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vendredi 20 décembre 2019

Actualité Décembre 2019

Les sujets: Climat; Retraites; UE....    



LA GUERRE CLIMATIQUE
Pour bien des raisons calculables, le réchauffement climatique ne peut pas être un effet de l'activité humaine. Cependant, la question de la consommation énergétique adossée à une croissance implicitement indéfinie, relève de l'absurde. Aussi, la mesure du carbone émis par l'activité humaine nous informe directement de la quantité d'énergie que l'humanité draine. Puisque il est établi par un enfant de 6 ans, qu'il est impossible de consommer plus de bonbons qu'il n'y en a dans la boite, la croissance doit changer de nature. Au lieu de consommer toujours plus, il s'agit maintenant de consommer mieux avec moins d'énergie. C'est à dire de "partager" à la place de "retenir" et d'accumuler (...) .

Mr Jancovici, éminent physicien est fondé pour proposer une analyse éclairée. Devant l'urgence qu'il détermine, il nous propose une dictature choisie pour diminuer notre gradient énergétique. Je considère que la dictature choisie n'est pas une solution même si elle est et sera une conséquence imposée aux populations par les politiques accrochées dangereusement à la croissance économique.

Pour éviter ce désastre et changer de politique, renouons avec la démocratie participative. Ce sera la fin de l'obsolescence programmée dans tous les domaines, le développement du ferroutage, l'interdiction aux entreprises de générer du plastique inutile, le raccourcissement des circuits dans tous les domaines, le développement du transport public, le partage des emplois et de la ressource collective, etc etc ...

Autant de mesures minimales qu'un gouvernement souverain peut prendre en s'appuyant sur la volonté du peuple. Mais dans le cadre de l'UE une telle politique est parfaitement exclu. L'UE est déjà la dictature à la place de la souveraineté du peuple.

L'humanité utilise beaucoup d'énergie pour répondre à ses besoins. C'est le gradient énergétique de l'humanité qui condamne à coup sur les civilisations si elles ne trouvent pas leur équilibre dans un "creux de potentiel". ( => Partage comme paradigme économique).

La question du réchauffement climatique ce n'est pas de la science, c'est un dogme utile à l'économie (de rétention...).

Question: pourquoi le dogme du réchauffement climatique ne fait pas l'objet d'un débat public contradictoire?

Et posons-nous la question de savoir comment cette idée d'une activité humaine plus puissante que la nature et le soleil est venue dans nos esprits?

Élément de réponse:  La puissance des médias consiste à abuser les gens en exploitant de façon viciée le principe de délégation constitutif de la nature humaine, pour faire tourner l'économie de rétention..

https://www.youtube.com/watch?v=RIlh1MT9WsQ&feature=share



LA TRAHISON DES POLITIQUES
Le marché pilote les États depuis 1973, quand les États ont pris la décision politique d'abandonner la monnaie. Ils ont pris cette décision car, principe de rétention oblige, les politiques ont choisi de représenter l'intérêt des possédants exclusivement. L'UE est le fer de lance de cette politique.
Si révolution  y a, elle devra être ontologique pour remplacer dans les consciences le principe de rétention par le principe de partage.
Comment y parvenir?
C'est très simple et tient en deux points.
1/ Comptabiliser le vote blanc dans les votes exprimés pour rétablir la démocratie. 
2/ Rétablir ou établir "le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes sans conditions ni restrictions" , pour créer le principe de partage et changer les consciences. Ces deux points sont  la seule voie pour stopper l'auto-destruction des civilisations humaines.

https://youtu.be/rjLawtnZ674



LE MONDE NOUVEAU DE MACRON

Mr Filoche, nous propose des analyses à la fois profondément humaines et pragmatiques tournées vers le bien commun autant qu' individuel. Sa vision à ceci de particulièrement éthique, qu'elle n'oppose pas les deux ordres d’intérêt, privés et collectifs, mais les harmonise.
Le propos de Mr Filoche garantie un destin favorable aux peuples et aux civilisations à condition qu'ils s'adoptent dans les consciences les politiques et les économies, le "principe de partage" en lieu et place du "principe de rétention" (...) pour garantir le bien et la sécurité de la collectivité et du citoyen.
Ce qui, dans le propos de Filoche se désigne aujourd'hui plus qu'hier par "capitalisme" et "compétitivité", n'est autre que l'apologie aveugle et destructrice du "principe de rétention".
Le combat est rude mais le peuple ne se trompe pas, Il sait.... 

Avec ou sans les mots pour le dire, il exprimera par la mise en acte ce qui, par nature s'agissant du peuple (le peuple n'a pas de porte parole, ce n'est pas un groupe social...) ne peut pas être mis en mots. C'est ça les gilets jaunes....

Aussi je recommande à ceux, soucieux de bien comprendre les enjeux de la réforme des retraites en particulier, de prendre connaissance des analyses de Mr Filoche.

Les gilets Jaunes c'est la faillite des représentants du peuple et de la nation. Syndicats, partis politiques et Président de la République, tous dans le même sac de la trahison et de la connivence du pouvoir.

Il faut bien comprendre à minima que la fin des conventions collectives c'est la condamnation à mort de certaines catégories de salariés, au travail particulièrement destructeur pour la santé.

Le projet Macron est la condamnation des régimes de protection et de compensations spécifiques rebaptisé "Régimes spéciaux" pour en faire des privilèges détestables. C'est aussi la destruction de la retraite solidaire.

Mais lui et ses acolytes de France et de l'UE, conservent leur régime particulier (retraites cumulées, pensions pharaonique étendues etc...). Ils n'appliquent pas à eux mêmes la loi qu'ils imposent à tous. Pourtant eux, ils n'ont pas besoin de compensations particulières de la pénibilité.

Quand est-ce que les Français vont comprendre qu'il faut se débarrasser de Macron par les urnes à n'importe quel prix, y compris en plébiscitant « Le Rassemblement National ».
Pourquoi en arriver à une telle extrémité ?

Parce-que la stratégie médiatique de Macron propulse l’extrême droite dans les médias comme épouvantail pour apparaître comme le sauveur du pire.Mais en vérité, le régime qu'il impose au peuple, le saccage des droits et du bien collectif est pire dans les faits que la proposition du rassemblement National.

L'avènement du Rassemblement National aux affaires à la place de Macron procéderait de la part du peuple de la stratégie de « l'arroseur arrosé » qui en l'état est la seule façon de mettre fin à la casse des services publics, la destruction de la solidarité nationale et la dissolution de de la Nation en tant que telle. Le sacrifice moral qui consiste à donner sa voix au candidat qui fera face à Macron au second tour (sûrement le RN) est une stratégie incontournable pour se débarrasser du pire. Si nous avons deux Macron au second tours, alors l'abstention s'impose.

Cette casse systématique des acquis sociaux, C'est le projet de Macron. Il appelle ça « le nouveau monde ». Rappelez-vous, la dernière fois qu'il fut question d'ordre nouveau c'était le slogan du nazisme en Allemagne.

Il n'y a ni nouveau monde ni ancien monde. Il y a juste le monde avec des dirigées, toujours moins puissants, toujours moins riches et toujours plus nombreux, à la solde de dirigeants toujours plus puissants, toujours plus riches, et toujours moins nombreux.

Si le nouveau monde c'est la fin de la démocratie, alors c'est aussi le début de la dictature. S'il existe une alternative de progrès humains, collectif et social autre que la démocratie, je serais curieux de la connaître.

A l'origine de la destruction de la démocratie (et celle de la République suivra), il y a la délégation du pouvoir politique au pouvoir des banques en leur ayant abandonné la monnaie en 1973, mais en l’occurrence le macronisme n'est autre que l'application des directives européennes.

Sortir de l'UE est un interdit de penser. Un interdit de débat public. C'est pourquoi l'UPR crée depuis 12 ans par ASSELINEAU prêche le FREXIT et la souveraineté de la France dans le désert. Le seul parti qui propose une analyse Républicaine digne, est rendue inaudible par le pouvoir en place. Il est interdit de propos et interdit de débat. Pourquoi ?
Parce que ses analyses sont vraies.

Pourtant, sortir du macronisme c'est sortir la France de sa soumission au dictât de l'UE. Dictât car les directives de l'UE ne sont pas plébiscitées mais décidées par les administrateurs financiers de l'UE. Le parlement Européen n'est qu'une chambre d'enregistrement. Un alibi de démocratie pour donner le change aux peuples. Structurellement, ce ne peut être autrement. Mais les peuples ne s'y trompent pas.

A cause de la peur qu'il suscite, le mouvement Rassemblement National serait beaucoup mieux contrôlable que LREM de Macron.
Réfléchissons avec pragmatisme à cette stratégie de "l'arroseur arrosé" puisque le débat public «CONTRADICTOIRE », source de réflexion pour éclairer le choix démocratique des citoyens est interdit.

Pour se débarrasser de Macron et de ses répliques futures, on ne peut pas compter sur les médias et le débat démocratique. Il convient de le battre à son propre jeu. C'est la seule voie possible pour échapper à la guerre civile ou à la dictature.

https://www.youtube.com/watch?v=j91GbemG_NU&t=325s



LA TRAHISON
Je n'oublie pas que Mr Martinez, en 2017 à appelé sans réserve à voter Macron. Macron qui est pire que Marine le Pen, car il est à la solde de l'Allemagne.
Pourquoi la CGT défend t-elle la cause des effets qu'elle dénonce?
Parce que l'UE qui à travers les GOPE (Grande Orientation des Politiques Européennes) donne ses ordres à Macron, orchestre et finance les mouvements syndicaux. (vérifiez les financements)

Les gilets Jaunes c'est le peuple qui met en acte ce que ses représentants (syndicats, partis politiques et chef de l'Etat) sont incapables de mettre en mots. Quand il n'y a pas de mise en mots, il y a mise en acte.
La casse du code du travail, la casse des conventions collectives, le contrat qui l'emporte sur le droit etc... C'est les GOPE depuis Sarkozy. Et les syndicats signent... Les syndicats sont complices de l'abolition du droit. C'est ce qui se passe quand le contrat l'emporte sur la loi. Les syndicats ont signés, la CFDT en tête, C'est vrai ou c'est pas vrai?
Macron et les syndicats ne reçoivent pas leurs directives des citoyens et des groupes sociaux. ils obéissent chacun dans leur rôle aux ordres de la commission Européenne.

QUESTION: Pourquoi les syndicats, les partis politiques, et les journalistes cachent-ils à la population, la responsabilité des directives de l'UE dans la politique de Macron?
Pourquoi les syndicats ne montrent-ils pas le rapport qui existe entre les GOPE et Macron?
Il n'y a que l'UPR qui expose ce rapport, et c'est pourquoi l'UPR doit être ignoré de la population.

Les syndicats et les journalistes se gardent bien de prononcer les mots "UPR", "Souveraineté", "Frexit", "GOPE", et d'inviter des gens de l'UPR à débattre.
Sans l'UPR et le FREXIT, il ne peut pas y avoir de débat contradictoire car tout le monde, de la droite à gauche, défend l'UE tout en dénonçant ses effets, comme si l'UE n'avait aucun effet.....
Sans Gérard Filoche, spécialiste du droit du travail, il ne peut pas y avoir de compréhension des reformes des retraites, et pas seulement. Les journalistes devraient se faire un devoir éthique de faire connaître au grand public analyses de Filoche .

Informer la population avec les analyses contradictoires, de l'UPR sur la question de la France et de l'UE, et les analyses de Filoche pour la question actuelle des Retraites, serait faire acte de démocratie.
Alors non, vraiment, les journalistes ont perdu le sens de leur mission et les syndicats ont oublié qui ils représentent. Comme à propos de Macron, les syndicats pratiquent le trahison après la séduction suivie de l'élection.
Quand la trahison partout est de rigueur, il ne reste que les gilets jaunes, c'est à dire les Citoyens qui veulent le rester à tous prix.




LA REFORME DES RETRAITES

La réforme des retraites consiste en un détournement par l'Etat d'une part du salaire légitime dont les salariés organisent eux mêmes la gestion à l'aide d'une organisation privé.
La salaire se compose de deux parts. La part individuelle qu'on appelle le « Net », et la part collective qu'on appelle « les charges sociales ». Le salaire « Brut » est la somme de la part individuelle + la part collective.
En résumé, le revenu du travail qui appartient au salarié en propre est le salaire BRUT.

Avec le temps, les salariés n'ont plus la conscience qu'ils consacrent une part de leur salaire à la solidarité collective. Ils n'ont plus conscience que le montatnt des « charges sociales » leur appartient en propre, à titre privé aussi clairement que le « salaire net » leur appartient.

Macron s'appuie sur cette  confusion populaire  pour construire une reforme des retraites dont le seul objectif est de priver les salariés de la part solidaire de leur salaire pour gonfler le budget de la nation. Il s'agit pour Macron de compenser la perte de revenues de la Nation engendrées par la ventes des biens publics et collectifs. Il s'agit aussi entre autres de  faire payer aux salariés le CICE, et de compenser l'ISF ainsi que la fin programmées de la taxe locale. ....
Pourquoi cette politique. ? Parce que Macron ne travail pas à l’intérêt de la France et des Français. La France est un secteur à rentabiliser et les Français sont un obstacle à surmonter à l'aide des médias.
Les choix politiques de Macron ne consistent pas à améliorer la vie des gens, mais à optimiser ce qu'ils coûtent.

Les choix politiques de Macron conduisent à désindustrialiser la France, à délocaliser les entreprises qui restent pour qu'elles bénéficient d'une main d’œuvre moins cher ailleurs. À vendre aux entreprises privés tout ce qui est rentable pour le pays. Aéroports, Gares, Autoroutes, Routes nationales (en projet), le Gaz, l’électricité, l'Atome etc...
Alors il est normal que le chômage augmente quand le tissu industriel diminue. Le tissu industriel français a été divisé par 20 depuis les années 80, année de préparations de l'UE. Puis, avec l'UE avérée, la désindustrialisation c'est accéléré . Ce processus est vrai an France mais aussi dans tous les pays de l'Union sous Euro. Sauf bien entendu l'Allemagne. Ce  phénomène est essentiellement dû à un Euro bien trop élevé , sauf pour l'Allemagne pour qui l'Euro est sous évalué,, favorisant ses exportations....

La casse du système de retraites en France est la conséquence directe de l’appartenance de la France à l'UE alors même que le système de retraite tel qu'il est organisé ne souffre d'aucun déficit. Au contraire, il est  excédentaire de quelques 160 milliards. Casser le système de solidarité offre à l'état l'opportunité de mettre la main sur une manne financière exceptionnelle. Sauf que cet argent ne lui appartient pas puisque ce n'est pas un impôt mais une épargne privée.
Pourtant, l'Etat a déjà « vendu »  les montants de la caisse de retraite à des fonds de pension américains, sans le dire à personne et surtout sans le demander aux salariés. C'est exactement un vol crapuleux. Ni plus ni moins, qui justifierait devant une cour de justice constitutionnelle la révocation et la condamnation de Macron.

S'il n'y avait pas solidarité, il n'y aurait pas de « charges sociales de solidarité ». (Sécu, Vieillesse, Retraite etc...), et le salaire Net serait plus élevé, mais chacun devrait se débrouiller pour ses soins, et sa vieillesse.  C'est l'objectif de Macron. Sauf que dans sa vision, les gens devront se débrouiller seuls, non avec leurs revenus « Brut »  mais seulement avec leur revenu « Net ».
La perte de revenus sera pour le salarié être 40% et 50%. Ceci n'est pas une spéculation c'est la stricte réalité.

A la fin de cet article, il y a une vidéo où l'on voit Marine le Pen critiquer la réforme des retraites de Macron. Mais c'est l'UPR qu'il eu fallut entendre. Car il est évident que la politique de Macron n'est pas celle voulu par les Français mais celle voulu par l'UE, c'est à dire par l'Allemagne. Or, il n'existe qu'un seul parti en France pour revendiquer la souveraineté et l'indépendance de la France c'est l'UPR. Tous les autres partis sans exceptions cultivent l'UE. En conséquence ils sont inaptes à défendre les intérêts de la France et des Français.
Et c'est pourquoi Mr Asselineau Fondateur de l'UPR depuis 12 ans, prêche le FREXIT et sa vison de la justice sociale, dans le silence absolu des médias.

Depuis 2017, sous Macron, plus que jamais,  les médias font barrages aux idées alternatives. En particulier,« Cnews », doit tenir le rôle du démolisseur des discours d'opposition à Macron. Madame Le Pen est invitée car elle tient un discours d'opposition tout en protégeant l'idée de l'appartenance à L'UE.
Par contre un membre de l'UPR ou Mr Asselineau lui même ne sera jamais invité sauf pour lui interdire de développer une idée et lui couper la parole sans trêves.

On voit ces journalistes mettre en oeuvre un formidable noyage de poisson de toutes parts. Outre qu'il est inadmissible de la part des journalistes d'interdire à Marine le Pen (ou autre) de développer sa réponse, la question de la  reforme des retraites est toujours biaisée.

La question des points est un cheval de Troie, une diversion pour protéger la véritable attaque. L'age dit « pivot » est  simplement le nouveau nom de l'age de départ à la retraite décidé par Macron contre son propre discours d'investiture. Mais les mensonges et hypocrisies de ce Macron sont devenus légendaires...
Pourtant sur le plan politique il ne risque rien. Aujourd'hui, ce qui fait un homme politique c'est la séduction de l'image et du discours.  C'est pourquoi les chantres de l'UE ont placé Macron en tête des médias.

Résumons la situation.
Le salaire, c'est à dire: net +retraite + maladie+, vieillesse... C'est de l'argent PRIVÉ qui appartient au salarié complètement.
Ce salaire brut est partagé en deux. Le net pour le quotidien et la solidarité pour l'avenir...
Toute la part de cotisations sociale  qui va au pot commun appartient au salarié à titre PRIVÉ comme le livret A.  Cette part finance  une association des salariés à l'échelle de la Nation. C'est de l'argent PRIVÉ.

Ce que veut faire Macron c'est prendre cet argent privé (et collectif) pour en faire de l'argent public c'est à dire le donner aux banques. Exactement comme s'il prenait d'autorité l'argent de la cotisation de l'association sportive pour le donner aux banques. IL N'Y A PAS DE DIFFÉRENCE.

La réforme des retraites signifie exactement la division par deux de la masse salariale. En supprimant les cotisations de solidarité, il divise par 2 le revenu du travail pour le salarié. Il supprime la moitié du salaire pour chaque salarié, veuillez vérifier mes propos par vous même.
IL FAUT LE LUI INTERDIRE PAR TOUS LES MOYENS.

Le programme de Macron pour la France  n'existe pas. Lui même l'a dit en 2017. Après son élection il a mission d'exécuter le programme décrété par l'Allemagne pour la France , à savoir les GOPE.
Ce n'est pas un gros mots. C'est un document consultable sur internet, très clair très facile à lire et toute la Politique froide et autiste de Macron s'explique.

IL EST IMPÉRATIF DE CHASSER MACRON DE LA POLITIQUE 
EN VOTANT 
POUR LE SECOND CANDIDAT QUEL QU'IL SOIT.




LE FREXIT
Sur la question de l'Euro, du Brexit, de l'article 50 de la souveraineté, pourquoi est-ce que l'UPR n'est pas invité? Ici les invités découvrent des choses que l'UPR expose et explique depuis des années avec raison. C'est pour cela que l'UPR et en particulier ASSELINEAU est privé systématiquement d'antenne. Donner le FREXIT à penser au public, faire comprendre les GOPE à l'origine de la casse des services publics des retraites etc, expliquer pourquoi le danger c'est l'Euro etc etc... c'est à dire faire œuvre de démocratie en proposant des analyses à la place de pensées toutes faites, est tout ce qu'il y a de plus redouté par  le macronisme et les autres européistes.
Je vous invite Mesdames et Messieurs qui me lisez, de prendre le temps de découvrir les analyses de l'UPR. Que vous y souscriviez ou pas, vous ne serez pas déçu.

https://youtu.be/HYTB6aGvVGU



L'INFLATION REPRESSIVE
Macron pratique la politique de la terreur pour dissuader les manifestants. Ne pas oublier qu'il a établit l'état d'urgence comme étant l'état naturel de l'ordre publique. Il a ouvert la voie à l'inflation répressive.
Toute sa politique sociale relève de l'abolition du droit et sa politique tout court est une démolition systématique de la République. Voyez la direction qu'il prend dans tous les domaines (politique extérieur,  industriel  sociale...). 

Si on veut conserver la France, il faut le stopper.
Comment?
En faisant voter par "nos" députés une loi de justice médiatique.
Toutes les propositions politiques doivent être entendues par le grand public et débattues devant lui. Il n'y a que la démocratie qui soit opposable à Macron et il n'existe pas de démocratie sans la circulation LIBRE des idées.

dimanche 17 novembre 2019

Gilets Jaunes Anniversaire N°1

     La source de tous les maux qui mettent les gilets jaunes dans la rue, c'est l'endettement qui ne peut pas être traité de façon souveraine car la France n'est plus administrée par le peuple à travers son gouvernement élu mais par l'Union Européenne.

     Personne ne comprend ou ne veut comprendre que les questions de partage et de lutte contre la paupérisation ne deviennent possibles que dans un État souverain.

    Personne ne veut comprendre y compris parmi les Gilets Jaune que les luttes contre la paupérisation, contre la destruction des services publics, contre la vente des biens communs au profit des plus riches sont rendues impossible par l'UE en vertu des traités.
    Ainsi les Gilets Jaunes sont-ils amenés in-finé à soutenir la cause des effets qu'ils dénoncent.

    Les gilets jaunes ce n'est pas un mouvement politique, c'est un mouvement populaire qui réclame une politique de partage et de solidarité.
    Il serait donc nécessaire que chaque Gilet Jaune, chaque citoyen,  cherchent quelle structure politique peut soutenir la cause du partage. Y compris et surtout, quelle mouvement politique propose de restituer le contrôle politique au peuple.

     Endettement : sur le plan comptable on peut toujours définir une zone d’endettement d'une nation, mais par définition, une nation est souveraine et de ce fait, le concept de dette ne lui est pas applicable. En effet la monnaie est la quantification de l'échange. Mais si un État accepte de ne plus être souverain, c'est pour précisément pouvoir lui appliquer le principe de la dette.
Nonobstant, un abandon de souveraineté est un coup d'Etat contre le peuple car la République n'est autre que la souveraineté du peuple sur le peuple par le peuple, et non celle du voisin.

La dette et les 3%, la souveraineté et l'UE, voilà un sujet où Asselineau a toute sa place. N'oublions pas qu'il est expert de l'UE et des finances publiques. Pourquoi n'est-il pas invité à débattre ? De peur qu'il ne soit connu ?

     L'homme politique qui surgirait du peuple, nous déclare Onfray est celui qui mettrait en œuvre la vraie politique de sauvegarde et de sécurité par le partage (je résume).
Mais l’émergence d'un tel homme "providentiel" est rendu impossible par tous les maastritchiens. Comment se hisser au dessus du pouvoir en place sans rien leur devoir ?
Comment occuper une place dans le paysage politique économique et social des gens sans exister médiatiquement à minima?

     L'UPR pourtant existe. Qui connaît son existence et ses propositions?
Ce parti a le mérite d'être plébiscité alors que les autres sont financés, c'est à dire endettés et donc contrôlés par les maastritchiens. De plus l'UPR est le seul parti pro-frexit, c'est à dire qui s'oppose clairement au coup d'état permanent de l'Allemagne sur la France derrière l'alibi de l'UE.
Aujourd'hui l'UPR est la seule proposition politique possible. Sans sortir de l'UE de l'OTAN et instaurer le référendum révocatoire, aucune politique qui formaliserait la raison des Gilets Jaunes ne pourra voir le jour.

     Questions:
Pourquoi l'UPR est-il interdit d'antenne?
Pourquoi Mr Onfray est-il interdit de F.Culture et des grands médias ?
Parce que le pouvoir ne veut pas de débat réel. Donner la parole aux Idées, aux analyses, c'est cultiver la démocratie, ce qui est radicalement contraire à Maastricht.

samedi 16 novembre 2019

République et islam: l'amalgame

Le poids de l'islam
Nous sommes quotidiennement abreuvé, gavé, saturé, d'islam. Radio, télé, journaux, internet, dans la rue, dans les espaces publics et dans l’entreprise privée, dans les institutions de la République.
Le problème c'est quand l'islam est présent partout comme si la culture tout entière de la République française ne peut plus aujourd’hui exister que sous perfusion d'islam.

La violence culturelle c'est quand une doctrine est présente partout. Quand elle est imposée comme une publicité ou comme la doctrine au forcing médiatique, des bienfaits de l'Union Européenne.
A l'instar du pouvoir politique dominant, la République donne à l'islam ce statut d'omniprésence dans tous les domaines sociétaux, sauf que ce n'est ni le parti politique dominant, ni une publicité ni l'UE. 

Tous les médias, tous les partis politiques, toutes les officines de pouvoir relayent et amplifient le prosélytisme islamique au nom de la République.
Le problème ce n'est pas l'islam en son ontologique nature, c'est la République qui nous gave d'islam jusqu'à l'overdose.

L'égalité laïque en question
Pourquoi un tel tapage à propos d'une religion dans la République laïque ?
Qu'est-ce que l'islam a de si particulier pour que cette doctrine occupe tous les médias à propos du droit ? Et pourquoi une religion éprouve t-elle le besoin de dicter le droit à la République ? 
Ce brouhaha médiatique est l'origine principale des tensions sociales. Être la cible d'une telle pression médiatique en raison de son appartenance religieuse est la source la plus virulente de paranoïa dans toute la population y compris chez les musulmans dont l'immense majorité, au milieu de ce tohu-bohu médiatique gardent le cap de la civilité. 

Si la question du droit de l'islam dans la République est d'une si grande importance, pourquoi les médias sont-ils abyssalements muet sur le droit des autres doctrines comme les bouddhistes, des juifs, des orthodoxes des anglicans, des adorateurs du fa dièse et des idolâtres de l'oignon ?

Les partisans du FREXIT par exemple auraient aujourd'hui une place particulièrement justifiée dans les médias. Or, qui connaît l'UPR et ses propositions sociales politiques et économiques? A eux tout seul, les partisans du Frexit ne sont ils pas au moins aussi nombreux que les adeptes de l'islam ?
Pour la République, le message politique de l'islam est-il plus important que le message politique de l'UPR?
Un parti politique crédible authentifié et validé par la République n'est-il pas plus légitimes qu'une religion pour occuper la scène médiatique ?
Pourquoi tout sur l'islam et rien sur le FREXIT?

Islam bicéphale
Le problème s'il en est, ce n'est pas la force de pénétration médiatique, culturelle et politique de l’islam. C'est la démission de la République.

On ne peut pas reprocher à l'Islam son fondement culturel religieux politique et prosélyte. De ce fait, on ne peut pas reprocher à l'islam de chercher à combler les vides de la République, ce serait en effet lui reprocher d'exister. Le vide de la République en l'état, vient de ce que la République ne sait pas intégrer une doctrine bicéphale, c'est à dire à la fois religieuse et politique. La République ne sait pas gérer dans la laïcité, une religion dont l’éthique relève autant de la spirituelle que du politique.

La part politique de l'islam est profondément prosélyte la part religieuse ne l'est pas. Comment laisser librement s'épanouir la part religieuse de l'islam tout en rendant caduque la manifestation de sa composante politique? La réponse est simple, en l''état de l'islam et de la République, c'est strictement impossible.

Intégrer en son sein une religion théocratique, c'est ce que la République ne sait pas faire. C'est par cette faille que s’épanouit le prosélytisme politique de l'islam. A nous citoyens, il appartient de bien distinguer les deux composantes de l'islam.

Voile sur l'amalgame et islamophobie
En tant que religion dans la République, la question du voile n'existe pas.
En tant que «mouvement» politique, le voile change de statut ; il devient «Le voile islamique» et la question du voile s'avère centrale car il est « LE » signe ostentatoire censé occuper tous les espaces possibles.

On voit bien que l'inextricabilité de la question du voile procède d'un amalgame entre les deux composantes de l'islam. C'est l'« Amalgame ontologique » qui, s'agissant d'une religion n'est pas usuelle dans les consciences et échappe à dessein aux politiques.
L'amalgame ne consiste pas comme il est scandé dans les médias, à assimiler tous les adeptes de l'islam au terrorisme, mais à évincer de notre représentation, la composante politique consubstantielle à la composante spirituelle pour former la doctrine de l'islam.

L'amalgame devient ontologique quand l'idée usuelle d'une religion uniquement spirituelle empêche de voir la composante politique qui anime et justifie la dite religion.
L'amalgame ontologique c'est de ne voir l'islam que comme une religion qui serait conforme à notre conception usuelle de la chrétienté, c'est à dire débarrassée de tous fondements et ambitions politiques.

En réalité, l'islam est une religion théocratique c'est à dire une doctrine qui possède une composante religieuse intriquée à une composante politique. La composante politique possède son propre corpus législatif son corpus diplomatique et son exécutif. Dans les médias et dans le public, cet «amalgame ontologique» échappe totalement à la perception usuelle de cette doctrine.

L'islamophobie signifie littéralement « peur de l'islam ». L'islamophobie procède de deux sources. L'amalgame ontologique des deux composantes confondues dans la composante religieuse, et l'amplification médiatique de l'ignorance et de la confusion qui se traduit dans l'idée de l'amalgame commun (les bons et les méchants) en vertu duquel il est rendu possible de considérer que des musulmans responsables d'actes terroristes ne relève pas de l'islam. Autrement dit, la vapeur ce n'est pas de l'eau puisque l'eau n'est conçue dans les média que en tant que liquide. Le terrorisme serait-il lié à l'islam par un malheureux hasard ? L'islam autant que la République doivent regarder la vérité les yeux ouvert pour faire bon ménage ensemble.
L'amalgame usuel relève autant de la confusion avec la chrétienneté que de l'ignorance. Confusion et ignorance engendrent naturellement la peur puis la violence. Une peur d'autant plus paranoïde que le tapage médiatique amplifie l'amalgame. La peur de ce qui est confus et envahissant n'est-il pas tout à fait naturelle ?

Il résulte de tout cela qu'en vertu de la composante spirituelle de toutes religions dignes de ce nom n'est qu'amour, toutes les religions relèvent de la politique. On peut dire qu'une religion c'est du sacré qui fait de la politique. Un séparant ces deux propriétés de la religion,la République permet à la religion de revenir entièrement à la culture du sacré.
La nature de l'islam est ontologiquement contraire à la séparation des activités politiques et spirituelles car le fondement de l'islam c'est précisément l'intrication des deux activités.

L'islamophobie vient de l'inconnaissance massive de la nature de l'islam. La composante politique de l'islam agissant de façon cachée et inconcevable pour une religion fait que l'islam engendre légitimement la peur. D'autant plus grandissante que s'appuyant sur l'ignorance de sa structure bicéphale, l'islam met à l'évidence la République en échec. Mais en réalité ce n'est pas l'islam qui met la République en échec, c'est sa composante politique associée à l'ignorance de son statut de théocratie.

L'amalgame ontologique
Culturellement on est habitué à considérer que dans la République, grâce à la séparation des églises et de l'état (laïcité),une religion ne peut pas être prosélyte puisque la République permet à toutes les confessions de s'exprimer. Mais la particularité théocratique de l'islam met la République et sa laïcité en échec. En effet, l’amalgame ontologique de l'islam échappe à l'entendement du commun et de la République. Ce qui permet à la doctrine de rendre paradoxale (donc impossible) la définition du statut de l'islam.
Le couple intriqué «religion et politique» hors de porté des consciences construites dans la culture chrétienne et dans la République, permet à la doctrine de brouiller le message des sources du terrorisme en changeant le statut de «l'amalgame ontologique» en «amalgame commun» entre les bons et les méchants.

Ainsi, en effet, dans les consciences, la question du terrorisme n'a rien à voir avec la religion usuellement conçue; c'est à dire, rien à voir avec la composante religieuse. Si la composante politique de l'islam est niée, il n'est plus possible de rapporter le terrorisme ni à cette composante ni à la composante religieuse.

La question du terrorisme exprime une fonction de l'exécutif de la part politique de l'islam. Cette part politique dans l'acte n'est pas la part religieuse. Par ailleurs, la négation de la part politique de l'islam permet d'évacuer le terrorisme de la doctrine.

« L'amalgame » ce n'est pas l’indifférenciation entre les gentils et les méchants, l'amalgame c'est l'assimilation de la composante politique à la composante religieuse, pour rendre cette doctrine intriquée, conforme à la perception usuelle d'une religion exclusivement consacrée au sacré.

La difficulté relationnelle avec l'islam vient de ce que cette doctrine est comme de la nitroglycérine, quand on la remue un peu, elle risque d'exploser beaucoup.

La République en question
Notre conception républicaine du religieux ne nous permet pas de comprendre l'amalgame du politique et du religieux. C'est dans l'intrication de ses deux composantes, que l'islam se fonde et c'est parce que cette intrication est le fondement de l'Islam que l'islam ne peut pas se réformer.

En vertu du principe de laïcité il n'est pas pensable d'interdire l'islam. Mais lorsque l'islam se manifeste ce n'est pas la composante religieuse qui pose un problème à la République c'est la République qui pose un problème à la composante politique de l'islam.

La pression prosélyte de la composante politique de cette doctrine à laquelle se heurte notre culture, nous oblige et nous force à repenser la République à la fois pour que la composante religieuse de l'islam y trouve sa place légitime dans le cadre de la laïcité; et que sa composante politique ne puisse plus faire pression sur la République. C'est pourquoi la seule façon de faire une place harmonieuse à l'Islam dans la République est le renforcement des institutions Républicaines. 

En Résumé
La composante cultuelle de l'islam n'est pas en cause dans le débat national. Seule la  composante politique de cette doctrine est la révélatrice historique des faiblesses de la République.

La République génère le cadre de la loi. Par essence, aucune puissance extérieure n'a vocation à la lui dicter. Il en va ainsi de la France envers l'OTAN, l'UE qui sont des entités politiques déterminées et aussi l'islam qui est une entité ambiguë.
Pour la République l'islam se trouve dans un inextricable état superposé entre religion et parti politique. Mais dans la République, une entité ne peut occuper qu'un seul statut, religieux ou politique. L'islam par essence occupe les deux statuts à la fois. 

Il appartient à la République et la République seulement de construire ses institutions. La question du voile islamique n'est qu'une expression des complications que traverse la République dès lors ou elle a choisi de se mettre au service des puissances extérieures au lieu de se mettre au service du peuple car en abandonnant sa souveraineté de la sorte, elle abandonne aussi les valeurs de la République.

Annexe:
Non, les propos de Zemmour de donnent pas à diviser mais à comprendre. Il n'existe que de l'analyse des rapports République et islam dans son propos. Il n'existe aucune parole xénophobe dans le propos de Zemmour. Il n'y a pas d'exemple. 
A ses analyses, dans le soucis de donner à comprendre une problématique que les médias refusent de proposer au public, on lui oppose des opinions. C'est à la fois indigne d'intellectuels et cela prête à rire. 
Ces gens qui cultivent le mot "racisme" comme bouclier de l'intelligence alimentent, le climat social délétère dont  les adeptes de l'islam et ceux qui n'en sont pas sont les premières victimes. Victimes de l'ignorance, victimes de la paranoïa cultivée médiatiquement. A quelle fin? Chacun se fera son idée.

lundi 28 octobre 2019

L'énergie

La thermodynamique en général

L' énergie c'est la quantification du changement d'état d'un système. Pour l'économie, elle s'appelle la monnaie. La quantité de monnaie est un invariant, sa circulation, transforme l'état des systèmes qui procèdent à des échanges de monnaie.
Mais s'agissant de l'énergie au sein de la nature, il est impossible de savoir qu'est-ce que l'énergie véritablement. Quand l'état dans système a changé on sait seulement que de l'énergie est passé par là.

L'énergie concevable par l'esprit humain se limite à l'échange entre deux type de quantifications, le mouvement et le rayonnement; rien d'autre. 
 
Il est établi que le champ de représentation du réel par notre conscience à savoir le monde est très réducteur du réel complet, ce dans une proportion inconnaissable. Le réel est sorti de l'imaginaire aristotélicien. Il se fonde sur la relativité et le monde quantique des particules. Ces deux phénomènes échappent totalement à nos sens directs ou amplifiés par des instruments. Mais ils se révèlent à notre conscience par l'examen approfondie des incohérences et des évidences.
Les fentes de Young par exemple pour la mécanique quantique, et la chute des corps pour la relativité.
Tout changement d'état appartenant à des systèmes au-delà de notre perception n'existent pas pour notre entendement et n'entrent pas dans notre perception directe ou indirecte.

En vertu de la loi de la thermodynamique, tout changement d'état d'un système clos conserve la quantité d'énergie à l'intérieur du système. Mais de façon usuel, il n'existe pas de systèmes clos.

Le seul système clos qui soit concevable est l'univers tout entier. À partir d'un point de référence quelconque, une sphère de 14 milliards de parsec (à cause le l'expansion) constitue la bulle d'univers à l'intérieur de laquelle le système est considéré comme clos, et donc à l'intérieur de laquelle l'énergie est conservée.

La quantification du changement d'état d'un système n'est pas l'énergie proprement dite mais seulement sa mesure, c'est à dire la preuve de son passage. Comprendre en substance ce qu'est l'énergie, revient à identifier un champs qui serait la source première de tous changements d'état dont les quantifications sont la trace.
La manifestation de l'énergie sous forme thermodynamique étant la seule accessible à nos sens, il est vraisemblable de penser que l'énergie (en substance) étend son champs bien au-delà de nos sens.

La vie par exemple comme phénomène est un changement d'état permanent. La cinétique et la thermodynamique (bouger penser chauffer) sont des conséquences de ce changement d'état et non la cause. De quoi ce changement d'état producteur de vie est-il le nom?

L’idée de dieu, commence là ou commence notre ignorance.

La mécanique quantique et la relativité

Une particule n'est ni un corpuscule ni une onde. C'est autre chose que notre esprit ne peut pas se représenter. L’expérience des fentes de Young montre qu'une particule peut être dans l'état A ou B ou A+B selon l'état des fentes. Un détecteur uniquement sensible à l'état A ou B ne peut pas rendre compte de l'état A+B. On dit abusivement qu'il "force" la particule à choisir au hasard son état après la mesure parce que le système de mesure ne peut "comprendre" que A ou B. 

Une particule est donc un système d'états superposés qui vu du macro-univers fonde le principe d’indétermination (Heisenberg).
La superposition des états d'une particule est la clef de voûte de la MQ.
Pour l'explorer, Einstein l'a étendu à une paire de particule. La superposition qui devient alors intrication, viol la relativité.
Or, la Relativité est vraie, et l'expérience d'Alain Aspect montre de façon irrévocable que l'intrication est vraie aussi.
D'autre part, la matière ordinaire relève d'une collection quasi infinie de particules superposées. Dans ce cas la superposition n'existe plus. La matière, cadre de la physique classique est déterminée.

Le réel n'est pas seulement la matière mais aussi et surtout le processus qui en passant de l’échelle des particules à celui de systèmes de particules (matière courante) fait disparaître la superposition par le principe de décohérence.

Quand un processus échappe à nos sens il est naturel de vouloir le ramener au déterminisme.

Il n'y a que les math et l'imagination pour, au delà de nos sens, aller à la rencontre du réel.
Seulement voilà que la MQ échappe à l'expérience de pensée. C'est pourquoi la MQ ne peut être qu'un formalisme mathématique.

La relativité et l'intrication sont contradictoires sur la question de l'espace temps. C'est donc l'espace temps à l'échelle quantique qu'il serait judicieux d'interroger.

Pour rendre compatible l'intrication et la relativité on peut imaginer qu'il existe une dimension qui courbe infiniment l'espace temps à l’échelle des particules, qui les rapproche rendant possible le passage d'informations sans violer la relativité. Puis cette dimension supplémentaire à l'échelle quantique décroit par quanta (h x.... ?) avec la croissance de la décohérence  qui conduit à la croissance des systèmes de particules liées, c'est à dire à la matière ordinaire.

vendredi 18 octobre 2019

L'école du voile

La loi dit : ".... Tant qu'il n'y a pas de prosélytisme...!".

Mais pour la femme qui porte le voile, qu'elle le veuille ou non, le port du voile est un acte de prosélytisme qui inscrit l'islam profondément dans la société car il se vie au quotidien partout comme mode de vie, comme option politique possible et qui in-finé se veut "concurrence" à la République

La République quant à elle, se veut par principe, ouverte. Se fermer aux autres serait une défaite de la République. C'est cette faculté d'ouverture républicaine qu'exploite l'alternative islamique dans le champs législatif social et politique.

La question du voile est plus importante que le droit ou la (bonne ou mauvaise) volonté des impétrantes qui en ont parfaitement conscience. Le voile cherche à s'imposer partout ou c'est possible au prétexte que le droit ne peut trancher sans renier la République. Vouloir imposer le voile sans la moindre considérations pour la paix publique est significatif d'un rejet de la culture majoritaire.
La question du voile est d'avantage une question de responsabilité vis à vis de la République qu'une question de droit communautaire à n'importe quel prix.

Pour l'islam comme pour n'importe quelle autre courant de pensé, exister dans les médias de toutes les façons possibles y compris par la victimisation et le martyre est le meilleur vecteur prosélyte qui soit. Pour vendre de l'audience, les médias ne s'en privent pas et l'islam jubile.

Le voile à l'école pose problèmes. C'est ainsi!  Alors, pourquoi l'islam veut-il l'imposer ?
L'islam est-il incapable de s'adapter?
L'islam Préfère t-il être source de conflit public et de divisions au lieu de paix et de concorde?
L'Islam en tant que culte est-il compromis si les femmes renoncent au voile dans certaines circonstances?
Au nom de la laïcité revue et corrigée par la République confrontée à l'islam, est-il nécessaire de rependre partout les signes forts de cette religion?

Souvenons nous, pour avoir "la paix", la République à interdit les traditions culturelles séculaires  que sont la crèches de Noël et du sapin à l'école. Et  en échange le  voile veut s'imposer à l'école. N'est-ce pas ainsi?
La pénétration de l'islam est sans trêves ni repos, et je ne vois pas à quel propos la République influe l'islam.

En renonçant à la soutane, les curés n'ont pas porté atteinte au christianisme, ils se sont adaptés... Pourquoi l'Islam comme religion de la paix ne peut-il s'adapter? Parce-que l'islam étant une théocraties (dominer et s'imposer est un "pilier" de l'islam...), s'adapter serait renoncer à son propre fondement.

Parler du voile alimente le prosélytisme que la loi condamne tout en inscrivant durablement l'islam dans le paysage culturel politique et social.
Parler du voile à chaque occasions confère à l'islam toute l'audience nécessaire à sa promotion dans le domaine du droit du politique et du social, bien d'avantage que pour d'autres partis politiques qui se voient interdits de médiatisation (...).

Faire une loi sur le voile, ce serait renoncer à l'idée de liberté chère à la République. Pour l'Islam, La responsabilité vis à vis de sa doctrine l'emporte sur la responsabilité vis à vis de la République. La force de la République c'est aussi sa faiblesse.

Plongé dans la République, l'islam c'est comme de la nitroglycérine. Si on la bouscule un peu elle explose beaucoup.

mercredi 16 octobre 2019

LE PRIX NOBEL D'ECONOMIE

S'agissant de la pauvreté, es travaux économique de Duflot ne traitent absolument pas du fond du problème mais seulement de l'extrême périphérie. Elle ne traite pas des sources et des causes de la pauvreté mais de l'efficacité de l'économie appliquée dans le domaine social pour optimiser son coût. Elle a reçu le Nobel parce que son approche permet au système financier de faire des économies tout en préservant l'idée d'efficacité de l'économie sur la pauvreté.

Pour éradiquer la pauvreté dans le monde il faut simplement apprendre à partager. Mais partager n'est pas un paradigme. Partager fait partie simplement de la morale à l'échelle individuelle. Et quand partager n'est qu'une idée de pauvre elle devient immorale car elle va contre le principe du mérite. Le principe du mérite est en lui-même issu du paradigme de la rétention. Le paradigme de la rétention n'étant pas dialectique à l'échelle de l'ontologie, il est invisible aux consciences....
La pauvreté n'est pas en effet de l'économie mais en effet des consciences.
Traiter la pauvreté dans l'économie comme le fait Duflot avec son prix Nobel c'est s'occuper des effets pour préserver les causes.

dimanche 13 octobre 2019

Le syndrome Zemmour

Eric Zemmour est un homme cultivé qui observe le monde avec une acuité lucide. Il connait bien l'histoire et ses enjeux, il expose les mécanismes politiques et sociologiques avec clarté. Il expose les faits contemporains et construit des raisonnements falsifiables. Il fonde des hypothèses à propos de l'évolution des cultures des sociétés et des politiques qu'il livre courageusement et sans filets.

Zemmour est un homme ouvert aux idées, toutes les idées, ouvert aux débats, tous les débats. Qui peut montrer le contraire?

D’où vient donc l'idée que son propos est non fondé?
Au lieu de débattre, au lieu de lui opposer des idées par la raison, on l'insulte et on "l'accuse". On lui oppose une intention qui ne l'anime pas mais qui au contraire anime ses accusateurs. Elle ne se fonde pas sur la peur mais sur la peur d'avoir peur.
On l'accuse de façon brutale et pulsionnelle car, par la raison, il ouvre les yeux des gens qui ne veulent regarder la vérité que les yeux fermés.

À la raison qui anime le propos de Zemmour on oppose l'opinion la morale et la décence..(!). Pourquoi? Parce que son propos fondé sur le réel est incontestable. Il est très difficilement opposable à l'intelligence. En toute honnêteté intellectuelle ses analyses et ses déductions sont justes. Si ce n'était pas le cas, il serait facile par la raison, d'en rire au lieu de l'accuser.

Pourquoi les médias lui donne t-il la parole? 
Parce qu'il fait de l'audience et donc du chiffre.
Dans la stratégie des médias, le soucis de vérité est toujours accidentel. La vérité est toujours un mal nécessaire quand il est possible de l’étouffer . Si le souci de démocratie animait les médias, la parole  serait donnée à toutes les alternatives politiques contradictoires.

Par exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de l'étouffer car elle ne relève pas de  la peur mais seulement de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de démocratie que le pouvoir confisque de place en place.

Les discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place sont strictement interdits dans ce pays.
Et en face de Zemmour il n'y a simplement que la confiscation de la démocratie et la démission de la République.

Donner la parole à Zemmour rapporte plus que de la lui confisquer. Face à un détracteur démuni envahissant et sans arguments qui ne sait qu’empêcher l'autre d'exister, qui veut l’entraîner sur le terrain de l'opinion et de la pulsion, il garde toujours sa raison. Pourtant "on" le trouve insultant, alors qu'aucune insulte, aucun jugement moral jamais ne vient troubler l'exposé de ses analyses. Vous pouvez chercher, ça n'existe pas.

Le prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat Sifaoui/Zemmour (1) est le même que le voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte qu'elle n'explose.

Zemmour n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs; l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.

(1) Débat Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews


Eric Zemmour est un homme cultivé qui observe le monde avec une acuité lucide. Il connait bien l'histoire et ses enjeux, il expose les mécanismes politiques et sociologiques avec clarté. Il expose les faits contemporains et construit des raisonnements falsifiables. Il fonde des hypothèses à propos de l'évolution des cultures des sociétés et des politiques qu'il livre courageusement et sans filets.

Zemmour est un homme ouvert aux idées, toutes les idées, ouvert aux débats, tous les débats. Qui peut montrer le contraire?
D’où vient donc l'idée que son propos est non fondé?

Au lieu de débattre, au lieu de lui opposer des idées par la raison, on l'insulte et on "l'accuse". On lui oppose une intention qui ne l'anime pas mais qui au contraire anime ses accusateurs. Elle ne se fonde pas sur la peur mais sur la peur d'avoir peur.
On l'accuse de façon brutale et pulsionnelle car, par la raison, il ouvre les yeux des gens qui ne veulent regarder la vérité que les yeux fermés.

À la raison qui anime le propos de Zemmour on oppose l'opinion la morale et la décence..(!). Pourquoi? Parce que son propos fondé sur le réel est incontestable. Il est très difficilement opposable à l'intelligence. En toute honnêteté intellectuelle ses analyses et ses déductions sont justes. Si ce n'était pas le cas, il serait facile par la raison, d'en rire au lieu de l'accuser. 
Pourquoi les médias lui donne t-il la parole? Parce qu'il fait de l'audience et donc du chiffre.

Dans la stratégie des médias, le soucis de vérité est toujours accidentel. La vérité est toujours un mal nécessaire quand il est possible de l’étouffer. Si le souci de démocratie animait les médias, la parole serait donnée à toutes les alternatives politiques contradictoires.

Par exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de l'étouffer car elle ne relève pas de  la peur mais seulement de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de démocratie que le pouvoir confisque de place en place.
Les discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place sont strictement interdits dans ce pays.
Et en face de Zemmour il n'y a simplement que la confiscation de la démocratie et la démission de la République.

Donner la parole à Zemmour rapporte plus que de la lui confisquer. Face à un détracteur démuni envahissant et sans arguments qui ne sait qu’empêcher l'autre d'exister, qui veut l’entraîner sur le terrain de l'opinion et de la pulsion, il garde toujours sa raison.
Pourtant "on" le trouve insultant, alors qu'aucune insulte, aucun jugement moral jamais ne vient troubler l'exposé de ses analyses. Vous pouvez chercher, ça n'existe pas.

Le prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat Sifaoui/Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews est le même que le voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte qu'elle n'explose.

Zemmour n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs; l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.


Dans le débat Asselineau /Zemmour, la rhétorique de Zemmour ne tient pas devant la logique d'Asselineau. Zemmour évite soigneusement d'approfondir la question du FREXIT. Il explique que les français sont lâches et timorés. Si les Anglais font le BREXIT c'est parce qu'ils ont une mentalité de vainqueur! Ce n'est pas un argument...
En tout, ce n'est plus la France ni les français qui décident. C'est un fait.

Travaillons d'abord ensemble au retour à la souveraineté, ensuite on peut discuter avec les français du destin de France. On appel ça la démocratie selon Asselineau et selon les gilets jaunes.

La rhétorique de Zemmour c'est du vent. Comme le Pen, il occupe la place et le rôle de l'épouvantail utile, sinon il serait interdit d'Antenne comme Asselineau.
Cependant, Zemmour a raison dans le sens où La France est conquise, je dirais "rongé", très lentement de l'intérieur par l'islam politique, c'est à dire l'Islam tout cours.

Asselineau a raison quand il dit qu'on est conquis de l'extérieur par l'Union Européenne et qu'il convient d'en sortir par la voie de la loi et non par celle des voyous qui s'assoient sur la loi comme le prône Melenchon et d'autres.
Le bilan prospective de cette situation c' est une France transformée politiquement en landers administrés par l'Allemagne. Qu'il y ai dedans des régions à gouvernance musulmane n'empêche pas de nommer ce groupe de landers "la France", évolution possible qui ne semble pas interroger Gérard Miller.

Voilà où nous mène la politique médiatique de Macron. Il est temps que des gens comme Asselineau soient entendus par les citoyens. ... Alors oui, "Justice médiatique" avant tout encore et toujours car il appartient aux médias de donner aux Français toutes les offres politiques. Et ensuite à eux de décider.

Pérorer sur la démocratie ici et là est un cul de sac. Sans justice médiatique. Pas de démocratie possible.


mercredi 25 septembre 2019

Effet de Serre ou TERREUR CLIMATIQUE

Je vous propose le tableau ci dessous pour vous faire une idée par vous même du rôle du carbone dans l'effet de serre.
On voit bien la dedans que le gaz carbonique joue un rôle symbolique. De plus l'effet de serre lié au carbone ne peut pas augmenter au dessus de 0,04% de concentration dans l'atmosphère. Les lois de la physique ne se discutent pas.

Je suis de plus en plus en colère d'entendre cette folie mondiale sur "le réchauffement climatique".
Cette thèse est insensée et véritablement complotiste contre les peuples. Sinon, pourquoi le débat contradictoire sur cette question dite "cruciale" n'est même pas envisageable? N'hésitez pas à me répondre en bas si je fais erreur.

Le Giec n'est qu'une collection d'administrateurs au services des politiques.
Le Giec les médias et les politiques, ensemble, font croire à la population que tous les experts sont unanimes sur la question du climat. Mais non, c'est un mensonge délibéré. Au moins la moitié des experts disent le contraire. Le Giec lui-même est obligé de falsifier les rapports qui ne sont pas conformes à la messe ambiante "le carbone c'est pas bon, et la terre se réchauffe et la mer monte et on va tous mourir... etc etc..."
Un certain nombre de scientifiques dont les rapports ont été falsifiés avant publication ont attaqué le Giec en justice....

Au Giec, ils construisent des modèles de climat complètement faux et fantaisistes. Les mesures réelles depuis 30 ans disent le contraire de leurs modèles. Selon les mesures réelles, la température moyenne du globe est une constante.
Les variations de température sont naturelles et correspondent à des cycles solaires et terrestres, plus ou moins longs qui se combinent. Il est juste impossible de porter la connaissance de la nature... que dis-je la connaissance tout cours à l'esprit du public. (devinez pourquoi?)

On raconte que l'Arctique est en train de fondre, c'est vrai.
On raconte que l'Antarctique est aussi en train de fondre, c'est faux, il prend de la masse (les mesures).
On raconte que le gaz carbonique est responsable de l'effet de serre. C'est faux. Le gaz carbonique est à 0,035% de concentration dans l'atmosphère. Élevé à 0,04% l'effet de serre ne progresse plus, il est saturé (loi de la physique)
De plus le gaz carbonique est la nourriture des plantes. Elles en ont d'autant plus besoin que l'homme déforeste à tour de bras. (devinez pourquoi?)

Par contre 99% de l'effet de serre vient de la vapeur d'eau qui forme les nuages. La masse nuageuse est un "régulateur" atmosphérique de la température moyenne du globe.

Les modèles du Giec sont tellement faux, que si on entre les données du Crétacé dans leur système, la terre aurait dû atteindre la température moyenne de 380°Celsius...

Le Giec et "la terreur climatique" entretenue par les médias, ne servent qu'à une seule chose: "créer du besoin" pour faire tourner la machine capitaliste qui est à bout de souffle. Ils inventent n'importe quoi pour vendre des éoliennes, et autres technologies inutiles qui consomment plus d'énergie qu'elles n'en produisent mais sont avant tout un extraordinaire investissement capitaliste.
La technologie actuelle des énergies dites "renouvelable" accentue drastiquement la pollution en la décentralisant pour la rendre invisible sous nos cieux.

Apprendre à vivre mieux avec moins d'énergie devrait être la piste prioritaire pour contrer la soi-disante "terreur climatique" . Ce n'est pas le cas. (Vous devinez pourquoi?)

Le problème ce n'est pas le climat, c'est le système économique basée sur le principe de rétention.
"Je sais moi", pourquoi et comment passer du paradigme de rétention au paradigme de partage, et dans les consciences et dans les politiques... Et voilà...

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Liens >>> Composition atmosphérique

mercredi 28 août 2019

L'effet de serre monomaniaque

2019-08-28

Ce qui est important ce n'est pas ce que raconte les détracteurs d'une thèse ou d'une autre sur l’énergie, le climat, l'effet de serre etc... La vraie question c'est l'absence absolue, qui est comme une interdiction, d'un débat national sur ces questions. C'est seulement de cette façon que l'on respecte les gens.  C'est pourquoi la justice médiatique est le socle de toute démocratie. Sans la circulation de la parole, il n'y a pas de démocratie.
Réclamer un débat national sur cette question comme sur d'autres comme le Frexit devrait être une priorité constitutionnelle de notre République. ....

L'homme est un produit de la nature. Quoi qu'il fasse  son comportement global en tant qu’espèce relève de l'écosystème. Il est acquis que tout ce qui existe prend naissance, s'épanoui, décline  et meure. C'est vrai aussi pour les civilisations.

Pour autant, l'homme n'est ni condamné ni condamnable. En tant qu’espèce il est en évolution.  On ne peut pas reprocher à un enfant d'être un enfant.....
L'évolution des civilisations  passe par une transformation conceptuelle de l'ontologie. Elle doit devenir dialectique pour permettre la transition des rapports de rétention comme source de sécurité  vers les rapports de partage comme source de sécurité.

 La question de l'ontologie est simple: Existe t'il "l'autre de l'homme"? Oui, c'est la femme.

Dès lors où le féminin comme genre d'être existe à coté du masculin chacun selon leur nature,  il est possible à cette condition de parler d'égalité... Sans l'autre de l'homme à l'échelle des consciences et des cultures, puis à l'échelle des politiques et des économies, il ne peut pas exister l'idée même du Partage.
"L'autre de l'homme" à l'échelle de l'ontologie,  initié dans l’expérience humaine, par la reconnaissance du féminin, c'est aussi la planète et les autres espèces vivantes.

Ainsi, le seul acte politique qui initie le passage de l'humain vers sont humanité (maturité) consiste à favoriser le droit des femmes à disposer d'elles mêmes sans conditions et sans retenues.
Ce point est absolument fondamental. De ce point découle de façon systémique dans tous les domaines de l'humain, la transformation vers l'humanité des humains (altruisme naturel et fondateur....  )... Vous comprendrez qu'il n'est pas possible ici de développer cette "thèse".

Cette transformation des consciences abouti  à l’arrêt instantanée parce que profitable de l'obsolescence programmée par exemple, de la prédation tout azimut, de l'immonde traitement auquel les animaux d’élevages sont soumis, de la nécessite de s'interdire la captation des territoires des autres espèces, l’arrêt de plastiques.....  etc etc...

A tous les problèmes liés à la carence énergétique  l'homme trouvera facilement une solution dans le paradigme de partage. S'il reste dans celui de la rétention, ses civilisations seront contraintes de changer vers le partage ou de disparaître.

vendredi 26 avril 2019

Le discours de Macron

Il n'existe pas de différence fondamentale entre un bonimenteur des grands chemins qui vous vend l'eau du bayou comme remède à tous les maux, et le monologue laborieux et sidérant de Monsieur Macron pour vendre la France, défaire, les institutions de la République et brader tout le reste au profit de la finance.
N'oublions jamais que ce monsieur, arrivé aux affaire "par effraction" de son propre aveu, représente avant tout les intérêts de la finance et non pas celui de la France et encore moins celui des Français.

Depuis que le monde est monde, et ce n'est pas une allégorie, Macron est le seul monarque à œuvrer de façon radicale et autoritaire à la destruction de son pays, là ou n'importe quel autre souverain aurait tendance à vouloir agrandir et solidifier son territoire.
Pourquoi ?
Parce que le territoire de Macron ce n'est pas la France. Le territoire de Macron ce n'est pas l'Europe. Le territoire de Macron c'est la finance. En conséquence, pour lui la France est un produit comme un autre que l'on peut vendre et acheter pour faire de l'argent, les nations sont des obstacles à la rentabilité du profit, et l'UE est un moyen transitoire vers une économie trans-nationale.

Voilà de quoi relève l'autisme monumentale de ce personnage dangereux et pervers. Ma réponse à la question du "progrès" qui constitue l'axe fondamental du discours de Macron est :

"Le progrès ce n'est pas travailler plus pour gagner moins; Le progrès c'est travailler moins pour gagner plus. (J'ai proposé un sondage en dessous de cet article).

Avec l'accroissement permanent de la productivité, le progrès consiste à favoriser une politique de partage au lieu de renforcer la politique basée sur la rétention. Si on persiste dans la rétention avec un outil de production très puissant, le maintient de la richesse des riches impliquera incontournablement l'établissement de politiques radicalement autoritaires dont celles de Macron est une pâle préfiguration. Le Chaos sociale qui s'ensuivra en sera aussi la justification. C'est ce que préfigure les lois anti-Gilets-Jaunes, c'est à dire Anti-Peuple de Macron, qui ne disent pas leurs noms.

A l'écoute du discours de Macron toujours incapable de masquer son mépris, on a le sentiment d’entendre la rhétorique et les méthodes du diable en personne. Articulant avec une véhémence mal calculée et mal assurée, sur le ton de l'innocence juvénile, des contres vérités et des articulations économiques parfaitement fausses. Il va jusqu'à demander implicitement qu'on le plébiscite pour le mépris courageux qu'il témoigne aux gens et qu'il appel en substance :"prendre des responsabilités courageuses".

Il nous explique que la voie démocratique c'est du passé et qu'il convient (je traduis) de passer à la dictature. (NDA: Ce n'est pas une plaisanterie ni de la contre rhétorique de ma part. Écoutons simplement son propos.)

Je continue donc d'écouter ce diable de Macron. Ce que dit Macron au temps {8:20m} (voir la video en bas) est absolument abominable.

Je cite "...les gilets jaunes c'est le fruit du manque d'humanité...".

De quelle inhumanité parle-t-il?
De la sienne et de ses disciples?
Ou considère-t-il que le peuple de France qui se cristallise dans les gilets jaunes n'a pas d'humanité?

Quel culot, quel affront, et de plus, quelle stupidité dans la communication.
Mais n'oublions pas que les gilets jaunes c'est le peuple qui se donne à se représenter lui-même par carence de son représentant.
Alors il est naturel que Macron qui est par projet politique dans le déni du peuple, soit naturellement dans le déni des gilets jaunes, car les gilets jaunes c'est aussi la dénonciation de sa vacuité et de son impuissance à dominer le peuple.

Nous venons d'assister au discours d'un enfant gâté et désespéré de ne pouvoir atteindre sa toute puissance convoitée. A nous de faire en sorte que ni lui ni ses remplaçant n'y parvienne jamais. Pour cela il faut cesser de servir l'UE pour pouvoir servir les Citoyens.

Alors oui la posture provocatrice et méprisante de Macron se pose comme une déclaration de guerre contre la République (il casse les institutions) et la Démocratie (parlement à sa cause et ordonnances).
Mais en fin d'analyse pour éviter un accroissement de l'autorité en politique qui conduit toujours inexorablement à la guerre qui sera civile (...) , Il est nécessaire de quitter radicalement l'Union européenne comme le préconise monsieur Asselineau de l' #UPR,
Sortir de l'UE c'est retirer à l'autorité politique du pays (Macron ou un autre c'est pareil) le levier considérable que constitue l'UE comme outil de destruction de la souveraineté du pays.
Ne pas perdre de vue que la fin programmée de la souveraineté du pays c'est aussi la fin du peuple de France et sans peuple la question de la Démocratie s'effondre. Tachons d'éviter le pire. Acceptons de "DISCUTER" les questions fondamentales comme le #FREXIT qui est interdit de médias.

A ce sujet je vous invite à faire connaître ma pétition sur la "justice médiatique". (voir en dessous) car la démocratie commence seulement avec la circulation LIBRE des idées.


Analyse du discours de Macron


samedi 9 mars 2019

LE FEMINISME

Le féminisme suppose la reconnaissance du féminin comme ontologie.
L'égalité des sexes ça n'existe pas.
L'égalité de nature ça n'existe pas.
L'égalité de traitement sociétal, ça n'existe pas.
L'égalité de conscience seulement existe.
L'égalité de responsabilité sociétale, ça n'existe pas... Etc etc...
Militer pour l'égalité dans la confusion nature / culture c'est, en aveugle, assurer la destruction définitive du féminin.
En le fondant dans l'ontologie du masculin après l'avoir asservi, la destruction du féminin est amplifiée par le féminisme aveugle de façon encore plus radicale car cette fois, avec l'approbation des femmes.
Dans le respect des consciences et des natures, une société Humaine à le devoir de distribuer autrement la sécurité entre les hommes et les femmes. À commencer par supprimer des lois, tous les contrôles du corps des femmes.
En vertu de l'égalité de conscience, la perpétuation de l'espèce humaine est l'affaire des femmes.