auprès des populations passe obligatoirement par la liberté et l'indépendance de la presse publique. C'est pour le moment exactement ce qui est impossible à réaliser.

Je pense que la situation va pourrir jusqu'au moment où il y aura une explosion sociale dont je ne connais ni la nature ni le moment.

Il est remarquable de constater que les acteurs de la force publique sont privés des moyens de se défendre lorsqu'ils sont confrontés a des situations extrêmement violentes et anxiogènes. La capacité d'action des forces publiques est volontairement bridée par décision politique.

Le gouvernement a clairement entamé une politique de déstabilisation de la société civile motivée par une volonté d'extinction de la Nation.
On peut considérer que le peuple français est en état de guerre civile implicite et la Nation en état de siège.

Ce qui est nouveau, c'est que l'ennemi est à l'intérieur et que le gouvernement le favorise contre l'ordre de la Nation, en privant les forces de l'ordre de leurs moyens d'action et en laissant la réputation des forces de l'ordre se dévaloriser auprès des populations.

Rien n'interdit de penser que la situation pourra se dégrader jusqu'à ce que ce soit l'armée qui doive intervenir à l'intérieur du pays pour maintenir l'ordre. Ce qui serait strictement contraire à la mission des militaires.

Le coronavirus, a initier une intention politique forte de transformation de la société et d'annihilation de la nation. La guerre intérieure menée par le gouvernement contre la nation et contre son peuple s'effectue par une autre méthode, une autre anamnèse, d'autres stratégies et de nouvelles tactiques...

Mais c'est bien la nation, la République, la démocratie et la laïcité qui sont férocement menacés de l'intérieur; non pas par les communautés diverses et variées qui composent la population française, mais par le gouvernement lui-même qui fait de ces communautés un instrument et un levier de déstabilisation du pays.

La culture du nouveau "racialisme" importé des États-Unis devant lequel le gouvernement se met à genoux est une perversion de la République dont l'autorité politique porte la responsabilité exclusive.
Le covdisme et le racialisme sont les deux avatars de la stratégie politique de déstabilisation de la République en vue de favoriser de façon masquée la fin de la Nation.
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Le gouvernement du monde.

La pandémie est une opération politique en vue de préparer le gouvernement mondial. La seule possibilité d'embrasser tous les peuples de la planète dans une unique organisation politique est une approche messianique. C'est pourquoi le covidisme, cette nouvelle sorte de théocratie à l'échelle planétaire est née.

Le mondialisme gouvernemental est la suite logique de la mondialisation économique.
Quel que soit le modèle économique adopté par l'humanité, la démographie de notre espèce, si elle n'est pas sous contrôle, la conduira à sa perte. L'objectif de la mondialisation politique consiste à contrôler par la contrainte la démographie planétaire. C'est la seule voie possible si l'on veut perpétuer le modèle économique de rétention, au-delà de sa fin naturelle.

Dans la rétention, le gouvernement mondial par nature ne peut être qu'une dictature car il est impossible de fédérer dans une démocratie "mondiale" des peuples aux intérêts divergeant et aux us et
coutumes inconciliables.
S l'on s'en tient au système économique conditionné par le principe de rétention c'est par la force que les peuples devront adapter leur démographie pour permettre la survie de notre espèce et permettre la survie du système économique.

Ainsi, la direction prise par le projet de la mondialisation politique est issue d'une perversion du système économique.

Cependant, la stabilisation démographique de l'espèce humaine peut être obtenue naturellement par la transformation du système économique. C'est-à-dire par un retour de l'économie au service des peuples.

Pour ce faire, le paradigme de rétention devra céder la place au paradigme de partage.
Il s'agit de cesser de gérer le profit indispensable au bien de quelques-uns, pour gérer la dépense indispensable au bien de tous.

Il existe de par le monde, quantité d'analyses et d'études qui soutiennent le principe de partage comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir.

Il appartient maintenant aux journalistes dignes de ce nom de les faire connaître et de poser sérieusement dans le débat public la question de la démographie humaine.
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21 juillet 2020 ,Entre Covidisme et Racialisme 

L'Espagne a généralisé le port du masque obligatoire partout sous peine d'une amende de 100€.

Le port du masque est une pratique irrationnelle qui relève du rituel religieux dont "covidisme" est le nom par lequel identifier la politique du masque.

Du point de vue pratique, le masque, la chaleur, l'humidité, crée une base de champignons dans la trame du masque que les gens respirent des heures durant. Outre l'hypoxie qu'il procure, le masque se transforme en un concentré d'un bouillon de culture composé de déchets métaboliques, de bactéries et de champignons, alimenté et nourri toute la sainte journée.

Ce concentré est à l'origine d'infections pulmonaires et d'allergies sévères assurées.
Des gens commencent à être malades. Dans leur coin, tenaillés qu'ils sont entre la peur le doute et la menace, soumis au risque de dénonciation encouragée par le gouvernement, ils obéissent. Ils se condamnent eux même à supporter leur empoisonnement pulmonaire pour ne pas être condamné à l'amande de 100€. Amende augmenté en cas de récidive.

En Espagne, les gens sont condamnés à porter le masque qui les empoisonne. Cette injonction politique, UE oblige, va se généraliser en France.
En France le "racialisme manifestatoire" est encouragé par le gouvernement, encadré par les forces de l'ordre pendant que la manifestation des Gilets Jaunes est interdites et violemment réprimée.

Le covidisme test l'obéissance et le racialisme participe au détricotage de la République. Racialisme et covidisme sont des inventions mystiques du gouvernement. Ce sont des instruments de déstabilisation du pays.

Le but de la politique en cours est l'effacement de la République au profit de la souveraineté fasciste de l'UE. Lorsque je qualifie la politique de l'UE de fasciste, je pèse mes mots parce-qu'il est impossible qu'il en soit autrement..

Tout cela relève de la stratégie d’avènement du gouvernement mondial assorti d'une baisse démographique importante. Nous n'en sommes qu'à la phase expérimentale.
Le retour d'expérience en terme d'obéissance des masses est déjà plus qu'encourageant.

Le principe de délégation fonde l'humanité en sa grégarité puis la civilisation et sa croissance millénaire vers la démocratie. C'est aussi par le principe de délégation que les masses se forcent elle-mêmes à l'obéissance.

Il suffit de mettre un nom sur les choses pour les identifier. Il suffit de mettre un nom sur les rapports entre les choses pour s'en affranchir.
Et la seule façon de le faire c'est le forum public. C'est cette arme là que nous devons conquérir pour reprendre les rênes de notre liberté.

Sinon. sans la violence d'une transition de phase salutaire des masses populaires, il n'y a pas d'issue. Nos vies et nos libertés sont déjà perdues.
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23 juillet 2020 Le politique de la trahison

Le politique est une délégation émergente de la grégarité qui s'effectue dans le paradigme de rétention. Ce paradigme implique la construction de la sécurité de tous et de chacun par l'accumulation, donc la concentration de l'avoir du pouvoir et du savoir à fin de profit.

Dans le paradigme de rétention, pour obtenir du profit d'au moins l'un des trois termes, la délégation naturelle exige le respect de la confiance ; alors que pour obtenir du profit, la délégation émergente exige la trahison.

C'est pourquoi il est indispensable d'identifier le principe de rétention dans le champs de l'ontologie. Il n'y a rien d'autre à faire pour changer de politique.

Toutes tentatives de changement de politique qui ignore le principe de rétention, prolonge et alimente ce principe dont elle émane.
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24 juillet 2020 Comment rendre acceptable l'inacceptable ?

L'inacceptable est un point de vue relatif et moral qui mêle deux confusions:
1/ Une foule ne réagit pas comme un individu. Elle fixe la norme à laquelle l'individu se soumet.
2/ L'acceptable n'est ni universel ni éternel.

Les confusions 1 et 2 existent car l'humanité est une construction à partir du principe de délégation sur une espèce à la fois essentiellement et profondément grégaire, et évolutive.

Par le fait de l'évolution et de la complexification grégaire, le principe de délégation est à multiples échelles qui évoluent dans le méta-paradigme de la rétention.
Selon les échelles, la délégation plongée dans la rétention agit avec des différences très importantes. Leur méconnaissance permet la manipulation des masses par la propagande des croyances et l'établissement de la norme.

L'inacceptable devient alors acceptable. Il devient la norme et produit la morale nécessaire à sa culture, des lois qui l'encadre etc...

La rétention a toujours été le paradigme de l'humanité. Ce paradigme à conduit l'humanité au point de mondialisation au-delà duquel ce paradigme est destructeur.
Dans la mondialisation, la rétention est au bout de sa fonction. Prolonger ce paradigme suppose de rendre acceptable la destruction des civilisations.

Identifier la rétention conduit la révolution ontologique indispensable pour prolonger l'humanité dans un autre méta-paradigme civilisateur.

L'extinction dans la prolongation artificielle de la rétention, est la condition logique et naturelle des civilisations humaines. Le partage comme alternative au méta-paradigme de la rétention est une issue tout aussi naturelle pour une espèce hautement évolutive.
Dans le paradigme de rétention, l'évolution s'est jouée par la prédation jusqu'à la mondialisation. La suite de l'évolution de notre espèce exige un changement radicale de notre rapport au monde, à l'autre à soi.
Il ne s'agit plus de persister dans la rétention de l'avoir du pouvoir et du savoir. Il ne s'agit pas non plus de changer d'objet de rétention, il s'agit maintenant de concevoir la rétention comme le système de rapport dont il va falloir se défaire. Il ne s'agit pas de chercher un objet nouveau à nos rapports mais de considérer le rapport comme l'objet duquel nous devons nous emparer pour le transformer.

Dans la rétention, le succès dépend de la trahisons aux grandes échelles des rapports émergeant car l'accumulation est induite par la rétention comme condition de survie.

Dans le partage, la trahison de la délégation ne peut plus exister car elle serait contre productive à toutes les échelles du groupe...

Comment passer au partage ?
Il faut déjà commencer par identifier la rétention.
Ensuite la traduction factuelle de la mutation ontologique implique "le droit des femmes à disposer d'elles mêmes sans conditions ni restriction".

À l'échelle des consciences individuelles et à l'échelle des rapports émergeant, cette loi inscrit le concept de l'Autre de l'homme.
Ce concept universel à toutes les échelles de l'être interroge alors l'ontologie. La question de l'autre dans l'ontologie fait surgir le partage comme alternative à la rétention dans l'ontologie.

Voila dans les grande lignes le mécanisme d'un genre d'inacceptable qui doit devenir acceptable pour donner un avenir à l'humanité.

Je vous laisse réfléchir la dessus
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27 juillet 2020 Le grand mensonge

Nous sommes au début d'une guerre de religion qui ne dit pas son nom. Je ne dis pas ça pour faire un bon mots. Mais c'est bien ainsi que se distribuent les différentes forces en présence.

Il est largement établi de façon scientifique raisonnable technique biologique etc... tout ce que vous voudrez, que le masque, la distanciation qui devrait être sanitaire et non sociale, le virus, la pandémie, le confinement et le déconfinement, le vaccin scélérat, ne sont qu'une mise en scène à l'échelle mondiale. Au sujet du vaccin, pourquoi sa composition n'est-elle pas divulguée dans le grand public ? Et plus largement pourquoi le covidisme ne fait pas l'objet d'un débat public de grande ampleur ?

Il s'agit d'inscrire l'humanité dans un rituel nouveau d'obéissance aveugle, "le covidisme".
Rendre la population captive des pouvoirs publics suppose la tactique du doute, de la peur, et du désordre sociale pour justifier l'autorité..

Le mensonge est tellement énorme que tout le monde y croit. En vertu du principe de délégation, il ne vient à l'idée de personne de douter de la parole de ceux qui nous gouvernent, et encore moins de vouloir en douter.
Le port du masque confère une identité et une appartenance à ceux qui vivent dans une société en pleine décomposition.

Porter le masque leur défini une identité. Lorsqu'il croise un coreligionnaire qui porte aussi un masque, le sujet éprouve le sentiment d'appartenir au même groupe qui se défini par des vertus de résistance de responsabilité et de légitimité dans la dénonciation. Autrement dit, obéir aveuglement donne aux gens le sentiment d'exister.
Si l'induction d'une identité artificielle fonctionne aussi bien, c'est que l'identité naturelle issue de l'histoire de notre culture est en défaut.

Ce défaut ouvre la porte à une exploitation perverse du principe de délégation qui fixe la confiance au fondement même de l'humanité.

J'ai expliqué en long et en large le mécanisme sous-jacent qui permet de faire fonctionner cette mécanique (le principe de délégation dans le paradigme de rétention)...
Usuellement nous ne pouvons mettre un nom que sur les faits pour s'en réjouir où les déplorer.
À cause du principe de délégation et de la nécessaire confiance, mettre un nom sur ce qui relie les faits entre eux, n'est pas accessible aux masses populaires. Mettre un nom sur ce qui relie les faits entre eux est une délégation émergente, est de l'ordre du politique et fait l'objet d'une confiance aveugle et absolue. Or, dans une délégation émergente, seule la trahison est source de profit. Dans le paradigme de rétention ce qui ne conduit pas au profit meurt.

Cette disposition des peuples pour nommer les choses et pour engager la confiance inconditionnelle est séculaire. Mais aujourd'hui cette disposition s'effectue dans un environnement d'hyper-puissance de ceux qui nous gouvernent. Leur objectif est de maintenir à n'importe quel prix le système de rétention qui, une fois la mondialisation obtenue ne peut plus être cultivée sans détruire l'humanité.
C'est le système de rétention qui a fait la puissance incommensurable de la Bill-Gates-Connection. C'est pourquoi les maîtres de la finance mondiale mettront tout en œuvre pour maintenir ce système.

Ils sont incapable de s'extraire du paradigme de rétention ni de l'interroger. Le peuple non plus n'est pas capable de s'extraire du paradigme de rétention mais à cause de sa mauvaise fortune il peut l'interroger à condition de l'identifier. Identifier le principe de rétention et donner à saisir son importance est ce à quoi je m'emploie du mieux que je peux ici.

Mettre un nom sur les faits pour en constituer une déploraison stérile est la preuve incontestable de notre impuissance totalement produite et voulue par le pouvoir politique. Un peuple privé de la liberté de la presse est un peuple perdu. C'est là le seul secret de la capacité de Macron à imposer sa politique contre la volonté du peuple.

Quand les arguments rationnels et raisonnables partagés par le plus grand nombre de gens compétents et reconnus dans leurs compétences, défendus par des sommités internationalement reconnues ne peuvent pas être entendables comme éléments contradictoire à la norme naissante (le masque), nous avons affaire à un rituel religieux étanche à la raison et qui transforme l'identité humaine.

C'est là une façon comme une autre de faire la révolution ontologique que j'ai largement évoqué, mais cette fois-ci en privant les êtres d'humains de ce qui fait leur humanité au lieu de l'épanouir.

Si nous ne parvenons pas à stopper la Sorros-connexion, c'est la prochaine génération qui verra son humanité transformée sur le plan génétique et sur le plan des libertés.

De là où nous sommes, ici sur FB, et dans la vie de tous les jours, nous sommes démuni du moindre moyen d'agir car nous ne possédons aucun moyen de diffusion de l'information ni aucune possibilité de déclencher des mouvements de masse. Nous n'avons aucun levier à notre disposition. Et, étant confronté a des arguments de religion comme la croyance et la conviction, la foi, aucun argument raisonnable ne pourra les interroger.

Tout ce que nous pouvons faire au quotidien, c'est échanger des idées sans chercher à convaincre qui que ce soit. Il s'agit seulement de provoquer chez l'autre le goût de s'interroger. Seule l'information que le porteur de masque pourra trouver de lui-même aura du sens à ses yeux.

Et puis je pense que nous pouvons compter sur des gens comme Trump et Poutine pour faire obstacle à la mission destructive de ceux qui imposent tout ce bordel à l'humanité. À ma connaissance il n'y a que ces deux-là qui jusqu'à maintenant emploient leur capacité d'action à défendre l'humanité et les libertés.
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30 juillet 2020 Lettre ouverte à Aurélien Barrau

Les communications de Aurélien Barrau en astrophysique, son plaidoyer pour la protection de la vie sur cette planète, sont incontestablement d'une immense respectabilité.

Mais sur la question du covidisme, je ne souscris absolument pas à sa communication qui consiste à promouvoir l'usage du masque à partir du discours exclusivement gouvernementale. Aussi j'ai tenu à répondre ici à sa prise de position.

Non Aurélien. Là tu déconnes. Le gouvernement a semé le doute par des mensonges des paradoxes et des atermoiements successifs au sujet du covidisme.
Pour être un peu sérieux ce gouvernement devrait organiser un débat public sur ces sujets. Bien des spécialistes parfaitement crédibles sur ces questions n'ont pas droit de citer dans les médias publics,  pourquoi ?
Et que pensez du comportement de l'OMS qui met son autorité au service des intérêts financiers ?
Ce scandale ne semble pas vous émouvoir ?

Vous serez d'accord avec moi, la vérité sort de la contradiction. Si la vérité n'en sort pas, du moins le consensus propice à la paix civile en sera le fruit.
À l'évidence, la contradiction est interdite dans le débat public.

Et de façon personnelle, les  dernières choses que je défendrai bec et ongles c'est
1/ La liberté de respirer librement. Il est surréaliste d'en arriver à revendiquer le droit de respirer. Et pourtant nous en sommes là. C'est vrai ou c'est pas vrai ?

2/ La liberté de ne pas me faire empoisonner par un vaccin douteux. Il n'est pas acceptable que la composition de ce vaccin ne fasse pas l'objet d'une communication dans les médias publics. C'est vrai ou c'est pas vrai ?
Vous portez le masque monsieur Barrau. Mais irez-vous jusqu'à vous faire vacciner ?

Et, ne vous en déplaise, de chanter la Marseillaise "Aux armes citoyens...", si le gouvernement s'avisait de nous imposer ces privations de liberté fondamentale; non pas de consommer, non pas d'aller et venir, mais tout simplement d'exister.
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31-07-2020 La Rétention du consentement 

Face à la désinformation d’État et au matraquage médiatique, les gens se posent la question : « Mais qu'est-ce que je peux faire ? »
La réponse est simple. Rien ! Strictement rien !
Pourquoi ?
Parce-qu'on ne peut agir librement que sur notre propre corps et sur nos pensées. Toute autre forme d'action est une escroquerie. Même consentie, l'action sur l'autre reste fondamentalement une escroquerie. Individuellement, elle peut être inconsistante, négligeable ou issue du malentendu naturel. Mais structurellement, elle est. Je ne parle pas ici de ce que la trahison met en rapport mais du rapport lui même.

Le profit issu du respect de la confiance est symétrique à petite échelle (gagnant / gagnant si la confiance est respectée). Quand l'échelle du consentement grandie, le profit issu du respect de la confiance disparaît au profit de la trahison .

A grande échelle, le consentement à la trahison est extrêmement consistant car c'est à la grande échelle du groupe que se constitue la norme à laquelle le plus grand nombre se conforme. Or, se conformer à la norme est aussi l'expression très robuste du principe de délégation. Chacun délègue à la « norme » le soin de construire le cadre de son comportement, de sa morale, et de son devoir. C'est alors que la trahison et la dénonciation deviennent vertueuses.

Étant l'avatar consistant du principe de délégation, le consentement en lui même n'est pas une escroquerie. Le consentement devient une escroquerie dès lors où le principe de délégation se déploie dans le (méta)-paradigme de la rétention.

Ce qui nous fait humain n'est pas ce que l'on possède de biens matériels ni même ce qui se constituent à nos yeux comme qualités morales. Ce qui nous fait humain est notre capacité à maintenir le rapport de confiance à toutes les échelles des rapports qui fondent le groupe depuis les rapports individuels jusqu'au rapport politique entre l'individu et son groupe le plus élargie, à savoir la Nation.
Comment notre humanité qui dépend de la confiance, est-elle mise en défaut quand les rapports passent de la petite échelle du groupe à la grande échelle?  Pour examiner cela il est nécessaire de distinguer les classes de phénomènes dans lesquels nous sommes immergés.

Notre existence est immergées dans trois sortes de phénomènes confondus les uns avec les autres. Il y a les phénomènes naturels, les phénomènes émergents, et les phénomènes personnels.
On confond souvent les phénomènes émergents comme le politique et les phénomènes naturels comme la pluie parce qu'ils sont des contingents.

Lorsque on se pose la question de savoir « Mais qu'est-ce qu'on peut faire ?» ; On cherche en réalité à maîtriser les phénomènes émergents. Ça n'existe pas cette maîtrise là ! Il ne viendrait à l'idée de personne de vouloir contrôler le temps qu'il fait. S'il pleut ou s'il neige, ou s'il fait un cagnard d'enfer, on s'équipe en conséquence. Personne ne cherche à changer cette contingence.
Pour le « climat » politique économique et social, c'est la même chose, ils sont hors de portée de l'action individuelle. Sauf que ces contingences sont « la » conséquence du paradigme de «Rétention » qui rend le lien de confiance contre-productif à grande échelle pour les acteurs qui reçoivent la délégation d'administrer ces contingences .

Considérer « l'action » exclusivement en terme «d'avoir » « de savoir » et « de pouvoir » est une limitation imposée à notre entendement par le paradigme de rétention. C'est pourquoi il est fondamental de l'identifier. Alors seulement le concept d'action pourra s'étendre à notre propre esprit. Car il est impossible d'agir sur un autre objet que sur soi-même, c'est à dire notre corps et notre esprit.

La politique, l'économie, les organisations politiques et syndicales de toutes sortes etc, sont des phénomènes émergents. Seuls ceux et celles qui ont la délégation pour administrer ces organisations peuvent agir sur ces phénomènes. Étant donné que ce sont des phénomènes à grande échelle, ils ne peuvent agir que dans et par la trahison de la confiance tant que ces phénomènes se manifesteront dans le paradigme de rétention.

Tant que l'action appliquée à notre propre esprit restera qualifiée de « stérile » et « d'inutile », nous passerons le plus claire de notre énergie à déplorer en vain et à nous donner à frémir dans les chaumières.

Au sens concret du terme, il n'est possible d'agir, sur les choses que collectivement. Or c'est précisément de cette capacité dont nous prive le politique en rendant la presse captive de sa propagande. Agir au sens concret du terme, comme le commande le principe de rétention, c'est agir pour la liberté et l'indépendance de la presse. Sinon toute action est non pas « sans effet » ou « interdite », elle simplement « impossible ». Dans les décennies passées, il y avait les grand leaders syndicaux pour donner les mots d'ordres. Aujourd’hui ça n'existe plus.

A défaut de pouvoir agir concrètement, l'action qui consiste à comprendre les principes, les règles et les rapports qui nous gouvernent est me semble t-il, à notre portée. Suivre cette voie n'est pas stérile. Par effet de système, elle pousse notre état de conscience vers la remise en cause du principe de rétention vers le principe de partage. Cette obligation d'agir avec notre propre esprit préfigure la construction d'une autre ontologie permettant de maintenir le profit mutuelle par le respect du lien de confiance à toutes les échelles.

Les gens autant que Macron obéissent aux mêmes lois. Le principe de délégation est le fondement de tout. Il fixe l'humanité dans la grégarité; ce qui a pour effet l'émergence du politique dans lequel la confiance est obligatoirement trahie.
C'est pourquoi il faut identifier ce principe. C'est la seule chose que nous avons à faire pour commencer à changer le monde que tout le monde dénonce.

Tout ce que l'on pourra dire ou faire sans identifier ce principe ne fera que l'alimenter.
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Juillet 2020 Petites phrases

Révolution
Quant est désigné une catégorie d'humains responsable des maux de ce monde, l'humanité s'affaiblit.
La révolution est ontologique
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Le PRINCIPE DE DÉLÉGATION
Fait que:
Les gens n'ont pas envie de comprendre. Ils ont juste envie de suivre.
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Riches et pauvres même combat
Ils veulent que les choses changent sans comprendre comment les choses arrivent.
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La démocratie pour faire court...
"Il est impossible d'aider quelqu'un que l'on ne comprends pas...!"
En vertu de ce principe, un gouvernement qui n'entend pas le peuple et qui prétend agir pour son bien ne peut que lui nuire...!
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L'inacceptable universel :
La femme doit avoir sa propre ontologie à côté de celle de l'homme..
Et l'humanité sera achevée...!
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