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mercredi 28 novembre 2018

Le Macronomicon « Fin du monde et fin de mois ! »

Le mouvement des gilets jaunes, est comme "une transition de phase sociétale". Il a déjà gagné. Gagné quoi? La transformation de notre système politique et économique vers le partage.

La société est comme la météo c'est un système si complexe qu'il est impossible de prévoir à long terme en particulier dans une phase de transformation... Mais quand l'orage gronde on le sait. On sait qu'il va faire mauvais temps.... Macron et sa clique auront beau souffler sur les nuages pour changer la météo politique économique et sociale, rien n'y fera. A persister dans leur politique contre les évidences, ils ne feront que souffler sur les braises. "La fin du monde de Macron est pour la fin du mois? "

Macron ou les autres? Il faut bien comprendre une chose. Il n'existe pas de représentations politiques du peuple chez les serviteurs de Maastricht.  Et tous les représentants politiques servent Maastricht. Voilà c'est tout.

Et maintenant ? 

Nous devons donc sortir la France de l'euro et de l’UE si tel est la volonté du peuple par référendum. Il est évident, que  tout autre chemin sera celui de la perpétuation de la politique de Macron.
En finir avec l'UE qui est une construction mafieuse et menaçante (...) c'est commencer à construire l'Europe des nations souveraines. C'est à dire un amplificateur de projets civils nourris par les nations libres.

De l’aveu même de Macron, il est arrivé aux affaires par effraction.  Il n'a pas de légitimité à représenter les citoyens et leur France. C'est pourquoi il faut rétablir le comptage des votes blancs dans les votes exprimés.

Qu'est-ce que Macron?
Macron est le symptôme de l'échec du système électoral. Il faut donc  le réviser. 

Pour préparer la suite, je vois trois clefs fondamentales à exiger de nos députés.
  1. La clef Démocratique : compter le vote blanc.
  2. La clef Républicaine : référendum sur le Frexit.
  3. La clef constitutionnelle:  mise en oeuvre de l'article 68 en destitution, Macron s'il est intelligent ne s'y opposera pas.


vendredi 23 novembre 2018

Le Macronomicon: L'Etat de Droit

La responsabilité démocratique de l'état vis à vis du peuple est détruite, et la constitution dans son esprit et dans sa lettre est assassinée.
Nous sommes sensé être dans un état de droit, et le rôle de l'état est sensé le préserver, pas le détruire.
Quand le droit est bafoué, outre que ça leur semble très loin d'eux, il est très inconfortable pour les gens de l'admettre. C'est pourquoi nos esprits se rebellent à croire que quelques textes dans la constitution changent profondément la vie des gens au point de la transformer en enfer.

"L'enfer constitutionnel" c'est quand au milieu de la richesse produite par le travail d'un pays, au lieu d'assurer la sécurité par le respect du travail et le partage de ses fruits, l'état n'a de cesse que de cultiver l'injustice et le mépris, de distiller l'inquiétude, la discorde, la colère et l'impuissance, à savoir un cocktail de haine pour justifier la dictature "En Marche" dans ce pays

Cette politique n'est pas celle de la 5eme République, mais de la République de Mitterrand après 1983, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron. Une classe filtré par les médias et que l'on présente au peuple en face de ce qui figure "le pire" pour qu'il donne sa voix à ce qui figure pour lui, "le moins pire". Mais de moins pire en moins pire, on arrive toujours au pire.

IL EST TEMPS QUE CELA CESSE...!

C'est pourquoi il faut AU MINIMUM.

1. -OBLIGER LES MÉDIAS A DONNER LA PAROLE A TOUTES LES TENDANCES POLITIQUES.
Comment? A nous de l'inventer.

2. -OBLIGER NOS DÉPUTES DE TOUS BORDS, A COMPTER LES VOTES BLANCS DANS LES VOTES EXPRIMES.
Comment? A nous de l'inventer.

Sans arguments particuliers, les gens sont parfois rebelles à l'évidence parce que ce serait trop gros pour être vrai. Sauf que c'est un fait. C'est très gros et c'est très vrai.

Dans le reportage qui va suivre, oublions la mise en scène et examinons de près les arguments de droit qui encadrent la légitimité du président de la France et des Français.
Les arguments avancés sont institutionnellement et constitutionnellement vrais et sourcés. Faciles à vérifier.

A nous "le peuple" de refuser ou d'accepter les conséquences de ce qui est vrai. C'est à dire à nous de vouloir rester dans un état de droit en inventant notre façon de répondre ou de choisir de laisser s'installer la dictature.
« Les Gilets Jaunes » qui demandent la justice sociale, le partage des richesses et le respect des services publics, sont une réponse pacifique à la surdité et au mépris du pouvoir.

Les « Gilets Jaunes » sont l'expression spontanée du peuple FRANÇAIS qui refuse de renoncer à sa constitution, dans tous les sens du terme, et qui se mobilise contre les politiques qui toujours l'on trahi.

C'est pourquoi, censuré ou non par les médias, le parti politique UPR qui est le seul parti politique à cultiver par fondement les préoccupations énoncées par les Gilets Jaunes, n'est pas en situation de confiance.
Mais, pour atteindre ses objectifs, il faudra bien que le mouvement des Gilets Jaunes se structure et se politise au risque de s'éteindre.

Vidéo : SiteSandrorendim : La question de l'Etat de droit sous Macron

jeudi 22 novembre 2018

Le Macronomicon: Macron attaque la plèbe


Les Gilets Jaunes. C'est la lutte des citoyens contre la violence faite au Français.
D'où vient cette violence et pourquoi ?

La seule réponse de Macron est l'autisme et la répression. Face à la volonté du peuple, la seule réaction de Macron est la violence aveugle et sourde, c'est à dire celle d'un voyou, mais avec les moyens et la légitimité de l'état.
Puisque le peuple privé de sa voix parlementaire par la volonté du pouvoir, puisque les élites politique de tous bords ne le représente plus, le peuple ne peut s'exprimer que par les actes. Macron ne sait qu'opposer la violence à la parole du peuple.

Face à la plèbe, Macron ne pense pas ne dialogue pas, ne veut rien savoir et passe aux actes, cette posture fermée qui met acte au lieu de mettre en mots est celle d'un voyou. Le voyou, lui,  n'a pas le choix. Mais  Macron a fait le choix délibérée d'adopter la posture d'un voyou pour répondre au peuple.

Dès lors où, au nom de l'ordre public, le dialogue est interdit par la volonté du pouvoir LREM, ne voyons nous pas la dedans l'édification politique, machiavélique et pervers du ferment de la violence?
En usant de la "stratégie de fermeture, l'abrogation de la démocratie et  l'autisme politique signe l'intention politique de Macron de provoquer de la violence.
Il met tout en oeuvre pour arriver un jour à appliquer la loi martiale dans ce pays. Pour arriver à cette fin, il n'existe pas de façons de s'y prendre autrement.

De l'autre coté du gouvernement, du coté des oppositions, à l'heure ou j'écris ces lignes, voilà que le retour au dialogue est très largement compromis car les représentants du peuple, à force de trahisons systématiques particulièrement à gauche, ont fait faillite.
Ont-ils été capable de voir venir les gilets jaunes ?
Non!.
Ont-ils été assez avisé pour sentir la pression monter au sein des populations ?
Non sur tous les tableaux !

Les partis de l'opposition sont seulement préoccupés par leur notoriété, et à l'instar de Macron, ils comptent sur le temps et la fragilité de la désorganisation souhaitée de ce mouvement spontané, pour n'être pas obligé de faire prendre des risques à leur  "notoriété" en se mêlant à la plèbe en Gilets Jaunes.  Les seuls représentants qui s'y essayent sont ceux qui n'ont rien à perdre et donc tout à y gagner.
Les représentants politiques des oppositions trahissent le peuple en permanence. Ils sont capables de tisser des stratégies de survie pour leur parti à défaut d'une stratégie gagnante. Vont-ils comprendre enfin, que la seule stratégie gagnante est du coté du peuple. Il suffirait de cesser de le trahir. Mais dans ce cas, c'est le peuple qui serait le grand gagnant; pas eux. C'est pourquoi dans l'esprit des "Gilets Jaunes" il n'y a rien à attendre des politiques.

La CGT par exemple ne se mêle pas de la question des Gilets Jaunes.
Pourquoi ?
Parce que politiquement ça ne leur rapporte rien... !
Et on parle de récupération ? Devant ces événements, les représentants de l'opposition sont assez cons, pour ne pas se rendre compte que ce mouvement à la fois les dépasse et les dénonce... !

Quel est la nature de cette violence et comment y remédier ?
Ces questions deviennent hélas prématurées puisqu'au préalable à ces questions il convient de reconquérir un espace démocratique citoyen pour rendre possible de dialogue Républicain. En dehors de ce dialogue, il ne peut exister que des actes contre le pouvoir LREM qui lui, attend, provoque et souhaite l'extinction de la volonté du peuple.

Aujourd'hui, Macron envoi des militaires contre des civils de la Réunion. Les Réunionnais sont des gens bien plus maltraités qu'en métropole par la politique économique de Macron. Leur réaction populaire est donc en proportion et préfigure de la suite dans l’hexagone.
Le traitement auquel les Réunionnais sont soumis est plus proche de l'esclavage que d'une République qui prendrait ses responsabilités. Imaginez aujourd'hui leur colère...
Et au lieu de comprendre, d'entendre et de prendre ses responsabilités vis à vis des citoyens Réunionnais pour compenser la faiblesse singulière de leur pouvoir d'achat, Macron envoie l'armée pour les mater. Pour Macron, l'ordre publique doit être l'esclavage consenti.

Je peux imaginer qu'il soit si bête et si haineux qu'il ne puisse concevoir que l'usage militaire contre les Gilets Jaunes, et qu'il passe à l'acte. Mais je ne pense pas qu'il soit si mal conseillé. Alors l'hypothèse de la volonté politique de la part du pouvoir LREM, d'attiser la violence me semble manifeste et sans appel.

Macron, renvoi aux calendes grecs les questions de dialogue et de démocratie.
Depuis son arrivée aux affaires sous Hollande, son objectif politique est :
  1. De favoriser l'Europe Allemande au détriment l'indépendance des nations de l'UE et donc de la France en tant que nation.Pour nourrir son objectif il n'a de cesse de vouloir transformer la France en une Région d'Europe, c'est à dire à long terme, une province Allemande.
  2. L'inversion du droit : Le droit doit protéger le fort contre le faible. Mais Macron met en œuvre une politique d'inversion de ce principe fondateur du droit. Il se livre à l'inversion du droit, depuis sa loi travail sous Hollande (loi El Komeri) jusqu'à l'extinction du droit . Il nourri son objectif d'abandon de souveraineté nationale en donnant à sa politique des moyens d'actions accrus.
  3. Sa gouvernance par ordonnance à la place du débat démocratique, la mise à disposition du parlement aux ordres de l’exécutif oriente le pouvoir politique vers la dictature. En effet dans une démocratie, le parlement porte la parole du peuple et le représente. L’exécutif, c'est à dire le gouvernement et ses ministres, exécutent les lois règles réformes et autres recommandations issue du parlement. C'est comme ça l'ordre démocratique des institutions. Sous Macron, le parlement est à ses ordres
  4. Le passage doux et discret à l'état d'urgence comme droit commun, accentue sinon la lettre, mais à coup sur l'esprit et la direction totalitaire vers quoi se dirige la politique de Macron. Sa politique autoritaire risque de concurrencer celle de la Turquie (je pèse mes mots, elle en prend le chemin) mais dans le dénie de la souveraineté. Mépriser une population, la maltraiter, la tromper, l'exploiter, et la jeter en pâture au Allemand au prétexte de l'Europe juste pour faire du business est une source de révolte terrible. Macron ne mesure pas du tout ce qu'il est en train de provoquer.
  5. Aujourd'hui, ce sont les adolescents c'est à dire les enfants qui, lorsqu'ils contreviennent à la loi seront jugés comme des adultes. L'immaturité n'est plus une excuse en cas de délinquance Tout comme dans la loi Schiappa, l'enfant devient un alibi de destruction de l'enfance... (voir article blog « Libreurope »)Alors sûrement nous devrons appliquer à Macron la loi de l'article 68 en destitution. Qui parmi les oppositions porte cette nécessité ? L'UPR seulement !Qui le sait ? Personne ou presque !Constater que les revendications des Gilets Jaunes existent depuis longtemps dans le programme de L'UPR dont la seule vocation est de reconstruire une vraie démocratie, une économie de partage et la restitution de sa souveraineté à La France, n'est même pas audible.Qu'il soit Gilet Jaune ou pas, le public, est complémentent privé par les médias de la connaissance des propositions de L'UPR.
La capture du parlement à la cause du pouvoir exécutif contre le bien du peuple, est une aberration démocratique depuis plusieurs décennies.

Depuis plusieurs décennies il n'existe pas à gauche le moindre souffle d’honnêteté politique envers les citoyens à la reconquête de leur droit à la démocratie et à la souveraineté car l'un ne peut pas aller sans l'autre.

La source des "Gilets Jaunes" est bel et bien une conséquence à distance, dans l'inconscient collectif, du saccage des institutions. Ce qui prouve à qui possède un peu d'esprit, que la citoyenneté Française existe fortement, et il va la sentir passer.

Et maintenant, Macron, que propose t-il ?
« Une négociation sur le prix du gazole...! »

Quel immaturité, quel délabrement mental le confine dans un factuel aussi minable.
Il ne comprend pas que le prix du gazole est une insulte de trop jeté à la face des gens.
Il ne comprend pas que ce n'est pas la pauvreté qui pousse au désespoir. Dans la pauvreté on peut s'inventer de la solidarité. Ce qui pousse au désespoir et à la révolte c'est l’accroissement infondé de l'écart entre les riches et les pauvres. Dans cet accroissement, la solidarité peine à se manifester car partager la pauvreté, c'est à dire trouver une façon de survivre dans la disette, c'est aussi donner à la politique de prédation, un espace de profit.

Et pour ces gens là, dont la seule ambition politique est de faire 3% de déficit, il n'y a pas de petits profits. Même au prix de la vie des gens... Du moment qu'ils crèvent en silence.


Oui Mr Macron, « tu peux » le pérorer sur les ondes « Ce qui se passe est grave »...
Et de notre coté, du coté des "Gilets Jaunes", du coté des Citoyens de ce pays, "ce qui se passe est grave" . c'est pourquoi les Gilets Jaunes se constituent pour représenter l’intérêt des citoyens et assurer la démocratie de demain,
« ...Il n'est pas acceptable que le peuple subisse une telle pression. »

Notre force est dans la communication.
L'arme d'intoxication massive qui a drainé des voix chez les retraités pour ne citer qu'eux, c'est le pouvoir médiatique aux mains non du peuple à qui la presse s'adresse, mais des financiers propriétaires des médias, qui tondent le peuple.

Le premier pouvoir à conquérir maintenant c'est les médias.
Qu'un grand débat soit organisé avec TOUS les représentants du peuple.
De la droite à la gauche ; même la CGT qu'elle le veuille ou non.
C'est une obligation éthique, un devoir et une responsabilité citoyenne de prendre la parole aujourd'hui.
Personne n'a le droit d’interdire la parole de qui que ce soit, mais au contraire aux jours, d'aujourd'hui, tous ont l'obligation de la favoriser.

C'est dans le débat que le peuple est nourri pour éclairer son geste devant les urnes.

Favoriser le silence ou s'adonner à des stratégies de notoriété politique est aujourd'hui plus qu'hier, une prise d'otage du peuple.

Les élus, les députés, les journalistes les syndicats, les partis politiques, tous les acteurs de la société civile ont le devoir d'ouvrir un vaste débat national, non sur les « Gilets Jaunes », car les Gilets Jaunes c'est 90% de la population, mais sur les raisons de la colère populaire et comment il se fait que personne ne l'ai vu venir.

mardi 20 novembre 2018

Le Macronomicon: L'age de la Honte


Le mouvement "Gilets jaunes" reçoit le mépris de Macron. Macron se comporte comme s'il ne se passait rien dans son pays. Il voyage ....
Cependant, pour sauver l'escroc Gaune de Renault épinglé au Japon. Il bouge son cul sans délais et fait des déclarations.
Mais pour la révolte populaire qui gronde, il laisse ses ministres gérer le problème de la plèbe par la menace punitive. Il s'en lave les mains à moins que le Président trouve humiliant de se mêler des affaires de 80% des Français. Et puis les pauvres sont sûrement salissant pour des gens comme ça.

Les partis politiques et autres syndicats ne valent pas mieux. Ils restent muets. Ils attendent de savoir quand et comment ils pourront exploiter ce mouvement à leur avantage politique. Ils n'ont pas d'autres préoccupations que d'obtenir un pouvoir plus grand que le voisin tout en se gargarisant de rassemblement ...

"Les gens", comme dit Mélenchon, tout le monde s'en fiche sauf s'ils sont utiles à l'image de marque du parti ou du syndicat.

Cette attitude globale des dirigeants de tous bords qui s'appel trahison, attise la haine et le désespoir.

Mais enfin, il faut que les "Gilets jaunes" comprennent que toutes les forces sont utiles au combat. Au nom d'un syndicat ou d'un parti ou en son nom personnel, tout le monde a sa place dans la protestation et personne n'a le droit d'interdire une participation responsable.

C'est le propre d'un mouvement citoyen que de rassembler toutes les expressions. Sinon c'est juste un frémissement de cons. Je pèse mes mots. Con veut dire "non comprenant". Et je crois bien que c'est le cas de tous cotés .... jusqu'à maintenant.

C'est pourquoi j'appelle les "Gilets jaunes"
  1. à laisser le mouvement ouvert à toutes les volontés pour combattre la dictature aveugle, administrée par Macron.
  2. à échanger les idées pour identifier les causes de la pression fiscale et de la baisse des revenus.
  3. à faire durer le mouvement là où il porte conformément au point nº2.

vendredi 16 novembre 2018

Le Macronomicon: La Glasnost

La France est-elle très endettée?
Non, bien sur que non !.

La preuve, le revenu excessif versé aux élus, aux personnels de l'assemblée et autre sénat, aux quadruples, voir quintuples retraites cumulées du directoire gouvernemental en passant par les versements pharaoniques pour les anciens présidents, et les pensions de reversions à 100% que pour les veufs et veuves de parlementaires, c'est bien plus que 100 000 000€ qui sont dilapidés en privilèges, sans compter la fraudes fiscale et l'absence de taxation des gros transporteurs maritimes et aériens.

Que peut-on faire avec cette manne à l'heure ou Macron racle les fonds de tiroirs des citoyens les plus fragiles ?
Que peut-on faire à l'heure ou Macron amplifie la paupérisation, force à la déshérence .
Que peut-on faire à l'heure où salariés, retraités, chômeurs, jeunes, c'est à dire les populations les plus fragiles, ne se battent plus améliorer leurs conditions de vie mais pour ne pas perdre ce qui fut acquis jusqu'avant 1983.
Que peut-on faire à l'heure où Macron brade la France, vend les gares, les grandes entreprises, les aéroports etc etc...
Que peut-on faire alors que pour les gouvernements, les syndicats, les parties de l'opposition, tous les représentants du peuple, le peuple est INVISIBLE ?
On peut se donner RV le samedi 17 novembre 2108 avec les gilets jaunes pour NOUS rendre visible.

Et puis, on peut en profiter pour discuter de la nécessité de compter le vote blanc dans les votes exprimés. 
On peut discuter de l'opportunité de sortir de l'UE pour construire une Europe des nations souveraines, car si ce vote était entendu, Macron et sa clique ne serait même pas un souvenir, et si Nous étions restés souverains, Nous aurions envie de renforcer nos industries plutôt que de les brader.

Quand le peuple spontanément cherche à se rendre VISIBLE, nous avons à faire à un fait de société de la plus haute importance.
Si cette parole symbolique n'est pas comprise par les pouvoirs publics, si les acteurs représentatifs (syndicats, parties politiques de l'opposition etc...) sont mis dans l'incapacité de canaliser le mouvement citoyen, alors le peuple passera aux actes. Ce n'est pas une menace. C'est simplement un pronostique sociologiquement compatible avec la situation.

Quand il n'y a plus de mots, il ne reste que les actes, sans aucunes possibilités de les canaliser en amont, autrement que par la force en aval...

Il n'y a pas de canalisation du mécontentement parce qu'il n'existe pas de débat public sur les responsabilités de la « précarité en marche » comme mode de gouvernance, ni sur la destruction de la démocratie qui se réduit à n'être que l'alibi d'une politique de dictature formelle.

En cultivant le silence sur les questions de l'Euro et de l'UE, les pouvoirs publics rendent les « gilets jaunes » complices malgré eux, des effets qu'ils dénoncent.

Personne n'ignore que l'augmentation des taxes tout azimut n'est qu'un effet.
Quelle est la causalité de la « paupérisation en marche ? »
Les causes viennent de ce que l'Allemagne, ne poursuivant que son Intérêt National, soumet les pays de l'Union Européenne à l’extrême rigueur.
C'est cette cause là que devrait identifier les "gilets jaunes" pour en combattre les effets.

Comment est-ce que cela fonctionne?. 
Pour comprendre il est nécessaire de se mettre en tête un certains nombres de facteurs clef.

1/ La productivité : A cause de la performance de l'outil de production, l'économie marchande n'est plus productrice d'autant de richesses qu'avant les années 90. La production de richesses par l'échange financier a dépassé la production de richesses par échanges marchands.

2/ La souveraineté monétaire : C'est pourquoi à la fin des années 90 les gouvernements ont décidés de déléguer aux banques privés le soin de faire la monnaie à leur place, préfigurant le rapt des souverainetés par l'Autorité Européenne scellée à Maastricht.

3/ Qu'est-ce que la monnaie ?: C'est la quantité de demandes à l’intérieur d'un espace économique. Le rôle de l'état consiste à quantifier la demande et à la transformer en échange en créant la quantité de monnaie nécessaire. Ainsi la structuration de l'échange est la structuration du pays. C'est ce qu'on appel la souveraineté.
Pour un état souverain, c'est à dire un État qui fait sa monnaie, l'endettement est un concept qui ne s'applique pas.

4/ L'endettement : Dès lors où, par la volonté des gouvernements, ce sont les banques privées qui font la monnaie à la place des états, les gouvernements se sont mis d'accords pour fabriquer de façon purement comptable et artificielle la notion de « dettes des états ».

5/ L’économie de flux: Le commerce de l'argent est devenu plus rentable que le commerce marchand des biens est des services (voir 1/...).
  • L'échange marchand, a comme propriété d'être Gagnant / Gagnant, en Instantané. L'économie marchande, produit de la croissance du niveau de vie....
  • L'échange financier a comme propriété d'être Gagnant / Perdant, en Différé. C'est ce qui produit de l'emprunt, des intérêts et de la dette. Pour ces raison l'économie est une économie de flux.  L'économie de flux produit  la croissance des produits financiers.
Dans une économie marchande où l'état souverain fait sa monnaie, la notion de dette ne s'applique pas, c'est pourquoi les directoires n'ont de cesse que de vouloir transformer l'économie marchande en économie de flux pour inventer la notion de « dette de l'état ». 
Cette transformation est une volonté politique soutenue à la fois par la droite et la gauche.

A savoir, 
Dans une économie de flux, la grandeur de la dette signifie:
  1. La quantité d'échange. Plus la dette est grande, plus les intérêts de la dette sont grands au bénéfice des banques privés. 
  2. La captation de la richesse produite par le travail. Pour augmenter les marges, les stratégies économiques organisent la rareté. La production marchande s'ajuste seulement à la survie des travailleurs. Ceux qui sont chassés par l'augmentation de productivité (moins de bras pour la même production), grossissent les rangs des demandeurs d'emploi. L'abondance de demandeurs d'emploi a pour conséquence d'abaisser encore les coûts de production par l'abaissement des salaires. 
Dans l'économie de flux, la grandeur de la dette est un indicateur de croissance de la richesse des riches, c'est à dire une réussite de la politique de paupérisation. Macron a fait de la France le pays champion du monde du rapt des richesses produites.

6/ Les taxes et impôts : Le système est maintenant construit pour justifier l'emprunt des états auprès des banques privées et créer de toute pièce une nouvelle affectation de l’impôt : l’intérêt de la dette. 
Dans un état souverain cet impôt ne peut pas exister. 

7/ L'Union Européenne : Est une invention économique dont la fonction exclusive est de sacraliser, de sanctuariser le système d'endettement des états. C'est tout. Rien de plus. Maintenant on peut répondre à la question « Où va le pognon ? »
Le pognon, c'est à dire la richesse issue du travail des gens, va de la poche des gens vers la poche des marchands de monnaie en transitant par l’impôt et la taxe.

Dans l'économie marchande, pour que les riches s'enrichissent, ils doivent faire le plus de marge possible sur la production des biens et services.

Dans l'économie de flux, pour que les riches s'enrichissent, ils doivent prêter, et pour pouvoir prêter, il faut organiser une politique d'appauvrissement la plus solide possible et surtout la rendre crédible. 
A cet effet l'Union Européenne est une réussite.
L'UE est un système très perfectionné pour détourner légalement l’impôt PUBLIC vers les tenanciers PRIVES de la finance. 

Il ressort de tout cela l'existence d'une volonté politique de construire une économie de dette qui implique indiscutablement l'emprunt public au profit des créanciers contre l’intérêt des citoyens et du pays. 


Voilà un aperçu structurel des causes de la rigueur que l'Allemagne impose aux peuples des pays de l'Union avec la complicité des gouvernements.

Mais en Pologne, en Hongrie, En Italie, au Portugal etc... , les peuples plus souverains que le peuple Français, ont élus des gouvernements sécessionnistes vis à vis de Maastricht, aux commandes de leurs nations. A quand le tour de la France?

Le refus de la rigueur Allemande chez eux a immédiatement produit des effets de relance et de confiance entre les peuples et leur gouvernant.
Ce qui se passe en France est la mise en œuvre d'une dictature, adossée à une censure inadmissible du débat politique sur la question de la souveraineté du pays. 
La souveraineté d'un pays signifie, avoir un nom, avoir sa monnaie et faire nos propres lois. 

La honte n'est pas du coté de ceux qui réclament le rétablissement de la souveraineté, mais du coté de ceux qui refusent le débat démocratique sur cette question.

Dénoncer les effets sans combattre les causes doit produire dans les esprits l'exigence d'un débat public et sérieux pour les identifier. Un débat où tous les acteurs doivent être invités par les pouvoirs publiques, toujours hélas "en marche vers nul part", à mettre sur la table les arguments et contres arguments du Frexit (sortir de l'Union Européenne)

Autrement dit :
Premier round :En général, partout et toujours, ceux qui paient sont ceux qui commandent. Si c'est L'UE qui fait la monnaie, c'est UE qui commande.

Deuxième round:  L'UE (Union Européenne) c'est l'Allemagne.
Pourquoi?
Parce que l'Euro n'est que le nouveau nom du Deutsch Mark. Donc si l'Euro c'est le Mark, et puisque c'est ceux qui paient qui commandent, alors c'est l'Allemagne qui commande.

Voilà c'est tout.
L'Allemagne pilote le commerce et les lois dans les pays de l'Union Européenne selon ses propres besoins.

Voilà une cause majeur des taxes Macron avec l'alibi de son écologie punitive, dont un effet de trop est la taxe sur les carburants.


La réponse a Macron doit se faire dans les urnes 
à chaque fois que possible.

1/  En demandant le rétablissement les bulletins blancs dans la catégories des bulletins exprimés, simplement parce que c'est la vérité. 
IMPOSONS A NOS DÉPUTES DE FORMULER  UNE LOI DE REFORME DU SCRUTIN DANS CE SENS.

2/  En demandant de décaler les élections législatives par rapport au quinquennat présidentielles, soit avec une échéance plus courte, soit avec une échéance plus longue, 
AFIN DE RÉTABLIR LE DÉBAT DÉMOCRATIQUE NATIONAL EXIGEONS DE NOS DÉPUTÉS UNE REFORME DANS CE SENS.

3/  En ouvrant le débat national sur le Frexit
IMPOSONS AUX MÉDIAS FINANCÉS PAR NOS IMPÔTS DE RÉALISER LE DÉBAT D’IDÉES SUR CETTE QUESTION DE LA PLUS HAUTE IMPORTANCE.

4/  En favorisant le droits des femmes à disposer d'elles mêmes (...)... 
POUR PRÉPARER L'AVENIR DES CIVILISATIONS, CE POINT N'EST PAS PRÉMATURÉ, IL EST ABSOLUMENT FONDAMENTAL. 
En dehors de cette question qui amène une mutation ontologique fondamentale,  pas d'écologie éthique possible au bénéfice de la vie sur cette planète et fin des civilisations occidentales.. (... à suivre)



mardi 13 novembre 2018

Le Macronomicon : le mépris des blancs

L'arrogance et le mépris de Macron sont des rituels de conjuration de son dégoût et de sa peur viscérale des gens du peuple.
Il réfléchit beaucoup pour faire le mal au nom du bien.
Il ne sert pas la France il la brade à l'Allemagne.

L'UE est le cheval de Troie de la politique Allemande pour sa conquête éternelle de l'Europe.
L'UE Appel des gens comme Macron pour la servir.
L'UE rend possible la victoire de l'Allemagne et l'extinction des nations. Doucement, prises en étau devant la montée en puissance des régions et l'autoritarisme de Maastricht, les nations s'effacent, et les nations deviennent compatibles avec le cadastre Allemand....

Que faire? Nous devons demander... Imposer à nos députés de donner au vote blanc le statut "exprimé", parce que c'est la vérité. La conséquence de cette vérité rendra la politique conforme à la démocratie et obligera les représentants élus du peuple à se comporter dans l’intérêt du peuple pour avoir une chance d'être élu.
La réforme du scrutin est la clef du changement.
Si les blancs ne sont pas comptés, outre que c'est malhonnête, on ne pourra que changer l'emballage; on e pourra que changer le nom et le visage des exécutants d'une politique hostile aux peuples. Macron est l'autre visage d'Hollande qui lui même est le clone politique de Sarkozy etc ...

Pour changer de politique il faut d'abord changer le processus de reproduction de celle qui fit les gilets jaune le samedi 17 novembre de l'an de grâce 2018.

Faire le siège des Mairies, une lettre ouverte, une pétition, une mobilisation des syndicats et des oppositions soucieuses de démocratie, marteler cette question dans les conseilles municipaux.
Toutes les idées sont bonnes pour forcer les députés à porter cette question au parlement.

Ainsi,  le plus important est que la reforme du scrutin par le comptage des bulletins blancs dans les votes exprimés, soit perçue dans les esprits comme la clef du changement vers une économie de partage.

Ensuite il appartient aux députés de porter la parole des citoyens. Si cette parole est bien installée dans les attentes citoyennes, aux prochaines élections, ils seront obligés de le proposer car la candidate ou le candidat qui le proposera drainera beaucoup de voix. C'est donc seulement dans les esprit individuels, pour cette cause comme pour les autres, que le progrès est en marche. Pas ailleurs. Jamais.

jeudi 8 novembre 2018

Le Macronomicon: la Loi Schiappa


La loi Schiappa inscrit l'inceste dans l'institution scolaire. Cette loi oblige les établissements scolaires de la République à mettre dans l'esprit des enfants la question de la sexualité d'adulte alors que leur maturité ne peut pas l'appréhender. Cette posture pédagogique est une perversion de l'éducation, c'est une préparation en litote, des esprits à l'inceste. Crétiniser la population et l'exploiter est la posture politique de Macron. Sa politique ici est particulièrement irresponsable et perverse. Il faut le stopper....

Cette loi participe de l'abolition du droit comme la loi travail l'a initié depuis son ministère sous hollande. La politique de Macron est la trahison de la République par l'abandon progressif du contrat social. Sa politique sur l'enfance en est une expression des plus détestable. La loi Schiappa rend possible la violence légale sur l'enfance en l'évoquant là ou l'enfant devrait en être protégé.
L'évoquer c'est la rendre possible, c'est préparer les esprits à cette éventualité avec un accroissement de la composante de banalisation. Cette loi est une démobilisation réelle du devoir de protection de l'enfance, propice à favoriser la violence personnelle, car la dedans aussi, l'état abandonne la protection de l'enfance.
En prétendant protéger l'enfant, cette loi détruit l'enfance au lieu de la préserver.
Préserver l'enfance est le premier devoir des adultes et des lois. Mais cette loi détruit l'enfance dans l'enfant.

Cette loi participe aussi à l'infantilisation des adultes, en les éloignant du devoir parental, qui consiste à éduquer leurs enfants eux-même. L'éducation n'est pas le rôle de l’école mais des familles, pourvu bien sur qu'on cesse de les priver de leurs moyens.


L'inceste institutionnalisé est un signe de confusion et de décadence le plus indiscutable d'une civilisation. Il est le plus grave indicateur du suicide de notre civilisation.

Cette loi est le symbole absolu du pouvoir totalitaire de la politique très perverse de Macron dans tous les domaines, voulu sur les âmes et les corps. Avec inversion de la charge de la preuve et le droit à la violence du fort sur le faible que l'on retrouve ici aussi.

Macron attaque les plus faibles. Les pauvres, les retraités, les ados, et les enfants. Mais la République s'est précisément constituée contre cette violence.

Cette loi ne peux qu'induire de la violence impuissante au cœur des familles si leur enfant est exposé avec l'alibi de « l'école » à la question sexuelle en dépit de leur immaturité.

Cette violence là de l'état n'est pas légitimée par le contrat social et elle ne peut que renforcer celle qui se repend déjà dans les cœurs, puis dans les actes et dans la rue.
Pourquoi?
Parce-que la loi Schiappa retire à l'enfant son statut d'enfant alors la loi de la République ne le protège plus.
"Macron je vous demande de vous arrêter...

La loi Schiappa? Meme motif que la loi travail : abolition du droit.
A l'école on va expliquer aux enfants de 6 ans ce qu'est une fellation ou une sodomie par exemple pour qu'ils apprennes à identifier les propositions d'adultes qu'il faut refuser... etc... Avec des mots choisis bien sûr. C'est cool non. Après on leur parlera de la façon de crocher les serrures pour qu'ils résistent à ceux qui veulent en faire des voleurs. Etc etc.

Ce gouvernement est dans la confusion tout azimut. Pour protéger l'enfant, il détruit l'enfance. À l'échelle d'un individu, cette confusion du gouvernement sur le contenu de l'éducation, le sens de la justice, et de l'humanité, sa perversité à l’œuvre dans tous ces rapports, s'appel la folie

mercredi 7 novembre 2018

Le Macronomicon


======== La chute du Contrat Social =========

L’État est prédateur.
L’État est agressif
Le citoyen est comme le lapin dans un nid de renard.

Le contrat social est dévoyé par le pouvoir. Macron perverti tout ce qu'il touche. Il oriente son action vers l'abolition généralisé du droit. On le voit à travers ses réformes dictatoriales sur les soins, l'éducation, l'université, le travail, les retraites, les pensions de réversion, les énergies etc etc... .

La « favorisation » du chômage pour tirer les salaires vers le bas au lieu de partager le travail comme l'exige la croissance de productivité, pousse les gens à Uberiser leur emploi juste pour survivre. Et pour survivre les gens sont poussés à créer leur propre enfer leur propre esclavage. On appel ça l'auto-entreprise et on leur dit que c'est notre avenir....

Mais ce n'est là ni la société en progrès ni l'humanité « en marche », mais le contraire.
Macron est le champion de la déshumanisation du vivre ensemble.

Les impôts et taxes pleuvent de toutes parts. Dans le déni le plus absurde de la mise en souffrance de la classe moyenne et des plus pauvres.
« Mais non, je ne vous assassine pas » se défend t-il en nous tranchant la gorge rigolard, avec un dédain morbide effrontément affiché devant les caméras.

Macron prive les citoyens de ce pays de leur désir de vivre en œuvrant à la création d'un climat d'insécurité sociétal, économique culturel sanitaire etc....
Pourquoi ?
Parce qu'il y aura toujours assez de gens pour engraisser les porcs qui nous gouvernent.

Ce qui nous fait humain et fonde société c'est notre propension à déléguer à l'autre le soin de notre survivance et de notre sécurité. C'est ce principe qui fonde toutes sociétés humaine et inscrit en l'humain, et l'altruisme et la confiance.
Macron dans sa toute puissance d'adolescent mal élevé piétine sans conscience ce qu'il est incapable de comprendre.
Comment un tel individu au comportement de voyou peut-il espérer finir son mandat dans la dignité ?
Mais la dignité aussi, lui passe au dessus de la tête, il s'en balance.

Macron prive le pays de sa capacité à vivre et travailler au bien de tous.
Macron viole la France en trahissant le contrat social qui uni les français.
« Ensemble balançons ce porc qui viol notre République »

Avez vous remarqué que l'adhésion à son parti « En Marche » est gratis, nous apprend Asselineau, alors il est naturel de se demander d'où vient l'argent car celui qui commande est toujours celui qui paye...
Une enquête sur la question du financement de LREM ne serait pas du luxe. Il est curieux de constater qu'il est le seul candidat avec Hollande qui l'a recruté, à n'être pas inquiété par une enquête.

Macron et son parti trahissent le contrat social.
Sur quoi se fonde le contrat entre les citoyens et l’État ?
Il est nécessaire de ne pas perdre de vu ce que « Contrat Sociale » signifie, et de le faire savoir, car c'est ce principe qui encadre les agissements politiques citoyennes dans la République.
Voici en substance ce que dit le Contrat Social (On trouve le texte exact très facilement sur internet)

« Le citoyen qui accepte de renoncer à son potentiel de violence pour assurer sa protection et sa sécurité, verra sa sécurité et sa protection garantie par l'état dans tous les domaines de sa vie citoyenne, par l'application de la loi choisie par tous et pour tous (le parlement) »

Hors le respect du Contrat Social, la politique menée ne peut être que scélérate.
Quand au nom du bien le gouvernement applique la violence aveugle sur le peuple au lieu de l'en protéger, il fait naître au cœur du citoyen le retour à la violence individuelle pour se protéger d'un état hostile à ses citoyens.

Macron met en acte une politique de prédation maximum. Il n'utilise pas la loi pour protéger les citoyens mais pour les exploiter, les séparer. Il combine des situations de violence et d'insécurité pour favoriser les lois autoritaires, au point que l'état d'urgence qui est un état de droit d'exception est passé comme une lettre à la poste dans le droit commun.

Dans le contrat social, le parlement est au service des citoyens et les écoute. Macron à mis le parlement au service de son pouvoir personnel.
Il est cependant très simplement possible, de remettre le parlement à l'endroit, c'est à dire à l'écoute du peuple et non de Macron.

Le renversement du contrat social avec la destruction de la République sera irrémédiablement acté par Macron si on ne le stop pas.

Le renversement du Contrat Social vient de ce que, contre le désir des français, la France, s'est destinée à être le satellite de l'Allemagne. Hier sous Hollande Sarkozy, Chirac et Mitterrand (1983), aujourd'hui sous l'administration de Macron.
Nous devons faire de Macron le dernier représentant de cette clique Pétainiste

La France est aux ordres de Bruxelles et non plus aux ordres des citoyens de la France. Il faut bien comprendre ce point, il est fondamental.

Pour le bien de l'économie Allemande et des financiers de la planète, Macron utilise la loi non plus pour protéger les citoyens mais pour les exploiter, les tyranniser, les escroquer. Sa politique bornée et autiste est conçue pour priver les citoyens du fruit de leur travail au bénéfice des plus riches qui ont créé l'Union Européenne à cet effet.


Macron n'est rien.
La tête du serpent c'est l'Allemagne, qui à l'aube de l'Europe, voulait imposer le Mark Allemand comme condition de l'Union Européenne. L'Euro n'est que le changement de nom du Mark. Et tout le reste des traités de l'UE s'ensuit. Ne pas perdre de vue ce point crucial. L'Euro est l'illustration de la politique d'instrumentalisation des nations par l'Allemagne à travers un outil qui s'appel l'Union Européenne.

Il faut sortir la France de ce guêpier et donner l'exemple.

Il est impératif de tourner la page de cette union Européenne là. Tourner la page de façon ouverte c'est initier un débat national que nous, la population, devons exiger sur la place public puisque les médias et les politiques censurent la question du Frexit.

Pourquoi ce débat n'existe t-il pas en France?
Les gens comme Asselineau Onfray, Polony, Gaves, Todd etc, et qui ne sont pas tous du même bord condamnent unanimement l'union Européenne.
Et personne ne veut savoir pourquoi ? ...
Ces gens là n'ont rien à dire ?...
Ils ne sont pas le diable, c'est le diable qui les désigne. Ouvrez les yeux.

En finir avec l’Union Européenne, ce n'est pas la fin de l'EUROPE. C'est au contraire lui donner sa chance. Fort de l’expérience de l'Union Européenne, les peuples plus que jamais sont près à construire l'Europe. L'Europe des nations sera la prochaine tentative. Elle se fondera autour de projets civils communs, à propos des enjeux qui dépassent chaque nations comme l'énergie pour ne citer que le plus fondamental. Quant à l'écologie, il ne saurait être réduit à un parti politique sans y perdre son âme. L'écologie c'est comme l'intelligence il en faut partout.

L’état Français est devenu prédateur, agressif, exploitant les petites gens et la classe moyenne car il s'est vendu à L'Europe de Maastricht. Il faut maintenant et sans faillir faire pleuvoir la colère des dirigés sur les dirigeants pour qui la démocratie n'est que l'alibi de leur forfaiture.
Il faudra bien en sortir de cette Union Européenne à moins d'attendre qu'elle ne s'effondre d'elle même et d'en payer le prix fort.

C'est alors que les Macron et compagnie disparaîtront comme des larmes au milieu de la pluie... Avant l'embellie... !.



lundi 5 novembre 2018

17 Novembre 2018


Le 15 novembre Macron fera un discours pour expliquer aux français que leurs opinions, leurs besoins, leurs souffrances, il s'assoit dessus.
Il se comporte comme un gosse de riche trop gâté. Comme un fils unique tout puissant qui ne conçoit l'existence de l'autre qu'à son service. Avec comme seul univers de communication, l'arrogance et le mépris de ce qui ne le sert pas...
Quels parents ne reconnaîtraient pas dans l'attitude de macron, le comportement d'un gosse mal élevé

Le 15 novembre dans le poste de télévision il pourrait s’inspirer du « Je vous ai compris » de De Gaulle. Mais ce serait présumer de son intelligence. Alors à quoi bon écouter son allocution. Il serait plus utile pour nous de faire chuter son audimat en regardant autre chose ou mieux en éteignant la télévision.

Il pourrait s'adresser à la foule en clamant « On m'avait caché l'état des Français » comme ce que nous a servi hollande, sans la moindre honte, 3 mois après son élection pour justifier sa trahison envers les français et avec une effronterie sans nom: « On m'avait caché l'état de la France »

Il pourrait tenir un discours résolu à l'adresse des gens de pouvoir et autres pourvoyeurs d'argent et proclamer que leurs fraudes, leurs avantages c'est fini.
Mais non rien de tout cela. Il n'est pas recommandé de prêter l'oreille au diable. (Le diable n'est rien d'autre qu'un imbécile pervers propulsé aux affaires...)

Si le Président était élu pour écouter les français, nous serions en démocratie. Qu'on se le dise nous n'y sommes plus. C'est pourquoi ces gens là n'ont point de honte.
Et nous?
Le 17 novembre 2018, Délivrons leur notre PREMIERE réponse.
Ayons le courage de dire NON, Ça suffit !

Dans les urnes, on ne nous écoute pas.
52% de refus de la politique de Sarkozy Macron Hollande et Compagnie. 52% de gens qui disent non à cette politique ce n'est pas une opinion exprimée ?
Une démocratie ne peut pas gommer 52% des inscrits. C'est pourtant ce qui s'est passé.

Il faut commencer par exiger que ce mépris cesse en révisant le scrutin. En exigeant de nos députés une loi pour compter le vote blanc dans les votes exprimés, ce qu'il est en vérité.
Pourquoi ne pas exiger ce qui est juste ?

Si le peuple n'est pas écouté dans les urnes ;
Si les urnes sont pilotés par les médias quand ils choisissent de rendre inaudible les politiques alternatives,
Si les médias aux ordres du pouvoir, choisissent d'évincer des gens comme Michel Onfray ou Natacha Polony pour délits d'intelligence.
Que reste t-il pour faire valoir la démocratie ?
Il ne reste que la rue.

Vraiment, si nous avons un peu de dignité, alors le 17 novembre 2018, pour dire NON à ce gouvernement autiste, on sort de chez sois, on y laisse notre porte monnaie, on s’habille de notre gilet jaune et on va se balader en se parlant les uns les autres. Histoire d'opposer l'élégance du peuple solidaire à la brutalité de Macron.