Actualités Août 2020

01 août 2020 -  Bilan du covidisme

L'expertise sanitaire de l'OMS est pervertie. L'OMS n'est qu'une officine politique pure et dure financée par le denier privé. Tant que l'OMS sera perçue dans les populations comme une organisation sanitaire internationale, les gouvernements pourront s'en servir de caution pour leur politique d'asservissement des peuples.

L'aspect pandémique d'un virus boosté artificiellement est la plus grande escroquerie internationale connue dans l'histoire de l'humanité.

Le coronavirus en question existe bel et bien. C'est juste que sa nocivité aujourd'hui est une légende. Au fil de ses réplications un virus modifié se débarrasse des gènes qui lui ont été artificiellement ajouté. C'est probablement le cas du covid-19.

La légende de la nocivité de ce virus a été entretenue par la propagande et la manipulation de l'information à propos des décès. D'ailleurs la quantité de certificats de décès délivrés au premier trimestre 2020 est inférieure à la même période de 2018.

La légende de la nocivité de ce virus à pour fonction de fédérer les gens autour d'une croyance, pour les inciter à adopter un comportement d'obéissance absolue. Une obéissance propice à toutes les manipulations émanant des maîtres de la finance auxquels obéissent les politiques.

Le test d’obéissance le plus important est le port du masque.

Sur le plan sanitaire vis-à-vis du virus à la nocivité imaginaire, le masque ne représente strictement aucun obstacle. D'ailleurs c'est écrit sur la boîte. Déjà les Pays-Bas ont renoncé à l'obligation du port du masque.

Le port du masque est une catastrophe sanitaire. Il affaibli le système immunitaire et empoisonne l'organisme avec nos propres déchets métaboliques. Ce conditionnement de l'organisme humain est sensé augmenté la virulence de la grippe saisonnière. On appellera ça la deuxième vague.

La prochaine étape sera l'administration du vaccin qui ne vaccine rien puisque le coronavirus selon les virologues n'est pas "immunisant". Cependant pour les politiciens ce virus est immunisant. À chacun de choisir qui détient l'expertise.

Ce vaccin contient de multiples produits chimiques et des nanoparticules sensibles à la 5G.... Qui a entendu parlé de sa composition à la  télévision ?

L'expérience du port du masque est l'expérience de la privation d'oxygène. Comment en est-on arrivé à renoncer à respirer librement sur une injonction politique ?

L'expertise sur la question du vaccin comme sur celle du port du masque relève de la parole des médecins et autres virologues et en aucun cas de la parole politique, particulièrement en macronie.

La macronie.

Le désordre social et institutionnel, l'autisme et le mépris envers le peuple, la perversité politique,  la destruction des contres pouvoirs, les passes droits, les conflits d'intérêts, la propagande, les mensonges, la violence administrative, la menace, la perversité du covidisme, la peur, la destruction de la République, la destruction de la laïcité, la destruction de la souveraineté de la Nation.... Tels sont la méthode et le projet d'Emmanuel Macron.

Par ces faits et par biens d'autres, Mr Emmanuel Macron Président de la République Française,  trahi la constitution de la 5e République.

En s'abstenant d'invoquer l'article 68 à l'Assemblée Nationale toute l'opposition parlementaire collabore au projet de Macron.

Voilà où nous en sommes après 3 ans de macronie et 37 ans d'UE.

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02 août 2020 - La religion du covidisme.

La question du coronavirus c'est comme la question de Jésus. Qu'il existe ou non ça change le monde. 

Aujourd'hui, le covidisme existe. C'est une croyance aux propriétés théocratiques. Légende ou pas, l'objectif du covid à l'échelle planétaire a atteint son objectif : "Créer dans les esprits une nouvelle croyance étanche à la raison faite de craintes et de rituels". 

La question n'est pas de se demander comment se débarrasser ou se protéger d'un virus qu'il soit imaginaire ou non, mais comment combattre cette théocratie.

On ne peut pas lutter individuellement contre la nouvelle théocratie qu'on appel covidisme. Par contre on peut se protéger des contingences provoqués par cette nouvelle religion comme le PV de 135 €.

Il suffit d'accepter le symbole du masque comme on accepte la pluie et de fabriquer un masque qui permet de respirer normalement.

Pour n'importe quelle religion comme pour le covidisme, la question de la preuve est sans objet. C'est une question de croyance. Le dispositif culturel et politique distillé par les médias confère au covidisme le statut de norme à laquelle se conformer. Gesticuler individuellement n'a pas d'impact sur le processus de théocratie en marche. Il permet seulement de s'affranchir un peu des contraintes qu'il impose. 

Résister individuellement reste individuel et n’empêche pas la République de se transformer en théocratie. La seule façon de lutter contre le covidisme est de comprendre et faire comprendre le processus par lequel il soumet de façon indéniable les peuples.

Ne perdons pas de vue que la covid-stratégie vise la génération future. Le vaccin la 5G et les nanoparticules seront la norme pour eux. Même si individuellement les gens ne croient plus à la légende du covid, le covidisme est installée comme ordre de la loi et fait la norme pour tous. C'est un fait, et chaque heure qui passe renforce la victoire de la macronie ...En France. Ailleurs ça bouge mais ce ne sont que des soubresauts. 

Le covidisme est bien ficelé et s'installe, c'est un fait. La meilleure façon de la combattre c'est de constater les évidences et de comprendre les processus. Je vous le dis, l'arme que nous avons pour gagner contre le covidisme c'est "L'OPINION PUBLIQUE".

Pour la créer c'est "LA JUSTICE MÉDIATIQUE" à reconquérir. En dehors de cette voie, la République est perdue.

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03 aout 2020 - La couleur du covidisme

Nous sommes en face d'une idéologie naissante qui s'appelle le covidisme et qui fixe la norme. Se conformer à la norme est une nécessité individuelle et collective spécifiquement humaine.  Le covidisme en appelle à la caution d'une rationalité pervertie détournée et sulfureuse. 

Durant les années brunes, bien des scientifiques dans tous les domaines, des philosophes, des médecins, et autres intellectuels ont construit une théorie irrationnelle de l'antisémitisme mais en vertu du principe de délégation elle est devenue rationnelle dans l'esprit du plus grand nombre. La propagande a fait le reste.

Aujourd'hui nous construisons la théorie irrationnel du covidisme contre l'humanité toute entière, la propagande fait le reste.

Si l'on méconnaît le processus de la période brune notre célèbre et historique "Plus jamais ça...!" n'a pas d'objet. Covidisme et période brume relèvent du même processus. 

Dans le covidisme, la période brune ne fait que changer de visage, d'objet, de moyens d'époque et d'amplitude avec l'humanité tout entière dans le rôle des Juifs.

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03 août 2020 - La Religion du Covidisme

La question du coronavirus c'est comme la question de Jésus. Qu'il existe ou non ça change le monde.

Aujourd'hui, le covidisme existe. C'est une croyance aux propriétés théocratiques. Légende ou pas, l'objectif du covid à l'échelle planétaire a atteint son objectif : "Créer dans les esprits une nouvelle croyance étanche à la raison faite de craintes et de rituels".

La question n'est pas de se demander comment se débarrasser ou se protéger d'un virus qu'il soit imaginaire ou non, mais comment combattre cette théocratie.

On ne peut pas lutter individuellement contre la nouvelle théocratie qu'on appel covidisme. Par contre on peut se protéger des contingences provoqués par cette nouvelle religion comme le PV de 135 €.

Il suffit d'accepter le symbole du masque comme on accepte la pluie et de fabriquer un masque qui permet de respirer normalement.

Pour n'importe quelle religion comme pour le covidisme, la question de la preuve est sans objet. C'est une question de croyance. Le dispositif culturel et politique distillé par les médias confère au covidisme le statut de norme à laquelle se conformer. Gesticuler individuellement n'a pas d'impact sur le processus de théocratie en marche. Il permet seulement de s'affranchir un peu des contraintes qu'il impose.

Résister individuellement reste individuel et n’empêche pas la République de se transformer en théocratie. La seule façon de lutter contre le covidisme est de comprendre et faire comprendre le processus par lequel il soumet de façon indéniable les peuples.

Ne perdons pas de vue que la covid-stratégie vise la génération future. Le vaccin la 5G et les nanoparticules seront la norme pour eux. Même si individuellement les gens ne croient plus à la légende du covid, le covidisme est installée comme ordre de la loi et fait la norme pour tous. C'est un fait, et chaque heure qui passe renforce la victoire de la macronie ...En France. Ailleurs ça bouge mais ce ne sont que des soubresauts.

Le covidisme est bien ficelé et s'installe, c'est un fait. La meilleure façon de le combattre c'est de constater les évidences et de comprendre les processus. 

Je vous le dis, l'arme que nous avons pour vaincre contre le covidisme c'est "L'OPINION PUBLIQUE".

Créer cette arme suppose la reconquête de  "LA JUSTICE MÉDIATIQUE". En dehors de cette voie, la République est perdue.

Le covidisme s'apparente aujourd'hui à une religion étanche à la raison. Le religieux et le seul processus politique capable de régner sur un ensemble de peuple et de culture distinctes pour préparer l'avènement d'un gouvernement mondial. En ce sens le covidisme est une théocratie à portée universelle. 

Pour nous en protéger nous avons à notre disposition la résistance individuelle. 

Pour la combattre, nous n' avons à notre disposition que le regroupement dans des mouvements souverainistes comme l'UPR ou Le mouvement du philosophe Michel Onfray. 

Internet est intéressant pour compiler de l'information de ceux qui sont résolus à lutter contre le covidisme. Mais le réseau social ne rayonne l'information que dans une bulle fermée de personnes qui partagent les mêmes idées. Internet est une illusion de communication une escroquerie médiatique.

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04 aout 2020 - Collaboration et Mondialité

Avant d'aborder la question de la collaboration, il me semble nécessaire de faire un petit tour par l'ontologie car c'est dans cet espace que se joue le scénario de l'humanité dont l'avatar fédérateur d'aujourd'hui est le covidisme.

Le covidisme, construit comme une  religion (théocratie) doit être perçu comme l'embryon d'un gouvernement du monde rendu indispensable par la logique de la rétention.

L'ONTOLOGIE

La rétention est le paradigme des paradigmes. C'est pourquoi c'est un méta-paradigme qui articule l'ontologie humaine.

Il n'est pas nécessaire de plonger dans une telle théorisation du phénomène humain pour faire l'expérience quotidienne du danger que court notre espèce et nos civilisations. Il est cependant nécessaire de comprendre qu'après avoir construit le monde, c'est le principe de rétention qui est arrivé à bout de souffle. S'il ne change pas c'est lui qui nous détruira.

Par les pavés ou par la raison, l'ontologie humaine doit passer de la rétention au partage, en dépit de quoi c'est l'humanité qui passera à la trappe en appliquant le principe de rétention à lui-même.

Le principe de rétention est invisible à la conscience humaine parce qu'il est unique. Pour le rendre visible il s'agit de le rendre dialectique. La seule façon de le faire est de reconstruire l'ontologie à partir du réel pour la rendre duelle. L'humanité se compose de l'homme et de la femme, elle relève donc de deux ontologies.

L'ontologie réelle de l'humanité est donc dialectique.

Ainsi, depuis l'ontologie usuelle se dessine le concept de "l'autre de l'homme" qui entraîne avec lui l'avènement du principe de partage comme alternative au principe de rétention. Si « l'autre » n'existe pas à l'échelle de l'ontologie, le partage n'est pas concevable.

LA RÉTENTION

L'humanité baigne sans le savoir dans le paradigme de rétention comme le poisson dans l'eau. Le paradigme de rétention, qu'est-ce que c'est?

C'est ce qui conditionne tous les rapports et toutes les perceptions humaines dans par et pour la prédation de tout ce qui est identifiable. Le principe de rétention représente la source naturelle et absolue de sécurité.

À cet égard les rapports humains avec le soi l'autre et le monde ne se distinguent en rien de ceux des animaux. Or ce ne sont pas plus les poils les écailles où les crocs qui font les êtres animaux que ce ne sont leur absence qui font les êtres humains.

Ce qui distingue l'humain de l'animal devrait être le rapport à l'autre au monde et au soi. Ce point et l'essentiel de la question ontologique.

Rien ne distingue le principe du rapport humain du principe du rapport animal. Les deux conçoivent et agissent dans la rétention.

Cependant la rétention animal est figée dans un gradient énergétique faible, et il ne viendrait pas à l'idée des animaux d'en changer.

Chez l'homme, à cause de sa faiblesse naturelle et de son intelligence qui la compense, le gradient énergétique est croissant. De plus, l'humain aspire à distinguer le concept d’humanité du concept d'animalité. Dans cette distinction il ne voit que la puissance à l'intérieur du principe de rétention invisible pour lui. l'homme ne se conçoit que dans l'hyperpuissance sans fin à l'intérieur du principe de rétention.

Ainsi le principe de rétention dans l'espèce humaine, amène cette espèce à un niveau de prédation gigantesque tout en se comportant comme l'animal conforme à sa représentation.

Pour sa sécurité, l'écureuil fait la prédation des noisettes et s'en contente sa vie durant. L'humain exerce le même type de rapport avec l'avoir le pouvoir et le savoir et de part son intelligence, aiguillonné par la nécessité dans le paradigme de rétention, ne possède jamais assez de pouvoir de savoir et d'avoir.

Les écureuils ne provoquent pas l'extinction de la vie sur cette terre parce que le principe de rétention est adapté à l'ambition animal qui le limite.

Depuis que l'humanité existe, elle n'a su qu'accentuer sa capacité de prédation.

Aujourd'hui, tout ce qui vit sur la terre dans la terre dans l'air et dans l'eau, qu'ils soient végétaux ou animaux ont fait l'objet de la prédation humaine.

Le sol, les forêts les montagnes la vie elle-même en général fera l'objet de la prédation humaine tant que l'homme sera prisonnier du principe de rétention.

Aujourd'hui l'homme est arrivé à la prédation totale de la planète. Coincé dans le principe de rétention dans un "réflexe animal", il ne sait que pratiquer ce que ce principe implique. Ayant déjà tout accaparé de la nature, l'homme n'a d'autre choix que de détruire l'homme.

(Nda : Mis en musique et en paroles par Giédré "Le Roi des animaux"... Excellent)

LA COLLABORATION

Dans tous les régimes politiques, des plus vertueux aux plus scélérats une grande partie de la population en confiance adhère aveuglement aux propositions politiques. La population collabore.

Il ne faut pas faire l'erreur de la juger comme on jugerait un individu. Nul ne peut être condamné pour son ignorance ou pour son aliénation.

La foule, le groupe "n'est" pas un individu. La foule n'a pas de jugement.

Que la foule n'ai pas de jugement est un choix politique issu du fantasme que l'ordre public ne peut-être que l'effet de la maîtrise absolue de l'information et de l'éducation, c'est-à-dire de leur interdiction.

Se pose alors la question de savoir si pour le sérail politique, "démocratie et ordre public" sont compatibles?

De façon plus prosaïque la confiscation de la démocratie au profit d'une forme autoritaire de l'ordre public répond à l'exigence de profit qu'implique le paradigme de rétention.

Étant entendu que par principe un profit est une concentration d'avoir, de savoir et de pouvoir, c'est-à-dire une spoliation du plus grand nombre dans ces trois domaines

Le politique fixe la norme dans la foule, et l'individu par effet de système se conforme à la norme. Alors, de grès ou de force, l'individu devient "collabo".

Il est extrêmement important de comprendre le processus qui conduit à cette "collaboration systémique". Ce processus s'appelle le principe de délégation qui fonde l'humanité dans tous ses aspects, à commencer par la grégarité d'où émerge le politique et l'économique.

Le principe de délégation implique le respect de la confiance comme vertu cardinale de l'humanité. La confiance dans le paradigme de rétention ne peut-être que pervertie dans tous les rapports émergents.

La question est de savoir à quelles conditions et dans quel système de rapports, le principe de délégation maintiendra la confiance, la rendra indispensable et conditionnelle dans les rapports émergents?

La politique, l'économie etc, sont des rapports émergents. C'est ce processus (principe de délégation dans le paradigme de rétention) qui crée la collaboration par l'adoption naturelle et humaine de la norme quelle qu'elle soit.

Pour initier une norme universelle c'est-à-dire compatible avec des cultures des langues et des civilisations disparates, "le covidisme" se constitue exactement comme une religion.

C'est la seule façon d'inscrire les peuples de la planète toute entière dans un embryon de gouvernance mondiale, gouvernance qui ne peut être qu'une dictature.

Comprendre les fondements du covidisme que l'humanité inflige à l'humanité oblige les consciences à se tourner vers la révolution ontologique. À défaut de mots pour la faire nous aurons les pavés.

LE MONDIALISME

Pourquoi un gouvernement mondial ?

1/ Parce que le principe de rétention l'exige comme la continuité naturelle de la prédation sur le monde.

2/ Parce que le maintient de la croissance du profit financier, exige la diminution du coût de maintenance d'un cheptel humain inutile à la production. Gérer la totalité de l'humanité en vue d'en maîtriser la croissance est impossible sans un gouvernement mondial.

le gouvernement mondial est une ambition qui arrive dans la mondialisation au moment où le principe de rétention ne doit et ne peut plus persister. Le gouvernement mondial est un rapport émergent à la plus grande échelle possible. Il a pour fonction de faire persister le principe de rétention au-delà de sa fin.

Ainsi en toute logique ce rapport politique parce qu'il est émergent à la plus grande échelle possible, possède la plus grande perversité possible.

Polluer la planète pour 1 milliard d'individus au lieu de 7 permettra à niveau de pollution égal, un progrès technologie plus important pour l'humanité. Ou plus simplement au lieu d'éparpiller le progrès technologique il pourra se concentrer s’accroître et se sécuriser sur une planète moins polluée. C'est du moins la logique éthique des maîtres de la finance.

Détruire la majeur partie de l'humanité représente aussi de la demande générateur de profit.

Il est question en quelques générations de faire passer le cheptel humain de 7 milliards d'individus à moins d'un milliard...

Détruire l'humanité pour maintenir la croissance du profit est véritablement le projet politique qui anime les maîtres de la finance.

Ce projet à la perversité monstrueuse relève de la logique implacable du principe de rétention dans la mondialité en vue de préserver la planète, l'humanité et la vie.

Mais il existe une autre logique que celle issu du principe de rétention...

Elle commence par un acte simple et naturel : L'exigence prioritaire du DROIT DES FEMMES À DISPOSER D'ELLES-MÊMES SANS CONDITIONS NI RESTRICTIONS.

Puisque la révolution ne peut être qu'ontologique et que la foule ne comprend que la langue des actes, ce droit là est le seul acte politique capable de parler d'ontologie, de l'interroger, d'identifier le principe de rétention et de le remplacer...

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05 août 2020 - La guerre des masques

Quand par la bouche des virologues, épidémiologistes et autres médecins en France et de part le monde il est avéré que : 

/ La nocivité de ce virus provient d'une manipulation génétique.

/ Très rapidement la nature a repris ses droits et a éliminé les gènes surnuméraires.

/ Depuis plusieurs mois, le test ne détecte que des débris de virus.

/ Il est avéré qu'en cas d'épidémie, le confinement est un accélérateur de propagation.

/ Il est avéré qu'il n'existe pas et n'a jamais existé d'épidémie; ce qui a permis la politique du confinement.

/ En France (mais probablement ailleurs) la quantité de certificat de décès délivrés au premier trimestre 2020 est inférieure à 2018. 

/ La mortalité de ce virus est en dessous de toute autres causes de mortalité...

Pour ces mêmes virologues, épidémiologistes et autres médecins de France et d'ailleurs :

/Il est avéré que comme protection virale le masque est une passoire parfaitement inutile. Le rapport de grandeur entre un virus et le maillage du masque quel qu'il soit est comme une mouche devant une fenêtre ouverte.

/ Il est avéré que le port du masque est nocif pour la santé. 

/ Le corps manque d'oxygène et s'acidifie.

/ Le corps s'empoisonne en réabsorbant ses déchets métaboliques dans l'air expulsé.

/ Privé de l'environnement microbien et virale naturellement ambiant, le système immunitaire s'affaiblit. 

La distanciation sanitaire en dit long sur la signification du rituel du masque quant elle devient distanciation sociale. Ce sont les jeunes qui sont particulièrement visés par cette mesure.

Lorsque dans un restaurant les gens sont à table le virus est absent. Une fois debout ils doivent porter le masque car le virus devient présent. 

Dans quelle condition psychique le gouvernement a-t-il mis les gens pour qu'ils absorbent une telle absurdité? Ce n'est qu'un seul exemple qui dans un film muet à l'époque de Charlot aurait été un sketch très rigolo.

La quantité d'absurdités de paradoxes de mensonges et de contradictions à propos de ce virus et du masque sont abyssales. 

À côté de la parole des médecins il y a la parole politique des gouvernements qui prônent le contraire de l'expertise des biologistes.

Pour se donner un alibi scientifique aux yeux des populations, la parole politique s'appuie sur l'avis de  l'OMS. Sauf que l'Organisation Mondiale de la Santé est une organisation politique pure et dure, dirigée par des intérêts financiers privés.

Comment se fait-il que les gouvernements de la planète soient rebelle aux arguments de santé publique du corps médical et obéissent aux arguments politiques des organisations financières?

Parce que l'OMS et les politiciens de partout ont en commun la culture de la rétention maximale afin de sécurité... Il y a probablement sur cette planète quelques gouvernements qui font ou feront exception. 

Comment se fait-il que les populations de la planète soient rebelles aux arguments de santé publique du corps médical et obéissent aux arguments de leurs politiciens ?

Parce que le principe de délégation qui est la condition de la création du groupe social les oblige à suivre les consignes de ceux qu'ils ont désignés pour administrer le groupe. Cette délégation et une délégation émergente et donc pervertie car elle est émergente dans le paradigme de rétention.

Les autorités politiques, contre toutes raisons et contre toutes logiques persistent et signent dans l'idée d'une pandémie. Et cette propagande fonctionne à merveille sur la majorité de nos concitoyens.

Pourquoi?

Parce que la raison est inopérante sur une croyance. La logique et la raison sont donc sans objets pour les adeptes du port du masque.

Grâce à l'OMS, le covidisme s'est drapé des habits de la science et de la raison mais en vérité ne possède que les propriétés d'une religion qui ne dit pas son nom. Le covidisme relève de la croyance, le port du masque est son rituel. Qu'il soit tout à fait irrationnel et déraisonnable n'est pas consistant.

 

Si le croyant lit dans sa Bible qu'il doit porter le masque, aucun argument raisonnable ne le fera changer d'avis. 

La bible du croyant au covidisme c'est les médias politiques. Leur foi est une perversion par les politiques du principe de délégation.

La seule façon de fédérer des civilisations des histoires des langues complètement différentes sur cette planète en un seul groupe administrable d'un seul tenant, c'est précisément une religion. Une religion se fonde toujours sur la peur et la menace de l'excommunication, elle prône l'obéissance aveugle en échange de l'ordre et de la sécurité.

Fédérer dans un gouvernement mondial des civilisations, des cultures, des histoires et des langues singulières justifiera sur la planète une gouvernance totalitaire et fasciste comme jamais il n'en a existé sur cette planète.

Pourquoi? Parce qu'en vertu du principe de délégation dans le paradigme de rétention, plus l'échelle de pouvoir est grande plus il est perverti.

Lutter contre son ennemi consiste d'abord à l'identifier. Identifier le covidisme pour ce qu'il est c'est-à-dire une néo-religion qui préfigure une théocratie mondiale, nous amène à penser la résistance contre le covidisme comme une guerre de religion. C'est-à-dire la guerre de l'obscurantisme religieux contre les lumières qui conduisent à la démocratie.

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05 août 2020 - L'abomination en marche

Le gouvernement a émis une note "Covid-19 et dérive sectaire" (voir sur ce mur en dessous de ce post). 

Cette note innove. C'est du négationnisme contemporain d'une perversité inouïe qui force l'émergence d'une colère d'une ampleur plus grande encore contre ce gouvernement. 

La dérive sectaire contre laquelle le gouvernement se gausse, n'appartient pas à ceux qui en appellent à la raison et au débat contradictoire public. La dérive sectaire dont parle cette note est l'exacte expression de la politique gouvernementale quand elle pratique contre toute raison, la promotion de cette nouvelle théocratie que j'ai nommé "le covidisme".

La note gouvernementale relève les familles de leurs responsabilités éducatives à l'égard de leurs enfants.

Elle établi avec la plus grande clarté l'interdiction faite aux familles de veiller à la sécurité de leurs enfants. Ainsi, les enfants sont pris en otage par le gouvernement.

Face à cette attaque brutale du gouvernement contre les familles, pour protéger les enfants des manipulations mentales autant que vaccinales, il est impossible de faire la grève de l'école car les enfants seraient pris en otage par les familles cette fois çi, pour devenir des instruments de résistance. Or, il n'y a rien de plus détestable et destructeur envers un enfant que d'en faire un instrument de manipulation.

Et quelle famille serait assez détruite moralement pour faire violence à ses propres enfants en les empêchant d'aller à l'école?

Et quelle famille, en donnant des consignes à son enfant contre le danger du vaccin par exemple ne serait pas inquiétée en faisant cela de le mettre à l'école en situation délicate ?

La posture du gouvernement est particulièrement perverse détestable et révoltante. 

En fin de compte, tout au bout de l'analyse de tout ce qui se trame dans les intentions et la politique du gouvernement, aujourd'hui, les enfants sont réduits à un argument de manipulation... des masses. En fin d'analyse, le gouvernement les a transformé en  boucliers de protection des intérêts privés des plus riches. Cette note en témoigne.

Par décret gouvernementale, il est donc fait interdiction aux familles de donner des consignes de prévention et de sauvegarde aux enfants car de telles consignes seraient assimilées à un comportement familial délictueux.

Un décret gouvernemental particulièrement en situation de crise fait force de loi. Or, s'il n'y a pas de sanctions, il n'y a pas de lois !

Ainsi il est logique de penser que toute famille qui donnerait des consignes à leur enfant pour le protéger de la propagande gouvernementale à l'école, le protéger du vaccin et du test serait susceptible d'être sanctionnée.

Le gouvernement est entré dans une phase d'abomination dont il n'est plus capable ni de sortir ni de mesurer l'étendue.  

Quand les enfants ne sont plus sacrés la ligne rouge est franchie. Plus personne digne d'humanité n'a le droit de laisser faire.

Quand un gouvernement donne l'ordre de tuer les vieillards et cultive la "mortitude" au sein du peuple en forçant l'endoctrinement par la peur et la menace, et pratique la prise d'otage des enfants, un tel gouvernement est entré dans l'abomination la plus sordide. Ce n'est pas ça la civilisation. 

La civilisation aujourd'hui passe par la guerre du peuple contre les gouvernements; avec la mise en mots dans le débat contradictoire, ce serait une bonne chose; sinon il faudra bien en passer par la mise en acte. 

En vérité contre ce nihilisme gouvernementale, non de l'histoire mais de la réalité du moment, il n'existe que les pavés qui soient encore jouables; parce que les élections, avec les médias captifs de la propagande au service de l'endoctrinement, elles sont jouées d'avance.

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06 août 2020 - La loi bioéthique nouvelle en question.

Cette loi est une démission de la société toute entière. 

En vertu du principe de délégation, les humains font société pour s'entraider. S'ils cessent de suivre ce principe où le pervertissent. Cela signifie que l'humanité est en train de mourir. 

Mais il n'est pas nécessaire de passer par la philosophie pour comprendre cela. Par contre le recule philosophique aide à comprendre comment inverser la tendance et redonner à la vie le pouvoir de prendre les commandes de nos sociétés. 

La philosophie, l'ontologie qui est la théorie de l'être, sont des mots que les uns et les autres redoutent car ils ne sont pas usuels. Pourtant ils devraient l'être.

La philosophie consiste seulement à penser le sens de la vie. Elle est l'activité commune à tous les humains. On a juste coutume d'affubler du nom de "philosophe" celui qui désigne formellement cette activité et en fait une pratique courante...

Aujourd'hui en macronie, le progrès marche à reculons. Au lieu d'aller vers la vie et vers sa diversité, la macronie sème la confusion dans toutes les institutions de la République et précipite les citoyens dans "l'État" et l'état de "mortitude". 

Ou en sommes nous de l'état de mortitude?

Dans l'ordre chronologique et dans les grandes lignes connues nous avons eu : 

/ La consigne d'assassinat des personnes âgées.

/ L'arrêt brutal des soins des malades chroniques assorti du gonflement des statistiques de mortalité due au coronavirus.

/ L'interdiction de respirer librement

/ Les enfants comme instruments de manipulation de masse via l'institution de l'école.

/ Les enfants viables interdits de naître.

Ce sont autant de lois qui préfigurent le plan de la diminution forcée du "cheptel humain" au terme de deux générations (évaluation personnelle à la louche). 

La diminution du cheptel humain permet de maintenir le système de profit financier. Pourquoi vouloir le maintenir au prix de la vie?

Le contrôle politique de la démographie s'apparente ou s'inspire de la politique autoritaire chinoise de l'enfant unique, qui est un échec cuisant... Outre la politique démographique autoritaire, aujourd'hui, les chinois nous  apportent le virus et la 5G... Pourvu que ça cesse...

Nonobstant, il est logique de considérer qu'il est impossible à l’humanité d'avoir une croissance démographique exponentielle. Mais il existe à la disposition des gouvernements, d'autres solutions d'autorégulation élégantes et harmonieuses en lieu et place de l'assassinat et de l'interdiction d'exister par la loi.

La désorientation des lois et le saccage des droits ne date pas d'hier. Tout a commencé quand la France est entrée dans l'UE. Depuis Sarkozy tous les gouvernements successifs travaillent "sans complexes" à l'abolition du droit...

Je souligne au passage que la loi n'est pas faite pour interdire la vie mais pour la promouvoir en protégeant le faible du fort. 

Dans tous les domaines, la loi en macronie est pervertie. Elle protège maintenant le fort du faible, autrement dit en macronie, le droit est aboli.

Pourquoi?

L'autorégulation du cheptel humain peut se faire naturellement, de façon très logique et mainte fois expérimentée par le partage du progrès et des ressources; par le partage de la planète avec d'autres espèces et par le respect du vivant dans la diversité.

Cette direction n'est jamais évoquée ni explorée. Par défaut elle est considérée comme un non-sens. Pourquoi?

La question du jour est : 

Pourquoi les gouvernements choisissent la maîtrise forcée de la démographie humaine plutôt que son autorégulation ?

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07 août 2020 - Plus jamais ça.

Le port du masque ne se justifie que pour échapper à l'amende de 135€.

Le test covid est un alibi de "persécution citoyenne". 

Le port du masque et le port de l'étoile juive entretiennent le même rapport au politique et à la société civile. Il s'agit de la continuité historique du même processus d’aliénation. 

Sur le plan politique et médiatique, le port du masque comme jadis pour l'étoile juive fait l'objet d'une propagande massive. Ces injonctions sont basées toutes deux sur le mensonge.

Sur le plan civile, l'obéissance est quasi généralisée et le refus du port du masque fait l'objet d'une dénonciation encouragée par les pouvoirs publics; comme ce fut le cas jadis pour le refus de porter de l'étoile juive.

Dans les deux cas, l'autorité politique cherche sa légitimité dans une caution scientifique douteuse. Et dans les deux cas, la contestation citoyenne ou le débat contradictoire sont coupables d'hérésie. 

Covidisme et nazisme pratiquent la légitimité de l’eugénisme avec des variantes. La dernière loi baptisée du nom de "bioéthique" rend le gouvernement propriétaire de la chair de l'enfant à naître, ce qui représente une innovation par rapport au nazisme. 

Et comme à l'époque de l'étoile jaune comme signe d'identification d'obéissance et de soumission, les sphères, intellectuelles, politiques et scientifiques approuvent: le masque, le vaccin et l'eugénisme envers les anciens et dans sa formule bioéthique.

Et enfin, l'OMS et les autorités politiques ont prévu l'usage par la force si necessaire des centres d'isolement. Ils sont une reformulation édulcorée de la déportation. Il s'agit bel et bien aujourd'hui comme hier du même scénario de contrôle des populations mais avec toute la population dans le rôle des juifs, avec le masque et le test covid dans le rôle de l'étoile jaune... 

Sur le plan politique comme au sein de la société civile, le port de l'étoile juive sous la pression du nazisme et le port du masque sous la pression du covidisme exploitent le même processus. Il n'existe de différences entre ces processus que dans des questions de forme et de degrés.

Aujourd'hui ce n'est pas la population Juive et autres Tzigane qui est visé. À part quelques passes droits du côté des voyous et des nantis, c'est toute la population du pays qui est concernée par le processus d'aliénation et de purge.

S'il ne concerne pas le PROCESSUS DE MISE EN ŒUVRE, le "plus jamais ça" du devoir de mémoire ne signifie rien.

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09 août 2020 - La loi bioéthique faite aux femmes 

La loi bioéthique renforce l'autorité publique sur le corps des femmes avant même de concerner le corps de l'enfant.

La situation des femmes dans les sociétés des hommes n'est pas conforme à la nature du féminin. 

La nature du féminin relève d'une ontologie de l'humanité, dont l'ignorance rend inaccessible aux humains l'accès à l'Humanité véritable.

La marche des humains vers l'humanité est stoppée au stade de la toute-puissance parce qu'au niveau de l'ontologie "l'autre" n'existe pas. 

Réfléchissons un instant là-dessus...

... Et revenons à nos moutons.

L'ignorance politique sociale économique et culturelle du féminin comme nature, conduit les femmes dans la soumission et l'impasse existentielle.

"Le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes est la seule voie possible au progrès de toute l'humanité." 

Comment construire la transition nécessaire pour y parvenir ? C'est la seule question qui vaille la peine si on s'interroge sur le devenir de l'espèce humaine.

Si l'on veut que l'humanité ai un lendemain, aujourd'hui plus qu'hier les humains doivent penser la question de leur ontologie.

"Le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes ne signifie pas une absence de conscience individuelle et collective." Mais exactement le contraire. 

Dans notre collectivité soumise au principe de rétention le statut de la femme est toujours un statut d'esclave avec des degrés variables d'une culture à l'autre. Dans la Loi, la femme n'a pas le même statut que l'homme. La femme existe dans la loi en tant que nature avant d'y être mentionnée comme citoyenne. 

Or, la loi ne concerne que le droit de propriété. Propriété en tous genres; foncière, intellectuelle, financière, matérielle etc...  Un sujet ne peut faire l'objet du droit de propriété que s'il est esclave.

Ainsi, mentionner dans la loi, la femme en tant que nature, c'est lui attribuer un statut d'objet et par conséquent d'esclave.

Que l'objet soit entretenu ou même idolâtré, ne change rien à l'affaire. Même dans un écrin de velours le plus beau et le plus cher des diamants reste un objet. Quel que soit le rapport qui s'établit avec l'objet, l'objet reste un objet et ne sera jamais sujet.

De façon étendue, dans les lois humaines, n'est sujet qu'un être en état de concurrencer la toute-puissance des humains.

Sur le plan ontologique, une femme, et plus précisément le féminin, n'est approuvée par la collectivité dans son existence que si elle cultive sa propre absence. C'est pourquoi l'état du féminin dans la société des hommes est l'état de "mortitude".

En l'occurrence, cette loi nouvelles dites honteusement bioéthique, exploite la détresse des femmes dans une société complètement fermée à la nature du féminin et parfaitement incapable de prendre ses responsabilités vis-à-vis du féminin en tant que nature. 

Tant qu'il est indistinguable du corps de la femme, cette fermeture de la société s'étend maintenant au corps de l'enfant. Avec la loi bioéthique nous assistons à l'extension de l'inscription de la femme dans la mortitude, à "son" enfant,

Il est entendu qu'à 9 mois l'enfant est à naître. Lui refuser la naissance par une loi est un assassinat collectif. Nommer cette loi "éthique" est un abus de langage, un retournement de sens et du rôle du collectif à l'endroit du vivant. 

Amener une femme à prendre une telle décision et s'interdire de penser comment collectivement nous en sommes arrivés là, relève d'une aliénation collective. Cette question est légitime car, je rappelle au passage qu'il n'y a pas d'humanité hors la grégarité.

Dans "Le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes", il existe toute une série de conséquences relatives à la transformation de la société pour que le féminin y fonde sa place dans toutes ses dimensions économiques, culturelles, sociales et politiques. Ce faisant, le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes installe l'altérité fondamentale propice à interroger l'ontologie au sein de la société des hommes.

Invoquer " Le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes" sans les conséquences que ce droit implique est un égarement de l'esprit.

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10 août 2020 - La pandémie et la monnaie

En haut de la pyramide du pouvoir économique et politique qui pilote les états, il n'y a que très peu d'acteurs.

Ce qui est parfaitement conforme à la logique du paradigme de rétention qui dans la mondialisation implique et impose centralité et concentration du pouvoir politique et économique. 

La politique ne s'appliquant qu'à l'économie. 

Dans le paradigme de rétention qui atteint à notre époque son paroxysme, la capacité de rétention la plus grande domine politiquement celles qui lui sont directement inférieures et ainsi de suite jusqu'au peuple. 

Tout en haut de cette pyramide nous trouvons des gens comme Soros, Rockefeller, le Vatican, et quelques autres. C'est le triumvirat des Parrains

(Nda : quand on est plus que trois pour faire un triumvirat c'est quand même un triumvirat ...)

Le groupe restreint des parrains de la finance domine et ordonne les systèmes politiques. Pour mettre les gouvernements au service de leur ambition mondialiste, ils utilisent selon les circonstances, la corruption individuelle des responsables politiques, le chantage au FMI envers les pays les plus démunis, et toutes autres ficelles dignes de la mafia. 

À part la corruption pour intérêt personnel et la menace par la déchéance politique c'est-à-dire contre l'intérêt personnel des dirigeants de pays très dépendants, il ne peut pas exister d'autres raisons pour lesquelles un homme politique oeuvre contre l'intérêt de la population de son pays. 

Ce point est crucial pour se faire une idée des profiles types que le peuple a mis à la tête de la nation. Dans le paradigme de rétention, un homme politique vertueux est un contre-sens ou une exception.

Juste en dessous des Parrains il y a les premiers couteaux comme l'association Bill & Melinda Gates, et Antony Fauci, grand ordonnateur de l'OMS dont il a reçu mission de la mettre au service des Parrains.

Puis les seconds couteaux constitués des grandes organisations Internationales comme l'OMS et autres satellites de l'ONU. Il y a aussi comme seconds couteaux les multinationales de toutes sortes comme Total par exemple et de très grandes organisations financières du type Black-Rock, FMI, BCE... 

En dessous de la strate des seconds couteaux il n'existe que des cibles.

Viennent alors les banques moyennes et petites. Elles sont légions.

Puis en dessous d'elles, figurent les États. 

Dans cette grande hiérarchisation mondialisée du  pouvoir, contrairement à l'imaginaire des peuples, les hommes politiques ne servent que de fusibles entre la structure du pouvoir en amont des états (premiers et seconds couteaux) et le peuple sur qui l'organisation du pouvoir s'applique. 

Vue depuis le peuple, les parrains ne sont pas identifiables car ils n'ont pas besoin de publicité auprès du peuple.

Plus l'autorité des parrains descend dans la hiérarchie plus ceux qui  reçoivent les ordres ont besoin de publicité auprès du peuple. L'illusion de la démocratie dans l'esprit des populations commande la stratégie du "triumvirat" pour éviter le soulèvement populaire. 

Le paradigme de rétention conduit inexorablement l'organisation des pouvoirs politiques et économiques à la gouvernance politique mondiale. Il est entendu qu'une telle gouvernance ne peut-être qu'aux antipodes de la démocratie. 

En effet il est impossible de fédérer dans une seule organisation politique, des cultures des langues, des histoires, des aspirations et des besoins singulièrement différents voir opposées. La seule façon de construire une culture commune et transcendant les différences, c'est une religion totalitaire c'est-à-dire une théocratie. En cela, la théocratie de l'islam qui domine les deux tiers de la planète est tout à fait exemplaire.

L' architecture du pouvoir qui va du parrain au peuple en passant par les différents niveaux de portes-flingues et de politiciens corrompus, est rendue possible parce que la notion de la valeur de la monnaie est terriblement faussée dans l'esprit des gens.

Cette notion est faussée parce que les esprits, les cultures, les politiques et les économies, sont conditionnés et structurés par l'idée que le salut vient de la rétention maximum de l'avoir du pouvoir et du savoir. C'est ce principe qui construit une domination de l'intérêt financier sur le politique, c'est-à-dire une instrumentalisation du politique par l'intérêt financier. 

Plus l'échelle de l’échange grandi, et plus le principe de rétention oblige à la domination de l'intérêt financier sur la confiance en politique.

Si pour l'individu la monnaie se traduit par une quantité de liberté, pour toutes administrations chargées d'une responsabilité politique (l’État..), elle n'est que l'unité de mesure de l'échange. Si bien que, au passage, la notion de dette ne peut pas s'appliquer à une nation si elle est souveraine et indépendante. 

Rendre la dette applicable à une nation, ne poursuit qu'un seul but : la rendre dépendante d'une puissance supérieure. C'est pourquoi le retour à la souveraineté est une condition absolue et exclusive d'un retour à la "libre normalité".

Au niveau politique, la valeur de la monnaie n'est rien d'autre que la quantification de la demande.

Pour produire de la demande il y a la conquête des territoires géographiques et économiques. 

Et quand la conquête est terminée dans la mondialisation par exemple, pour produire de la demande il faut réduire l'offre. C'est là qu'est intervenu la pandémie, son confinement irrationnel et consorts.

Comprendre la dynamique de la monnaie permet de comprendre la dynamique politique de la pandémie.

La dynamique politique de la pandémie et un moyen appliqué au monde tout entier pour perpétuer le paradigme de la rétention au-delà de sa fin naturelle. Sa fin un naturelle étant la construction de la mondialité économique maintenant avérée. 

La rétention est le paradigme qui structure l'économie et conditionne tous nos rapports à toutes les échelles de l'humanité et dans tous les domaines, à la sécurité par l'accumulation maximum de l'avoir du pouvoir du savoir.

Il ne sert à rien de lutter contre quelque chose que l'on cultive. Tant que le paradigme de rétention ne sera pas identifié comme tel, l'intérêt de la lutte pour s'opposer à l'avancée de la domination mondiale par le triumvirat de l'argent, finira un jour ou l'autre par identifier et interroger ce paradigme dans les consciences. À ce moment-là seulement, la population pourra commencer à reprendre la main sur sa destinée.

Aujourd'hui les peuples et les individus sont démunis. Chacun se demande comment agir. Agir est extrêmement simple à l'échelle de l'individu. La seule action accessible à l'individu consiste à prendre sereinement le temps de comprendre sans perdre le sens de l'humour. C'est tout. Alors tout le reste suivra. 

Annexe : l'UE

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Il est parfaitement inutile de mettre Macron au pilori. Le premier étage du pouvoir qui contraint la France et les français c'est l'UE. L'UE et une construction politique et économique locale qui favorise l'avènement du gouvernement mondial des Parrains. 

En Angleterre, Italie, Espagne, Allemagne dans les Pays-Bas et les pays de l'Est, le débat public bat son plein au sujet de la souveraineté des Nations. Il n'y a qu'en France où la presse est totalement verrouillée au service de la propagande de l'UE. C'est pourquoi, le souverainisme et la sortie de l'UE s'imposent comme le seul espace de lutte contre la tentative d’avènement du gouvernement mondial.

L'action aujourd'hui en France consiste à restaurer la liberté de la presse.

Pour cela il est indispensable de créer l'événement. Un événement majeur, susceptible de mobiliser la presse et de la forcer à parler de souverainisme et de FREXIT sera la constitution d'une fédération des souverainistes.

La balle est dans le camp des promoteurs des mouvements souverainistes. "UPR" de Asselineau, "Les Patriotes" de Filippot, et "Front Populaire" de Onfray dont le mouvement visionnaire, est une tentative de regroupement de tous les souverainistes.

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11 aout 2020 - Trop de philo tue la philo

Alors pour changer un peu, voici une expérience personnelle pour inviter les gens à s'interroger. 

J'explique à des gens que selon le comité scientifique du gouvernement, le virus s’arrête là où il y des tables. J'essaye de le leur prouver scientifiquement, c'est faisable.... 

S'ils me prennent pour un con, c'est gagné... !

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12-08-2020 - Le macronisme fondamental

L'individu existe.

Il existe parce qu'il relève une pensée, d'une identité et d'une capacité d'expression.

On déplore l'inertie les populations quand on transpose les propriétés de l'individu au peuple comme s'il était une entité.

Transposer ces propriétés au peuple est une grande erreur qui force la colère, le désespoir et le sentiment d'impuissance. 

Du point de vue de ses propriétés, le peuple n'a d'existence que par son expression médiatique, ou dans son expression à partir des représentants des groupes sociaux. Et quand le peuple est privé de l'un et de l'autre, il devient gilet jaune c'est-à-dire une expression spontanée dans tous les sens.

C'est pourquoi, pour mettre le peuple à sa merci, Macron a détruit les intermédiaires sociaux et a fermé la presse à tout ce qui n'est pas sa propagande. 

À partir de ce moment-là, le peuple est totalement démuni. Les individus ne sont plus liés entre eux par un système d'idées. Dans l'espace politique le peuple comme entité n'existe plus. 

Pour le ressusciter il y a 3 voies possibles.

1/ Les gilets jaunes bien entendu. Mais le phénomène des gilets jaunes ce n'est pas l'expression du peuple mais le symptôme de la mutilation de son expression.

2/ Le retour de l'opposition à la représentation du peuple dans l'espace médiatique et politique. Je crois que ce retour est rendu parfaitement illusoire. Chaque homme politique de droite comme de gauche roule pour son profit personnel. Et tous collaborent passivement ou activement à la macronie.

A l'exception de l'#UPR, raison pour laquelle ce parti souverainiste de la première heure est radicalement censuré, l'ambition des chefs de partis ce n'est pas la France, ce n'est pas les Français. C'est le pouvoir. À cette fin ils sont prêts à toutes les compromissions. 

Par exemple, pour atteindre le pouvoir comme pour le conserver, il est très important de séduire les étrangers de France, qui commencent à y croire et se bercent d'illusions. 

La macronie transforme la société civile en un panier de crabes propice à lui laisser les coudées franches.

3/ Pour ressusciter le peuple digne de l'histoire de la France, le forçage du retour de la parole du peuple dans la presse, cette troisième voie bien que très difficile à atteindre est la seule possible. 

La mobilisation des députés à cause du point numéro 2 resterait lettre morte. 

Le forçage du retour de la parole populaire dans la presse passe par un événement exceptionnel, probablement un effet gilet jaune.

Le forçage du retour de la parole des français dans la presse passe par un événement incontournable et cardinal : la fédération SANS CONDITION DES SOUVERAINISTES sous n'importe quelle bannière pourvu qu'elle ait lieu.

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14-08-2020 - La condition de Rétention

Les politiciens sont corrompus. La corruption est une conséquence logique quand la politique s'exerce dans le paradigme de rétention porté à son paroxysme dans la mondialisation qui en est le fruit. 

Dans le paradigme de rétention, le principe de délégation fondateur de l'humanité transforme le nécessaire respect de la confiance réciproque à l'obtention du profit partagé, en trahison de la confiance lorsqu'il s'agit de délégation émergente comme le politique. 

  Explication:

  Une délégation dont le caractère n'est pas émergeant mais direct, implique la symétrie de contrôle entre le déléguant et le délégué. Dans ce cas la quête du plus grand profit commandé par le principe de rétention implique le respect de la confiance.

 Une délégation dont le caractère est émergent interdit la symétrie de  contrôle entre le déléguant et le délégué. Dans le paradigme de rétention la quête du plus grand profit conduit obligatoirement à la trahison de la confiance. 

Reprenons :

Dans le paradigme de rétention, la délégation émergente transforme la trahison en vertu.

Comprendre cela permet de comprendre pourquoi les gens comme Macron ne sont pas incompétents mais particulièrement stratèges. Les gens de politique sont à la poursuite du seul profit possible à savoir le profit personnel. Dans le paradigme de rétention, en politique il n'y a pas d'autre profit possible.

Examiner les mécanismes qui associent la rétention et la délégation permet de comprendre pourquoi un système politique ne peut jamais échapper, sauf rares exceptions, à la trahison du peuple dans l'exercice du pouvoir. Dans le paradigme de rétention, à partir d'une certaine échelle et d'un certain niveau de puissance, la trahison du peuple devient la condition indissociable de la réussite.

Comprendre le mécanisme qui relie le principe de délégation et le paradigme de rétention est nécessaire pour concevoir des politiques sociales économiques et culturelles propices à déjouer ses effets pervers.

L'identification de ce mécanisme permettra aux peuples de s'affranchir des consignes liberticides et de reprendre son destin en main.

Cependant, réfléchir à ce mécanisme n'interdit pas à l’échelle de la foule, le dialogue avec les pavés. 

Ceci n'est pas un bon mot, en l'état de l'exercice du pouvoir politique contraire à la volonté de démocratie du peuple, la mise en acte est incontournable. 

Explication :

Dans le paradigme de rétention, le profit du politicien est conditionné d'abord à l'obéissance au supra-politique, puis à la trahison du peuple dont il a reçu délégation. À l'effet d'échelle, source systémique de la trahison, s'ajoute le désir des uns incompatible avec le désir des autres.

En cas de désobéissance, le politique est menacé par le haut d’excommunication et d'assassinat médiatique. 

Par ses paires, il est menacé par la concurrence s'il s'écarte de la "cause" du parti. 

Par le bas, le politique est réfutée par la majorité si son propos est incapable de convaincre. Si son propos est trop précis il ne pourra convaincre qu'une partie de la société civile et sera évincé à la prochaine élection. C'est pourquoi le politicien vis-à-vis du peuple n'a de talents que la langue de bois. 

Comme dit Jean Ferra "Plaire à tout le monde et à personne n'est pas donné à n'importe qui..."

La menace par le haut est la plus facile à gérer il suffit d'obéir.

La menace par le populaire est la plus difficile à contrôler. La communication de l'homme politique vis-à-vis du peuple doit produire l'adhésion car l'idée de démocratie étant incrustée dans l'esprit des gens, elle est incontournables.

De plus, le populaire est aussi la source et la cible du profit des politiques et des financiers. 

Il est donc très important qu'un homme politique donne l'illusion de la démocratie, du rassemblement, de la synthèse, et du consensus. Quand ce n'est plus suffisant, nous entrons dans la maîtrise des peuples par la science de la psychologie sociale dont le covidisme est la démonstration magistrale.

Pour l'acteur politique, obéir au "Triumvirat" {les maîtres de la finance internationale} est une garantie de profits.

La compétition entre les politiciens du même niveau consiste à être le plus efficace possible pour promouvoir la politique de ceux qu'ils servent. Au final, toute la question qui se pose au politique ne concerne essentiellement que la maîtrise du peuple. C'est tout.

Pour opérer leur stratégie, les politiques étant une délégation émergente du peuple, ils vont contrôler la communication pour le priver de son expression.

Pour mettre en œuvre la volonté qui les commandes, le politique est obligé de priver la foule de son "organe vocale". C'est pourquoi toutes les politiques contrôlent peu ou prou la presse.

Quand le projet politique s'écarte radicalement du projet populaire, la fermeture de la presse ne peut être que radicale. 

En macronie ce contrôle radicale est très excessif et contre-productif à terme court. 

Voilà pourquoi réduit au silence il ne reste au peuple que les pavés pour retrouver son droit à la parole.

Quand le pouvoir supprime à la foule le moyen de mettre en mots, la foule n'a plus d'autres possibilités pour s'exprimer que de mettre en acte. 

Quand la presse dans son intégralité n'est que le reflet de la propagande du pouvoir, il n'existe aucune possibilité qu'une manifestation se déroule dans la sérénité. C'est pourquoi elles sont interdites.

Lorsque la foule possède des représentants qui sont par exemple les syndicats, les partis politiques et autres portes-paroles de groupes sociaux, on peut concevoir qu'une foule défile pacifiquement ou du moins que ce soit possible, que ce soit réalisable. Mais quand un gouvernement c'est employé avec méthode à priver de façon radicale la population de tous moyens  d'expression, il se passe trois phénomènes:

1/ L'organisation de la foule comme entité est très lente à se constituer. 

2/ Le pouvoir s'est privé de tous moyens de maîtriser la foule.

3/ Les conditions de la guerre civile sont constituées.

Que la guerre civile ait lieux où pas, c'est le paradigme de rétention qui a engendré le schisme majeur entre le politique et le populaire; et même si elle ne l'identifie pas, c'est contre le principe de rétention que la population se soulèvera avec les pavés puisque l'usage des mots est rendu impraticable.

Que veut la population ?

Elle veut la sécurité dans l'expression de son humanité, toute entière comprise dans le principe de délégation assortie de la confiance à toutes les échelles du groupe. 

C'est pour cette raison par exemple que le don gratuit est l'acte cardinal de l'éthique. 

La conservation du paradigme de rétention au delà du naturel, amène par système, la réduction de la confiance à toutes les échelles du groupe, et ce faisant interdit l'épanouissement de l'Humanité ....

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15 août 2020  On marche sur la tête

Aujourd'hui, le gouvernement travail à la destruction de la Nation au profit de la souveraineté européenne. L'islam est un instrument politique de déstabilisation de la société française qui craque de partout. L'UE est un système politique et financier tourné complètement au profit de l'économie allemande. L'UE est aussi le marche-pied du projet  "Gouvernement Mondial".

L'UE ce n'est pas une source de paix mais de guerre. L'Allemagne lâche la France dans l'effort de protection de la Grèce contre la Turquie. 

L'Allemagne privilégie ses intérêts économiques alors que l'Allemagne la France la Turquie et la Grèce font partie de l'OTAN. Dans cette grande famille de l'UE et de l'OTAN, qui entraîne qui dans la guerre?  

Cette organisation des Nations unies ne rime à rien. Quant à la solidarité européenne, force est de constater à chaque occasion quelle n'est qu'un argument de publicité, sauf quand elle rapporte à l'Allemagne...

À l'intérieur du pays la chienlit politique est à son paroxysme. 

La justice défend et soutient le meurtre et l'inceste ici et là. 

La loi bioéthique qui autorise l'avortement a 9 mois d'aménorrhée est une infamie.

La justice déclare "consentant" un enfant de 6 ans qui a subit l'agression sexuelle d'un adulte.

Un juge présente ses excuses a un terroriste et le  relaxe...

Sur Internet les gens organisent le spectacle de l'horreur avec des animaux et filment l'agonie pour flatter leur narcissisme. 

Le drame c'est que tout cela devient banal.

Les politiques favorisent les manifestations de racailles et interdisent les gilets jaunes.

La violence du gouvernement, les injustices, la persécution de l'État contre les citoyens vont croissants et rivalisent d'inventivité perverse sur fond de covidisme.

Sur la question de l'envahissement islamique, le problème ce n'est pas l'islam, le problème c'est le déficit de République.

Ce déficit de République dans tous les domaines est la stratégie du gouvernement. 

L’urgence ce n'est pas de devenir raciste méprisants égoïste et crétin, l'urgence c'est de retrouver l'indépendance de la France et notre souveraineté. 

C'est le peuple de France qui doit décider de son destin. Ce n'est ni l'UE ni l'islam ni le gouvernement. 

C'est pourquoi l'UPR est née depuis 13 ans. Depuis 13 ans, dans le plus grand secret, l'UPR propose l'indépendance, la souveraineté et le respect du pays avec le FREXIT; et la garantie de démocratie pour le respect des Français avec le RIC.

Pourquoi le gouvernement met-il au secret médiatique l'existence de l'UPR ?

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16 août 2020  La voie du progrès humain

Pour l'optimisation de nos choix technologiques et économiques, oui il y a sur-population planétaire. 

Le progrès humain ce n'est pas le covidisme.

Le covidisme est un reflex de résistance au changement à l'échelle de l'humanité mis en œuvre par les puissance financières et politiques.

Le progrès humain ce n'est pas la destruction des populations pour sauver ce modèle économique et industriel.

Le Progrès de l'humanité sera là transformation de ce modèle économique pour permettre une auto-régulation synergique de la démographie humaine.

Dans ce cas, la rétention aura cédé sa place et son rôle au paradigme de partage.

Alors, ce sera la fin de la concentration des richesses.... Et le monde s'harmonisera et s'apaisera de lui-même.

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16 août 2020  Questions ouvertes

1/  Par quel prodige ou "stratégie patronale", un groupe de salariés tous soumis à la même hostilité sont mis en incapacité de se fédérer pour y faire face ?

2/ Par quel prodige ou "stratégie politique",  la population d'un pays, toutes entière soumise à la même hostilité est mise en incapacité de se fédérer pour y faire face ?

3 / Pourquoi le peuple ne peut pas concevoir que la parole gouvernement se substitue à la parole des experts ?

4/ Pourquoi le peuple ne peut pas concevoir que  son gouvernement triche,  ment, trahi, et manipule  contre l'intérêt de la Nation et de son peuple ?

5/ Quand le public est maintenu dans l'ignorance du moindre argument raisonnable susceptible de porter la contradiction, de quelle politique s'agit-il ?

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16 Août  2020 - L'action philosophique

Affirmation : Le questionnement philosophique ne permet pas de lever et de résoudre les questions sociétales ! 

Cette disposition de l'esprit relève du principe de délégation. Elle est naturelle à l'espèce humaine. Elle est partagée par le plus grand nombre. 

Lorsqu'il est nécessaire de faire appel au dentiste il ne viendrait à l'idée de personne de faire des études dentaires avant. Lorsque l'on fait appel à l'avocat, personne n'ira faire les études de droit pour vérifier son travail.

Lorsque l'on achète le pain à la boulangerie, le goût du pain suffit pour vérifier la qualité du produit.

Dans tous ces cas de figures nous avons affaire au principe de délégation direct. La confiance est de rigueur. Elle garantit le profit gagnant gagnant.

L'organisation de notre société est passée assez rapidement (50 ans ~) de l'état de globalité à l'état d'individualité dans lequel le rapport humain est mis à distance croissante. 

Le téléphone la télévision le virtuel le smartphone, et  maintenant le masque qui prive notre organisme de la communication chimique, et le concept de la distance sociale qui tend à devenir la nouvelle norme pour la prochaine génération.

Dans l'organisation des rapports humains, "l'identité sociale" la place et le rôle de l'individu mettent aujourd'hui en échec le principe de délégation qui est le socle de la construction de l'humanité. Mais peut-être aussi que l'humanité est en train de traverser une crise de maturation qui oblige les sociétés soit à mourir, soit à investir massivement dans l'éducation et le dialogue...

Affirmer que la spéculation philosophique n'est pas opératoire factuellement, relève du principe de délégation. Le philosophe est celui qui est censé avoir la délégation de penser, comme le politicien a reçu la délégation d'administrer. 

Mais dans une culture de la compétition et du profit, la philosophie n'a pas sa place, cependant, personne n'empêche le voisin de philosopher. 

En tant que telle, la philosophie plongée dans la culture de la compétition factuelle, n'est pas le réceptacle d'une délégation populaire.

Penser la philosophie comme étant quelque chose de parfaitement inutile et inopérant sur le plan sociétal est précisément une conception culturellement conditionnée.

Persister à croire que l'action est déconnectée de la réflexion est une conséquence naturelle d'une culture soumise au paradigme de rétention.

Nommer les choses est l'opération la plus directe pour se faire une idée du monde. Et l'on croit pouvoir agir sur les choses parce qu'on les a identifié par un nom. Alors on voudrait agir sur toutes les choses que l'on nomme. 

Agir sur la pauvreté, agir sur le chômage, agir sur le bonheur social, etc

C'est de cette façon, en aveugle que l'humanité agit sur le monde. 

Les rapports que l'humanité entretient avec le monde ne le concerne que du point de vue de son exploitation jamais du point de vue altruiste...

Jusqu'à aujourd'hui l'homme agit sur le monde pour s'en emparer. C'est chose faite. Et maintenant ?

Mais on ne peut pas agir sur la pauvreté sans agir sur la richesse. 

On ne peut pas agir sur la richesse sans interroger le système économique et le genre de sécurité qu'il est censé apporter à toutes les échelles de l'être, et pourquoi il n'y parvient pas...

On ne peut pas agir sur le chômage sans agir sur beaucoup de facteurs qui le conditionne; et au final sans briser la croyance têtue que le triptyque "travail emploi ressources" est complètement indissociable... Il y a des conséquences fâcheuses et séculaires à ce genre de croyances.

On ne peut pas agir sur le bonheur social, le bonheur social est multifactorielle horizontal et vertical... 

Mais qu'entendons-nous par "chose" ? 

En réalité, les choses usuelles que l'on nomme désignent les faits. Par exemple les patrons aiment l'argent, les pauvres s'appauvrissent, Macron est méchant, Bill Gates veut vacciner toute la planète, le masque est une bêtise, les gens sont obéissant... Etc.  Ce sont seulement des faits. Comme la pluie ou la plume au vent.

On ne peut pas agir sur les faits. "Les faits sont là". Ont les constate voilà tout.

Les faits sont les effets des rapports qui s'établissent à plusieurs niveaux et qui structurent nos civilisations et nos esprits.

En croyant pouvoir agir sur les choses, on crée notre impuissance. 

On ne peut agir que sur les rapports entre les choses.

Donner un nom au rapport entre les choses est indispensable pour comprendre comment pourquoi et dans quelle direction intervenir sur les effets que l'on déplore.

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17 août 2020 - RÉSISTANCE

Dans les années 40 sous l'occupation allemande, les gens communiquaient sous le manteau et en secret pour construire la résistance.

Aujourd'hui internet capture les forces de contestation dans des bulles fermées sur elles-mêmes en donnant aux gens l'illusion de la communication. 

Les bulles fermées de contestation permettent de mesurer de façon extrêmement précise le niveau de contestation et d'ajuster les politiques avec une très grande efficacité (big data).

 

À chaque fois qu'une personne conteste, à son insu, son action alimente et renforce le système qu'elle déplore. Sa communication participe à la construction des stratégies dont elle dénonce les effets.

Dévoiler au grand jour comment on pense, ce que l'on pense, ce que l'on veut, ce que l'on déplore, ce que l'on dénonce, ce que l'on encense, et le comment du pourquoi de notre impuissance, ce n'est pas de la résistance, c'est de la collaboration passive. 

Une logorrhée sans fins d'impuissances de déploraisons stériles, d'exposé de violences d'absurdités et d'injustices, ce n'est pas résister. 

Croire Résister sur internet c'est comme croire faire des achats incognitos avec sa carte bancaire.

La Résistance ne peut-être qu'une organisation qui oeuvre dans le plus grand secret. 

Épilogue.

C'est pourquoi il n'y a rien à en dire. 

Si elle existe, la bulle Internet de contestation fait diversion...

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18 août 2020 - L'Ennemi N°1

Le problème que traverse la France, n'est issu ni de l'islam ni l'immigration. Le problème que traverse la France et que subissent les Français c'est un déficit de République.

La République de Macron a comme projet la destruction de la Nation. Aussi, tout ce qui peut déstabiliser la Nation de façon contrôlée sera utilisé sans limites par le macronisme.

Une foule ne pense pas, elle obtempère. Elle crée la norme et les gens n'ont pas d'autre choix que de suivre. Ceux et celles qui à l'intérieur de la foule contestent la norme prennent le statut de parias. Ils sont traités comme tel par l'excommunication, désapprouvés et dénoncés par le plus grand nombre.

L'immigration et l'Islam sont donc instrumentalisés par le macronisme pour favoriser le désordre social et Républicain. 

Le comportement du gouvernement dans ce domaine construit de toute pièce le racisme dans le pays qui a construit le concept de laïcité.

Le racisme ne fait pas partie de la culture française. Macron est en train d'inscrire le racisme dans la culture française, parce-que le racisme est utile au projet de Macron.

Il faut faire très attention à ne pas se tromper d'ennemi. 

L'islam et l'émigration sont désignés par le macronisme puis par extension, sont désignés par l’européisme et le mondialisme. Ce sont eux les véritables ennemis de la République.

L'islam existe c'est un fait. La création est faite de la diversité. Dans la nature tout entière il n'y a pas de fausses notes, sauf bien entendu dans les esprits fermés.

Parmi la diversité des cultures, l'islam est une théocratie expansionniste. Oui c'est vrai. Et alors? Elle est comme elle est.

L'immigration est une donnée géopolitique avec laquelle il faut composer. L'islam composant les deux tiers de la planète, il est naturel que l'émigration soit majoritairement islamisée.

Mais tout cela se régule simplement et automatiquement dans une République digne de ce nom.

C'est pourquoi il est indispensable de travailler à la restauration de la République Française.

Il est indispensable de comprendre l'impérieuse nécessité de reconquérir la souveraineté nationale et pour ce faire l'obligation de sortir de l'UE et de l'OTAN. 

À cette fin il existe le mouvement des souverainiste dont l'UPR. Ce mouvement existe depuis 13 ans et ses prévisions n'ont jamais faillies. Ceci est tout à fait vérifiable.

Puis récemment sont nés d'autres mouvements qui reprennent les analyses de l'UPR. Il y a les "Patriotes" de Philippot,  il y a  "Front Populaire" de Onfray. Ces deux mouvements, à la suite de l'UPR d'Asselineau, proposent le retour à la souveraineté du pays et la reconstruction d'une République digne de la France de la Démocratie avec le RIC, et de la laïcité.

Le monde change dans tous les domaines. Il est temps de comprendre avec quel paradigme {Rétention}, les humains se dressent les uns contre les autres pour conserver et amplifier leurs avoirs, leurs pouvoirs et leurs savoirs. 

Il est temps de comprendre avec quel paradigme {la Rétention}, les humains s'emploient à exploiter le changement naturel des civilisations contre le progrès de l'Humanité à laquelle ils aspirent.

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19 août 2020 - La décadence

Internet et une bulle fermée qui donne l'illusion de la communication seulement. Ce faisant l'internet emprisonne et inhibe la capacité d'action...

Internet devient le musée des horreurs et de la désinformation. Les internautes sur les réseaux sociaux prennent rendez-vous avec la "non pensée" et la pulsion. Et les réseaux sociaux se dédouanent ici et là avec quelques informations vraies et bien sonnées, dans lesquelles bien trop souvent l'information n'est que prétexte au narcissisme de comptoir.

Dans notre société, les réseaux sociaux prennent de plus en plus la place et le rôle des jeux du cirque. Le spectacle de l'horreur n'est plus marginal et il se banalisé, poussant le spectacle de l'horreur à de plus lointaines extrémités.

Pour faire de l'audience sur Internet, on voit par exemple un chien brûlé vif au chalumeau. Un autre qui filme la suffocation mortelle d'un chien, museau et pattes attachées sous le cagnard.

Et encore... Et encore.... 

Nda : Il n'est pas question ici de dresser la liste du sordide.....

Dans la société civile, du coté de l'institution, rien ne va plus. Un juge présente ses excuses à un terroriste et prononce sa relaxe. 

La justice est de plus en plus laxiste.

Le voleur de pommes poussé par la faim est condamné à 3 mois de prison ferme. Mais lorsqu'une racaille, c'est-à-dire un délinquant civil commet un meurtre, c'est une incivilité. 

Pendant ce temps, le délinquant d'État, c'est-à-dire une racaille d'État qui a fait un usage frauduleux de passeports diplomatiques cours toujours... et encore et encore ce ne sont là que quelques exemples....

En France la justice ne s'applique pas aux hommes d'État. 

Souvent, trop souvent les conclusions de la justice sont des provocations. 

Ne serait-ce que la loi dite bioéthique qui rend possible l'avortement à 9 mois de grossesse. C'est inhumain pour la mère autant que pour l'enfant à naître. 

A 9 mois, quelle différence la justice va-t-elle faire pour distinguer  un avortement d'un accouchement naturel ou par césarienne ?

Et si l'enfant survie à "la naissance de son avortement",  quelle va être sa construction psychique ? 

À l'âge de 6 ans un enfant est considéré par la justice comme étant consentant à une relation sexuelle. On a vue cela. Les bras m'en tombent Un tel jugement est une infamie indigne d'une société civilisée.

À l'initiative du gouvernement, ni les parents ni l'école ne sont en mesure aujourd'hui de protéger les enfants. 

Alors que la loi exige l'autorisation parentale,  pour raison d'état, à l'école, les enfants seront pris en otage et subiront le vaccin obligatoire. Un vaccin dont on sait que son usage n'est pas fondé et qu'il a produit de très nombreuses victimes et en produira davantage.

Dans le domaine de l'atteinte aux droits de l'enfant nous n'en sommes qu'au début. Les confusions de genre quand elles deviennent légales, dépénalisent l'inceste... L'inceste est fondamentalement une confusion de genre, de place, de rôles, qui désoriente radicalement la construction de l'identité...

Détruire l'humanité dans l'enfance de l'être, et en faire une loi comme on fait un principe civilisateur relève de l'horreur. Le problème est que l'horreur à l'échelle d'une civilisation fonde la norme. L'horreur devient une banalité.

Trop c'est trop.

L'enfant, parce qu'il est la génération de demain est la cible privilégiée du covidisme. 

On voit ici et là des gens qui commencent à faire la justice par  eux-mêmes, tant la justice par la relaxe ou par la sanction symbolique prend fait et cause pour le bourreau contre la victime.

Pour la justice, la souffrance infligée vaut zéro. C'est un fait.

Cette direction de la réaction populaire préfigure comme un frémissement salvateur, l’émergence des milices.

...

Quand on comprend la stratégie de destruction de la Nation et de la société civile par la politique de Macron, tout cela prend sens.

La milice ce n'est jamais que l'opposition du désespoir.

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20 août 2020 - Que Mr Trump contre le covidisme mondial ?

L'UPR de Monsieur Asselineau est en effet le mouvement politique souverainiste dont la crédibilité en probité politique est la plus haute.

Depuis 13 ans l'UPR milite pour le RIC et le FREXIT.

Monsieur Asselineau est le seul homme politique qui à travers l'UPR a dénoncé avant l'heure la politique vaccinale et en règle générale l'absurdité, l'escroquerie du covidisme et tout ce qui tourne autour.

Beaucoup se félicitent de la posture de Monsieur Trump aux États-Unis.

Pourquoi?

Parce-qu'il faut un système pour combattre un système.

Alors je propose aux uns et aux autres de faire par eux-mêmes la découverte du système UPR et d'examiner avec leur critères, avec leur jugement propre et leur intelligence, la proposition de l'UPR pour sortir la France de ce guêpier dans lequel l'UE, la mondialisation en marche et le covidisme plonge la France et les Français.

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20 août 2020 - Le Vaccin

Ici, dans notre bulle contestataire, nous savons ce qu'il en est de ce vaccin.

Pour ce qui me concerne, à chaque fois que possible,  j'invite les gens à prendre connaissance du contenu du vaccin avant de se le faire inoculer s'il leur en prenait l'envie.

La pression pour obtenir l'adhésion du public à l’inoculation du vaccin est déjà problématique.

Mais la véritable révolte vient du fait que le vaccin sera la cause d'un apartheid très lourd. Les gens non vaccinés perdrons tous leur droits.

Conditionner le voyage, la scolarité, l'entrée à l'université, l'entrée au bureau, l’accès à pôle emploi, et même pourquoi pas pendant qu'on y est l'entrée des magasins, à la vaccination est une attaque directe grave et profonde de nos droits fondamentaux.  

Je tiens à faire remarquer que d'ores et déjà nous avons perdu le droit de respirer librement, et cela n'a pas l'air d'émouvoir la société civile. Ni les médias, ni les juristes, ni les syndicats, ni les députés, ni les médecins, ni les philosophes... personnes, ne lance l'alerte sur cette pratique scélérate et assassine.

C'est du jamais vu dans toute l'histoire de l'humanité. Rien qu'une loi sur le droit de respirer librement n'a jamais été imaginée dans aucun scénario de science-fiction tant une telle loi n'est pas crédible. Et pourtant on y est !

Avec le vaccin nous allons perdre le droit de vivre en bonne santé. La suite logique sera une atteinte au droit de vivre tout court.

Cette direction est prise par "la loi bioéthique faite aux femmes", où il sera problématique de faire la distinction entre un avortement à 9 mois et un accouchement.

Je suis désolé d’y revenir mais il faut se rendre à l'évidence, à part monsieur Asselineau de l'UPR, il n'y a personne pour dire "STOP" !

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21 août 2020 - Question de confiance

Macron a détruit toutes les représentations des groupes sociaux dès son arrivée, en préambule à l'installation du covidisme.

Il est acquis que le covidisme a été prémédité de longue date.

Le masque est une prescription médicale.

Un gouvernement respectable doit relayer l'expertise médicale dans son dispositif politique. 

L'expertise médicale nous dit que la pandémie est un leurre, que si elle était vraie, le confinement est contre-indiqué. L'expertise nous dit aussi que le masque est une catastrophe, et le vaccin, une escroquerie.

La politique sociale adossée à la pandémie, il n'est pas nécessaire d'être expert pour comprendre ce qui suit,  est doublée d'une opportunité financière colossale.

Un gouvernement respectable doit relayer l'expertise dans tous les autres domaines comme pour l'énergie et tous les flux dont les politiciens ont reçu le mandat d'administrer pour le bien du groupe Nation. 

Aujourd'hui plus qu'hier les gouvernements agissent pour le compte des puissances de la finance internationale. Ces puissances sont attachés au profit car ils sont persuadés que c'est la seule façon de construire la sécurité du monde.

Ces puissances ont diagnostiqué que seul le profit et la concurrence peuvent garantir la pérennité de l'espèce humaine.

La diminution drastique de la population humaine est dans leur esprit malade le maintien du profit et la garantie de son optimisation.

Pour ce faire le gouvernement mondial s'impose. Le problème est que la mondialisation nie l'existence du groupe humain.

Dans la mondialisation, le groupe humain n'est qu'une variable d'ajustement de l'économie. Nous sommes alors en présence du nihilisme majeur de l'élan de civilisation de toute l'humanité.

Quand dans le gouvernement mondial, le groupe n'existera plus, c'est le principe de délégation qui sera mis en échec définitif car sans le groupe identification (la nation est le plus grand groupe identification), l'humanité sera elle aussi sans objet et sans moyens de progression.

Il est évident que du point de vue du système, le profit par principe est une opération de concentration des profits. Pour obtenir le maintien des conditions du profit, cette opération oblige à une politique d'optimisation du cheptel humain.

La dynamique du profit dans un état de puissance dépassée ne peut qu'être destructrice pour l'humanité. 

Le rôle du profit consiste à conférer à l'humanité un niveau de puissance élevé. Le profit a du sens tant que le niveau de puissance de l'humanité reste bas. La croissance de la puissance permet à l'humanité de s'étendre. Dans la mondialisation l'extension de l'humanité est à son apogée.

Une fois atteint le niveau de puissance qui correspond à la mondialité de l'économie, le processus du profit aux commandes des actions politiques et économiques est destructeur d'humanité.

Si on ne comprend pas le paradigme de rétention il est impossible de concevoir le changement de posture politique et la transformation du système économique. Dans le paradigme de rétention, la politique économique de croissance veut se maintenir à tout prix et la seule solution qui s'impose est la diminution drastique du cheptel  humain.

Le paradigme de rétention est cet espace d'action aux conséquences et aux ramifications très profondes. Il a permis à l'humanité d'atteindre la puissance maximum, c'est-à-dire la puissance qui lui a permis la mondialisation.

Comme il existe plus d'espace pour s'étendre, cette puissance et doit s'effacer, abdiquer se déposer une fois son œuvre accomplie. Une fois l'œuvre de la rétention accomplie à l'étape de la mondialité, les hommes doivent apprendre à renoncer au paradigme de rétention. Pour cela ils doivent d'abord l'identifier. 

Dans l'état de puissance de notre civilisation, le maintien du système de profit c'est-à-dire l'ignorance du paradigme de rétention, engendre des consignes des lois et des règles totalement absurdes et déraisonnables qui convergent vers la mort. Le covidisme à l'échelle de la planète est une religion politique mortifère, une théocratie.

L'islam est une théocratie. Dans cette théocratie le politique émerge du religieux. Dans le covidisme c'est le contraire. Le religieux émerge du politique.

Le covidisme c'est la civilisation qui fait marche arrière, qui régresse contre l'humanité.

Les gens sont ainsi faits, principe de délégation oblige, qu'ils obéissent à l'absurde tant qu'il émane du pouvoir politique. L'édiction de la vérité ne fait pas rempart. 

Pourquoi?

Parce-qu'ils ne leur vient pas à l'idée que l'autorité politique puisse mentir. Cette conviction est bien entendu plus confortable que la réflexion ou la contestation, mais c'est avant tout une manifestation saine et naturelle de la confiance.

Le mensonge et la trahison du politique sont aussi une manifestation naturelle et incontournable quand la délégation émergente s'établit dans la rétention. 

Ces deux rapports, la confiance tenace du peuple et la trahison de ses politiciens tout aussi tenace, sont l'expression du paradigme de rétention. 

Pour tous êtres vivants, la confiance est toujours plus confortable que la méfiance. La confiance est la condition du principe de délégation pour qu'il soit producteur d'humanité.

C'est pourquoi s'agissant du groupe qui n'a pas de conscience, la confiance sera toujours maintenue contre vents et marées et forge le sens de la normalité chez l'individu. Pour l'individu, dans tous les cas de figure, se soustraire à la confiance, c'est se soustraire à l'humanité.

En cas de fièvre ou de carie dentaire, il ne viendrait à l'idée de personne de consulter un politicien. Dans le rapport direct du déléguant au médecin, la confiance est contrôlable.

Mais dans le rapport émergeant du déléguant au politicien, la confiance est par principe acquise sans réserves parce-que la confiance n'est pas contrôlable donc par défaut c'est elle qui fixe le rapport.

La trahison des peuples par leur gouvernement est un fait de société commun à toutes les cultures. C'est un fait de mondialité. C'est pourquoi la trahison relève d'un paradigme et plus précisément d'un méta-paradigme puisqu'il transcende tous les autres paradigmes commandeurs de tous nos rapports. 

Mettre un nom sur ce qui conditionne et articule le comportement de trahison à l'échelle politique, qu'elle soit de droite de gauche, souverainiste ou europeiste, permet d'orienter la lutte pour la liberté. Le paradigme de rétention qui est la cause incontournable du covidisme nous amènera à repenser l'ontologie

Maintenant, factuellement, nous devons impérativement commencer à nous mobiliser dans les quartiers les villages les villes et les campagnes. Nous devons tout mettre en œuvre pour sortir de la bulle Internet qui donne l'illusion de la communication, et nous constituer en "comité de salut public" pour lutter contre cette chienlit. gouvernementale.

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21 août 2020 - Question de vie ou de mort.

La culture de la mort à l'échelle planétaire est une théocratie nouvelle qui s'appelle le Covidisme.

Cette stratégie globale est la seule solution qui existe dans l'esprit des plus puissants pour maintenir le système du profit dont ils sont persuadés que c'est le seul salut possible pour l'humanité. 

Cette conviction leur vient de ce qu'ils sont à leur yeux, là preuve vivante du succès du principe de rétention, et que par voie de conséquences, seul leur regard singulier relève de la vérité.

Le (méta)paradigme de Rétention  inscrit la "rétention de l'avoir du pouvoir et du savoir" dans les consciences, les cultures, les politiques et les économies comme principe naturel de sécurité.

Ce paradigme, hiérarchise les hommes par leur fortune. Il oblige à l'exploitation de l'homme par l'homme pour concentrer les fortunes et conquérir le monde.

Ce paradigme a rendu possible le développement de la puissance des civilisations par la conquête tout azimut. Les territoires, les sciences, la puissance ont atteint leurs apogée.  Le développement des consciences reste à conquérir. 

Ainsi, dès lors où la démocratie transcende toutes les civilisations comme étant le modèle à l'horizon du progrès, les consciences changent et l'organisation politique issu du principe de rétention est obligée d'en tenir compte.

En état de mondialité, le principe de rétention à réalisé son office. Il n'existe plus rien à conquérir comme source de puissance. Il reste seulement la conscience à conquérir par l'identification du méta-paradigme de rétention. 

Ainsi, il se dégage de tout cela que la révolution dans laquelle l'humanité s'engagera est une révolution ontologique. (...)

Ne pas donner crédit aux questions philosophiques ou croire que ça ne sert à rien c'est comme croire que faire de la médecine ne sert à rien parce que ça n'empêche pas le médecin d'être malade. Ou encore, penser que comprendre la loi de la gravitation ne sert à rien parce que ça n'empêche pas de tomber.

Renoncer à identifier le principe de rétention dans le champ de l'ontologie, et un effet du principe de rétention dans sa tentative de survivre à sa propre fin. Puisqu'il conditionne les esprits autant que les politiques, l'interroger c'est le défaire en échange de rien (...en première approche)

Dans l'esprit de nos dirigeants, totalement immergé dans le paradigme de rétention, dans un monde clos fermé sur lui-même puisque entièrement conquis, la seule façon de maintenir ce paradigme qui n'a plus lieu d'être, est de réduire le cheptel humain selon toutes les possibilités qui s'offrent à eux et selon la puissance considérable qu'ils détiennent aujourd'hui.

Le vaccin contenant tous les ingrédients nécessaires pour affaiblir à long terme le système immunitaire est le moyen phare qu'ils ont déterminé. C'est un vaccin délétère aux multiples facettes.

Voici une facette de ce vaccin.

1 / Pour faire son effet, ce vaccin a bénéficié des recherches sur le vaccin contre le sida. Les études sur le virus du sida ont permis d'y inclure les séquences ADN nécessaires pour déclencher un abaissement des défenses immunitaires à un moment très éloigné de la vaccination. 

Outre de tuer à terme les gens de façon masquée par diverses maladies causées par l'affaiblissement du système immunitaire, ce vaccin aura l'avantage de justifier la répétition de son utilisation.

Pour pallier à toutes éventualités, un dispositif législatif protège les laboratoires de toutes les conséquences néfastes de leurs vaccins.

En tuant les gens, les sociétés de BigPharma vont considérablement s'enrichir tout en rendant la population consentante et captive de la vaccination.

Voici une seconde facette de ce vaccin mais il y en a d'autres.

2 / Grâce aux nanoparticules injectées par la vaccination, chaque être humain sera identifié par un code unique et sera comme une antenne réceptive à la 5G.

La 5G sans le vaccin représente un rayonnement dur de micro-onde déjà extrêmement nocif pour les cellules vivantes. 

(Nda : Non...!  Ce n'est pas de la science-fiction, c'est une réalité technologique et politique dans lesquelles nous baignons les yeux fermés)

En tuant les gens (je pèse mes mots), les sociétés de BigPharma vont considérablement s'enrichir tout en rendant la population consentante et captive de la vaccination.

Il est temps de dire STOP individuellement ou collectivement et d'en assumer les conséquences.

Il est temps de dire STOP par-dessus le masque qui brise les caractères, divise et invalide la solidarité. 

Le verrouillage de la société civile par la stratégie du Covidisme est d'une redoutable efficacité, et d'une perversité sans égale.

Cette stratégie que la sphère dirigeante nous inflige, nous oblige à surenchérir dans les valeurs de la liberté de l'égalité et de la fraternité. Alors, si nous faisons cela nous aurons transformé le mal en bien, et au lieu de détruire notre conscience ils nous la ferons grandir.

Il est très important que chacun prenne les moyens de sa convenance pour s'informer soi-même du contenu du vaccin.

Que chacun prenne ses responsabilités en activant sa curiosité. 

Ce n'est ni une plaisanterie, ni de l’hystérie, c'est réellement une question de vie ou de mort aujourd'hui.

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22- août 2020 - Le destin des peuples

Toutes les civilisations naissent prospèrent culminent et déclinent. Que la nôtre soit sur le déclin ne fait pas le moindre doute. La question est de savoir dans quelle direction l'espèce humaine va faire évoluer ses civilisations. 

Pour le moment le vent souffle dans la direction du renforcement du paradigme de rétention qui a produit l'apogée des civilisations.

(Pour moi), la question qui se pose maintenant à l'humanité est très simple. L'humanité arrivera t-elle à construire ses civilisations contre les effets pervers de la rétention ? 

Le concept "de paradigme de rétention" est indispensable pour savoir dans quelle direction lutter pour le bien le bon et le vrai, non pas seulement des humains mais de toutes les espèces qui font notre environnement terrestre. 

Le concept de "rétention" a ceci de particulier que s'il n'est pas identifié, toute tentative de résistance au paradigme de rétention ne concerne que ses effets, l'alimente et le renforce.

Par contre, penser le système du monde humain en terme de combinaison du paradigme de rétention et du principe de délégation renforce le poids des pavés.

Car, privé de médias,  il faudra bien en passer par là je le crains.

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22 août 2020 - Loi Bioéthique

Dans la macronie, éthique, liberté, égalité, fraternité, souveraineté, sécurité, justice, paix... Sont des abus de langage.

Sur le plan juridique, comment la loi peut-elle faire la distinction entre un accouchement sous x un accouchement normal et un avortement ?

Dans le cas de l'avortement entre 8 et 9 mois, quel est le statut du "résultat de la grossesse". "Résultat" parce-que ce n'est ni un nouveau-né, ni un fœtus. Ce n'est ni une naissance ni un accouchement.

Ce vide sémantique est une expression supplémentaire du nihilisme de la vie elle-même dans la chose politique.

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23 août 2020 - Le Grand Remplacement de la République

Avant de désigner le voisin responsable du désordre chez soi, la première chose à faire, c'est faire le ménage chez soi, c'est-à-dire respecter notre propre République.

Est-ce que la politique du macronisme qui consiste à détruire la Nation est compatible avec la République ?

Les effets du macronisme ont pour première fonction de faire écran à cette question. Alors en préambule à toutes les autres, répondons d'abord à cette question ! 

La République française est-elle en défaut ?

La crainte et la critique des Français à l'égard de l'islam est parfaitement légitime. Elles viennent du favoritisme et du laxisme Républicain qui encourage les communautés à faire sécession. 

Les consignes de comportements des français ne sont plus dictées par la laïcité Républicaine, elles intègrent ici et là, peu ou prou les recommandations de la charia.

En amont du pouvoir et à coté de lui la République est en défaut quand elle obéit à l'exigence des lobbys de toutes sortes, les installant de fait au-dessus du peuple.

De tous côtés, la République est démantelée, morcelée par le macronisme.

Tout ce qui est susceptible d'engendrer le désordre dans le pays est utilisé comme un instrument de domination des peuples qui s'appuie sur leur égarement. 

Et puis en vertu de l'adage "Quand le chat n'est pas là les souris dansent", quand la République faibli, l'islamisation grandi. Quoi de plus naturel de la part d'une théocratie conquérante.

En vérité, le gouvernement crée de toutes pièces les conditions de désignation des responsables du désordre qui lui font écran.

À, l'échelle des masses, mécaniquement, le principe de délégation, rend la contestation du pouvoir politique inaccessible au peuple. Croire qu'un gouvernement ne peut ni mentir ni tricher ni falsifier ni manipuler, constitue l'immense majorité de nos concitoyens. 

La dichotomie du peuple par l'information  alimente le désordre propice à l'ambition du macronisme. 

La politique de Macron est faite pour forger dans la foule, vis-à-vis de l'étranger, la désignation du responsable. Le sentiment d'envahissement assortie de la désignation du responsable, rendent compte de l'inquiétude grandissante dans le pays.

Les sentiments d'envahissement et d'impuissance couronnent de succès le macronisme. 

Dit plus simplement, si l'autorité décide de détruire la digue et laisse le pays se noyer sous les eaux, il ne viendrait pas à l'idée des gens d'accuser les poissons. Dans le macronisme c'est pourtant ce qu'ils font.

Alors oui, les Français ne sont pas des poissons et n'ont pas envie de le devenir. Le saccage de la République par la macronie répand "la désignation" comme le plus redoutable des poisons dans toute la société.

Le renoncement à la République par le pouvoir politique du macronisme, nous en sommes tous victimes. Gardons-nous de ne pas nous tromper d'ennemis.

Dans toute cette histoire, covidisme, islamisme, européisme, mondialisme, la seule faiblesse de la France c'est son déficit de République. Seul le macronisme à la solde de l'Union européenne et de la mondialité en porte la responsabilité.

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24 août 2020 - Le masque et la norme

L'absence drastique d'un débat public contradictoire sur les questions de la réalité de la pandémie, de la réalité d'une épidémie, de l'effet produit par les tests systématiques, de la mortalité réelle de ce virus hypothétique, de la pratique du confinement et de ses effets sur les questions sociales politiques et économiques, interdit l'émergence de la vérité. 

La vérité sur ces questions ne peut émerger que du débat contradictoire.

Aujourd'hui, cette absence abyssale  du débat public contradictoire sur toutes ces questions et sur la question du port du masque est la preuve incontournable que la pratique du masque relève de la dictature.

Ce mot, dictature fait peur. On ne veut pas y croire. La dictature c'est les autres c'est pas la France. 

Dictature veut dire : qu'un seul politicien ou qu'une seule entité décide pour tout le monde et impose sa décision.

Pour ce faire, Macron a détruit ou acheté par la corruption, tous les représentant de groupes sociaux susceptibles de donner la contradiction.

Les syndicats et les partis politiques de gauche comme de droite, ne représentent plus personne, et à l'Assemblée collaborent passivement en donnant le change par le verbe stérile.

La dictature s'applique à la foule pour retentir sur les gens par la légalité puis par la norme qui fonde sa respectabilité.

La foule n'en prends pas conscience parce que la foule n'a pas de conscience. La foule fixe pour chacun la norme à laquelle le plus grand nombre se conforme; d'abord sous la pression du doute, puis sous la pression de l'hostilité pénale, puis par habitude. 

Pourtant, c'est la première fois dans l'histoire de l'humanité qu'une autorité politique impose une loi contraignante sur le droit de respirer librement.{Nda : c'est dingue... !}

Voilà où nous en sommes rendu en France, aujourd'hui mi août 2020.

Si une loi contraignante sur le droit de respirer librement n'est pas la ligne rouge indépassable, quelle est-elle ?

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24 août 2020  -La stratégie du chaos

Par la culture de la peur et de la menace, les populations humaines des civilisations de cette planète subissent l'endoctrinement forcé, du covidisme. 

Le covidisme émane de la nécessité de faire survivre le (méta)paradigme de rétention, qui dans la mondialité a atteint son point de singularité; point au-delà duquel il devient destructif pour l'humanité.

Le covidisme est le moyen ultime mis en œuvre par le politique pour conserver de force le paradigme de rétention.

Pour fédérer des peuples et des cultures distincts, rien de telle que la religion. En effet, la religion en appelle à la foi, en lieu et place de la raison et du dialogue. C'est pourquoi le covidisme étanche à la raison relève du religieux. 

Le covidisme c'est la stratégie du chaos. Il déstabilise de par le monde les cultures les civilisations les organisations nationales plus ou moins républicaines, offrant une opportunité à toutes les velléités conquérantes.

Dans ce monde déstabilisé par le covidisme, l'islam, à l'origine de multiples cultures est une théocratie conquérante et invasive, Et alors? C'est sa nature. 

Partir en guerre contre une nature c'est partir en guerre contre la nature tout court. Une telle étroitesse d'esprit s'écarte de la connaissance des causes véritables qui déstabilisent le monde et n'est pas propice à la construction de la concorde à laquelle toute l'humanité aspire.

Le problème ce n'est pas l'islam. Le problème vient de ce que la France sacrifie la République pour faire de leur propension à la conquête, un levier de déstabilisation du pays.

Que cette manœuvre de la macronie soit parfaitement établie dans les esprits. 

La stratégie du chaos orchestrée par Macron poursuit l'objectif de créer le racisme dans le pays qui a créé la laïcité. Le pouvoir de nuisance de Monsieur Macron sur la République et la paix civile est sans communes mesures.

Il faut bien comprendre que la France subit une attaque drastique de l'intérieur de la part des dirigeants du pays sur notre République notre démocratie et notre laïcité. Les dirigeants en question on fait de l'islam une "arme sociétale".

Dans ce dispositif politique, il est tout à fait compréhensible qu'une théocratie comme l'islam trouve naturellement en la France un objet de conquête accessible. 

La politique de Macron et de ses prédécesseurs favorise cela d'une manière absolument sans appels.

Il est remarquable de constater que pour réaliser une conquête à grande échelle rien ne vaut une théocratie. Car dans la théocratie on ne discute pas on ne raisonne pas, on à foi en la doctrine.

Plus fort encore que la théocratie de l'islam nous avons maintenant la théocratie du covidisme. Dans la théocratie de l'islam c'est la religion qui fonde le politique alors que dans la théocratie d'État qu'est le covidisme, c'est le politique qui fonde le religieux. 

Le covidisme exprime une régression très importante de l'effort séculaire de civilisation. 

Si l'humanité en est arrivés à la stratégie du chaos, ce n'est pas un effet de la méchanceté supposée des humains. C'est un effet de système consécutif au paradigme que je nomme "de rétention" à travers lequel pensent conçoivent et  agissent tous les humains. Ce paradigme fait que, quelque soit l'action des humains, ils le renforcent et ils sont convaincus d'oeuvrer au nom du bien.

Le covidisme, cette théocratie d'État qui s'impose incognito, est bien plus redoutable que la "Sorros connexion".

Ce qu'on appelle le gouvernement profond, met en œuvre le principe de rétention à la hauteur de la puissance à leur disposition. Ils n'en sont pas les auteurs. Le principe de rétention structure un système qui distribue les rôles.

Tous les humains agissent le principe de rétention avec plus ou moins de puissance. Il n'y a que la capacité de puissance qui distingue les humains les uns des autres.

La seule façon de combattre pour le retour à la liberté et le progrès de l'humanité c'est d'abord de reconquérir la République Française.

Bien sûr, sur le plan factuel, pour le moment, personne ne sait comment ; mais ça viendra, ça aussi par un effet de système.

D'or et déjà, la France captive de l'UE,  peut dès maintenant retrouver son autonomie en s'en libérant. 

C'est une question de curiosité de lucidité, et de volonté populaire. Ce n'est même pas une question de courage.

Comment y parvenir ? C'est très simple,  suffit d'avoir la curiosité de s'informer de la proposition des partis souverainistes comme source de fédération la plus étendue possible des groupes sociaux qui composent toute la société.

Le retour à la souveraineté de la France par la sortie de l'UE et de l'OTAN, est à notre portée par la voie des partis souverainistes. Front  Populaire, Patriotes, et UPR. 

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26 août 2020 - Son combat contre les libertés

La stratégie de Macron c'est le délitement de la Nation. Ne jamais perdre de vue que son projet est la destruction des Nations au profit d'une souveraineté d'abord européenne puis mondiale.

Sur fond de covidisme comme alibi amplificateur:

Il détruit TOUTES les libertés. Quelles libertés Macron a-t-il au moins protégée durant son mandat? Aucune. Néant. Tout doit être détruit...

- Il attaque les lois sous tous les angles

- Il détruit l'enfance elle-même (loi Schiappa)

- Il attaque la culture sous tous les angles...

- Il attaque la santé 

- Il attaque l'éducation. 

- Il organise le désordre public en favorisant tout ce qui oppose les groupes sociaux. Etc etc. 

Le macronisme et plus largement l’européisme  sont des politiques volontaristes anti-France. Ces gens là sont les destructeurs de Nations. 

L'UPR est à ma connaissance le seul système de politique souverainiste sérieux, capable d'annuler les effets du système Macron.

Épilogue... 

Et la gauche ? 

La gauche? Qu'est-ce que c'est ? 

Il reste encore des nostalgiques de la trahison du peuple ? 

Il existe toujours des révisionnistes pour nous vanter contre son histoire, les vertus de la gauche au pouvoir ? 

Les idées de gauche je dis pas, mais quand on y regarde de près, quand les idées se traduisent en politique, la gauche propose le partage en cultivant la rétention. C'est pour ça que ça ne peut pas marcher et ça n'a jamais marché.

Et puis la gauche est europeiste, elle est de ce fait  un partie de la trahison de la nation. La gauche c'est le macronisme rose.

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Attention ! 

Créer les conditions du racisme au sein du peuple créateur de la laïcité, est la volonté du Macronisme. 

Tout ce qui peut concourir à détruire la nation est profitable au projet européistes de Macron.

Le macronisme c'est un système qui valorise la souveraineté de l' UE contre la souveraineté de la nation. Pour atteindre son objectif, la politique de Macron consiste à déstabiliser l'ensemble du tissu social industriel économique sanitaire etc du pays. 

Rendre la France dépendante de l'extérieur est la garantie de construire les conditions de son maintien dans l'UE. 

C'est pourquoi, l'UPR est né il y a 13 ans. Et c'est pourquoi la proposition souverainiste et indépendante de l'UPR est absente des médias.

Il ne peut exister qu'une seule souveraineté. Soit l'UE, soit la France. Il faut choisir.

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26 août 2020 - Le complotisme

Les systèmes économiques politiques et culturels qui composent le monde des humains sont intriqués de façon si complexe qu'il n'existe aucune possibilité qu'une officine si puissante soit-elle, puisse en avoir la maîtrise. 

Un système complexe évolue de lui-même de façon tout à fait aléatoire. Tout système complexe produit des phénomènes émergent dont la régularité masque le caractère aléatoire de son origine.

La "politique" de la pandémie par exemple, à l'échelle de la planète, n'a jamais été possible avant la période présente.

La pandémie est un phénomène émergent rendu possible par l'évolution de la complexité planétaire du phénomène humain. Seuls l'accroissement de puissance de l'humanité et la structuration mondiale de l'économie ont rendu son déclenchement possible.

Les plus riches de ce monde c'est-à-dire ceux dont le paradigme de rétention leur a été  le plus profitable, hourdissent depuis toujours, toutes les stratégies possibles et imaginables pour maîtriser le monde. Qu'il existe des puissants en ce monde qui souhaitent maîtriser le destin de l'humanité ne fait aucun doute.

Mais quelle que soit la richesse considérable dont ils peuvent se prévaloir, ils ne peuvent mettre en œuvre leur projet machiavélique qu'à condition que l'évolution structurelle de notre civilisation le permette.

La vision mégalomaniaques de la puissance sur le monde des humains, est la façon dont le paradigme de rétention sculpte la conscience des humains. Quelle que soit la puissance dont ils disposent, le principe de rétention les pousse à concevoir leur sécurité incontournablement dépendante de la rétention maximum de l'avoir du pouvoir et du savoir.

Croire au complotisme mondial c'est confondre la volonté mégalomaniaque de quelques richissimes malades, avec la capacité d'agir qui ne peut pas exister en dehors de l'évolution du système sur lequel cette capacité s'applique.

Chercher le complot comme origine d'un phénomène émergent c'est comme vouloir chercher la sardine responsable de la direction que prend d'un seul tenant le banc de sardines.

Il existe bien entendu les maîtres de la finance qui dictent aux gouvernements leur façon de gouverner. Mais ces gens-là sont des arguments qui font partie de la complexité du système.

Voir en eux la responsabilité de l'état de nos civilisations est une profonde erreur. Dans le banc de sardines de tout à l'heure, ils sont simplement quelques sardines un peu plus grosses que les autres. Et comme les humains ne sont pas des sardines, être plus gros confère un statut particulier dans le banc d'humains.

L'idée de la croyance au complot, et très intéressante pour le pouvoir en place, car pendant que les gens ont le nez dans le complot ils ne se penchent pas sur l'essentiel et ont leur vole leur humanité en même temps que leur liberté.

A l'échelle planétaire. Il n'y a pas de complot. Il y a, par effet de système, un schisme entre le peuple et les gouvernants. Le banc humain, n'est pas un banc de sardines. Dans le groupe humain il existe une hiérarchisation qui définit des places et des rôles émergents du principe de délégation.

À l'intérieur de cette hiérarchisation il existe des circuits fermés eux mêmes hiérarchisés, des boucles plus ou moins étendues, dans lesquels opère l'autorité sous diverses formes. 

Lorsque au sommet de la hiérarchisation d'une boucle donnée il existe une volonté partagée de se soustraire à la délégation reçue pour administrer le groupe au profit d'une ambition personnelle, alors oui c'est un complot. 

Le complot à l'échelle de la boucle est toujours un avatar du paradigme de rétention.

Mais à l'échelle de la hiérarchisation toute entière de l'humanité, penser en termes de complot n'a pas de sens.

Pourquoi ?

Parce-que la puissance du complotisme (de boucle) diminue avec l'étendue de la boucle. 

Dans un couple ou n'importe quelle relation à deux, par exemple la tyrannie est à son paroxysme. Dans un groupe plus étendu, des circuits d'amortissement peuvent se créer. 

Ces procédures d'amortissement, ce sont les rituels de toutes sortes, ce sont les formes de morale, ce sont toutes les organisations permettant le dialogue pour obtenir le consensus, ce sont les lieux de catharsis de toutes sortes plus ou moins secrets, plus ou moins tolérés, et même plus ou moins favorisés.

Plus le groupe s'agrandit, plus les possibilités d'amortissement s'affirment, et se diversifient.

Plus le groupe s'agrandit et plus le temps nécessaire pour construire les systèmes d'amortissement s'allonge.

Plus le groupe s'agrandit et plus le risque de captation par ceux qui l'administre s’accroît.

 

À l'échelle des civilisations, la démocratie par exemple est un système d'amortissement de la tyrannie... Et quand ce système d'amortissement devient universel,  cela signifie que la tyrannie devient universelle aussi. N'est-ce pas ainsi?

Factuellement (dans les faits), les gouvernants obéissent aux puissances de l'argent parce-que du point de vue systémique ils n'ont pas le choix pour maintenir le privilège que leur octroie leur statut de membre du gouvernement. 

C'est pourquoi les hommes politiques cultivent et acceptent la corruption. C'est pourquoi ils acceptent d'obéir à l'injonction de la haute finance plutôt qu'aux peuples dont ils ont reçu délégation de leur part pour les administrer.

La clé de toute cette affaire est dans l'identification et la compréhension du (méta)paradigme de rétention qui commande toutes les consciences toutes les politiques toutes les économies et toutes les cultures. 

La rétention comme paradigme n'est que le nom donné à l'ensemble des motifs qui définissent le genre de rapport que l'humain effectue avec lui-même avec l'autre et avec le monde. La rétention est le nom donné aux rapports eux-mêmes dans leur globalité.

Ce (méta)paradigme est le grand ordonnateur du système, qui dans la grande puissance à laquelle l'humanité est arrivé et qui en est le fruit séculaire, produit les effets que nous déplorons.

C'est seulement dans la méconnaissance absolue du principe de rétention dans l'espace ontologique que prend naissance le concept de complot, comme autant une facilité qu'un égarement de l'esprit.

L'évolution de l'humanité vers sa maturation passera inexorablement, de gré ou de force, par la révolution ontologique des consciences. 

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27 août 2020 - L'époque est à la terreur d’État

Le régime français est maintenant un régime fasciste au sens premier du terme.

l'État fait régner la terreur dans toute la société civile.

La dénonciation devient la normalité. L'intervention policière est absolument disproportionnée, inadaptée, infondée, paradoxale, toujours violente et humiliante.

Deux exemples.

Un employé de grande surface arrêté et menotté devant les clients parce que portant le masque de 7h à 19h il l'avait sous le nez pour respirer un peu.

 

Une femme déguste une glace en flânant dans la rue...elle lui a coûté 135€ pour commencer. La prochaine glace lui en coûtera 250.

Pendant ce temps les Benalla, et autres Balkany courent toujours... 

Il y a là une volonté politique manifeste de destruction de la société civile. 

C'est une étape très importante du projet de Macron vers la fin de la Nation au profit de la souveraineté européenne et mondialiste.

Le masque obligatoire, c'est l'interdiction de respirer librement. C'est une atteinte lourde et grave au droit fondamental de vivre naturellement qui passe dans les mœurs.

Il est impossible de retrouver la paix civile tant que la macronie, avec ou sans Macron sera aux commandes.... Etc.... 

Écrire ce genre de chose ici dans la bulle de ceux qui sont d'accord n'a strictement aucun intérêt. C'est là l'escroquerie FB.

Tous autant que nous sommes, nous serions bien avisés d'utiliser notre matière grise pour trouver le moyen de forcer les médias à organiser le débat public contradictoire.

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28 août 2020 - Le vaccin, le masque et la théocratie

Le vaccin entre autres substances contient des segments ARN du VIH. (Sources diverses concordantes...)

Ce segment d'ARN du VIH a pour effet de transformer de place en place toutes les cellules de l'organisme humain au fur et à mesure qu'il les colonise. C'est un genre d'OGM adapté à l'humain. C'est le fantasme du transhumanisme de Bill Gates....

Le vaccin à pour effet de porter directement atteinte au génome humain, et ce de façon définitive.

Avec le temps le système immunitaire humain deviendra plus fragile. Je rappelle que le VIH attaque le système immunitaire. 

Voilà pourquoi ce vaccin est un VIH à retardement.

Longtemps après l'injection, les gens mourront de multiples maladies. Il sera alors difficile voire impossible de relier les décès à la vaccination.

La diminution de l'espérance de vie globale des humains sur la planète constituera pour les  autorités politique et médicales l'alibi nécessaire et suffisant pour prescrire de nouveaux vaccins, de nouveaux médicaments et de se faire un pognon de dingue tout en réduisant la population.

Les maladies chroniques des gens, pourront être mises sur le compte du mode de vie ou de la pollution. Ouvrant la porte à la dictature du bien et à l’eugénisme comme vertu. 

La composition de ce vaccin adossé à l'intention politique qui encadre sa prescription à caractère obligatoire, relèveront d'un eugénisme universel inscrit dans les cultures et les us et coutumes.

/ Aujourd'hui en France, des gens souffrant de maladies chroniques ont été sortis de l'hôpital de force. 

/ La loi bioéthique qui autorise l'avortement à 9 mois est un délire paradoxal de malades mentaux... 

/ Le délire et la folie gouvernementale continuent lorsqu'un juge décrète consentante une fillette de 4 ans abusée sexuellement par un adulte.

/ Poursuivons dans l'idiotie aux funestes conséquences. pour précipiter la mort des personnes âgées, la parole politique laisse entendre que le ventilateur en cas de canicule est nocif car il véhicule les virus.

/ L'injonction politique d'assassinat des personnes âgées dans les maisons de retraite la emporté sur le serment d'Hippocrate.

Le rituel du masque est très mortifère.

/ La fonction essentielle du masque obligatoire consiste à interdire notre système immunitaire de construire une immunité à partir de la circulation d'un virus affaibli par la chaleur de l'été.

/ L'effet démontré de l'usage du masque est une intoxication lente et pernicieuse de l'organisme humain.

Il s'agit de construire les conditions sanitaires pour que la prochaine vague de grippe soit ravageuse, ou plus importante qu'à l'habitude. 

Le gouvernement sème le trouble et le paradoxe dans les esprits qui sont naturellement tournés, à cause du bénéfice du doute, vers l'usage du masque.

Le bénéfice du doute en toute logique devrait profiter aussi à son refus. Mais il n'en n'est rien.

Ce déni de symétrie par les pouvoirs publics est un déni de raison. C'est pourquoi le Covidisme relève véritablement de la croyance.

Le covidisme est une théocratie, cela veut dire que la raison n'a aucune prise sur les convictions assénées par la propagande.

Dans la théocratie de l'islam, le politique émerge du religieux.

Dans la théocratie du covidisme, le religieux émerge du politique, ce qui constitue une attaque considérable de la part des gouvernement de l'effort de civilisation.

Nous sommes au prise avec une politique mortifère qui relève de l'eugénisme le plus sournois.

Et ce n'est que le début.

Le covidisme c'est quoi ?  C'est l'apartheid dans la société civile et l'eugénisme de la population. En une génération attendons-nous à perdre au minimum 50 % de l'humanité. 

Pour connaître la vérité dans toute cette confiture on est obligé de se fier à notre propre raison. De croiser les informations des gens compétents qui sont censurés. Il convient aussi aussi d'analyser nos convictions; savoir si elles viennent de croyances ou de déductions.

Ceci est très inconfortable mais la résistance est à ce prix.

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27 août 2020 - Etat des lieux du covidisme

Selon la norme officielle, il n'existe pas d’épidémie. La vérité et la raison n’intéressent pas le gouvernement et les gens pris en otage par la sanction le doute et la peur obtempèrent. Les autres dans les bulles internet de contestations sont impuissant à se faire entendre.

De l'autre coté, le profit des grands argentiers a enregistré une très forte croissance entre janvier 2020 et juin 2020. La valeur de la monnaie c'est la quantification de la demande. Le covidisme  à créer de la demande d'abord par destruction de l'offre au moyen du confinement, puis par la production des produits dérivés, masques, vaccins, gants, pubs, etc... Et puis par les banqueroutes. Le covidisme engendre tout un ensembles de phénomènes économiques générateurs de spéculations juteuses...

Pendant que les financiers profitent du covidisme, les Gilets Jaunes attendent le 12 septembre.

Et Macron cours toujours.

Sur internet, l'information, la consternation, la contestation, la déploraison font florès.

Et Macron cours toujours.

L'opposition au parlement s'est transformée en collaboration...

Et Macron cours toujours.

Les souverainistes sont incapables de créer un comité commun de lutte dans le but simple et partagé de mobiliser toutes leurs ressources pour faire partir Macron par le jeu du droit constitutionnel.

Et Macron cours toujours.

Dans la vie publique, personne, pas un leader, pas un people, pas un sportif ne monte au créneaux pour défendre nos libertés dans les grands médias ; ils y perdraient leur audience, alors ils collaborent.

Et Macron cours toujours.

A l'école, les enfants sont des instruments de pression sur les familles.

Et Macron court toujours.

Macron ne manque pas de souffle.

Le succès du Macronisme vient de l'application politique de l'étude du comportement des masses.

Croire que les gens sont des moutons est un égarement qui interdit de comprendre la vérité et de construire une véritable résistance.

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29-08-2020 - La bête petite et grande qui monte qui monte...

Si on s'arrête un instant et qu'on y réfléchi un petit peu, tout ce que nous faisons nous les humains,  dans tous les domaines, dépasse les sommets de l'horreur et de l'absurdité dans la banalité.

Quoique l'on dise quoi que l'on pense individuellement, rien ne peut infléchir toutes ces horreurs parce que nous les pratiquons en petit et en grand.

En petit, celles que nous pratiquons sont invisibles et souvent inconsistantes. Elles sont l'art d'emmerder son prochain pour tirer à soi la couverture du profit quel qu'il soit.

En grand, elles sont incontournables, elles font culture et référence.

En petit elles nous structurent, en grand elles nous rassurent et nous encadrent.

En petit comme en grand, tout ce qui fait le monde, "de nous les humains", en dépend.

En état de notre grande puissance, le paradigme de rétention plonge les humains individuellement dans la confusion et globalement dans l'autodestruction.

/ La justice doit être la gardienne de l'éthique au service de l'ordre par la justice équitable.

Mais la justice est une horreur parce qu'elle est confuse et de plus en plus infondée. Elle n'est plus au service de l'ordre mais du désordre. 

Par exemple, le tribunal de Saint-Malo juge qu'à l'âge de 4 ans, une fillette est consentante à l'inceste. Rien qu'avec ça la justice a dépassé le stade de l'horreur. Un tel jugement pourrait s'expliquer par un excès de folie du juge. Mais non, il n'y a personne pour reprendre ce jugement. 

En droit français, quel abomination, c'est l'enfant qui doit faire la preuve qu'il n'est pas consentant.

/ Le phénomène de la pédocriminalité, est une horreur absolue. Il est directement consécutif à l'augmentation de puissance d'un cercle fermé de personnalités publiques. 

Il faut bien comprendre que ce qui fait l'horreur absolue de la pédocriminalité, c'est qu'elle fait l'objet d'une industrie, d'une organisation, d'une planification sécularisée.

L'inceste a toujours existé et a toujours été puni par la loi.

Mais là, nous avons affaire à quelque chose d'organisé par le politique lui-même et cautionné par le droit. 

L'organisation politique du crime organisé au nom du bien relève du même processus que celui qui rendit possible le nazisme. Et pour que le crime n'en soit plus un il suffit d'en faire une loi. C'est le statut de la loi Schiappa, et des lois et réglementations dérivées comme le covidisme.

Dans le domaine de la protection de l'enfance, le politique et la finance mettent leurs colossales ressources au service du chaos et de la confusion.

La pédocriminalité comme privilège des détenteurs de puissance politique financière n'est pas étrangère à la loi Schiappa. La loi Schiappa a rendu la société toute entière pourvoyeuse de l'inceste.

La loi Schiappa protège l'adulte qui Manipule l'enfant afin d'obtenir son consentement pour quelque chose qui du point de vue de l'adulte s'appelle l'inceste. Mais du point de vue de l'enfant, la proposition de l'adulte peut représenter tout ce qu'on veut sauf ça. 

Et la justice voudrait que l'enfant prouve qu'il a fait l'objet d'une manipulation ? 

C'est cette perversité là, qu'exploite la justice contre l'intérêt de l'innocent.

Ou sont les manifestations, les grèves, les casseurs, les députés...?

En toute logique, et pas seulement à propos de la protection de l'enfance,  l'éthique qui conditionne la justice ce n'est plus l'ordre, c'est le désordre. Quand le désordre devient éthique, la justice relève du nihilisme. Et le peuple, cet empêcheur de jouir de l'innocence des uns par la puissance des autres, doit être muselé.

/ La politique de santé publique, justifie et planifie l'assassinat de masse. Cette planification de l'assassinat qui se justifie par l'économie et trouve son alibi dans les sciences ne rapproche t-elle pas la question juive dans le nazisme des année brunes à la question de l'humanité dans le covidisme?

La politique de santé publique qui au nom du bien refuse le soin et assassine les personnes âgées, est une horreur qui relève elle aussi du nihilisme. Mais on s'en accommode n'est-ce pas ainsi ?

Le politique en général oeuvre normalement au bien public. Mais fort nous est de constater qu'elle fait levier de tous côtés pour engendrer le chaos au profit d'un nouvel ordre mondial dont l'UE, est un marche-pied. 

Pour se faire, le politique trahi la délégation dont le peuple l'a investi. Le politique ment et manipule. Le politique menace. Le pouvoir politique procède de la propagande et non du suffrage universel. Pour arriver à ses fins, le politique terrorise la population, parce que pour le politique, le système économique n'est pas fait pour servir la population.  

Pour le politique, le système est construit pour le bien de ceux qui en profitent le plus. La population n'est qu'un cheptel à optimiser pour accroître leur profit. Pour le politique, le système doit survivre à n'importe quel prix.

L'économie et la politique de rétention en période de grandes puissances sont des horreurs.

/ Le covidisme impose des pratiques et des rituels en dépit du bon sens. C'est une religion rebelle à la raison qui impose sa doctrine dans la République laïque. 

Là aussi, le nihilisme est à son comble. Mais la religion du covidisme avance à pas feutrée. Le covidisme est une théocratie qui ne dit pas son nom.

Le covidisme est une mise en condition des gens pour une accentuation de leur vulnérabilité immunitaire en vue de diminuer le cheptel humain mais pas seulement. Le covidisme préfigure l'ère du contrôle absolu des populations. 

Si nous, la population, nous n'y mettons pas un terme, plus personne jamais n'aura plus le droit ni l'envie d'aller et venir librement. 

Sur cette question, la Chine a une petite décennie d'avance. Sa technologies identification faciale fonctionne à merveille. Ajoutons à cela les nanoparticules qui tracent le chaland. Et la 5G pour faire fonctionner tout ça. C'en est fait des libertés.  Pire encore s'en est fait du libre arbitre.

La fin du libre arbitre c'est tout simplement la négation de l'humanité. Et l'humanité s'engouffre comme un seul homme dans cette horreur. 

/ L'élevage intensif et l'exploitation "destructive" de la nature en général sont des horreurs. Ce que l'on fait vivre aux animaux les yeux fermés est une abomination sans nom. La population se nourrit de ces horreurs qui vont croissantes.

Il y a une différence entre se nourrir de la vie et se nourrir du fruit de la vie. Qu'on se le dise.

/ L'industrie est une horreur quand elle consacre son ingénierie à exploiter et rentabiliser le consommateur. Elle est une horreur quand elle utilise le plastique à outrance, c'est-à-dire quand elle fait des articles jetables avec des matières éternel. C'est de la folie.

L'industrie est une horreur quand pour créer le prix et le besoin, elle érige l'escroquerie au rang du bien. C'est quoi par exemple l'obsolescence programmée, n'est-ce pas une escroquerie au nom du bien qui n'est pas le bien ? 

/ Le soin qui normalement devrait être une dépense publique est devenu une source de revenus considérable. Pour cela il est indispensable de rendre la population malade pour lui vendre du soin en détruisant les médecines douces et naturelles, en produisant de médicaments à l'efficacité douteuse etc... 

Pour l'industrie pharmaceutique la santé et le soin sont contre-productif. Elle se souci d'argent au prétexte de santé publique. L'industrie du soin est devenue une horreur.

/ Etc...

La justice, l'économie, le covidisme, l'industrie, la médecine, la pharmacopée, l'élevage intensif... etc, ont toujours existé. Ces processus ont forgé notre monde en conférant aux civilisations une puissance inégalée jusqu'à ce jour.

C'est ça le paradigme de rétention.

Le paradigme de rétention a conduit les humains à se doter d'une grande capacité puissance. 

Si cette puissance reste gouvernée par le paradigme de rétention dans le vase clos de la mondialité, l'humanité s’autodétruira automatiquement.

Aujourd'hui, l'oeuvre du paradigme de rétention est accomplie. Il est indispensable d'identifier la rétention pour ce qu'elle est, c'est-à-dire un paradigme qui fixe l'ontologie, et de l'interroger pour qu'émerge dans les esprits une alternative. Elle existe...

En l'identifiant, petit à petit les esprits pourront concevoir le monde autrement pour arriver à s'en défaire et découvrirons cette alternative.

Dans les grandes lignes, l'humanité est sortie des âges préhistoriques quand elle a cessé de casser des cailloux. Son niveau d'énergie était juste suffisant pour se nourrir se chauffer et se vêtir. Cette période a durée très longtemps jusqu'à ce que se dégage de l'activité humaine un reliquat d'énergie qui lui a permis par accumulation de s'affranchir des âges préhistoriques.

À la fin du Moyen-Âge, l'humanité à regardé au-delà des mers. Alors elle a abandonné l'idée de la terre plate pour explorer le monde. 

Puis est venu l'âge des Lumières. Il ne s'agissait plus tant d'explorer le monde que de le comprendre par la raison. Galilée Newton et les Philosophes...

Au 18e siècle l'humanité est entré dans l'ère technologique à haut rendement dans tous les domaines. C'est à cette époque que le principe de rétention a commencé à se doter d'une puissance considérable pour conquérir la totalité des espaces du monde humain. 

Aujourd'hui le monde est conquis en suffisance. Mis à part le domaine de l'esprit et des connaissances, il n'existe plus d'espaces vierges à conquérir. L'homme a acquis toute la puissance nécessaire pour répondre sans efforts aux besoins primaires de toute l'humanité. Ne pas répondre généreusement aux besoins de l'humanité est une contrainte qu'il s'inflige lui-même prisonnier qu'il est du paradigme de rétention.

À chaque étape de son évolution, l'esprit de l'homme a regardé le monde d'une façon particulière et le monde s'est transformé en même temps que l'esprit de l'homme.

Depuis les âges préhistoriques jusqu'au covidisme, le seul souci de l'homme fut la conquête du monde autant que du soit par le processus de la rétention générateur de sécurité, pour se nourrir se chauffer se protéger et prospérer.

Maintenant que le paradigme de rétention a fait son office, c'est l'homme lui-même qui doit se regarder. Le paradigme de rétention ne concerne plus que la conquête du soi. 

Pour échapper à la destruction dont le covidisme est le frémissement, la révolution à venir des humains sera ontologique. En dépit de quoi comme dans le jeu de "l'oie", l'humanité retournera à la case départ...

Pour changer le monde il n'y a rien d'autre à faire que de le comprendre. 

{ Nda : Le monde est une construction de l'esprit. Une construction partielle conventionnelle et singulière du réel, il n'est pas le réel...}

…...........................................

LES LOUPS

     La chanson de Regianni "les loups" est parfaitement d'actualité.

     "J'aime ton rire charmante Elvire...".  

     Pour être communicante, cette chanson s'appuie sur le machisme. Il est remarquable de constater que le machisme est indispensable pour diffuser en métaphore le message du danger. Mais il ne viendrait à l'esprit de personne de comprendre que cette chanson exprime le danger que représente précisément le machisme. 

     Le machisme c'est quoi?

    C''est une expression "cardinale" du paradigme de rétention au nom duquel "Les loups" c'est à dire le Covidisme, entre en notre temps dans "Paris".

     .... "Jusqu'à ce que les hommes aient retrouvés l'amour et la fraternité..." 

Nda : C'est la restauration de la République augmenté du RIC pour protéger son intégrité.

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30-08-2020 - L'info « Facebook et le complot

LES INFOS

Le genre de vidéos aux contenus sûrement pertinents diffusées sur Facebook à fin d'informations alternatives, se présentent trop souvent sous une forme parfaitement imbuvable. 

Sur le plan technique filmer à la verticale réduit considérablement le champ de vision. 

{Nda :Ce n'est quand même pas compliqué de faire pivoter le smartphone de 90º...} 

Filmer à la verticale rends exigu le point de vue dans tous les sens du terme. La forme de la communication est très importante pour en déterminer l'esprit. Filmer à l'horizontale permet de lui conférer le contenu consistant que l'on attend. 

Mais le plus important ce n'est pas le format des images c'est la construction de l'information. Tout se passe comme si la communication de l'information était secondaire.

À quelques exceptions, comme par exemple Silvano Trotta, les présentateurs, à l'occasion du sujet traité, font la plus belle part à une tentative de narcissisme. Au sujet du traitement de l'information ils se comportent comme les animateurs de télévision des émissions populaires de dernière catégorie. 

Dans le le choix du cadrage ou la construction de l'information,  trop souvent l'auditeur est traité comme son copain de régiment avec un simulacre de proximité détestable. On y raconte sa vie, ses humeurs, son dernier barbecue... Et ça prend des plombes avant d'entrer dans le vif du sujet. 

Et quand on y entre ça lambine..

L'information et la résistance ce n'est pas ça !

Pour copiner il y a la messagerie privée éventuellement...

Pour être efficace et communiquant, il s'agit donner l'information brute en simple format télex. 

Au lieu de ça l'information si grave soit-elle et traitée (trop souvent) comme un prétexte au copinage virtuel, comme s'il fallait en passer par là pour attirer les foules.

Ce genre de vidéo participe d'une confusion. Le virtuel se substitue au réel. Pour avoir accès à l'information on doit passer des heures devant son écran à supporter les confessions intimes des uns et des autres. Je trouve ça proprement envahissant et même intrusif. L'accepter et le supporter, c'est-à-dire mettre de l'émotion du vécu du transactif individuel au prétexte d'une analyse globale, est symptomatique d'une société qui se déshumanise au profit du virtuel.

LE COMPLOT

Sur Facebook on retrouve beaucoup l'idée du complot assimilé à la source du mal. Le complot existe dans la mesure où les groupes les plus riches et les plus puissants composent réellement l'ambition de maîtriser le monde puisque leur puissance met le monde à leur porté.

Mais pour y parvenir encore faut-il que le système ai suffisamment évolué pour que la portée de la puissance soit le monde entier. C'est le cas aujourd'hui dans la mondialité de l'économie.

La question n'est donc pas l'ambition des plus riches mais ce qui conditionne l'organisation de l'économie des politiques, des cultures, et des consciences, dans un système de rapports commun. 

La rétention comme paradigme est le nom de ce rapport commun. 

Le phénomène de puissance est donc une conséquence de ce rapport commun qu'il convient donc d'identifier d'examiner et de transformer pour non pas combattre le phénomène de puissance mais tarir sa source, rendre son émergence contre-productive en terme de progrès.

D'une façon générale, pour les Maîtres comme pour les esclaves, vouloir n'est pas pouvoir. L'ambition n'est pas la capacité d'agir. L'ambition oriente seulement la capacité d'agir dans le courant invisible et invincible du paradigme de rétention.

La capacité d'agir est rendue possible par l'état du système et non par la volonté de le contraindre. Et il arrive toujours que la capacité d'agir soit compatible avec l'état du système tel qu'il est. Dans ce cas la volonté est toujours orientée et contrainte par le paradigme de rétention.

LE SYSTEME

L'humanité en tant que groupe grégaire et d'une complexité insondable. Croire qu'une personne ou un groupe de personnes {complot} peut décider de son orientation est un égarement de l'esprit. 

Il n'existe pas d'autre attitude à adopter que de comprendre le fonctionnement du système afin de prendre conscience des leviers essentiels.

Les phénomènes sociétaux liés à l'islam, l'immigration, le chômage, la pauvreté... sont des processus. Pour les uns ils prennent la place des causes que l'on dénonce, pour les autres ils prennent la place des effets que l'on dénonce. 

Par exemple :

Pour les riches, la pauvreté est une source de dégradation du profit qui retentit sur toute la société. Et ce sont les riches qui donnent aux pauvres des leçons de mérite.

Pour les pauvres, la richesse est une prédation du fruit de leur travail qui retentit sur toute la société. Et ce sont les pauvres qui donnent aux riches des leçons de mérite.

D'où il ressort que les riches peuvent se prévaloir du mérite contre les pauvres, et les pauvres peuvent se prévaloir du mérite contre les riches. 

En vérité, le mérite est un avatar paradoxal du principe de rétention. Les riches comme les pauvres cultivent la rétention comme la seule vertu susceptible de leur apporter la sécurité.

Il suffit de comprendre de façon étendue le fonctionnement du système afin d'échapper à la confusion entre l'effet et la cause pour que de façon tout à fait automatique et naturelle l'orientation du système change. 

Ni les pauvres ni les riches ni les musulmans et les émigrés ni les adorateurs du Fa dièse ni les adeptes de l'oignon, quand bien même en auraient-ils l'ambition, ne sont des complotistes responsables de l'état du système.

Le groupe que constitue l'humanité, conditionné par le (méta)paradigme de Rétention est comme la plume au vent de sa confusion.

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31-août 2020 - Stratégie Politique et Démocratie.

Pour faire humanité et donc société, les rapports humains relèvent du principe de délégation. 

Dans l'échange direct le contrôle mutuel exige le respect de la confiance. Le respect de la confiance est la condition de l'obtention du profit qui ne peut être que mutuel.

Dans la délégation émergente comme le politique, le contrôle mutuel n'existe pas naturellement. De ce fait la réussite par maximisation du profit, est conditionnée à la trahison de la confiance.

LA DÉLÉGATION DANS LA RÉTENTION.

Direct ou émergente, la délégation se joue toujours dans le paradigme de rétention, le seul que l'humanité a connu depuis son embryogenèse, et dont de ce fait il n'a pas conscience.

Pour le bien du groupe et du délégué, la première nécessité impérieuse du délégué qu'il soit direct ou émergeant consiste à conserver sa délégation. 

Le principe de délégation direct n'a pas besoin d'évoluer car il est auto-équilibré. Si la confiance d'un côté n'est pas respectée le rapport s'arrête. Dans la délégation direct le profit est mutuel ou n'existe pas.

La délégation émergente, celle qui administre le groupe, est évolutive car elle est dissymétrique. Dans la délégation émergente, le contrôle des délégués par les déléguants n'est structurellement pas possible. 

Dans la délégation émergente comme le politique, le contrôle mutuel n'existe pas naturellement.

Pour maximiser sa réussite, le délégué doit s'affranchir de la confiance. Les divergences d'intérêts au sein du groupe représenté qu'implique le paradigme de rétention oblige à la trahison d'une catégorie pour une autre. Pour conserver son statut, le délégué trahira systématiquement les plus faibles. 

Dans la délégation émergente, les plus faibles seront toujours beaucoup plus nombreux que les plus forts. Maximiser le profit signifie trahir les plus faibles.

Selon les transformations sociales que le principe de rétention génère par les concentrations de puissance, la faction du groupe à trahir est changeante. 

L'ACCROISSEMENT DE PUISSANCE

Dans le paradigme de rétention, que la délégation soit direct ou émergente, le sentiment de sécurité du groupe et de chacun implique la maximisation du profit et de la puissance.

Par l'augmentation de puissance dans le paradigme de rétention, les délégués émergents représentent toujours les plus puissants.

De transformations en transformations, les concentrations de puissance s'accentuent et se concentrent elles-même jusqu'à ce que se constitue une seule hyperpuissance. 

Dans le paradigme de rétention les délégués émergents représentent toujours les plus puissants. La mondialité signifie que l'évolution du paradigme de rétention à établi les plus puissants hors du groupe.

Dès que la concentration de puissance d'une faction du groupe administré devient significative, le délégué s'échappe du groupes déléguant et représente les puissances émergentes. C'est notre étape de mondialité. Les administrant émergeant du peuple ne représentent plus le groupe "peuple" mais le groupe de l'hyperpuissance.

À cette étape, les "groupes" nations n'ont plus lieu d'être.

Dans la mondialité, les peuples ne sont plus représentés par leurs élus.

  

Dans le paradigme de rétention la délégation émergente est évolutive car elle est indispensable à l'augmentation de puissance des civilisations. Au-delà d'un certain seuil, les sociétés doivent transformer ce paradigme sous peine de s'auto-détruire ; c'est-à-dire de faire d'elles-mêmes leur propre combustible. Le seuil est atteint lorsque les délégués émergents ne font plus partie du groupe qui leur a donné délégation. Le seuil est dépassé lorsque les politiques n’obéissent plus au peuple mais à l'hyper-puissance émergent de l'évolution des sociétés dans le paradigme de rétention.

Le covidisme en l'état de mondialité du groupe humain préfigure ce risque auto-destruction.

LA DÉMOCRATIE ÉMERGENTE.

La délégation émergente hérite de la vertu de la délégation directe. De ce fait, la confiance envers le délégué est donnée d'emblée mais sans contrôle possible. C'est ainsi que la structuration par le monarque a dominé le monde et les peuples pendant des siècles. 

Dans la délégation émergente, (le politique), le contrôle n'existe pas naturellement. Comme le principe de délégation est le fondement de l'humanisation, le contrôle direct par la confiance doit être remplacé par un contrôle émergent. La démocratie ce n'est rien d'autre qu'un processus de contrôle émergent en lieu et place de la confiance naturelle de la délégation direct. 

Après des siècles d'évolutions, les peuples ont compris que la délégation émergente c'est-à-dire le politique doit faire l'objet d'une procédure. Cette procédure fut l'émergence de la démocratie à travers les révolutions, grosso modo en Russie aux États-Unis et bien entendu en France. 

La démocratie est donc une procédure émergente des peuples qui consiste a remplacer la confiance qui ne peut pas exister envers le politique.

Il est maintenant question de cerner  pourquoi elle ne peut pas exister. Et de se saisir du paradigme de rétention afin d'orienter les termes de la révolution à venir. Puisqu'il s'agit du principe de rétention la révolution à venir est ontologique.

Dans le bain du paradigme de rétention, tous les rapports et toutes les transactions sont gouverné par l'acquisition de puissance de maîtrise et de contrôle. Ce qui au passage limite la connaissance à la rationalité ...

Les idées de gauche sont pervertis, les idées de droite sont pervertis, le sacré est perverti car la religion ce n'est jamais que le sacré qui fait de la politique... 

FIN DE LA RÉTENTION

La chienlit que traverse les populations depuis l'aube des temps est plus dense dans les sociétés évolutives, c'est-à-dire en quête de puissance.

La chienlit n'est pas le fruit d'une vision politique de droite ou de gauche ni le fruit de la vision religieuse qui sont des organisations émergentes. 

La chienlit vient du paradigme de rétention qui oriente et structure les organisations émergentes car il converti toutes les vertus en accumulation de l'avoir du pouvoir et du savoir, par la promotion des stratégies de contrôle et de maîtrise à n'importe quel prix. Cette organisation est indispensable au progrès humain jusqu'à un certain seuil.

Le principe de rétention est une étape dans le cheminement de l'humanité.

Aujourd'hui, il nous a amené à la mondialité. Il a donc accompli sa mission. Il n'a plus lieu d'être.

Pour continuer de progresser l'humanité doit abandonner ce paradigme.

Plus propice à l'épanouissement de l'homme, un autre paradigme surgira de son effort ontologique... 

Pour ce faire il faut d'abord identifier le paradigme de rétention.

Factuellement, j'insiste, la pression de l'évolution d'où a émergé la démocratie n'est pas tari. La parole du peuple étant brimée, la mise en mots lui étant refusé ; il ressort de tout cela que le peuple sera obligé d'en passer par la mise en acte. En 1789 les pavés n'ont pas dit leur dernier mot.

Le mal (ou le bien) n'est jamais dans la chose en soi quelle qu'elle soit, mais dans le rapport entre les choses. Il reste à identifier avec quel paradigme nous construisons nos rapports.

Épilogue :

(A) en soi est très bien.

(B) dans son domaine est excellent. Mélangés dans (C), la réaction (R) n'est pas la même que mélangés dans (X?). 

Si on ignore (C) : (A) ou /et (B) se confondent aléatoirement avec (R)

{Nda : C'est la faute des communistes, c'est la faute des socialistes, c'est la faute des Arabes, c'est la faute des Juifs, c'est la faute des riches, c'est la faute des pauvres etc...

Concevoir la possibilité de (X), suppose l'identification de (C).}

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31-08-2020 Les gens sont-ils des moutons ?

Pourquoi personne ne décide de son destin ? 

Comment se fait-il que tout le monde obéisse à l'absurde ?

Les gens sont des moutons etc... !

Ces questions et déplorations relèvent d'une confusion.

     Il est naturel de confondre le phénomène de foule et le discernement individuel. La foule ne pense pas et n'a aucun discernement ; elle fixe la norme à laquelle les individus se soumettent. C'est une règle tout à fait incontournable. 

     C'est la raison pour laquelle, sans mots d'ordre à l'adresse des groupes sociaux, le peuple est paralysé. 

     C'est pourquoi le premier travail de Macron en préalable à toutes ses réformes a consisté à détruire la représentation des groupes sociaux.

     Cette destruction fait parti de sa stratégie de contrôle de la communication. En terme de communication, internet ne représente aucun danger puisque la communication est piégée dans des bulles. et quand une information est trop sensible il suffit de la censurer. 

     Stratégiquement il est question de considérer internet comme la mise en captivité de l'information qui n'est pas contrôlée.

     La lutte contre le macronisme passe obligatoirement par la reconquête de la communication publique.

     

    BRAIN STORMING POUR TOUS ET TOUTES SUR CETTE QUESTION.

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Aout 2020 petites phrases

OBJECTIF:

Forcer la médiatisation du FREXIT ! 

Alors, le FORUM public des souverainistes s'impose.

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Un gouvernement révolté contre le peuple sera chassé par le peuple !

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Aux Covidistes : 

Ceux qui s'obstinent à mettre le masque sont protégés de ceux qui choisissent de respirer librement.

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Tant que le paradigme de rétention durera, toutes les vertus seront pervertis et converties en business.

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Dans "conseil scientifique", le mot "scientifique" est une imposture.

Le fascisme a toujours besoin de la caution scientifique.

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11 août 2020

Poutine s'incline. Il chasse Microsoft et il exploite la situation en proposant un vaccin Russe.

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1942 les Collabos

2020 les Covidistes 

Ou l’expérience de Milgram à l'échelle du pays.

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Le Masque :

L’expérience de Milgram à l'échelle du pays, met en relief le principe de délégation.

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En MACRONI :

En vertu de "l'état d'urgence" devenu droit commun...

Décret, loi, ou fait du prince : l'État a tous les droits

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ATTENTION !

Le masque puis le vaccin obligatoires sont l'inscription de

l'apartheid d’État dans la société civile.

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ATTENTION !

Au nom du covidisme :

L'apartheid d’État est une déclaration de guerre civile contre le peuple.

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Transparence:

Sur FB, un animiste ne peut pas savoir s'il applaudit un boucher ou son contraire

Donc... ?

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ATTENTION !

Masques etc...

Immunité en déficit !

Le gouvernement manœuvre pour transformer le virus saisonnier en pandémie 2 

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Différence Maîtres / Esclaves : 

Les maîtres ont des moyens de Rétention bien plus grand que les Esclaves

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Si une loi contraignante sur le droit de respirer librement n'est pas la ligne rouge indépassable, quelle est-elle ?

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Dans le paradigme de rétention en partage, le maître n'est qu'un esclave tout-puissant.

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Le groupe que constitue l'humanité est comme la plume au vent de sa confusion.

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Le "covidisme" est l'ultime soubresaut avant la fin du paradigme de rétention.

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Boycotter Facebook est absolument nécessaire. Facebook sert à emprisonner l'information contestataire dans des bulles fermées d'où rien ne sort, donnant l'illusion de la communication.

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Le MASQUE, Rituel du covidisme, est l'alibi premier du fascisme nouveau.

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En plus de beaucoup d'autres nuisances, ce vaccin est un VIH à retardement.

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PARADOXE

Le covidisme est une religion cachée rebelle à la raison qui impose sa doctrine dans la République laïque.

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En droit, l'enfant doit faire la preuve qu'il n'est pas consentant.

La loi Schiappa rend la société complice de l'inceste.

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La loi Schiappa

protège l'adulte qui manipule l'enfant vers l'inceste. L'enfant ne sait pas. Donc il consent.

C'est une abjection.

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Rendre la France dépendante de l'extérieur est la garantie de construire les conditions de son maintien dans l'UE. 

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Il faut choisir

Il ne peut exister qu'une seule souveraineté. Soit l'UE, soit la France.

L'UPR a choisi la France  !

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LA GAUCHE est europeiste. C'est la trahison historique du peuple.

La gauche c'est le macronisme rose.

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RÉGRESSION

Quand l'État sacrifie à la pulsion cela dit : "l'Humanité n'est pas assez avancée pour renoncer à la peine de mort !"

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LOI SCHIAPPA

Forcer l'enfance dans la sexualité adulte est une négation de l'enfance et une aliénation assurée du sujet

ABOLITION

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La révolution actuelle est Ontologique. 

Soit le gouvernement lève la censure et la propagande,

Soit la révolution passera par les pavés

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L'Internet dissout les forces de résistance.

La résistance doit se construire dans l'ombre !

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Le salut des peuples dépend de la vérité public.

Le covidisme est un mensonge universel.

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Au nom de la VÉRITÉ et de la Sécurité des peuples et des personnes, un gouvernement autiste doit être chassé par la force !

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Privé de parole, la force du peuple pour la vérité n'est plus que dans l'armée, dans les forces de l'ordre et dans la rue !

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Quand la vérité est musclé en combat la propagande avec la contre-propagande.

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La pression policière sur la société civile par temps de covidisme, et une pression d'occupation digne de la Gestapo !

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ELEVAGE INTENSIF.

Il y a une différence entre se nourrir de la vie et se nourrir du fruit de la vie. 

À méditer.

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Macron Anti-France

La France est le seul pays au monde où les étrangers ont une pension généreuse en échange de rien.

Pourquoi?

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Macron : 

La France est le seul pays au monde qui met la langue nationale en concurrence avec une langue étrangère.

Pourquoi?

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Qui a déjà vu un bœuf s'amuser en tirant "sa" charrue ?

Ainsi que les humains ils vont à leur labeur sans humanité !

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Dans le projet europeiste et mondialiste,

Cultiver la France est un contre-sens !

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La lutte contre le macronisme passe obligatoirement par la reconquête de la communication publique.

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La Macronie considère internet comme la mise en captivité de l'information qui n'est pas contrôlée.

CONQUÊTE DES MEDIAS PUBLICS

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PRAGMATISME

2022

Si on ne vote pas Asselineau-UPR,

Il sera élu un Macron Nº 2

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MANIFESTATIONS

Au lieu de scander "Liberté", il vaut mieux Scander "FREXIT"

et La Liberté suivra.

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MANIFESTATIONS

Scander "FREXIT" obligera la presse à parler FREXIT.

Combattre la censure par la rue ouvrira le débat national.

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PUISSANCE & RETENTION.

Sur internet comme dans le poste, l'ignorance fait le fond de commerce de l'audience.

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Si les gens gagnaient assez du fruit de leur travail, l'économie de Rétention s'effondrerait. 

A méditer !

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MANIFESTATIONS 

Il faut réclamer la fin des causes et non la fin des effets.

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Internet n'est que la catharsis illusoire de l'activité de contestation.

Forçons les médias à dire "F

REXIT"

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