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lundi 30 avril 2018

L'Europe Fatale

L'Europe est le visage de la grande Allemagne voulu par le Nazisme Allemand. Son avènement a échoué avec les bombes mais a réussi avec la finance des lors ou elle commande les politique et que l'économie Allemande est de loin la plus puissante de l'union, Deutschmark oblige.

La construction de l'Europe a commencé avec la finance. Elle se poursuit avec l'accroissement de l'autorité des gouvernances nationales et persiste avec le démembrement des nations en régions afin de les rendre assez grandes pour qu'elles demandent leur autonomie. Cette nouvelle structure géopolitique qui dissout les nations au profit des régions relève de l'organisation géopolitique et administrative allemande.
Une gouvernance des nations par et pour des gens hautement privilégies et non élus s'appelle une dictature.

L’Europe est une structure d'occupation consentie par nos dirigeants. Chaque nations vie sous la menace d'un dumping commercial par les autres nations, qui par traités, et pour le profit de leur privilégiés, n'ont ni le droit ni d'intérêt à se défiler.

Le directoire européen qui ne représente pas les peuples mais seulement la finance, impose et exige par la menace et la sanction, son ordre aux autres peuples. Cela s'appel le fascisme. Même si le cortège d'horreur qu'on y associe n'est pas au RV, l’Europe hélas, en toute honnêteté intellectuelle, relève de cette structure politique.

L'Europe exige, dicte, et impose ses réformes propices au profit des plus riches, dans les tous les pays membres.

L’Europe pratique une politique de déshabillage de la jeunesse et des technicités de tous les pays, en forçant l'émigration des plus pauvres vers les pays les plus riches de l'union comme main d'œuvre à bas coût.

L'Europe qui dicte partout ses réformes, privant les gouvernances légitimes de leur souveraineté, toujours par traité, ne s'appuie sur aucune structure lui permettant de se réformer elle même. Ce renoncement « volontaire » à graver l’auto-transformation, dans les institutions de l'Europe indique sans le moindre doute la nature autoritaire et dictatoriale de l'organisation Européenne. A ce titre l'Europe est une organisation autiste. Une organisation monstrueuse incapable de transformation et donc d'adaptation.

De ces faits, l'Europe est structurellement vouée à l'échec. Elle ne peut que mener les peuples qui la subisse au désarroi et à l'impuissance "démocratique". L'incapacité de l'Europe à se transformer de l’intérieur constitue inévitablement une source puissante de désordre publique, qui lui même justifiera dans les consciences, l'accroissement de l'autorité.

L'établissement d'un cadre politique autoritaire ne peut que croître dans tous les pays de l'union. Et la boucle est bouclée.

Après tout, n'est-il pas naturel d'échouer?  Mais ce qui n'est pas acceptable et même inadmissible c'est de renoncer à se doter des mécanismes de changement et d'adaptation. S’interdire de changer c'est aussi s’empêcher de mourir. Ce point n'est pas anodin. C'est comme si les nations de l'Europe avaient introduit le cancer en leur propre sein comme source de vie. N'est-ce pas la vertu de la cellule cancéreuse que de ne pouvoir ni mourir ni s'adapter mais seulement proliférer aveuglément ?

L'Europe n'est pas une fatalité. Elle est le point de singularité du paradigme de rétention car jamais les nations n'ont été aussi riches et jamais le partage n'a été aussi faible.
Qu'est-ce que le progrès ?
Il consiste à travailler moins pour gagner plus, ou à travailler plus pour gagner moins ?
Vers quelle version du progrès l'Europe nous entraîne t-il ?

L'Europe est la manifestation de la rétention comme source de sécurité qui ne veut abdiquer ni dans l'esprit des hommes ni dans le cœur des politiques, car ni dans l'esprit des politiques, ni dans le cœur des hommes, le « partage » comme paradigme peut être conçu comme source de sécurité.
A cela il y a des explications philosophiques parfaitement  raisonnables (...)

Il ressort de tout cela l’impérieuse nécessité de sortir de l'Europe et de refonder les rapports entre les nations du vieux continent sur la base de l’expérience européenne de ces 30 dernières années pour cette fois favoriser une politique de partage, c'est à dire de services publiques, et non d'optimisation des dépenses publiques comme source de profits de quelques privilégiés.

Ce soustraire à l'option « frexit », c'est entraîner aveuglément les nations dans la maladie politique de l'inflation répressive.
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L'affiche ci contre est maladroite, détestable, et volontairement provocatrice. Je n'y souscris pas.



lundi 16 avril 2018

Vote post-Macron


... De moins pire en moins pire on arrive au pire. Macron pire que Hollande etc.... C'est pourquoi en toute logique il faut appliquer des règles à soi-même lorsque l'on est devant l'urne. Il ne faut pas voter pour le moins pire mais mettre son bulletin pour celui ou celle qui favorise ce qui est important pour nous; pour soi-même.

Si l'on ne trouve personne alors il ne faut pas voter, il faut s'abstenir. Ainsi, quand  l'abstention ou le vote blanc l'emporte, si l'abstention et le vote blanc sont vainqueur massivement qu'est ce que cela veut dire ? Cela veut dire que les citoyens réfutent les deux candidats du second tour.

Pour que les voix des citoyens soit entendues, c'est à dire pour que la démocratie soit respectée, il faudra bien réviser le mode de scrutin et comptabiliser les blancs à l'avenir. Tant que les blancs et les abstentions étaient marginales, la question du comptage des blancs n'était qu'une question de principe. Mais nous voyons bien que les citoyens faces aux visions politiques qu'on leur propose, renoncent majoritairement au vote.

Dans cette nouvelle posture des citoyens, si les blancs étaient comptabilisées ceux qui se présentent pour gouverner le pays seraient bien avisés d'être crédible pour être élus.
On voit bien que les gens ont compris. Ils ne veulent plus voter pour le moins pire.

Le mode de scrutin actuel est hérité de la politique de reproduction de la caste des nantis au pouvoir, commandés par le principe de rétention alors que la population aspire à être commandé, dirigé par une politique de partage.

Pour cesser de faire de la communauté nationale un générateur de richesse pour les plus riches, en jouant sur les peurs et les ignorances, avec la caution de la morale et l'alibi de la démocratie, il est indispensable de comprendre les conditions qui permettent l'exploitation des masses laborieuses et celles qui permettent la trahison systématique de la confiance naturelle du dirigé envers le dirigeant.

Pour en finir avec la transformation de la démocratie en alibi d'une gouvernance de plus en plus autoritaire,  il importe devant les urnes de:
  1.  Faire les élections législatives (les députés) avant la présidentielle.
  2.  Compter les votes blancs car ils sont la voix du peuple, c'est comme le troisième candidat de fait. Le vote blanc c'est le NON aux deux politiques proposées par les deux candidats du second tour.
  3. Sortir de l'Europe pour retrouver la liberté du choix politique et le dialogue ouvert avec les autres pays. 
  4. Et (4) C'est le plus important pour la raison fondamentale du paradigme de rétention qui nous conditionne;  afin de s'en affranchir : EXIGER Le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes. Ce quatrième point est la clef fondamentale d'un autre devenir non seulement pour une collectivité nationale mais pour l'humanité, et je pèse bien mes idées en affirmant cela. . 
Ce sont les quatre clefs incontournables pour que des gens comme Macron et consorts ne reviennent plus au pouvoir qu'ils détiennent depuis 40 ans.

Si une de ces quatre clefs n'est pas portée par un projet politique alors il faut refuser de donner sa voix. Quant à la "stratégie" qui consiste à choisir le moins pire, il ne faut pas perdre de vue 2 points essentiels.
  1.  Faire advenir au deuxième tour le favori du pouvoir et le candidat porteur de la diabolité politique est une stratégie du pouvoir pour forcer la main des citoyens vers le moins pire. Pourquoi? 
  2.  Parce que de moins pire en moins pire on arrivera inévitablement au pire en favorisant toujours les même politiques de plus en plus radicales.
Il faut en finir avec cet infernal chantage du pire en refusant le vote c'est à dire en refusant la légitimité au vainqueur qui au delà de ces 4 clefs que je viens de citer, ne respecterait pas « vos » souhaits (pas les miens)  dans leur intégralité.

samedi 14 avril 2018

Macron à la Guerre

LA GUERRE
Les intérêts qu'on appel "politiques" ne sont que l'expression du paradigme universel qu'est la "rétention". Cette échelle de paradigme conditionne toutes nos pensées et tous nos actes. Pour changer de conditionnement, il convient d'échanger le paradigme de "rétention" avec celui du "partage".... ... A grande échelle la télévision nous abreuve sans trêves des conséquence désastreuse de la rétention aux commandes des consciences. A petite échelle, à l'échelle humaine, c'est ce qu'on appel "la morale" dont les fleurons les plus abjects sont le principe du "mérite" et celui de la "tolérance". A propos des conflits sociaux en France, j'ai entendu "Tolérance zéro" dans la bouche d'un ministre. C'est un propos fasciste incompatible avec le dialogue (démocratique).

Maintenant la guerre: EXTRAIT de la déclaration de F. Asselineau (voir vidéo en bas):"Le président de la République vient ainsi de faire preuve d’un « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat », selon les termes précis que requiert l’article 68 de la Constitution pour engager la procédure de destitution du chef de l’État." (fin de citation)

Le passage à l'acte guerrier ne se justifie pas de la part de l'occident. Les armes chimiques pourrons toujours se fabriquer, ce n'est pas compliqué quand on connaît le processus. Par contre c'est une opportunité en France en Angleterre et au USA pour détourner l'attention du publique car dans ces 3 pays la légitimité de la politique est en chute libre. Aller en guerre c'est de la communication. Un dirigeant "va-en-guerre" montera toujours dans les sondages. C'est la seule justification objective de cette guerre.

Dans la rétention, la solution aux problèmes c'est ce que nous voyons à la télévision de la part de personnes qui ne veulent pas la guerre et qui exècrent la violence. Mais pour Trump, Macron et Thérésa, remonter dans leur sondage est une priorité. A cette fin, toutes les opportunités sont bonnes. Lorsqu'on fait le "va-en-guerre", à la fois ça inquiète, c'est viril et ça renforce l'obligation de serrer les rangs derrière le président (principe de rétention oblige).
C'est de la stratégie politique nationale et internationale mal contrôlée. Le garant de la paix est l'intrication des intérêts commerciaux. Faire à la fois l’embargo sur la Russie et la guerre à ses alliés est irresponsable.

Quant au peuple Syrien tout le monde s'en fiche éperdument depuis des lustres. Et les Kurdes qui ont fait tout le travail encore plus. Plus il y a de destruction plus ceux qui ne la subisse pas l'encourage. ..

INDEPENDANCE
Pour que la France retrouve sa souveraineté et pratique une politique intérieure au service des citoyens, une politique extérieure au service de la paix. Et pour qu'enfin, le départ d'Emmanuel Macron soit une chance d'un retour du pays à la vraie démocratie.

En finir avec les fausses négociations sociales.
En finir avec la politique des ordonnances dont le fondement est détourné de son esprit.
En finir avec la transformation de la démocratie en alibi d'une gouvernance de plus en plus autoritaire.

Pour ce faire il importe de
1/ Faire les élections législatives (les députés) avant la présidentielle.

2/ Compter les votes blancs car ils sont la voix du peuple, c'est comme le troisième candidat de fait. Le vote blanc c'est le NON aux deux politiques proposées par les deux candidats du second tour.

3/ Sortir de l'Europe pour retrouver la liberté du choix politique et le dialogue ouvert avec les autres pays.

Et 4/ C'est le plus important pour la raisons fondamentale du paradigme de rétention qui nous conditionne afin de s'en affranchir : Le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes.

Ce sont les quatre clefs incontournables pour que des gens comme Macron et consorts ne reviennent plus au pouvoir depuis 40 ans.

Macron et ses acolytes sont conformes à leur nature comme l'humidité de l'eau est conforme à la nature de l'eau. La nature des choses n'est pas contestable. Macron et ses acolytes ne sont pas responsables des conditions politiques économiques et sociales du pays. C'est le processus qui les amène aux affaires qui doit être corrigé.