Actualités Mai 2020

01-05-2020 Macronie Connexion

Le Conseil de l'Ordre des médecins n'en est pas à son coup d'essai en s'attaquant au Pr Raoult...

Il faut croire qu'en France la corruption et autres conflits d'intérêt bat son plein.
Je propose une commission d'enquête parlementaire sur les conflits d'intérêts:

1/au sein des membres du conseil de l'ordre.... avec l'industrie pharmaceutique.

2/ au sein des membres du conseil de crise sanitaire... avec l'industrie pharmaceutique.

3/ le gouvernement Macron a-t-il connaissance de ces conflits d'intérêts?
    3.1/ Si oui, a-t-il composé cette commission d'expert en connaissance de cause?
    3.2/ Si oui la République sous Macron est-elle celle des français ou celle des lobbys?

4/ Quel est le réel motif de la politique "anti-soin" de la population? La santé publique ou l'intérêt financier de l'industrie pharmaceutique?
À l'heure où la folie des dirigeants veulent mettre milliards d'individus sous contrôle (puces et vaccin), cette question est prioritaire car ce n'est pas une fausse nouvelle. C'est un vrai projet.

Le protocole Raoult sanitairement fondé et concrètement éprouvé avec succès, est politiquement empêché. Pourtant son protocole est (semble t-il) déployé à l'usage exclusif du gouvernent et de l'armée.
Pourquoi?

Alors Mr Mélenchon, au boulot... Et là je ne vous parle pas de l'article 68.

Il est temps que "tu" montres qui tu sers réellement. Le peuple de France ou l'oligarchie de l'UE. Macron, jeune homme très influençable parce-qu'immature en est le serviteur zélé.

Jusqu'à maintenant, dans le rôle du député de l'opposition la plus virulente contre la macronie tu le sers aussi. Ton laxisme le protège.
Quel obstacle met tu sur sa route?
Rien. Strictement rien ! Que des mots dont il n'a cure qui sont comme le vent....

PS) Soyons un peu sérieux.
L'immaturité de Macron est une réalité.
L'incapacité volontaire de Mélenchon est une réalité.
Les autres députés ne font pas mieux.... Et tout le parlement s'en fou...

N'avez vous pas l'impression, vous qui lisez ces lignes que l'heure est grave?
Il serait judicieux de se tourner vers l'ennemie Nº1 de la macronie. L'#UPR n'est pas médiatiquement censurée sans raison. Je vous propose d'aller voir pourquoi !
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01 mai 2020 Fête du travail Macron a osé:

 "La solidarité n'a jamais été aussi forte entre les travailleurs" vient-il de déclamer dans le poste...

Mais la solidarité "ducon", elle est Nationale. Elle est entre les citoyens, TOUS les citoyens les uns envers les autres, sans distinctions de fortunes. La solidarité partisane ce n'est pas la solidarité, c'est l'égoïsme.
Je reconnais que la solidarité citoyenne c'est un peu la démocratie et que nous n'y sommes plus....

"La solidarité forte entre les travailleurs? Mais ça n'a jamais cessé.
La solidarité devrait être la contribution naturelle, volontaire de ceux qui s'enrichissent du travail des travailleurs.

Cette solidarité là, non seulement il faut la demander, mais nonobstant, Macron vient de la refuser au parlement.
Pas de solidarité par l'ISF
Pas de taxe sur les dividendes
etc... La listes est longue

Chez macron la solidarité c'est celles des pauvres au service des riches. La solidarité selon Macron, est seulement ENTRE les travailleurs. C'est normal, la solidarité entre les travailleurs est la source de la richesse des riches.
Drôle de conception de la solidarité citoyenne.
Trop, c'est trop .

Jusqu'où le cynisme de Macron peut-il aller sans conséquences sociales?

Les voeux décomplexés du président signifient en litote: "La solidarité n'a jamais été aussi forte entre les actionnaires CONTRE les travailleurs."

Par temps de confinement, de violences policières et de compromission politique, les voeux de Macron sont d'une insupportable perversité.
Pendant cette période où le pouvoir d'achat des salariés et autre auto-entreprises s'effondre, les dividendes n'ont jamais été aussi élevé en prévision du manque à gagné futur des actionnaires.
Et il compte sur la solidarité forte de travailleurs? Mais quelle honte.

Au milieu de la crise, où il laisse la population et les soignants volontairement sans protections, le 1° Mai, jour de la fête du travail, Il ose parler de la solidarité entre les pauvres au service des riches.

Les bras m'en tombent...
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01-05-2020 L'HOMOLOGATION

Voyez-vous Mr Macron, à Marseille, le protocole du Pr Raoult est homologué de fait.
En Israël le protocole du Pr Didier Raoult est homologué aussi ; simplement par le fait qu'il sauve la vie des gens, Voyez le résultat.
Ailleurs, dans le monde entier aussi il est homologué de fait...

Que penser de votre obstination à nier l'évidence ?

Il semble bien que l'homologation du Président de la France par les médias en lieu et place de la démocratie ne soit pas pertinente. ...

https://www.europe-israel.org/2020/05/israel-lunite-covid-de-lhopital-dashdod-a-ferme-parce-quil-ny-a-plus-de-patients-contamines/
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02-05-2020 Le sursi économique ! Chiche, une pandémie. 

La clef de la décadence des démocraties et de la transformation des politiques sociales et citoyennes en politique de la finance pour la finance, vient de la marchandisation de la monnaie.
Ce phénomène récent n'a pu avoir lieu qu'à la suite du grand succès de l'économie libérale en terme d’envahissement de tous les territoires. Ce qui a abouti à la mondialité des échanges, au prix aujourd'hui de la restriction des libertés.

Ce phénomène émerge dès lors où l'outil de production devient si puissant que la production de biens et de services n'est plus une source de revenu capable de combler l’appétit de croissance financière. En marchandisant la monnaie, le revenu du commerce de l'argent (la spéculation financière) est plus important et de façon croissante que le revenu du commerce des biens et des services, c'est à dire de la réponse à la demande.
La marchandisation de la monnaie fut mise en place en 1973 par un accord entre les banques, les États et les multinationales. (pour les détails, une recherche s'impose...)

En cette période, l'abandon de l'émission de la monnaie aux banques participe de l’accroissement nécessaire du commerce de la monnaie en rendant possible l'application du principe de la dette à un État, ce qui n'a aucun sens quand l’État émet sa monnaie.
La dette ainsi légitimée, justifie l’intérêt de la dette que les populations acquittent par voies fiscales. Ce qui revient à utiliser la fiscalité des États pour transférer de l'argent public directement dans la poche des banques privées....

Mais l'abandon de la monnaie a surtout pour conséquence dramatique, le transfère de la souveraineté des États à l'oligarchie financière.

L'objet de la politique passe alors du développement culturel et social etc, à la recherche de croissance des dividendes par la maîtrise des dépenses (privatisation des services publics, gèle des salaires, extinction progressive des pensions de tous genres, privatisation des soins, reformes des dépenses de retraites etc etc...) A cette fin, dans la zone économique la plus dense de la planète, l’organisation de l'UE est alors crée. {… … ...}

Mais plus la monnaie s'éloigne de la réponse marchande à la demande et se rapproche de la demande financière, plus la valeur de la monnaie s’étiole. Parce-que pour un État, souverain ou pas, la valeur de la monnaie c'est la quantification de la demande, et la demande cardinale est toujours la demande marchande.
Quand la croissance du commerce de l'argent se creuse par rapport à la croissance marchande, la valeur de la monnaie se maintient artificiellement par l'émission massive de titre monétaire dans un océan de dettes croissantes (qui ne signifient rien du pont de vue comptable)...
Mais ce processus de maintient au forceps de la valeur de la monnaie se fragilise avec l'augmentation de l''écart,car ni la croissance ni aucun phénomène physique ne peut croître à l'infinie.

Une croissance infini, s'appel une explosion. Et c'est très exactement ce qui est prévisible avec l’accroissement de l’écart entre la valeur issue du commerce de l'argent et la valeur issue du commerce des biens et des services. Cette explosion n'est autres que la « terminaison » naturelle de l'économie libérale qui est devenue une bulle planétaire.car l'économie libérale ne se justifie plus par la moindre conquête. C'est fini, elle a réussi.

Cette politique de croissance financière déconnectée de l'économie marchande (biens et services) , est vouée à l'échec. La dette qui fait si peur dans les chaumières signifie pour un particulier, un manque de ressource, pour un État ne signifie pas un manque de ressource; c'est juste un indicateur de la tension de la bulle monétaire financière.
Pour ne pas qu'elle explose avec à la clef une valeur monétaire qui s'effondrera pour tout le monde, pour les riches comme pour les pauvres, il faut relancer la demande.

Pour relancer la demande dans un système clos, c'est à dire dans la mondialité, là ou il n'y a plus rien à conquérir, c'est à dire sans demandes auxquelles répondre, il n'existe pas d'autres solutions que de briser l'offre partout en même temps de préférence (pour ne privilégier aucune concurrence) et de façon calibrée. A cette fin, la "pandémie" est l'opportunité reine, si inespérée, que son avènement en 2020 tient du miracle. Alors les États rivalisent d'ingéniosité pour la cultiver et l'exploiter en dépit de l'expertise biologique qui dénonce la politique de confinement. La présente instrumentalisation de la pandémie est un sursit supplémentaire pour différer l'explosion de la bulle financière, qui durera tant que la pression sur les libertés durera.

Aujourd’hui 1° mai 2020, nous en sommes là... !

La suite dépend de la prise de conscience des peuples et de leur capacité à comprendre l’extrême nécessité de revenir à la souveraineté monétaire des nations (occident) hors laquelle point de salut pour les libertés qui resterons de ce fait les otages des intérêts financiers. On comprend parfaitement qu'en maintenant le statut de la finance au dessus du statut de la politique, les libertés devront obligatoirement se raréfier.
Ce n'est pas très difficile à réaliser. Voici : à force d'habitudes, les valeurs de la morale s’adaptent pour renforcer les mesures coercitives. Ce qui est difficile c'est de revenir à la liberté quand plus personne ne sait ce que c'est et que tout le monde par sécurité résiste au changement.

Ce sera l'histoire de nos enfants et de leurs enfants si nous ne rétablissons pas la souveraineté monétaire ici et maintenant, c'est aussi bête que ça.
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03-05-2020 Questions publiques à France Insoumise

1- D'où viennent les reformes de Macron:
a) de l'UE ?
b) de son bon vouloir ?
c) de la volonté citoyenne ?
d) autre... (expliquez)

2- La proposition de destitution du président:
a) elle est fondée par la volonté des citoyens ?
b) elle est fondée par les arguments de l'article 68 de la Constitution ?
c) elle n'est pas fondée ?
d) autre... (expliquez)

3- Le comportement de la presse:
a) la presse est libre ?
b) la presse est suffisamment libre ?
c) la presse est astreinte à faire la propagande du pouvoir ?
d) la presse nécessite une loi de droit à l'expression alternative ?

Ça suffit pour aujourd'hui mais la liste n'est pas exhaustive !
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2-02-05-2020 Le Mensonge

Macron plus qu'Hollande nous ment depuis toujours.
Il trompe les français par matraquage médiatique en tuant la confiance du peuple envers l'État.

Depuis Sarkozy et son abolition du droit au profit du contrat, suivi de la loi El Kohmeri sous Hollande qui déclara la guerre à la finance puis une fois élu se rétracta et collabora; jusqu'à la pandémie de 2020 (Voulu? Accidentelle?); en passant par la réforme des retraites de Macron, le mensonge fait parti du moteur des hommes politique français.

Pour donner le ton, Macron a commencé par faire passer le statut de l'état d'urgence à l'état de droit. Et depuis à coups de décrets et autres 49/3 il aboli de place en place la démocratie.
C'est sa politique ... Voilà tout.

Son plus grand mensonge c'est de convaincre les gens que la dictature est un état de droit.
Je crains qu'il n'y arrive sans appel.

Soyons lucide, il est déjà bien avancé. Les valeurs de la morale s'inversent dans les esprits. C'est le signe indéniable de sa victoire en marche et les bruits de casseroles des gilets jaunes, les déplorations et les colères de tous les groupes sociaux n'y changerons rien. Il trace sa route aveugle et sourd à tout le tintamarre populaire que les médias ignorent.

Macron travail à faire entrer les arguments de la dictature dans les us et coutumes, dans la culture et dans les modes de pensée. À ce dessein, le temps est son allié et le confinement sa tactique. Avec le temps, il transformera le mensonge en vérité et la perversité en vertu. Où sera le mensonge alors?

Pour défendre les vertus de l'auto-incarceration, déjà la délation bat son plein. Les violences policières s'installent durablement et les fonctionnaires zélés voient leur impunité s’accroître. Toutes expressions de libertés individuelles sont prétextes à sanctions.

Quand le pouvoir interdit la proximité des gens en sanctionnant le promeneur solitaire tout en imposant la promiscuité ailleurs, le pouvoir aliène les gens en leur imposant le respect de l'absurde et en niant leur intelligence de la situation.

Pourtant, en dépit de tout cela, Macron n'est pas plus coupables de mentir que le cochon le serait d'avoir la queue en tire bouchon. C'est leur nature.

La question du mensonge véritablement coupable parce-que contre nature est ailleurs.
Est-ce la nature de l'opposition de ne pas s'opposer ?

En démocratie, quelque soit le genre de pouvoir en activité, le mensonge universel permanent et fondamental n'appartient pas au pouvoir en place mais à l'opposition.
Quand elle ne s'oppose plus, c'est que le pouvoir à déjà gagné. La démocratie est brisée et l'opposition collabore.

Quand il a transformé les esprits, le mensonge du pouvoir n'existe plus, il n'a plus d'objet. C'est ça la victoire du fascisme car le mensonge et l’aliénation en politique conduisent inexorablement au fascisme consenti.

Chez Macron, le mensonge est un moyen transitoire qui nous y amène. A gauche le mensonge est d'une nature universelle. Il fait croire au peuple que le trahir et collaborer c'est s'opposer. À gauche, le mensonge est ontologique, c'est pourquoi il favorise son avènement.

Il reste que la restauration de la Démocratie, de la Liberté et l'orientation vers les politiques de Partage appartiennent au peuple.... en chasuble jaune.
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03-05-2020 Deuxième souffle de l'économie libérale moribonde:

1/ Effondrement partiel de l'économie grâce au confinement.
2/ Restauration artificielle de la valeur de la monnaie par création de la demande.

Voila le motif de l'instrumentalisation politique d'une pandémie qui n'en est pas une. La férocité de ce virus est en effet toute relative selon les plus éminents spécialistes INDÉPENDANTS.

Aujourd'hui, alors qu'il est établi que quelle-que soit la politique de réaction, le cycle pandémie viral est de 3 mois maximum selon les virologues La question de faire durer l'instrumentalisation se pose au sommet du pouvoir de l'oligarchie financière qui commande les politiques.

La création de la situation ne fut rendu possible que par l'usage de la propagande sur le bien fondé des mesures de confinement.
Le maintient de la situation est rendu possible par la culture médiatique de la peur afin que soit défendable le chantage global au vaccin et acceptable la menace sur les libertés.

Ceux qui accepteront le vaccin pourront aller et venir à leur gré, les autres non.
Ceux qui accepteront le vaccin pourront travailler, les autres non.

Cette catastrophe politique sur les libertés produira des mouvements de capitaux très important au profit des plus riches. Les gros vont racheter les petits pour une bouchée de pain. Le chômage va repartir à la hausse. Les services publics seront privatisés en masse par soucis d'économie. Les biens publics seront vendus au plus offrant. Les retraites et les autres pensions seront ponctionnées au prétexte de la solidarité nationale.
Toujours par solidarité nationale, les actionnaires et autres bénéficiaires de dividendes seront protégés. Après tout c'est pour ceux là que les travailleurs travaillent. Et l'opposition se contentera d'être scandalisée...

Voilà le nouveau monde de Macron et des trusts de la finance mondiale. Eux seuls ont les moyens de le réaliser.
Pour s'y opposer il y à Donald Trump à ma connaissance et c'est tout.

La proposition politique actuelle est le pire cauchemar de l'humanité. Le pays qui n'imposera pas le vaccin à sa population sera boycotté par les pays qui l'imposeront.
Cette politique du vaccin fondée sur la propagande sera une cause majeure de déstabilisation des équilibres du monde et une promesse de guerres.

En dehors de Donald Trump comme seul obstacle à la réalisation de ce sénario fou, en l'état de la connerie des forces d'opposition, il ne reste que le mouvement spontané des populations en chasuble jaune.

.... Et ils feront des émules dans le monde entier.
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03-05-2020 ...REPRENONS LES COMMANDES DE NOTRE PAYS

Il est à ce jour impossible de connaitre l'origine de la pandemie ou du virus. Pour autant, on ne se perd pas en conjectures. Si l'origine est inconnue c'est qu'elle est cachée.
En effet, tous les services de renseignement de la planête ne peuvent pas faire choux blanc. De ce fait, cacher la vérité est une intention politique.

Devant le mystere, un bon enquêteur collectionne les indices, il y en a pléthore ; et cherche le mobile. A qui profite "le crime"?
À la finance pharmaceutique, c'est sûr, aux grandes entreprises et à la grande distribution, on le constate, aux États pour avoir les mains libres et à l'économie libérale dans son ensemble pour maintenir l'économie de rétention en dépit de sa fin..

C'est donc les lobbys de la finance qui commandent aux politiques. Le peuple et ses aspirations n'existent plus dans la décision politique. C'est particulièrement vrai en France.

Nous en somme arrivé là parce-que la constitution de la 5eme République a été pervertie et l'État sous Macron a démissionné de son devoir régalien vis à vis des citoyens.

Il brade le pays aux intérêts privés.
Il abandonne la souveraineté de peuple de France à l'UE qui n'est que le nom anonyme de l'Allemagne. Pour ce faire la macronie a inaugurer la dictature du peuple de France, pour la première fois de son histoire.

Inutile d'en lister d'avantage pour comprendre de quel processus (fascisation) la politique de l'État procède.

Comment retrouver un État digne de la République française, un État soucieux de justice et de notre liberté?

1/Sortir de l'UE, (#UPR)

2/ donner aux bulletins blancs le statut de bulletins exprimés.

3/faire le scrutin législatif avant le scrutin présidentiel

4/et le plus important voter le droit des femmes à disposer d'elles mêmes sans restrictions ni conditions.

C'est tout... Tout le reste suivra automatiquement.

Ce point nº4 est le plus important pour l'avenir du monde... {...... ...... ......} car il est l'unique levier de la révolution ontologique qui conduit l'humanité du paradigme de rétention à celui du partage.
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03-05-2020 Opération Fascisme

Dans la modernité où l'isolement aidée de l'accélération croissante du virtuel, le confinement généralisé manifeste le premier passage à l'acte de l'humanité en tant qu'unité.
L'isolement et l'individualisme économique sont des propriétés universelles que le confinement dénonce par des actes, car à l'échelle des foules, et donc de l'immense foule de la planète, les mots ne peuvent pas exister. C'est pourquoi la foule toujours s'exprime par des actes.
Voilà pourquoi l'avenir de la France démocratique contre la France fasciste ne passera que par les gilets jaunes, c'est à dire par la foule.

Soumis à cette catégorie d'isolement et à son avatar, le confinement, à l'échelle individuelle comme à celle des nations, comment ne pas perdre la notion de l'autre, c'est à dire aussi la notion de soi et de fait, celle de la nation (UE, Macronisme....)

Pour des raisons infiniment plus tragiques la perte de la notion de l'autre et de soi fut aussi une question pour les survivants de la Shoah. La question de la mémoire n'est rien si elle n'est pas consacrée par la connaissance des processus qui l'on initiés. Et je crains que ce processus ne soit "en marche", bien d'avantage aujourd'hui qu'hier.

Pour traiter d’épidémie virale, je préfère m'adresser aux Professeurs et pas aux politiciens. Qui irait consulter Macron ou Lallemand en cas de fièvre? Alors qu'ils restent à leur place à s'occuper du bien des très riches sur le dos des autres.

L'humilité, le respect, l'humanité, la justice, l'équité, la générosité, la cohérence et la démocratie... Ce n'est pas leur fort, tout le contraire du peuple. Car la foule ne pense pas. Il n'est pas nécessaire de réfléchir pour "commettre"le bien. Par contre il est indispensable de penser pour provoquer le mal, c'est à dire le déséquilibre.
De là à affirmer que les hommes politiques sont déséquilibrés, n'y a qu'un pas que je franchis allègrement.

Les politiciens sont déséquilibrés au point de promulguer une loi qui amnistie leur crime au prétexte de leur incompétence. Mais l'incompétence au sommet de l'État qu'elle soit préméditée ou non est criminelle. Et voilà que le coupable s'auto-amnistie?
De quoi une telle pratique est-elle nom?
Elle s'appelle "fascisme" ....Bon d'accord, j’exagère, fascisme en marche si "vous"préférez.
C'est ici que le Sénat à son tour sort de la République. Mélenchon, le champion de l'opposition en appellera à la Constitution?
Bien sur que non, il donnera dans la péroraison stérile comme toujours...

Bref, maintenant que l'épidémie est passé selon d'éminents spécialistes dont le Pr Raoult, il est temps de reprendre les rênes de notre liberté.

Soyons vigilant à ne pas laisser survivre dans nos us et coutumes la politique contraignante et les intentions liberticides que nos dirigeants veulent inscrire dans le droit commun, comme fut le sort de l'état d'urgence après 6 reconductions.

Trop de présidence des riches tuera le président des riches.
(Je ne parle pas de la personne mais de la direction politique...)

A la prochaine, pour des raisons systémiques, le peuple s'empressera de rétablir l'équité du partage des ressources en favorisant un régime politique adéquat...
À ce stade, dans 2 ans ou avant, Mélenchon tentera de tirer son épingle du jeu et la proposition de l'#UPR continuera d'être maintenue dans l'ignorance des citoyens.

Oui, le chemin est bardé d’embûches mais possible...
A condition que le pays ne soit pas verrouillé par Macron dans une dictature intégrée dans les consciences comme étant devenue la normalité.
Macron y travail, il n'est pas virologue, mais la perversion de la République c'est sa spécialité.

Alors, apprenons à refuser d’obéir aux consignes absurdes dont le seul but est l’aliénation.
Soyons tous et toutes les garants du respect mutuel, du soutient mutuel, de la solidarité mutuel dans l'exercice de la liberté.
Et Macron partira.
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07-05-2020 La chimie pharmaceutique

Le soins est à 90% un retour à l'équilibre psychosomatique dans lequel le rapport du soignant au soigné est fondamental.

Qu'on se le dise

Cet apport de l'ethnopsychiatrie contemporaine est absolument oblitéré des consciences et des pratiques médicales car il est un obstacle à la politique d'instrumentalisation des gens. "Tout bien portant est un malade qui s'ignore". Ce slogan du Dr Knock le visionnaire, est celui de l'industrie pharmaceutique et de la médecine usuelle....

C'est pourquoi les soins exclusivement chimiques sont très souvent inefficaces et dangereux. Ils s'adressent à un symptôme en parfaite dissonance avec ses causes fondatrices (ce point est un débat de médecins....)

La plupart des molécules mises sur le marché se justifient, par des effets de rentabilités au moyen d'un conditionnement des populations. Le soin, qui se réduit à l'extinction du symptôme n'est qu'un artifice publicitaire. Mais comme les gens ne pratiquent que le soin chimique et ne connaissent que ça, ils ne se rendent pas compte qu'ils font l'objet d'un conditionnement à la maladie et aux soins.

En ce moment, un médecin renommé dont le nom m'échappe à publié une étude sur l'efficacité de la majorité des médicaments. Il y a trouvé beaucoup d'inefficacité, de nocivité et implicitement, de stratégies de marchés...
Pour avoir étudier l'efficacité des médicaments, ce médecin se voit menacé sérieusement d'interdiction d'exercice de la médecine...

L'herboristerie est toute entière tournée vers l'efficacité thérapeutique, vers le soin et vers le patient dans la globalité de sa situation.
L'industrie pharmaceutique quant à elle, s'adresse à des clients. Elle est une monstrueuse perversion de l'herboristerie, car elle est exclusivement motivée par le profit financier.

En toutes choses, la simplicité est le bon chemin. Collaborer avec la nature, cultiver l'harmonie est le contraire de l'industrie pharmaceutique.

Sans les plantes, l'industrie pharmaceutique ne pourrait pas exister. Alors protégeons les et réclamons collectivement par la loi le développement de l'herboristerie.

EPILOGUE:
N'est-ce pas simplement le droit des entreprises à la libre concurrence?
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07-05-2020 Les faits sont là, et alors...

"Macron est méchant, il ne pense qu'à l'argent."
C'est vrai. Mais c'est comme ça !
Ce slogan répété à l'infini dans la media-sphère virtuelle exprime l'impuissance de la population.

Mais un président gentil qui ne pense qu'aux gens. N'existe que dans l'imaginaire populaire. Il y a longtemps que le président n'est qu'un écran.

Macron par exemple est incapable de réflexion, il n'a pas la moindre dérision de lui même, ni le moindre trait d'humour. Cet homme est le candidat idéal pour exécuter les instructions qu'il reçoit de façon servile et qu'il met en oeuvre automatiquement avec une perversité redoutable. Ses discours sonnent faux, ils sont paradoxaux et mensongers quand ils ne sont pas inconsistant. Mais c'est sans importance. La foule n'a aucun sens critique.

A qui obéit-il ?
Une chose est certaine, et c'est la seule chose qui compte il n'obéit pas aux français. C'est suffisant pour lui imposer de partir. Par la foule dans la rue puisque l'opposition le protège jusqu'à laisser ces forbans s'auto-amnistier. C'est une preuve absolue de la fascisation de la société macronisée. Ça tout le monde (ici) le sait.

Heureusement, le fascisme a une fin. Il est soluble dans la démocratie.

Dénoncer les faits à répétition, ne mène à rien si on ne cherche pas les principes qui mènent au fait que l'on dénonce...
Mais par temps de dictature fasciste, remonter aux principes à partir des faits est un exercice des plus redoutés.

En observant les faits de façon pragmatique. On est oblige d'admettre que la fonction gouvernementale ne consiste pas à protéger la population en cultivant la citoyenneté. Mais à faire respecter la paix sociale à n'importe quel prix pour protéger les intérêts financiers.

Ce fait est particulièrement avéré sous la présidence Macron. Les paradoxes, les contradictions les passes-droits et la corruption, les conflits d'intérêt et les complicités sont les outils indispensables à cette sorte de politique rétrograde.
On comprend bien la-dedans à la fois le motif d'un régime de dictature et la conséquence d'une politique fasciste.

Pour la réussite de cette politique toutes les compromissions contre la "vérité" (...) sont exploitées.
La question est de savoir comment réparer la République et restaurer la démocratie..

Dénoncer les faits à répétition c'est manifester son impuissance. Mais ce qui est certain, tout particulièrement s'agissant du peuple de France, son impuissance aussi a une fin...
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07-05-2020 Message aux entreprises. 

Le confinement est fait pour détruire les auto-entrepreneurs les micro-entreprises les petites et quelques moyennes entreprises.
Pourquoi?
Grâce à cette destruction il se crée de la demande qui donne de la valeur à la monnaie qui nen a plus.

La pandémie n'est qu'un prétexte à l’échelle de l'économie libérale mondialisée donc à l'échelle mondiale. Ni plus ni moins pour générer le confinement universel.

Sur le plan plan virologique la pandémie et une idiotie.
Sur le plan philosophique, elle est une fantaisie politique qui signifie la fin du principe de rétention qui la gouverne....
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08-05=2020 Etat des lieux

Je pense qu'il est temps d'observer la question de la pandémie avec un peu de sérieux. Si le virus existe bel et bien il n'est pas si féroce qu'on le laisse entendre. Les chiffres de l'Insee qui comptent les morts sont éloquents à ce sujet.

Si le virus existe bel et bien, la pandémie quant à elle est politique et médiatique.

Le choix de traiter le virus avec le confinement est loin d'être le meilleur choix sur le plan de l’infectiologie. Sur ce point les spécialistes sont unanimes.
Par contre ce choix s'explique à merveille par la question économique à l'échelle planétaire.
Je m'explique:

L'économie libérale, fort de son succès indéniable, a construit la mondialité. C'est un vase clos qui met un terme à son élan.
L'économie libérale ne peut pas se déployer en vase clos car en vase clos il ne peut pas y avoir de croissance. En effet, en vase clos il n'y a plus de source de croissance substantielle car, il n'y a plus rien de neuf à conquérir. Or la croissance financière est la condition de la version libérale de l'économie.

Puisque la valeur de la monnaie c'est la quantification de la demande, pour créer de la demande en vase clos il faut briser le tissu de production petit et moyen.

En construisant le confinement généralisé, la version libérale de l'économie dans un monde clos qui ne lui permet plus de s'épanouir s'offre un sursis. comme tous systèmes complexes, le système global de l'économie libérale résiste à sa propre extinction naturelle.

Donner un sursis à l'économie libérale, voilà le motif essentiel de cette pandémie politique et médiatique dont je fais l'hypothèse quelle fut planifiée de longue date par les puissances financières qui commandent au politiques. Je précise que ce n'est pas un complot c'est un état de fait.

Diriger c'est prévoir et les maîtres de la finance planétaire (car la finance est planétaire ce n'est pas un complot c'est une nature des choses), ont prévu depuis longtemps déjà la chute de la valeur de la monnaie. Tout cela est logique.

Sur le plan philosophique, la situation est on ne peut plus limpide:
Le paradigme qui sous-tend ces politiques de la prédation s'appelle "le principe de rétention". Ce principe commande les consciences les politiques les cultures et les économies. Il arrive à son terme.
Nous entrons dans une période de crise transitoire vers le nouveau paradigme qui s'appelle "le principe de partage". Ce principe se traduira en économie par une version non libéral, dont la nature de la croissance ne consistera plus à accumuler de la puissance financière car dans la mondialité, la puissance financière est vouée à l'échec, elle est sans objet.

Prosaïquement, sur la question de la nocivité du virus, il est fou de donner crédit sans conditions aux politiciens pour qu'ils traitent de médecine d'épidémie et de virologie.
Enfin quoi, en cas de maux de tête, il ne viendrait à l'idée de personne d'aller consulter un politicien

Si le virus vous inquiète, et c'est naturel, ce sont auprès des virologues qu'il convient de se renseigner. Surtout auprès de ceux que les pouvoirs publics au service de la finance, cherchent à diaboliser.
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08-05-2020 SOLIDARITE

La proposition de la taxe Jean Valjan est lancée par Vincent Lindon dans son magistral réquisitoire pour la paix sociale par la justice sociale. Mais qui va la payer?

L'idée part d'un bon sentiment. Mais il faut raison garder. Les processus qui font payer la classe moyenne et les plus pauvres pour les encore plus pauvres doivent être enrayés et non amplifiés.

La chasse aux revenus indécents de 800€ à la seconde, en passant par l'ISF, les fraudes fiscales, le CICE par exemple, et je ne parle pas de l'Union européenne, suffisent largement à couvrir le besoin de toute la population en terme de revenus décents.

On appelle ça la solidarité. Elle est comprise dans la Fraternité qui figure dans la fameuse devise de la République française....

La solidarité ne doit pas et ne peut pas exister seulement l'intérieur d'un groupe social. Celui des travailleurs dont le discours du 1er mai de Macron a fait l'éloge.
À l’échelle nationale, la solidarité s'exerce précisément dans les relations d'entraide qui existent entre tous les groupes sociaux.

Ne voir la solidarité que dans un seul groupe social, en l'occurrence celui des travailleurs, c'est ne voir d'une manière obsédante et aveugle que la capacité des travailleurs à enrichir les riches comme quelque chose qui va de soi. C'est ne voir la société française qu'en termes de clivage où le groupe sociale constitué des travailleurs et des plus pauvres est au service du groupe social constitué des plus riches.

C'est la solidarité entre les groupes sociaux qui précisément forge une nation. Mais il est vrai que c'est précisément la Nation que Macron s'ingénie à détruire par tous les bouts.
"...parce que c'est notre projet...."

Il faut parfois se méfier des bons sentiments aux conséquences contraires au bien qui les initie. Trop souvent. Ils ne sont que le fruit du conditionnement et de l'aliénation que les gens comme Macron distillent..
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09-05-2020 FIN de l’épidémie

Le moment des bilans se précise.
L'information émanant du gouvernement est incohérent (confinement), hypocrite (interdiction de la chloroquine pour le public seulement),  ou fantaisiste (la porte parole de Macron...).
La liste devra être mise à jour, elle sera longue.

Cette semaine on apprend par exemple que des centaines de tonnes de masques sont en cours d'incinération. L'affaire est d'une incomparable gravité. Etc...etc....

Les politiques et les médias ne conservent plus la moindre crédibilité, sauf à excuser l’inexcusable.

Lorsque les citoyens délèguent l'information aux médias, ils reçoivent de la propagande.
Lorsque les citoyens délèguent le pilotage du pays aux politiques, ils reçoivent la trahison, le mensonge, la corruption, les conflits d'intérêts...
Tout le monde a compris l'instrumentalisation de la pandémie par le gouvernement.

Il reste que pour comprendre le traitement politique de la pandémie, on s'adresse,  à l'intelligence des gens; et pour comprendre l'épidémie on s'adresse aux médecins. Pas aux politiques.

En conséquence, pour ce qui concerne la maladie, tout le monde a déduit qu'il faut chercher des réponses particulièrement auprès dès médecins que le pouvoir politique cherche à diaboliser.

Sur la question de l’épidémie, tous les spécialistes s'accordent sur les points suivants:

1/ Une épidémie virale se développe, culmine et s’éteint en 70 à 90 jours. Nul ne sait pourquoi.
Un vaccin ne serait  pas immunisant. (Propos recueillis auprès de spécialistes de la virologie)

2/ Quelque soit le taux de confinement, l'évolution de l'épidémie dans une population est invariante.

Il ressort que l'hypothèse selon laquelle le gouvernement s'adosse à la pandémie pour accélérer la confiscation des libertés est légitime.

En ce qui concerne l'impacte statistique de la maladie.:
3/  Pour tous les mois identiques depuis 2015, la quantité d'actes de décès est similaire -Etude basée sur Insee.
Ce qui devrait être significatif de l’épidémie devrait se trouver non pas dans la quantité de décès mais dans la distribution des décès.
Si l'étude est authentifiée, l'ajout hypothétique de mortalité lié au Coronavirus est inconsistant.

Le fait est que quelque soit la politique de confinement, partout dans le monde la pandémie touche à sa fin. (Voir article joint)

Ce qui me semble important aujourd'hui:

1} LA CONFISCATION DES LIBERTÉS NE SE JUSTIFIE PLUS.
Pas plus que ne se justifie aujourd'hui la conservation de l'état d'urgence décrété par Macron dans l'État de droit commun.

2} INTERDICTION PAR DÉCRET DE RENDRE CE VACCIN OBLIGATOIRE.
Ce vaccin très controversé est très probablement inutile voir nocif, sur le plan sanitaire. Il y aura certainement des jurisprudences de part le monde pour justifier son retrait.

https://www.endcoronavirus.org/countries
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10-05-2020  Lettre ouverte aux intellos-groupis

Je regrette de constater que le partage de mes articles publiés sur mon mur est refusé par vos modérateurs. Je refuse de croire que c'est à cause du contenu. Mais chacun à bien heureusement le droit de faire sa règle chez soi....

Si c'est la règle chez "vous", permettez-moi chez -moi de vous faire part ici de mon étonnement, car enfin le débat d'idée n'est-il pas au coeur de votre proposition?

Sauf à faire de votre groupe le réceptacle exclusif des idolâtres de Michel Onfray, et je peux comprendre que ce soit justifié, il serait plus juste pour honorer sa contribution de philosophe, de permettre à la pensée de circuler pour s'élaborer.

Rendre la pensée possible et rendre possible sa circulation, c'est là une clef fondamentale de la réparation de la démocratie en notre civilisation "décadente"...
C'est aussi le fondement des "Universités Populaires" de Michel Onfray au succès indéniable.

Alors de quoi votre censure de mes textes en partage est-elle le nom?
Je vous laisse réfléchir là-dessus...
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10-05-2020  LE PREMIER QUI DIT LA VÉRITÉ

L'endoctrinement de la pensée unique par la pensée unique et pour la pensée unique, cet endoctrinement dont la presse se fait un devoir contre tout éthique, cet endoctrinement qui se forge dans l'esprit de tous et de chacun par la peur la menace et la propagande, n'est autre que la mise en œuvre d'un régime fasciste qui a commencé avec l'arrivée de Macron aux affaires par la transformation de la démocratie en dictature.
La pandémie a offert à la macronie l'occasion d'accélérer cette transformation de la politique et des esprits vers le fascisme normalisé.

Il ne faut pas perdre de vue que la transformation de la démocratie en dictature qui conduit au régime fasciste a été initié de façon purement systémique, sous la pression de l'Union européenne c'est-à-dire de l'Allemagne.

Soyons bien conscient que le régime fasciste ne fait l'objet de strictement aucun complot. Il est simplement la conséquence naturelle et logique d'une gouvernance qui s'obstine à appliquer des lois et des règles contre les besoins et les désirs d'une population.
Pour appliquer des lois et des règles que la population n'a pas choisi, il n'existe pas d'autre solution que l'autorité, c'est-à-dire la dictature. Et c'est tout naturellement que le régime politique devient fasciste et inscrit de fait, par la normalité que cultive la propagande, la nécessité d'un régime d'autorité dans les consciences.

Dans une gouvernance par la dictature, le régime fasciste et le seul régime garant de la paix publique.
l'Union européenne qui prétend se dresser contre les guerres est profondément destructrice des libertés et des équilibres économiques industrielles et sociaux à l'intérieur des nations. "Qui en France ne condamne pas l'Union Européenne protège son serviteur c'est-à-dire protège Macron".

Maintenant que le moment est venu de faire les comptes de la politique macronienne et de la politique de l'Union européenne, l'ennemi numéro 1 de l'UE et donc de la macronie à la fois ignoré du public et réduit au silence dans les médias, est mis en danger.

Aujourd'hui où tout le monde sait que l'Union européenne bat de l'aile, abattre le parti du #FREXIT par tous les moyens et une priorité absolue des européistes; pas seulement de la macronie...mais de tout le sérail politique y compris de l'opposition au parlement qui s'est toujours abstenu au sein du parlement, de poser les actes que la constitution rend possible pour faire obstacle concrètement à la politique de Macron.

Ne trouvant aucun argument à dénoncer sur la question des propositions politiques et économiques dont la cohérence et l'incontestable robustesse font redouter aux hommes politiques de débattre avec François Asselineau, il ne reste que les coups bas, la traîtrise et la diffamation calomnieuse pour tenter d'abattre l'#UPR.

 A cause de la chute imminente de l'UE, il est plus important que jamais de tenter de ruiner la réputation du seul homme qui fut censuré de tous les médias. Qui fut prédictif des événements économiques et politiques sans la moindre faille depuis 13 ans, et qui en cas de chute de l'Union européenne fera une ombre colossale à tous les prétendants au "trône" de France.

Je propose ici aux uns et aux autres de prendre connaissance des événements internes de l'UPR. Les journaux (le figaro et libération) qui ont toujours refusé d'interviewer Asselineau, qui se sont toujours interdit de faire connaître l'UPR au grand public et de prononcer le mot FREXIT, ont cette fois çi tartiné leur colonnes d'une longue diatribe dégradante et infamante sur la personne du Président de l' UPR.

Que chacun prenne connaissance de cette attaque, car elle est au cœur de la gronde populaire contre la macronie. Et que chacun qui le désire soit juge de la méthode de diffamation mise en oeuvre contre François Asselineau au prétexte qu'il est politiquement irréprochable.

ÉPILOGUE.
Au moment où l'Union européenne est sur la sellette. Au moment où les nations qui la composent vont lui demander des comptes, comme la population va demander des comptes à Macron, les européistes veulent se faire frexitistes.

 Quoi de plus naturel que de tout faire pour écarter de la concurrence le seul homme politique qui a dit la vérité depuis 13 ans sans jamais se tromper et a toujours fait preuve d'une éthique exemplaire dans l'exercice de la mission qu'il s'est donné.
Pas pour lui, il ne poursuit pas sa gloriole personnelle. Il se bat pour l'autre, pour le peuple. je mets ici quiconque au défi de démontrer le contraire.

Depuis la position censurée où les médias l'ont cantonné, il le fait en déployant un effort pédagogique considérable et nourricier

La compréhension du système, la circulation des idées, le débat que les médias lui interdisent, ne sont-ce pas là le ferment incontournable de l'idée même de démocratie, alors que les autres, tous les autres se contentent de pérorer en cultivant plus ou moins la propagande du moment, avec quelques arrangements en fonction de leurs ambitions personnelles et de leurs places sur l'échiquier.

Asselineau est le seul homme politique qui n'a aucune stratégie particulière si ce n'est celle de la transmission de la vérité par l'information sourcée et vérifiée, par le raisonnement fondé, et par sa confiance dans l'intelligence des gens.
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11-05-2020 SOUTIEN PUBLIC À Mr ASSELINEAU

En cette fin de pandémie qui a mis au grand jour l'incompétence de l'UE, alors que la "gronde" populaire contre le gouvernement bas son plein, l'#UPR, le champion du #FREXIT, est confronté à une attaque interne. De cette attaque il peut résulter un affaiblissement de l'UPR, ou une extinction de ce mouvement si #Asselineau devait le quitter. Ce sont à l'évidence les deux objectifs de l'attaque.

Mais aussi, de cette attaque interne, L'UPR peut en sortir renforcé. Si la presse s'empare de cette affaire, beaucoup de gens prendraient alors connaissance de la proposition politique économique et sociale de l'UPR, alors que cette même presse se borne à maintenir l'UPR dans un interdit absolu de publicité. Le mot "FREXIT" lui-même, est devenu un mot tabou, interdit dans les rédactions.
Si la presse s'empare de l’événement attendons-nous à ce qu'elle cultive la salissure. Car l'UPR n'est autre que l'ennemie nº1 de la Macronie...

Ayant consulté quelques vidéos sur Youtube où des membres de L'UPR confessent leur attaque sur la base du soupçon et de la trahison, je ne saurais me soustraire au devoir que je me fais, de leur répondre à tous en même temps une bonne fois pour toute.

Ici, le ton doctoral est employé, là c'est le ton plaintif qui accuse de tout et de rien, tout en s'excusant de le faire, ailleurs on revendique le droit de juger ses pairs, c'est à dire de dicter la loi... Stop.....!
Trop c'est trop.

Tous ces efforts médiatiques et narcissiques pour tenter de donner substance à la suspicion sur des considérations qui n'ont rien à voir avec le combat de l'UPR, ne s'explique pas par le souci de protéger les intérêts du mouvement mais par le souci de le détruire.

L'énergie déployée dans toutes les directions est une tentative de ruiner la réputation d'Asselineau qui incarne l'UPR. Sur le plan politique ils n'ont rien à se mettre sous la dent contre lui. Vouloir débarquer Asselineau revient à vouloir abattre l'UPR.

Pour servir la mission de l'UPR, on n'entend que Asselineau. Il est le seul à aller au charbon. Ceux qui ourdissent leur plan machiavélique contre lui, oeuvrent dans l'ombre. Ils ne sont motivés que par l'utilisation de l'UPR à leur propre promotion, mais pas au sein de l'UPR. Vous verrez, l'avenir me donnera raison.

La perversité de l'attaque est monstrueuse de traîtrise et de confusion, autant que dégradante pour ceux qui la perpétue. Leur objectif est clair. Il s'agit pour eux de tout mettre en oeuvre pour détruire l'UPR. À cette fin la préméditation de longue date est évidente. Et tout le monde sait que s'il parviennent à éliminer Asselineau de son propre mouvement, l'UPR sera terminée et le FREXIT, le vrai, avec.
On n'a jamais vu ni entendu ces gens alors qu'ils font la preuve de leur compétence en "opportunisme diffamatoire". À part ça, ils représentent quoi?
Qui voudrait suivre des gens qui ne sortent de leur trou que pour tenter de détruire un homme qui leur a fait confiance ?

Les gens suivent Asselineau pour sa probité, pour la logique et l'intelligence de son argumentaire à chaque fois que je le fais connaître.
Et vous qui voulez prendre sa place, qu'avez vous à vendre?
Je vous propose ici d'aller militer chez LREM par exemple, vos méthodes sont les leurs. Ce ne sont pas celle de l'UPR et encore moins celle d'Asselineau.

ÉPILOGUE:
J'ai à coeur de soutenir le seul combat politique crédible.

Mr Asselineau est exemplaire de pédagogie sur la chose politique et exemplaire en terme du respect des gens. Il est le seul homme politique qui donne les moyens aux gens de penser, de comprendre par eux-mêmes. Il est donc le seul dans le paysage politique, depuis longtemps à travailler à réparer le fondement de la démocratie.

Il n'y a pas de démocratie sans circulation des idées, sans débats. C'est pourquoi Asselineau est attaqué de l'intérieur et boycotté de l’extérieur.

Je me réjouis de constater la qualité de ceux et celles qui le soutiennent à chaque occasion. Il existe très probablement une immense majorité d'adhérents et de sympathisants qui ne le lâcheront pas. Et je suis persuadé que le mouvement sortira renforcé de cette épreuve.
Merci de votre soutien.

Ps) Pour info, je suis un quidam, un haricot anonyme dans une boite de cassoulet, qui n'aspire pas à devenir saucisse...
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14-05-2020 Raison Garder

C'est pour "raison garder" qu'un pouvoir doit s'appuyer sur la démocratie. Celle des membres de l'#UPR rendra raison à François #Asselineau qui traverse une dissidence déraisonnable au sein de l'UPR.(...)
Et c'est bien parce que la raison est perdue que Macron défait la démocratie par le mensonge, la propagande et la culture de la peur.

Dans ces deux cas, à l'échelle du parti comme à l'échelle de la nation, la déraison arrive quand la démocratie recule.

L'immense majorité des virologues infectiologues médecins, épidémiologistes et autres spécialistes de la chose médicale, s'accordent sur plusieurs points:
1/ L'épisode covid n'est pas assez virulent pour mériter le statut de pandémie.

2/ En cas d'épidémie (ou de pandémie, selon... ) le confinement et la plus mauvaise idée qui soit.

3/ Le seul traitement qui a fait ses preuves en cas d'infection, c'est le protocole Raoult. Alors il n'est pas raisonnable que les autorités sanitaires menacent les médecins qui prescrivent l'hydroxychloroquine et l'azithromycine, pendant que le gouvernement et l'armée font des stocks à leur usage.

4/ Il n'est pas raisonnable de refuser le traitement au personnes âgées. Il est criminel de l'avoir ordonné.

5/ Le covid vie sa vie de virus. Naissance apogée au bout de quelques semaines et extinction. C'est le même cycle pour tous les êtres vivants et pour toutes les civilisations; c'est juste une question de l’échelle du temps...

6/ Le seul virus qui a pu être éradiquée par la vaccination c'est la variole. Le covid, nous renseigne le Pr Raoult, n'est pas immunisant.

7/ Et d'une façon générale, au sujet de bien des choses, il n'est pas raisonnable que le gouvernement mente à la population.

Il n'est pas raisonnable, en démocratie, que la politique s'impose à l'envers des connaissances scientifiques.
Il n'est pas raisonnable, en démocratie, que la connaissance de la situation dans l'esprit des gens soit le fruit de la propagande (matraquage insensé) au lieu d'être celui du débat public (le Forum).

À l'évidence, la macronie a quitté la démocratie. Mais comme l'idée de démocratie résiste dans l'esprit des gens, Macron n'a pas d'autres moyens que de prolonger le plus possible la culture de la peur, de l'inquiétude, d'insinuer le doute et de pratiquer la séduction stérile dans un processus d'auto-justification de la terreur qui est toujours molle quand on s'y habitue. Macron compte là-dessus.

Car enfin être obligé de montrer patte blanche pour sortir de chez soi et respirer, avec les pouvoirs publics qui sanctionnent à tour de bras au lieu d'être solidaire dans l'épreuve.... C'est un choix politique, la terreur.

Accepter sans broncher l'incohérence et le paradoxe des politiques de confinement puis de déconfinement, c'est appuyer le pouvoir politique sur sa capacité à produire de l'aliénation.

La thèse qui s'impose d'elle même: est:
"Le covid est un instrument de guerre contre les démocraties".

Vous verrez, en Macronie, quand "y'a plus" de virus "y'en à encore" et pour longtemps. Mais c'est sans compter avec la démocratie.

Elle n'existe plus dans l'exercice du pouvoir mais elle n'est pas pour autant un concept utopique. Elle existe dans toutes ses dimensions dans l'esprit des gens. Elle est une référence elle est un phare elle est un guide, elle est un objet de réflexion et de prospective pour l'avenir individuel et collectif.

Il n'y a que la propagande qui lui fait écran. C'est pourquoi la liberté et L'INDÉPENDANCE de la presse c'est le nerf de la démocratie. ....

C'est la dessus que devrait porter une opposition digne de ce nom sauf si elle craint le débat public. Ce qui est hélas le cas en particulier vis-à-vis de Mr Asselineau.

Les raisons que la presse invoque pour boycotter l'#UPR doivent être connues du grand public car elles font partie de la stratégie de la macronie pour cultiver la rigueur d'une dictature aliénante et qui ne dit pas son nom.
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16-05-2020 Opération Covid

Avec le coronavirus, nous assistons à une opération d'aliénation des populations d’envergure mondiale.

A l'échelle individuelle il existera toujours un esprit critique sur la situation. Mais une collection d'esprits critiques qui tirent à hue et à dia c'est précisément l'effet de la propagande. Un effet qui interdit exactement de faire en sorte que les peuples, les foules puissent trouver un consensus pour s'organiser et s'opposer collectivement.

Dans une telle situation, toutes les valeurs sont à géométrie variable. La solidarité, la morale, l'éthique, le bien, le mal. Tout devient possible et toutes les répressions nécessaires pour les uns, détestables pour les autres divisent la population.

C'est la raison pour laquelle, pour résister nul ne doit déléguer son jugement à autrui. Observer par soi-même, se fier à son expérience et à son intelligence pour arriver à vivre LIBRE dans cette nouvelle jungle des symboles et des valeurs.

En ce qui me concerne, je considère la pandémie comme étant une opération purement politique de communication à l'échelle mondiale pour des raisons purement et simplement mercantiles mais une opération dotée de moyens considérables.

Cette opération "covid19" n'a qu'un seul motif "Faire survivre l'économie libérale basée sur la croissance financière". C'est pourquoi cette opération est conçue pour relancer la demande à l'échelle mondiale, recréant ainsi des systèmes et des circuits de production et de distribution.

La création de demande n'est autre que la création d'un moteur de croissance pour la finance.
En effet, la croissance de la finance (j'insiste...) est indispensable au mode "libéral" de l'économie. Parce-que dans ce mode là, la finance au prise avec le vase clos de la mondialité est profondément déficitaire. Elle ne peut plus croître.

"La valeur de la monnaie c'est la quantification de la demande".

En vertu de ce principe, la seule façon de créer de la demande dans la mondialité c'est de produire le déficit de l'offre. C'est le sens du confinement tout à fait contre-productif du point de vue épidémiologique. A la clé la mise en place de la maîtrise des populations telle que Hannah Arendt l'a décrit avec justesse dans son étude magistrale du nazisme être indispensable au succès de la survie de l'économie libérale.

Au milieu de cette intentionnalité mondiale (contrôle du profit et des populations), en terme de similitude économique, la méthode Macron très prolixe en contradictions paradoxes et absurdités est à la fois la plus aboutie est la plus transparente.

L'opération "Covid19" est conçu pour créer de nouveaux espaces de profits et installer joyeusement dans toutes les nations et sans la moindre résistance, le contrôle instantané des populations. Ce contrôle des populations en est aujourd'hui au stade embryonnaire.

Suite au prochain épisode.
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17-05-2020 Réponse publique à l'excellent article de Charlie

Excellent article dont la lecture concise et claire fait le bilan lucide de la situation de la France.
Cet article met l'accent sur les insuffisances de ce gouvernement que personne n'ignore.

Peut-être que dans un prochain article nous toucherons du doigt une analyse même peu exhaustive des raisons qui ont poussé la France à se mettre dans une telle situation.
Quel intérêt poursuivit-elle en sacrifiant sa souveraineté à la domination allemande sous couvert d'Union Européenne.

La comparaison avec la guerre peut sans difficulté s'étendre à la "realpolitik". Sous couvert d'UE, en se mettant à la disposition des autorités allemandes, la France de Maastricht a perdu la guerre.
L'Allemagne l'a perdu jadis avec les canons, 50 ans plus tard elle l'a gagné avec l'UE.

Que se passe-t-il lorsqu'un pays gagne une guerre?
Il impose sa monnaie ses valeurs et son cadastre au pays vaincus. N'est-ce pas ainsi aujourd'hui ?

Et puis un peu plus tard on peut s'attendre à un article qui expose des solutions, qui fait la liste des propositions politiques qui existent dans ce pays et dont la propagande macroniste interdit la diffusion sur les ondes. Car enfin s'il existe une solution elle est politique et elle existe potentiellement soit à l'intérieur d'un mouvement soit dans une reconstruction de la démocratie par le débat et le forum qui la fera surgir.

C'est très bien d'écrire un article qui dresse un tableau juste et nécessaire de la situation, qui compare cette situation à la dernière guerre contre l'Allemagne. Mais il ne suffit pas de pérorer et de scander sur tous les tons "comment en sommes-nous arrivés là". Parce qu'on on le sait comment nous en sommes arrivés là.

Nous en sommes arrivés là en favorisant une politique qui obéit aux Allemands plutôt que d'obéir au peuple de France.
Pour changer les choses et redonner à la France sa grandeur, le chemin est tout tracé. Aujourd'hui c'est l'#UPR. ... C'est en effet la seule proposition crédible de #FREXIT.

Et puis on peut s'attendre aussi à ce qu'un média courageux organise des débats entre les diverses mouvances politiques de France. Et si à la suite de ces débats ce n'est pas l'UPR qui est choisis par les Français, il en sortira obligatoirement quelque chose de meilleur encore. C'est ça la démocratie. La démocratie c'est la circulation des idées et l'organisation du forum.

La balle est dans le camp des médias. À eux de faire circuler l'offre politique en toute transparence et en toute indépendance pour que la démocratie se reconstitue et donne à la France un nouveau départ dans la souveraineté l'indépendance et la dignité.
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17-05-2020 Réponse à FI: "vous faite de la propagande pour Asselineau".

Sortons de la dialectique frontale des idéologies. De l'opposition aveugle des idées il ne peux sortir que la discorde et le conflit. À cette dialectique fermée la confrontation publique et éclairés des visions et analyses est préférable.

La proposition politique de FI contient, sauf erreur de ma part, une composante de dialogue et d'intelligence des difficultés que traversent la France et les français. Comme vous, à FI, et comme dans bien d'autres sensibilités politiques y compris l'UPR, tous nous sommes attachés à la démocratie. Et nous constatons que le macronisme l'a brisé. Or, la démocratie qu'est-ce que c'est ?
C'est le dialogue, la confrontation des idées la mise en forum et en débat devant le peuple des arguments des uns et des autres.
De cela le peuple s'informe comprends et décide. N'est-ce pas ce que veut Monsieur Mélenchon ? N'est-ce pas ce que veut Monsieur Asselineau? Et tous les autres leaders politiques, dans leur immense majorité ne le veulent t-il pas aussi ?
Bien sur, je considère que la sortie de l'Union européenne est la voie royale pour sortir la France de l'ornière. Voilà pourquoi j'évoque l'UPR, existe-il une autre voie? Il faut s'expliquer là-dessus devant les Français.

Alors non je ne suis pas là pour faire la promotion de qui que ce soit mais pour dire aux uns et aux autres que la démocratie ne peut pas exister si elle est captive d'une idéologie si probe soit-elle.

Voilà Madame, ce que je fais ici sur le fil de discussion de France Insoumise. Et ce que je fais ici je le fais aussi ailleurs. Le retour à la démocratie au partage à la concorde et au respect des gens passent par le dialogue et le forum libre entre les leaders politiques, devant le peuple.
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17-05-2020 La position de D. Trump, commentaire

Le président Trump a tout à fait raison de nous faire savoir que la mondialisation, c'est terminé.

En effet, la mondialisation en tant que dynamique est terminée puisque l'économie libérale fixe la règle des échanges basée sur la croissance, à la totalité du monde.
C'est précisément quand la croissance doit se perpétuer en vase clos c'est-à-dire dans la mondialité, que la composante libérale de l'économie est rendu caduc.
Dans un vase clos, dans quelle direction l'élan du libéralisme économique peut-il se déployer ?
Il n'y en a pas sauf à inventer un nouvel espace de croissance en créant de la demande par la destruction des structures de production et de distribution.
À cette fin, le confinement généralisé adossé à l'idée de pandémie permet de justifier la destruction de la production locale, et la mise sous contrôle drastique des populations.

Au lieu de chercher à survivre à la finitude naturel de la composante libérale de l'économie, l'économie devra maintenant se tourner vers un autre paradigme pour fixer les échanges.

Le paradigme de l'économie libérale obéi au principe de rétention. C'est donc par le principe de partage que l'économie devra dès maintenant organiser les échanges.

Cette transformation de l'économie est aussi la transformation des politiques et des consciences.
C'est en cela que la pandémie est avant tout un symptôme à l'échelle mondiale d'une transformation ontologique de l'humain.

Cette transformation peut échouer et aboutir à une aliénation profonde des peuples assorti d'une dépopulation massive par les politiques de vaccination si des gens comme Donald Trump ne sont ni compris ni suivi.
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19-05-2020 La ballade de Macron

Emmanuel Macron pratique le mensonge, le paradoxe, le flou, la désinformation, le nihilisme.
Cette tactique de communication politique, qui s'appuie sur une propagande massive est éprouvée dans les régimes fascistes. Elle consiste à empêcher la constitution de l'unité nationale du peuple.

À sa disposition, Macron peut compter sur les médias entièrement dévoués à sa cause. Les médias sont plus que jamais un outil de propagande d'une puissance inégalée. N'oublions pas que c'est grâce au matraquage médiatique qu'il fut élu.

Les médias distillent la peur, l'inquiétude, le doute, la méfiance nécessaire à la mise en œuvre de la politique macroniste. Macron pratique la séduction, la tromperie, le mépris, l'arrogance,
Pour servir sa cause, les médias cultivent aussi la censure des autres propositions politiques.

Si bien que dans la société civile, quand plus personne ne sait ce qui est vrai ce qui est faux, ce qui est bien et ce qui est mal, chacun se méfie de chacun. Alors la constitution d'une voie fédératrice est rendue impossible au peuple.

Macron a mis en oeuvre une politique perverse basée sur la privation de tout et de n'importe quoi. Les notions de service public, de solidarité nationale, de peuple, de nation, de pays, de responsabilités régaliennes, d'honneur pour son statut, de justice, sont autant de leviers à pervertir pour arriver à ses fins.

La loi Avia, dernier exemple en date procède de la privatisation du droit. Défaire la solidarité nationale en privatisant tout ce qui est possible, privatiser le service public, défaire le découpage communales et régionales, annuler la France en tant que nation indépendante, constituent son projet politique.
Pour Macron, l'UE ce n'est pas une fin en soi c'est un alibi pour travailler en cachette à servir sa vision folle de l'économie financière planétaire.

Pour Macron la France n'existe pas, la nation n'existe pas, le peuple n'existe pas. Ce sont des concepts de l'ancien monde. Et si l'on va au bout de sa vision il n'existe aucun monde pour Macron. Ce qu'il appel "le monde", c'est son absence. C'est ce nihilisme absolu qui gouverne Macron et dans lequel depuis sa fonction de dirigeant, il entraîne les dirigés.

Et voilà Macron qui, pour tenter de redorer son blason de redonner substance à son projet aux yeux des peuples, en appelle au Général de Gaulle
(NDA) "Sa présence au poste de président de la France déshonore de Gaulle. Sa politique et ses péroraisons aussi mensongères que grandiloquentes, insultent sa mémoire."

Tout cela peut apparaître comme une folie aux yeux des dirigés, mais c'est une bénédiction aux yeux des dirigeants.

C'est juste que, la démocratie c'est quand les dirigés deviennent leur propre dirigeant. Mais tant que le principe de rétention commandera les consciences les politiques et les économies, la démocratie ne sera pas possible.

Ce qui rend possible les gens comme Macron à la tête des dirigés, vient de ce que les dirigés comme les dirigeants sont gouvernés par le paradigme de "rétention" comme la seule conception du bien (sécurité de tous et de chacun).
C'est pourquoi les dirigeants de tous acabits ne peuvent ne doivent et ne savent que chercher le profit financier, en vertu de quoi ceux qui ne le cherchent pas seront écrasés.
Bill Gates par exemple fait partie de ces dirigeants qui ne conçoivent de survivre qu'en cultivant la rétention à la hauteur de leurs moyens qui aujourd'hui sont considérables. Macron ne fait pas exception à la règle.

Pour éviter l'avènement au pouvoir suprême de personnages comme Macron, champion du principe de rétention au moment où la puissance du pays est à son apogée, le Général de Gaulle, visionnaire, a instauré la constitution de la 5e République. Elle contient en effet tous les garde-fous nécessaires pour éviter le délabrement de la République comme Macron s'y emploi.

Ceci fut rendu possible parce-que depuis 20 ans de places en places,
 des réformes constitutionnelles ont eu lieu en catimini sans que personne n'y trouve à redire....

Aujourd'hui le projet qui me semble le plus raisonnable et le plus réalisable c'est de remettre en état la 5e République. On peut commencer par exemple par rétablir le septennat car en 5 ans il est impossible de construire un projet politique qui ne soit pas complètement dévoyé par le souci électorale, et la nécessité du profit financier immédiat.
Et puis il est indispensable toujours pour commencer, de rétablir l'ordre du scrutin législatif avant le scrutin universel.

La 5e République contient une composante de régulation qu'on appelle l'opposition.
Conscient de la solidité des principes de la 5e République, le général de Gaulle s'est soumis au référendum.
Il est évident que Macron ne s'y soumettra pas. Sa tentative d'en appeler à l'image du général de Gaulle pour valider sa politique contraire à l'intérêt de la France est infantile et pathétique.
L'erreur de Macron est de croire que les Français n'ont pas de mémoire.

Le bien que Macron offre malgré lui à la France, sera d'obliger les Français à comprendre le prodige par lequel ils en sont arrivés à valider par les urnes la destruction de leur propre pays et de leur propre culture. Parce-que, ce que Macron a oublié c'est que la France, le pays, c'est avant tout le peuple.

Un jour peut-être, quand le forum aura lieu dans les médias, quand les débats se déploieront sur la place publique avec la meilleure honnêteté intellectuelle qui soit, les gens commenceront à comprendre ce que veut dire la rétention comme principe, et quel est le statut exact du concept de partage.

Pour que la rétention cède la place au partage dans l'économie, la question du partage est ontologique. C'est-à-dire: "qu'est-ce que c'est être humain?"
Dès lors, cette interrogation prend une portée universelle comme le covid-19, ce qui montre que poser les bonnes questions est à la portée des médias. Il surgira alors, dans les esprits, à l'échelle de l'ontologie, la notion de l'autre. C'est-à-dire "l'autre de l'homme" (il ne s'agit pas du voisin).
.....
En fin d'analyse, la clef pour passer du paradigme de "rétention" au paradigme du "partage" tient en une seule politique simple et naturelle, à mettre en œuvre : "Le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes sans conditions ni restrictions"
C'est tout.

Il s'ensuivra dans les esprits, dans les politiques, et dans les économies, tout le changement nécessaire et indispensable au devenir harmonieux des civilisations.

"Tu vois ce que je veux dire ?.... Après je t'explique"... Eli Kakou...!
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20-05-2020 LES JOURS HEUREUX ?

Monsieur Mélenchon et Monsieur Arnaud Montebourg se rencontrent autour du thème "préparation de la mise en place des jours heureux"....

De quoi s'agit-il si ce n'est d'une opération de communication du même acabit que celle dont Monsieur Macron est coutumier.

La mise en place des "jours heureux"?
Mais qu'est-ce que c'est que ce charabia ?
Il y a bien d'autres choses à faire. On peut toujours évoquer la question des jours heureux au coin du feu entre bons amis accompagné de quelques cacahuètes, ou des noix de cajou si on aime, les noix de pécan aussi mais c'est un peu lourd.
Parler des jours heureux en plein milieu d'une opération de politique fasciste ne fait rêver personne. Traiter aujourd'hui dans les circonstances actuelles "des jours heureux", ce n'est qu'une opération de séduction indigne d'une opposition politique sérieuse.

Les seules questions aujourd'hui qui doivent préoccuper les hommes politiques, en particulier ceux de l'opposition c'est la restauration de la démocratie et de la souveraineté de ce pays.

 Jusqu'à maintenant, soutenir Mélenchon l'opposant qui se veut le leader de l'opposition qui ne s'oppose à rien, relève de la foi ! Tant mieux si ça marche, mais jusqu'à preuve du contraire les miracles ne font pas de politique.

Moi, je préfère être rationnel et je constate que la constitution met au service de l'opposition tout un arsenal de procédures pour bloquer un exécutif qui s'écarte radicalement de la démocratie et de la volonté du peuple dont l'opposition n'a cure.

Pour Mélenchon, qui se veut être le champion de la démocratie, dans l'état actuel de la situation, le peuple semble n'être qu' un levier sur lequel s'appuyer le moment venu. Le moment sera venu lorsque Macron tombera de lui-même. Alors en bon tacticien, il est naturel de se poser la question: Pourquoi prendre le risque de l'aider à tomber ?

Mélenchon aura alors beau jeu pour se présenter comme le champion, le sauveur de la démocratie. Et nous serons alors très surpris de constater que la sacro-sainte règle électorale , "séduction élection trahison" (Onfray) sera respectée à la lettre.

En attendant la chute de Macron, pour la précipiter ou pour l'empêcher de nuire, Mélenchon au parlement, ne prends pas le moindre risque concret de s'opposer. Ceci est un fait. Il n'est pas inutile de rappeler ce point autant que nécessaire...

Puisque Mélenchon se veut être le champion de la démocratie (ça va finir par se savoir...) et du respect des gens, il serait bienvenu qu'il accepta le dialogue avec Monsieur Asselineau au cours d'un débat public.

 Les idées de Monsieur Mélenchon sont excellentes à tous égards à ceci près qu'il n'est pas cohérent de défendre ces idées là sans prendre la mesure des conditions qui empêcheront de les réaliser.
En effet, qui soutient l'Union Européenne défend le macronisme. Qui osera dire le contraire ?

Une chose est sûre. Toutes critiques de la politique actuelle sous la domination du macronisme ne peut pas faire l'économie d'une discussion publique à propos de l'Union Européenne.

C'est de cette discussion dont le peuple a besoin pour se forger une opinion afin de préparer les esprits aux prochaines élections.
C'est la raison pour laquelle j'insiste lourdement sur l'organisation d'un débat entre Monsieur Mélenchon et Monsieur Asselineau de l'UPR au sujet de l'UE...

La faisabilité du programme de France Insoumise dans le cadre des traités avec l'Union européenne en serait démocratiquement éclairé.

C'est ça le respect des gens. Ce respect exige le débat démocratique.
"C'est vrai ou c'est pas vrai"?

..."Tu vois l'truc ? Après je t'explique...".
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22-05-2020 GÉNÉRALITÉ

Le socle de la démocratie c'est la justice médiatique. Je constate que tous les partis politiques évitent soigneusement de militer pour ce combat là tout en prétendant oeuvrer pour la démocratie.

Et, circonstance aggravante aucuns partis politiques ne comprennent que le devenir de nos civilisations passe par la reconnaissance du droit des femmes à disposer d'elles-mêmes sans conditions ni réserves.
On me fait savoir que c'est très exagéré de parler de la sorte. Pourquoi ? J'attends encore de le savoir.

En réfutant "l'autre de l'homme", ils interdisent l'émergence du principe de partage comme fondement directeur des consciences et des civilisations.
La transformation du paradigme de rétention en paradigme de partage constitue la révolution ontologique indispensable pour construire l'humanité dans les civilisations. Si le principe de l'autre n'existe pas à l'échelle de l'ontologie comment voulez-vous que dans la rétention émerge le principe de partage à partir de rien ?

Sans la démocratie fondée sur le dialogue avec le peuple, sans la révolution ontologique dans les esprits par la reconnaissance du féminin comme nature avant d'être citoyenne, quand les uns ou les autres prendront les rênes du pouvoir, ils reproduiront tout ce qu'exige le principe de rétention dans tous les domaines de la politique de la culture et de l'économie.

Ce, jusqu'à ce que les civilisations s'éteignent où comprennent la nécessaire révolution des consciences pour faire prendre un nouveau départ à l'humanité, en dépit de quoi, nos acquis nos libertés nos forces vives et notre spiritualité notre éthique déclineront jusqu'à l'extinction.

"Le nerf de la guerre", pour contrer cette fatalité sur laquelle tout le monde ou presque s'accordent, je le répète, c'est la justice médiatique.
C'est la restauration du débat public sérieux sur la question par exemple de: "qu'est-ce que ça veut dire être un humain"?
Cette question initie la révolution ontologique. Il n'existe pas d'autre révolution que celle des esprits.
Pour choisir le bon bulletin de vote et obliger les candidats à parler vrai, rien de tel qu'un peuple éclairé. la justice médiatique et le droit des femmes sont les deux piliers du devenir de l'humanité.

J'affirme aujourd'hui que l'humain est toujours dans l'enfance et s'est doté de moyens considérables pour faire valoir son égocentrisme (ego ontologique, càd inhérent à sa nature), et sa toute-puissance.
La question ontologique: "que veut dire être un humain?", doit être posée dans le débat public pour que les consciences évoluent et fassent passer les projets politiques et économiques du paradigme de rétention au paradigme de partage. Une génération seulement serait suffisante.

"Ontologie", est un gros mot, c'est-à-dire un mot inhabituel. Mais il est indispensable de se familiariser avec ce mot pour désigner le cœur fondamental du problème de l'autodestruction auquel toutes les civilisations sont confrontés aujourd'hui avec la crainte récurrente de la reproduction et la sensation d'une impuissance profonde.
Il est vital de réfléchir la dessus.

La philosophie nous dit "pourquoi", ensuite et seulement la politique nous dira "comment". Aujourd'hui ces questions sont inversées; elles ne mènent nulle part. Remettons les à l'endroit.


La cécité
Tout ce qui se passe dans le monde des hommes se construit d'abord dans l'esprit des hommes.

Dénoncer les faits ne mène à rien si on cultive les principes qui donnent naissance inexorablement aux faits que l'on dénonce.
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22-05-2020 Union Surprises
Après avoir échoué dans tous les domaines durant la "pandémie politique", les accords Macron-Merkel, tentent de redorer le blason de l'UE.

La première chose que l'on constate c'est le déficit arrogant de démocratie de ce couple qui considère que leur plan pour ne pas dire leur magouille, devra s'imposer directement ou indirectement à tous les autres pays de l'UE. Et à coup sûr par le truchement des structures financières, les pays de l'UE devront en payer le prix.

Les GOPE (grandes orientations des politiques européennes) sont par nature contraires à l'intérêt des peuples. Ce qui oblige les gouvernements à adopter une politique de dictature. Pas seulement en France mais dans tous les pays de l'Union Européenne. La dictature en lieu et place de la démocratie, c'est le premier cadeau Allemand aux pays de l'UE.

L'euro n'est pas une monnaie unique, c'est juste le nouveau nom de la monnaie Allemande qui s'impose dans les pays de l'UE. En effet, les échanges commerciaux sont encadrés par le protocole TARGET. C'est simplement une taxe sur les échanges commerciaux. En résumé, les pays à faible monnaie sont fortement taxé, et les pays à forte monnaie sont faiblement taxé.

De façon comptable, le protocole TARGET consiste à s'emparer du différentiel des monnaies non pas au profit du pouvoir d'achat des peuples mais du rendement financier.
Ce protocole qui prive les nations du profit d'une dévaluation par exemple, construit partout la pauvreté et le dumping social.
Ceci est le second cadeau des Allemands aux pays qui composent l'Union Européenne.

l'Union Européenne et une considérable escroquerie des peuples au profit des intérêts allemands et de l'oligarchie financière.

Il est temps de sortir de l'Union Européenne comme l'ont fait les Anglais. Car le troisième cadeau de l'Allemagne aux pays de l'Union Européenne ce sera le régime fasciste.

Je précise que le fascisme n'est pas un gros mot. Le fascisme n'est pas l’hitlérisme. Le fascisme c'est le régime politique qui advient après la dictature, quand il est nécessaire de diriger par la terreur la peur et la menace.

En terme de consolidation des souverainetés, en terme de progrès politique, social, moral, culturel, et économique, il n'y a rien attendre de l'Union Européenne.
Si je me trompe qu'on me le fasse savoir.
Que vous partagiez cette analyse ou non, il n'est pas normal ni démocratique que le parti du Frexit c'est-à-dire l'#UPR soit totalement inexistant du débat public.
Si je me trompe, et ce serait une bonne chose, il n'y a que le débat public qui pourra l'établir.
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23-05-2020 L'égarement

Question:
Comment se fait-il que les gens aient élu un homme dont on sait qu' il triche qu'il ment qu'il manipule etc?
En auto-réponse à cette question, une alternative a surgi : "Soit Macron est très fort"; "soit le peuple est con"?

Interpréter les faits en ces termes relève d'un égarement qui consiste attribuer à la foule les propriétés d'un individu. Dans ce cas toute la question est de savoir lequel choisir ?
Quel individu porterait en lui la vision d'un monde conforme à tout le monde?
Même le messie en est incapable. Et si l'on observe le monde des Bisounours, même chez eux ça n'existe pas.

Alors si cela existait, cela serait un Macron numéro 2. Qu'il soit de droite de gauche ou de Jupiter...
Par contre la démocratie en tant qu'idée, elle, elle existe. Elle est le contraire de l'homme providentiel. L'homme providentiel ça n'existe pas mais le peuple lui il existe.

Aujourd'hui l'opinion populaire, est la légitimité de l'exercice du pouvoir quel qu'il soit..
Ce point est une avancée universelle sur toute la planète et nous ne pouvons que nous en réjouir.

Afin d'arriver au pouvoir en dépit du peuple, il est indispensable de comprendre et de maîtriser les techniques de manipulations de l'opinion.

La question de savoir "pourquoi" vouloir arriver au pouvoir en dépit du peuple est une question philosophique déjà esquissée et commentée sur mon mur... (Articulation ontologique...de Rétention... Partage...qui implique le Droit des femmes... Etc)

L'opinion ça se forge. C'est une technique éprouvée que Macron maîtrise à la perfection. Combinée avec le mode de scrutin anti-blancs, il a construit les conditions de son élection.

Pour orienter l'opinion, il suffit de ne donner au peuple, que le choix entre le pire et le moins pire. Et de moins pire en moins pire, on arrive inéluctablement au pire.
Puis, en interdisant par la censure l'expression des autres propositions politiques, on transforme la presse en organe de propagande qui lui interdit de nourrir la pensée des gens.

Pour ce faire, il suffit de rendre la censure légale....
L'exemple incontournable est la proposition politique de l'#UPR ignorée de la scène publique depuis 13 ans, mais qui en dépit de la censure s'installe lentement mais sûrement dans le paysage politique des Français. Un concept comme #FREXIT par exemple est interdit d'évocation alors même que c'est un courant de penser qui étant loin d'être négligeable, devrait faire l'objet un traitement par la presse.

En général, rendre légale l'inadmissible, l'injuste, l'incohérent, l'absurde etc, est une pratique courante que le peuple par sagesse par discipline par sens du collectif respecte à la lettre. Il suffit par exemple de voir "des gens" se promener à tort et à travers avec un masque de tissus sur le nez. Comme s'il était possible d'arrêter des mouches avec un grillage. Et c'est d'autant plus stupide qu'il n'y a quasiment pas de mouche.

Quand la loi dit ce qui est vrai, l'opinion populaire est sage, elle la respecte. Et elle là respecterai aussi bien sans qu'il soit nécessaire de faire appel à la peur et à la menace. Suivre les injonctions légales est une caractéristique de la foule...

Mais revenons à l'élection de Macron.
En matière d'élection, la foule choisit le moins pire, et pour le reste elle choisit la conformité au bénéfice de l'ordre public.
Dans les faits, l'opinion populaire lucide avec les conditions scélérates de l'élection, a choisit en majorité de ne pas voter. Les blancs et l'abstention ont dépassé les 50%. N'est-ce pas ainsi?
C'est le peuple qui a remporté la majorité pas Macron. La légitimité de Macron n'est pas démocratique elle est seulement médiatique.

Démocratiquement le peuple a dit "Je refuse de jouer la démocratie avec les dés pipés par la communication". Et la loi considéra que Macron fut élu par le peuple....

Il y a là, matière à comprendre que la lucidité et la sagesse qui émanent du peuple est sans défauts. Et le premier combat que nous devrions mener consiste à lui rendre la parole par la restauration du débat public.
Alors le premier combat à mener au sein des partis politiques, au coeur des revendications populaires, est la conquête de la justice médiatique, car la démocratie ne peut et ne doit s'appuyer que sur le peuple.

Un mouvement politique qui prétend s'appuyer sur la démocratie et qui ne mène pas assidûment le combat pour L'INDÉPENDANCE ET LA LIBERTÉ DE LA PRESSE est un leurre.

Après quoi, le quidam a beau jeu de se poser la question : " Soit celui ou celle qui est élu(e) est fort(e); soit les Français sont des cons"!

EPILOGUE:
Message aux Académiciens, dans le cadre de l'amélioration de la langue, un genre neutre serait le bienvenu....
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23-05-2020 Les fossoyeurs

Les Sorros Rothschild Rockefeller Bill Gates et compagnie, sont les fossoyeurs des civilisations humaines. Pourquoi ?
Parce-qu'ils tentent de faire survivre un cadavre qui s'appelle "l'économie libérale". Le mode libéral de l'économie ne peut survivre que par la croissance financière. Mais la croissance financière ne peut pas avoir lieu sans l'exploitation de zones vierges.

Sur une planète fini, le stock de zones vierges (de demandes) est fini aussi. La colonisation puis la décolonisation ont mis un terme à l'exploitation des zones vierges naturelles.
Puis les guerres et autres déstabilisations politiques ont constitué la création de zones vierges (de demandes) artificielles.
Aujourd'hui la carence de zones vierges met gravement en péril le délire de croissance de l'économie libérale.
Alors il est question non plus de créer de la demande en créant des zones vierges mais en diminuant la capacité de production de façon globale.

L'économie libérale a atteint son objectif avec succès, puisque cette économie a réalisé la mondialité. L'économie libérale se trouve donc piégée en vase clos; elle ne peut plus s'épanouir grâce à la conquête de zones vierges (de demandes) et doit s'éteindre.

Mais comme toutes structures complexes, elle résiste à son extinction. La pandémie par exemple qui est politique avant tout et qui a généralisé le confinement sur toute la planète alors que le confinement et contre-productif du point de vue virologique, a permis de fabriquer de la demande mondiale par la destruction calibrée du tissus de production et de distribution local. Cette destruction constitue la création d'une nouvelle zone vierge artificielle planétaire.

Explication :
La perfection de l'outil de production, progrès aidant, le commerce des biens et des services devient de moins en moins rentable. C'est alors le commerce de l'argent, c'est-à-dire la finance qui prend le relais de la rentabilité jusqu'à dépasser la rentabilité marchande.

Il faut garder à l'esprit que la valeur de la monnaie c'est la quantification de la demande. Alors quand le commerce de l'argent (la finance) l'emporte sur le commerce des biens et des services, la valeur de la monnaie s’étiole.
Si l'écart de valeur des monnaies entre le commerce de l'argent et le commerce des biens et des services est trop important, c'est la valeur de la monnaie qui s'effondre pour tout le monde. C'est pourquoi du point de vue de l'économie libérale nous sommes arrivés à une période où pour qu'elle survive, il est question de laisser se détruire une partie de l'humanité pour créer de la demande.

Nous verrons alors fleurir de la demande de toute sortes à tous les niveaux. L'écologisme dans le paradigme de rétention, exploité par l'économie libérale est déjà largement détourné de son fondement. Mais ce n'est que le début...

Tout ceci bien sûr est un système d'hypothèse qui n'engage que moi. Mais il est sûr que la mondialité est un vase clos dans lequel il n'y a plus plus assez de demande pour nourrir les ambitions de croissance financière de l'économie libérale qui possède entre ses mains sans conscience tous les leviers de la planète.

L'économie libérale dérive du principe de rétention. Elle refuse de céder sa place à une forme d'économie qui dérivera du principe de partage. Ce faisant, l'économie libérale, le dos au mur, n'aura d'autres solutions que de dévorer sans scrupules ce qu'elle a construit.

EPILOGUE:
La crainte de l'avenir ne doit jamais conditionner le présent. Personne ne connaît l'avenir. Le meilleur avenir possible pour notre civilisation passe par la prise de conscience des gens sur la question suivante : "Qu'est-ce que ça veut dire être un humain ?"

Selon que cette question est posée ou non, selon qu'elle semble importante ou non, l'avenir à l’échelle des civilisations se dessinera entre le pire et le meilleur.
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23-05-2020 La pulsion de Loi

On ne coupe pas la tête des gens. Ça ne se fait pas. Cette tendance à l'endroit de nos dirigeants fait florès aussi bien dans les réseaux sociaux que dans les échanges entre anonymes qui à l'occasion des promenades autorisés par temps d'auto-incarceration échanges quelques mots sur la situation.

Avoir envie de meurtre est une pulsion singulièrement humaine. Mais, les hommes forgent la civilisation précisément pour s'échapper de leur pulsion. Et aucun être humain n'échappe à la civilisation au point que la civilisation constitue l'environnement naturel de chaque être humain.
Il se trouve que le cœur de toutes les civilisations est un corpus de lois qui tend à augmenter la distance qui sépare l'être de sa pulsion.

Quand on est civilisé on ne sacrifie pas les vivants aux fantasmes du lendemain. Le lendemain n'est qu'une propriété de l'imaginaire, ce n'est pas une réalité tangible et ne pourra jamais l'être. Demain?  Ça n'existe pas. Personne n'a jamais vu "demain"... L'existence est la seule réalité tangible qui soit. Elle ne se joue ni au passé ni au futur, elle ne se joue qu'au présent ici et maintenant.

Penser outrageusement la civilisation pour le futur, met la civilisation en péril, car c'est une façon de construire un alibi imaginaire propice au sacrifice du présent. Dans cette disposition, on ne crée plus des lois pour partager l'effort de tous ici et maintenant, mais pour préparer l'accroissement du profit des uns par le travail des autres plus tard partout.
Alors la colère gronde et la civilisation recule.

À l'échelle de la civilisation, la loi est faite pour dégager la justice de la pulsion et non pour l'y inscrire.
Quand on est civilisé, la loi respecte la vie, elle ne tue pas les gens. Elle leur donne la vie et la liberté d'en jouir, ou se contente de restreindre la liberté quand l'exercice de cette liberté ne respecte pas la vie.

Ceux qui œuvrent à exploiter la vie des gens par la loi et les privent de la liberté d'en jouir devront rendre des comptes par la loi et non par la pulsion. (Nda...Bravo la civilisation...)

Ceux qui de leur autorité pervertissent l'institution de la justice pour échapper à la loi en concevant des lois qui les affranchis de la loi, annihilent le droit. (Nda "C'est tordu le macronisme hein...!")

La loi est faite par le peuple pour tous les membres de la communauté sans distinctions. Ceux qui veulent se soustraire à la loi en faisant usage de leurs privilèges trahissent la loi la justice et le peuple.
Alors il ne reste au peuple que la pulsion pour rendre justice. Ceux là conduisent le peuple à l'envers des progrès de la civilisation.

Ceux là, rendent la justice impuissante et partiale. Autrement dit, ils détruisent la justice dans son fondement en n'en laissant survivre qu'une parodie pour donner le change et la mettre à leur service. Et la justice recule.

C'est pourquoi de façon crescendo ici et là, nous voyons la pulsion prendre le pas sur l'idée de justice. L'appel au meurtre, à la décapitation des dirigeants ne fait plus l'objet d'aucunes retenues ni d'aucunes critiques.
Ceci est significatif du délabrement considérable des institutions de la République après les coups de boutoir répétés des Chirac Sarkozy Hollande et Macron au service de l'Union Européenne.

Ce délabrement est tel que pour tenir les foules, le régime devra se convertir au fascisme. Le fascisme, après une phase de règne par la peur et la menace, consiste d'une certaine façon à inscrire la pulsion de mort et de haine comme étant "le bon" droit commun dans l'esprit des citoyens.

Il est grand temps que les intellectuels de ce pays les sociologues, les analystes, les économistes, les philosophes se concertent publiquement pour comprendre et livrer à la population un ensemble de débats sérieux sur les sources profondes de cette situation.
Pour donner vie au forum, condition sinequanone de la démocratie, tout dépend de la presse.

Dire que la presse, aujourd'hui au 3e millénaire, époque où l'idée de démocratie occupe l'esprit de tous les peuples, joue le premier rôle dans l'avènement de la civilisation ou sa décadence, est un pas naturel que je franchi allègrement et sans la moindre retenue.
Le devenir de nos civilisations engage en priorité, avant la responsabilité politique, la responsabilité de la presse.

Dire que la civilisation est en péril ce n'est pas du folklore. C'est ce qui fait ou défait notre humanité.
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24-05-2020 Parce-que c'est notre projet.

Scandait-il avec des hurlements paroxystiques pour se faire élire. Il est clair qu'Emmanuel Macron ne parlait pas de la France...

Le niveau de la valeur du Mark Allemand attribué de l'euro a été choisi dans le but de fabriquer de façon délibérée ce qu'on appelle la dette des états.
Ce procédé est une arme de guerre employée par l'Allemagne pour conquérir l'Europe.
Voyons ce qu'est LE PROJET ALLEMAND que Macron soutien aveuglément.

(EXTRAIT)
Wolfgang Schäuble le ministre allemand des Finances interviewé par ZF en juillet 2011"... a appelé à sanctionner les pays -à problème- de l'union monétaire, non pas avec leur exclusion, mais avec la perte de souveraineté au profit de l'UE.
Dans l'interview, Schäuble plaide pour le blocage du droit de vote des États qui ne respectent pas le pacte d'instabilité et de croissance, une proposition qui avait été avancée en 2010 par la chancelière Angela Merkel.
..........
LA DETTE: EXPLICATION.
Ce qu'on appelle la dette d'état ne signifie pas un peuple qui travaille mal ou une administration déficitaire, il s'agit simplement du niveau de la monnaie nationale qui est plus élevé que la capacité du pays à produire des richesses par rapport au voisin.

Par exemple dire: "une brosse à cheveux ou une tomate à moins de valeur qu'un microprocesseur ou une Mercedes"
N'est en fin d'analyse, qu'une affaire de point de vue arbitraire qui fait convention. En terme d'énergie déployée un microprocesseur demande plus de travail, en terme d'impérieuse nécessité la valeur d'une tomate et incommensurable.

La hiérarchisation des valeurs est le problème le plus important auquel l'humanité est confronté. Le mode de pensée qui consiste à hiérarchiser de façon arbitraire est la source de toutes les autres difficultés de l'humanité. En évoluant, l'humanité arrivera à le mettre sur la table.

Une monnaie trop forte pour un pays, c'est une charge trop lourde sur le dos d'un âne. Il finira par s'effondrer.
C'est ça la thèse de l'Allemagne pour conquérir l'Europe que Hitler a foiré. Parce que la conquête de l'Europe n'a jamais disparue et ne disparaîtra jamais de la culture et de l'ambition allemande.

Après 40 ans de tromperie, le #FREXIT est l'indispensable mesure de sauvegarde de la France souveraine. Sauf bien sûr pour ceux et celles qui déterminent que l'avenir de la France et des Français c'est de ne plus exister en tant que nation et en tant que peuple.
Un référendum sur cette question me semble des plus salutaire.
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24-05-2020 PROPAGANDE: La dette ou la faillite

Gérard Darmanin le ministre du budget, nous fait savoir que le gouvernement a préféré s'endetter plutôt que d'emmener le pays à la faillite.
Une telle déclaration est d'une absurdité absolue.

Je ne sais plus comment expliquer à qui veut le comprendre que le concept de faillite ne concerne que les entreprises ou les ménages mais absolument pas un pays.
Pour une entreprise ou un ménage, la monnaie est une quantité de liberté disponible.
Pour une nation, le statut de la monnaie n'a rien à voir avec de la liberté disponible. En effet, par définition la nation est souveraine. Pour une nation la monnaie n'est rien d'autre que l'unité de mesure de l'échange. Pour une nation la valeur de cette unité c'est la quantité de monnaie qui correspond à la quantité de  demandes.

Le confinement généralisé ce n'est pas une mesure de santé publique. C'est une mesure de politique sociale qui poursuit le but de fabriquer les conditions légitime de la contrainte sur les peuples; c'est aussi une mesure de politique économique qui poursuit le but de créer du manque et donc de la demande de deux sortes.
1/ De la demande de biens et de services puisque ils ont été interrompue pendant 2 mois (Il est question de poursuivre cette interruption le plus longtemps possible).

2/ De la demande d'emprunt puisque depuis 1973 la nation n'est plus souveraine. Ce sont les banques privées qui ont hérité de la souveraineté monétaire de la France, précisément dans le but d'inventer le concept d'endettement pour une nation. En effet depuis ce moment au lieu de frapper sa monnaie elle-même selon les fluctuations de la demande, elle emprunte aux banque privée la quantité de monnaie dont elle a besoin pour fluidifier les échanges et répondre aux demandes. Cet emprunt génère des intérêts au profit des banques. Cette dépense supplémentaire sous forme d'intérêts ne devrait pas exister dans une nation souveraine.

Tout ce qui permet l'exploitation financière d'une nation est constitutif de la politique de Macron et de ses prédécesseurs. La dette et l'emprunt sont les voies royales du rendement financier des populations.
La France n'est pas le seul pays au monde à adopter une stratégie de création de demande et d'emprunts. La pandémie politique est internationale parce-que la question de la valeur de la monnaie en chute libre concerne l'économie mondiale.

Sur le plan économique une dette de la nation n'a strictement aucun sens. Ce serait comme utiliser un thermomètre pour mesurer des poids.
Sur le plan comptable, une dette représente un déficit pour une entreprise, et pour une nation elle représente une unité de mesure des échanges financiers, c'est-à-dire du vent.
D'autant plus du vent qu'il est question aujourd'hui, grâce au confinement universel de créer de la demande universelle pour redonner de la valeur à la monnaie.

Parler de dette et de faillite pour une nation c'est une escroquerie morale et intellectuelle vis-à-vis du peuple. Faire croire au gens que le gouvernement sauve la France en choisissant l'emprunt plutôt que la faillite n'est que l'exploitation mercantile de la confiance que les gens ont placé dans leur gouvernement.

En vérité le gouvernement n'a rien à choisir. Il s'est juste contenté de mettre en place les conditions de l'emprunt. Le projet du gouvernement consiste à capter la richesse produite par le travail des gens au profit de la finance.
Maintenant que la justification morale est inscrite dans l'esprit des gens, les banques privés vont pouvoir se servir avec l'approbation des gens, car ils ont été convaincu par la propagande qu'il est nécessaire de travailler plus et de payer plus d'impôts.

On peut aussi traduire ce dispositif en disant que l'emprunt est une façon de détourner le revenu fiscal de la nation vers les banques privées par le truchement des intérêts... que nous allons commencer à rembourser sans jamais nous arrêter. En effet le capital emprunté est si gigantesque, qu'il sera sanctuarisé ce qui permettra de maintenir le remboursement des intérêts ad vitam æternam.
Ce n'est pas une blague c'est la vérité.

Voilà ce qu'il faut comprendre de la politique du gouvernement dans la déclaration de Gérard Darmanin.
En conclusion le gouvernement triche, ment, abuse de la crédulité des gens et de leur confiance pour mieux les exploiter avec leur consentement.

Avant de finir, je répète ceci car c'est très important de le comprendre : "Le concept de dette ne peut pas s'appliquer nation souveraine."
Que faire? Se tourner vers les députés ? Vers l'opposition de Mélenchon ? Vers les médias ?
Je crois raisonnablement qu'un problème de politique se règle avec de la politique. La première chose à faire c'est reconquérir la souveraineté de la France.
Puis de reconstruire la démocratie avec en plus quelque chose comme le RIC. Il contient la capacité de déposer l'élu s'il n'honore pas le contrat pour lequel il a été plébiscité.
Il faudra aussi garantir la démocratie. Cela passe par garantir la liberté et l'indépendance de la presse par la loi.
Ces quelques points fondamentaux sont inscrits dans le programme de l'#UPR depuis 13 ans.

L'UPR n'est pas seulement le parti du FREXIT.  Le FREXIT n'est que la condition de la souveraineté de la France. Une fois acquise, instruit par l'expérience désastreuse de l'Union européenne tout pourra être reconstruit avec des garde-fous.
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24-05-2020 Oxymore: La pulsion de l'État.

On ne peut pas reprocher aux gens d'être humains civilisés et respectueux de l'ordre public quand ils suivent les injonctions absurdes et contradictoires du gouvernement.
Que d'inconséquences de l’État les citoyens de ce pays, qu'ils soient guadeloupéen ou martiniquais ou « métropoliains » sont-ils amenés à éponger sans broncher.

À l'échelle de l'individu, à chaque fois que la pulsion l'emporte sur la réflexion, l'être s'égare.
C'est pour construire la plus grande distance possible entre pulsion et réflexion que les humains font société.

À échelle de la société, la tentation de gouverner les gens avec ses croyances et sa pulsion est encore loin d'être écarté du dispositif politique.

Il y a encore beaucoup de chemin à faire dans ce sens à condition de privilégier la réflexion. Et pour que la réflexion ne soit pas détournée du bien, il faut qu'elle soit publique.

LA PRESSE:
La condition de la réflexion publique c'est la presse. C'est pourquoi la liberté de la presse, le droit des journalistes, la sécurité et la protection de l'exercice du journalisme, doivent être garantis par la loi et les citoyens c'est-à-dire doit être inscrit(es) dans la constitution.

Une entreprise de presse ou de boulangerie devrait être traitée de la même façon par la loi.
Si une entreprise dont le produit est le pain, sélectionne sa clientèle où dégrade dangereusement et volontairement la qualité du pain, le propriétaire prendra ses responsabilités devant un tribunal. L'équivalence de traitement pour une entreprise de presse dont le produit est l'information, n'est pas concevable aujourd'hui. Pourquoi?

LA DEMOCRATIE:
Le regard de chaque individus qui entrent dans la composition de la multitude et une garantie sans équivalent de la plus profonde probité possible pour administrer tout un peuple.
C'est ça la démocratie.

Les politiciens de tous bords, parce que tous dans leur coin construisent leur idée de la démocratie, s'égarent et nous égarent.
Alors oui, il faut bien commencer par un bout pour la construire cette démocratie. Le bout par lequel démêler le problème ce n'est pas la doctrine de tel ou tel parti. C'est la justice médiatique, parce que le bout par lequel il faut construire la démocratie c'est la population, c'est le peuple par son information clair et par l'organisation du forum public.
Le bout par lequel commencer la construction d'une authentique démocratie est aussi et surtout le témoignage de confiance des partis politiques envers le peuple. Mais il n'existe pas.
Quand il existera, un parti politique mettra en tête de son programme la liberté l'autonomie et la protection constitutionnelle de la presse.

La démocratie et la seule voie contre "la pulsion d'État", vers le respect des gens, la justice la concorde et le partage.
Pour aller vers la démocratie que tout le monde réclame à corps et à cris, la justice médiatique, c'est-à-dire a minima le droit aux médias des analyses alternatives politiques sociales et économiques, est la première marche et il n'y en a pas d'autres. Qui va la franchir?
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25-05-2020 La loi Avia, le cheval de Troie

La casse du droit du travail, la casse des services publiques etc, relèvent d'une politique de privatisation tous azimuts.

La loi Avia ne déroge pas à cette orientation politique. Dissimulé à l'intérieur d'un argumentaire moral de protection contre les fausses informations, elle réalise un pas de plus vers la privatisation du droit.

Dans un état de droit, il appartient naturellement à un juge d'établir le mal fondé de la diffusion d'une information.
Mais sous la menace de sanctions exorbitantes, la loi Avia oblige les services de réseaux virtuels à se substituer au Juge pour appliquer la censure, alors que cette censure relève de la loi.

Depuis quand une société privée est-elle fondée pour faire la loi publique avec l'approbation de l'État ?

En 2012 Sarkozy voulait faire une loi travail dans laquelle le contrat se situe au-dessus de la loi. Avec Hollande par la suite puis Macron aujourd'hui cette orientation politique est inchangée.

Cette orientation répond simplement aux exigences de l'Union Européenne au lieu de répondre à l'intérêt des Français.
C'est pourquoi il est indispensable de sortir la France de l'Union Européenne.
La seule proposition salvatrice qui va dans le sens de la reconstruction de la souveraineté nationale de l'indépendance et de la démocratie c'est L'#UPR.

Juste une question?
Pourquoi la France est-elle le seul pays de l'Union Européenne où la question de la sortie de l'UE n'est pas publiquement débattue?
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26-05-2020 L'UE: la solidaire masquée

L'ambition des Allemands était, est, et sera la conquête de l'Europe. l'Union Européenne est le cache-sexe de l'Allemagne, ou si vous préférez son "nom de guerre" conquérante.

Pour le moment, l'Allemagne a gagné. Elle occupe le terrain dans tous les pays de l'Union Européenne. La Grece par exemple est totalement supervisée par l'administration allemande. Et ce qui est absolument incroyable c'est que personne ne trouve rien à y redire.

Le voisin est sous tutelle allemande et tout le monde trouve ça normal. Quand la France était sous tutelle allemande les Anglais, les Russes, les Amerloques, les  Belges etc..., ce sont bougés le derche pour se protéger de la tutelle allemande.

Aujourd'hui, au prétexte que l'Allemagne a changé de méthode, tout le monde trouve la tutelle allemande parfaite ?
Quel pays bougera pour la Grèce ?
De quoi la solidarité que la puissance de l'Union Européenne a témoigné à la Grèce est-elle le nom ?

Lorsqu'un pays gagne une guerre il impose sa monnaie son cadastre et son administration au vaincu; n'est-ce pas ainsi pour tous les pays de l'UE? Pour les uns ou les autres ce n'est qu'une question de délai.

En France, la mission de Macron consiste à réaliser le projet Allemand. Qui en doute?

L'Allemagne règne sur l'administration Européenne d'une façon profondément perverse. Il s'agit d'imposer l'absurde restriction monétaire à tous les pays de l'Union européenne à l'aide d'une monnaie beaucoup trop forte, et de déclarer sous forme de magnanimité: "Au lieu de virer les pays incapables de respecter la rigueur, ils devront abandonner leur souveraineté à l'Union Européenne". C'est-à-dire à l'Allemagne.

C'est ce qui se passe pour les Grecs que pas une seule Nation ne soutient car aujourd'hui presque tous les gouvernements vendent leurs nations et leurs peuples aux Allemands contre la volonté des peuples.

Ceci nous montre que la démocratie recule partout dans l'Union Européenne. Et quand la démocratie recule la dictature et le fascisme avancent.

Comment ça marche ?
Il faut imaginer un curseur qui va de la démocratie à la dictature fasciste. Livré à lui-même le pouvoir politique emmène le curseur naturellement vers la dictature fasciste.

Seule la démocratie est une garantie de paix civile et de paix entre les nations car tous les peuples d'où qu'ils soient aspirent à la même harmonie. Quant à l'Union européenne pourvoyeuse de dictatures et de fascisme partout, elle est une garantie de paupérisation, de guerre civile, et l'isolement politique sur le plan international.
(NDA : "Allez-y expliquez-moi où je me trompe ?")

Il est grand temps de restaurer la démocratie de la République Française et de demander aux français ce qu'ils veulent faire de leur Nation.

CHOIX POLITIQUE
Comme je l'ai écrit bien souvent lorsqu'il y a un problème politique le règlement est politique. Alors cherchons dans le panorama politique publique le mouvement le plus propice à restaurer notre démocratie, à donner la parole au peuple et à construire les garde-fous indispensables à la pérennité de la démocratie et au respect de la République.
Donner le pouvoir démocratique au peuple en faisant du RIC une institution de la République sont les arguments fondamentaux de l'#UPR créé par Monsieur #Asselineau il y a 13 ans. La sortie de l'Union Européenne est à la fois la condition et le moyen de restaurer la démocratie. La sortie de l'Union Européenne est une option profondément diabolisée par les médias français. Et par-dessus le marché interdite de débat. À chacun de se faire une opinion sur la presse.

Depuis tout ce temps ce mouvement politique est boudé par la presse. Les pouvoirs publics font tout ce qu'ils peuvent pour tenir la population à l'écart de l'existence même de l'UPR.
Pourquoi ?
Parce-que cette proposition politique consiste précisément à reconstruire la souveraineté et l'indépendance de la France et à rendre la démocratie à son peuple.

Si l'on veut changer les choses il est indispensable de prendre connaissance des propositions qui existent et d'en juger par nous-même. La démocratie ça commence par le droit d'être informé, et si ce droit nous est retiré la démocratie commence par le pouvoir de s'informer. Ce pouvoir est à la disposition de tout un chacun

ADDITIF sur le rôle des principes:
Pourquoi les gouvernements se comportent t-ils ainsi ? Mais parce qu'ils sont gouvernés par le principe de rétention et qu'à l'échelle du pouvoir il n'existe aucune conséquence à leur prise de décision. Par exemple, celui qui est tout puissant, par définition, n'a de comptes à rendre à personne.

La politique, des gouvernements soumis à l'autorité de l'UE, est donc motivée à la fois par l'appât du gain opportuniste, et par une vision autocratique du pouvoir.

Cette vision conduit les dirigeants politiques à mettre les nations et les peuples à la disposition des grands comptes financiers. Tous les dispositifs économiques de l'Union européenne concourent à maximiser le profit issue de l'exploitation des peuples. TARGET et la libre circulation des capitaux sont des dispositifs qui permettent cette exploitation.

Cette politique financière de l'Union Européenne est en parfait accord avec les objectifs de la finance mondiale. Un gouvernement mondial par la finance mondiale est la vision ultime que partage Monsieur Macron avec ses coreligionnaires de l'Union Européenne et des "unions bancaires".
À ce sujet il ne faut pas perdre de vue que ce sont les banques qui frappent la monnaie. De ce fait la souveraineté politique des nations est depuis 1973 abandonnées aux banques privées. Ce sont donc elles qui dictent les politiques aux acteurs politiques, et les désignent.
Or ne sont-ce pas les banques qui plus qu'aucun autre acteur cultivent et amplifient le principe de rétention ?

RETENTION ET DEMOCRATIE
Les consciences soumises au principe de rétention préféreront toujours accumuler quand il n'y a pas d'obstacle pour le faire.

Les gens qui nous gouvernent ne sont confrontés à aucuns obstacles. Ils considèrent la démocratie comme un instrument de prise de pouvoir, alors qu'en vérité elle est un obstacle majeur à l'exercice de leur vision et de leur pouvoir personnel. Il sera très important de prendre conscience de cette "hiérarchie là".

C'est ce point-là qu'il faudra radicalement améliorer par le RIC dans le processus de reconstruction de la démocratie. Pour que la démocratie soit la Démocratie. A cet effet, il n'existe à mon sens d'adéquation, que la proposition de l'#UPR.

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28-05-2020 L'UPR en question.

Il est remarquable de constater que le discours de Monsieur #Asselineau et la trame de son analyse n'ont pas bougé d'un iota depuis 13 ans.
Il est vrai que depuis 40 ans la trame de l'organisation du pouvoir en France, quelle qu'en soit la couleur, n'a pas non plus bougée d'un iota.
Ils n'ont jamais eu que L'Europe l'Europe l'Europe, la croissance de la finance et de la dette comme seul horizon.

Nous sommes obligés de constater que depuis 13 ans tout ce que nous explique Asselineau se réalise.
Son effort depuis 13 ans consiste à éclairer la population sur les questions de l'Union Européenne, de la souveraineté, de la monnaie, de la démocratie, de la politique sociale et culturelle, de la politique extérieure etc.
Il dévoile à tout un chacun le comment du pourquoi.

L'information des citoyens est le seul moyen de construire la Démocratie. C'est pourquoi depuis 13 ans il est interdit d'antenne.
Bourdin par exemple qui fait le buzz dans le poste à déclaré "Je n'inviterais jamais Asselineau...!"

Quand on sait que la proposition de l'UPR par le moyen du #FREXIT est un courant de pensée quasi majoritaire dans ce pays, et que le rôle du journaliste consiste à refléter les courants d'opinion et non de les censurer, on voit bien que Bourdin n'est pas payé pour faire du journalisme mais de la propagande.
Déclaration mise à part, le choix de la propagande à la place du journalisme est vrai pour tous les grands médias.

La presse interdit la prise de connaissance par le public de la proposition et de l'existence même de l'#UPR. Le mot FREXIT est strictement bannis du vocabulaire journalistique. Le mot souveraineté est parfois évoqué sur la forme et de façon anecdotique, jamais sur le fond; alors que les Français se posent ces questions de façon absolument aiguës. C'est pourtant le rôle premier de la presse que de refléter dans ses colonnes tous les courants d'opinion.

Les autres hommes politiques évitent soigneusement la moindre confrontation avec Monsieur Asselineau. Les invitations qu'il leur lance pour débattre avec lui sont ignorés avec mépris, et la presse n'en n'a cure.
Pourquoi?
Parce que en cas de débat public avec Monsieur Asselineau, aucun acteur politique ne pourrait garder sa cohérence sur les grandes questions de souveraineté nationale et leurs conséquences.

On voit bien là-dedans comment le principe de rétention gouverne les tactiques et les stratégies politiques. Le peuple doit rester captif du pouvoir politique. En quoi cette philosophie de la gouvernance et ce refus systématique du débat public relèveraient de la démocratie dont tous les hommes politiques se gaussent ?

Si Monsieur Asselineau est à ce point ignoré par la presse et les hommes politiques, c'est parce que son intention politique est gouverné par le principe de partage.
Que peut-on en comprendre ?

Deux conceptions de la démocratie s'affrontent et sont incompatibles.
La construction politique coutumière du citoyen se fonde sur l'opacité des enjeux et l'ignorance du public.
La construction politique de Monsieur Asselineau se fonde sur le dévoilement des enjeux et la connaissance du public.

Asselineau est le seul homme politique à déployer une pédagogie exhaustive sur les sujets de politique d'économie, sur l'Union Européenne la souveraineté monétaire, l'OTAN etc....
Il expose l'articulation de tout cela et ce que l'on peut en déduire. Il ne cherche pas à convaincre ou à convertir qui que ce soit à quoi que ce soit. Il pose sur la table les faits et il expose la logique qui les articule.
Et jusqu'à preuve du contraire la logique ne fait pas de politique.

Qui est désireux de se faire une idée précise des enjeux aura avantage à écouter le propos de Monsieur Asselineau. Ceci n'est ni de la publicité ni de la propagande. Si je recommande de lire Nietzsche pour éclairer la question de la morale ou si je propose Serge Gainsbourg pour écouter la Marseillaise est-ce que c'est de la propagande ?

Ce qui est très intéressant dans le discours de Monsieur Asselineau, c'est qu'il offre à l'auditeur la possibilité de comprendre et de réfléchir par lui-même à des questions que les élites rendent opaques.

Pourquoi est-il nécessaire de mettre à la portée du commun ce qui appartient à des domaines singuliers?
Mais parce que ceux qui sont en charge d'administrer la politique mentent trichent, trompent les citoyens en jouant sur leur ignorance.

Comment ça marche?
Ce qui fait l'humanité en l'être, c'est le principe de délégation. Lorsque l'on conduit une voiture, on fait confiance à l'ingénieur qui l'a conçu. On lui délègue le soin de fabriquer le véhicule. L'ingénieur quand a lui fera l'effort de faire un véhicule fiable, car s'il ne l'était pas ça se saurait de suite. Le boulanger que vous êtes roule avec la voiture conçu par l'ingénieur et l'ingénieur vous délègue le soin de fabriquer le pain qu'il consomme en toute confiance.

Le principe de délégation qui induit la relation de confiance fait que la société tient debout et qu'il n'est pas nécessaire à chacun de savoir tout faire.

Mais voilà faire société suppose la création d'un acteur supplémentaire, c'est l'administrateur du groupe. Quand le groupe est la société toute entière son administrateur est d'abord le Roi puis l'empereur puis le Président.
On voit là-dedans l'évolution de la légitimité du pouvoir depuis dieu dont son émanation est le Roi, jusqu'au Président qui est l'émanation du peuple. D'une certaine façon, en démocratie c'est le peuple qui a pris la place de dieu dans la « légitimisation » du pouvoir.

Si il est possible d'apprécier la qualité d'un véhicule ou d'une baguette de pain, déléguer à l'homme politique le soin d'administrer la cité c'est lui déléguer la capacité de nous tromper car la relation qui existe entre le peuple le pouvoir ne permet aucun contrôle de la population sur le pouvoir. et quand le pouvoir s'exerce à l'intérieur du paradigme de rétention il s'oriente obligatoirement vers la rétention de l'avoir du pouvoir et du savoir car la rétention en général est le seul principe qui garantit le sentiment de sécurité.

Quand le peuple délègue à l'élu le soins d'administrer la collectivité, cela ne se passe pas comme pour le pain ou la voiture. Le peuple n'a aucun moyen de vérifier le bien-fondé de ce que l'élu produit politiquement. Alors le pouvoir politique se sentira investi de sa propre puissance et il cherchera tout naturellement à contrôler la population. Cette nature là du pouvoir n'est vrai que dans le paradigme de rétention (.... J'insiste)

Il n'est pas nécessaire de comprendre le fonctionnement d'un moteur pour utiliser sa voiture où les secrets de la fabrication du pain pour en apprécier le goût.
En politique il est impossible de savoir ce qui est vrai ce qui est faux, ce qui est fondé et ce qui ne l'est pas. Il est impossible par l'expérience directe de comprendre le fonctionnement de l'économie, de la politique pour au moins la raison que c'est l'action politique qui fonde la pensée collective, source de la norme à laquelle le plus grand nombre se soumet ... Pour faire société. Et faire société à n'importe quel prix et la clef de la survie de tous et de chacun.

C'est pourquoi le RIC, inclus depuis 13 ans dans le programme de l'UPR, est l'instrument qui oblige les acteurs politiques à administrer la cité de façon fiable, c'est-à-dire sous le contrôle permanent de la population.
En démocratie c'est la population qui conduit.

Asselineau est la bête noire des hommes politiques car il dévoile au grand public ce que les autres hommes politiques gardent précieusement pour eux-mêmes. En effet, il est de tradition, rétention oblige, d'appuyer le bien fondé de leur proposition sur l'ignorance du public.
À contrario, Asselineau est le seul homme politique qui appuie la légitimité du pouvoir sur la démocratie issu du choix éclairé de la population.

Existe-t-il une erreur logique dans les analyses de Monsieur #Asselineau?
Existe-t-il des informations fausses à pâtir desquels il appuie ses réflexions ?
Existe t-il ne serait-ce qu'un semblant de langue de bois chez cet homme politique ?
Pour dire la vérité (c'est-à-dire ce qui est exact et logique). Il suffit seulement d'être honnête.

Quand les médias évoquent l'UPR ce n'est pas pour faire connaître son argumentaire politique c'est seulement pour alimenter le soupçon. Cette attitude de la presse à l'égard de l'UPR est là même pour tous les mouvements souverainistes de ce pays.

Se contenter du soupçon du mépris, de la diabolisation, au sujet d'une vision politique qui concerne l'immense majorité de la population et qui est tenue au secret n'est pas propice à la paix publique. La paix publique advient quand les mots par le débat se substituent aux actes dans la rue. La paix publique se consolide quand les idées se confrontent publiquement aux idées.

Les journalistes aliénés à la cause du pouvoir en place, par la censure et la propagande, par la diabolisation le mépris et l'ignorance à l'égard des questions fondamentales qui règnent dans l'espace citoyen, sont les pourvoyeurs du climat social le plus détestable.
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28-05-2020 Regard sur l'écologie

Le problème de la forme de société vers laquelle la démocratie devrait gouverner la politique vient de ce que c'est la forme de société qui gouverne les esprits et qui les "calibre". C'est comme si la graduation du thermomètre variait en fonction de ce qui est mesuré. La graduation du thermomètre dans cette métaphore étant l'état de la conscience.

C'est pourquoi il est impératif de faire surgir la démocratie à la fois par une prise de conscience individuelle et par l'action collective.
In-fine, la prise de conscience individuelle c'est l'identification du paradigme de rétention, c'est-à-dire l'identification d'un moule qui ordonne la pensée. C'est un genre de moule qui transcende tous les autres paradigmes dans le champ de l'ontologie et qui dicte à la conscience que la sécurité vient de l'appropriation et de la conservation de l'avoir du pouvoir et du savoir.

De cela émerge instantanément dans l'ontologie le principe du partage comme alternative à la construction de la sécurité individuelle et collective. Mais c'est une alternative sans substance et qui en toute logique semble erronée. En effet la règle du jeu universelle pour atteindre la sécurité c'est la rétention. A l'intérieur de ce paradigme celui qui enfreint la règle signe son arrêt de mort.
Il semble a priori impossible de sortir de ce cercle infernal de la conceptualité du monde.

Une fois identifié le principe de rétention, il s'agit de comprendre que "l'autre" comme concept (le concept doit exister avant de désigner le voisin) n'existe pas en tant que tel, il n'existe que des échelles de l’Être; l'échelle individuelle et toutes les autres échelles collectives.
Toutes ces échelles sont intriquées les unes par rapport aux autres dans une interdépendance profonde et souvent inconsciente.

De là, il ressort l'idée de l'action collective qui par intrication des échelles, font évoluer, la conceptualité individuelle. Elle se traduit fondamentalement par deux directions.

1/ La direction médiatique.
Elle consiste à rendre possible l'information débarrassée de la propagande. La direction médiatique s'adresse à la foule qui est une des échelles de l’Être. La foule étant démunie de sens critique il est ABSOLUMENT FONDAMENTAL de construire une presse exemplaire du point de vue de l'éthique.

2/ La direction politique.
Après avoir intégré dans les esprit l'évidente distinction de nature du féminin, le droit des femmes ne peut plus être une assimilation de nature à celle de l'homme, mais se cantonné au droit citoyen. sans cette condition, le droit des femmes revient à l'assimilation de la nature du féminin à celle de l'homme, c'est à dire à son annihilation radicale comme genre d'être. Il se dégage de cette distinction l'existence de deux conditions d'être fondamentalement singulières.

Ce point d'ontologie étant acquis, la direction politique de l'action collective consiste à construire formellement "le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes, sans conditions ni restrictions" pour servir collectivement la nature du féminin.

Ce dernier point comme action collective inscrit le concept de "L'AUTRE DE L'HOMME" comme espace contingent. Ce concept émanant de l’avènement du droit des femmes va inscrire de places en places et de façon universelle et radicale à l'échelle de l'humanité, le principe de "Partage" dans la construction de tous nos rapports...
C'est la pleine conscience de ce concept ("l'autre de l'homme") qui amène l'émergence automatique du principe de partage comme alternative au principe de rétention.

Ces deux actions systémiques sont à même de transformer lentement mais sûrement et radicalement le paysage politique et économique.Théoriser permet seulement de comprendre et de donner à comprendre. Mais le monde ne se construit que par des actes collectifs avec ce que l'on a compris.

Ainsi la révolution aujourd'hui ne peut être qu’ontologique.
Elle s'adresse à toutes les échelles de l'être. Elle ne peut exister que dans le dialogue avec soi-même qui deviendra le dialogue entre le pouvoir politique et le peuple. Ce dialogue défini par le principe de partage s'appellera la démocratie.

La démocratie telle qu'elle se conçoit depuis les grecques exige le passage du paradigme de Rétention au paradigme de Partage. Il fallait que l'économie atteigne le stade de la mondialisation pour que l'alternative apparaisse.
Les processus de l'économie libérale qui ont permis cette évolution, doivent être maintenant abandonnés, ils n'ont plus de raison d'être sauf à vouloir survivre contre l'exigence du progrès de l'humanité.

Alors apparaîtra sans même que nous en prenions pleinement conscience une nouvelle formulation de notre société, c'est-à-dire, une nouvelle formulation des rapports que nous entretenons avec nous-même et avec l'autre, c'est à dire avec le monde et avec la nature.

Dans le paradigme de partage émergeant du droit des femmes, avec l'information "propre" et tournée vers la vérité, la question de l'écologie prendra alors tout son sens.

L'écologie nous pousse à comprendre et à intégrer le principe de partage. Mais, il n'a échappé à personne que dans le paradigme de rétention, c'est-à-dire ici et maintenant l'écologie ne peut-être que pervertie. Quand il y a pas les mots, c'est le langage des actes à l'échelle des civilisations qui s'exprime.

Mais au moins même perverti, le concept de l'écologie est né au milieu de "l'enfer" des hommes, ce qui est plutôt prometteur pour l'avenir du monde.
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30-05-2020  La politique de la honte.

En 2017 nous avons assisté à une bascule économique absolument tragique pour les ménages. La capacité d'épargne du salaire médian est devenue inférieure à la croissance moyenne du prix de l'immobilier.
En conséquence, l'épargne consacrée à l'immobilier futur est devenue une assurance radicale pour perdre son capital épargné.

Les lois Macron sur l'immobilier favorisent de manière scandaleuse les gros propriétaires qui se nourrissent de loyers faramineux interdisant aux gens de devenir propriétaire eux-mêmes. Les lois Macron ont rendu les pauvres captifs des riches.

Par la même occasion, Macron fait une excellente opération, car en favorisant le parc immobilier privé il économise de manière drastique sur l'obligation régaliennes de l'Etat d'offrir des logements sociaux à la population.

Pendant que les pauvres perdent leur épargne à cause des taux de rémunération, les plus riches se gavent sur les pauvres à l'aide de l'immobilier qui leur offre des rendements de l'ordre de 30 %.. La-dessus, la ministre a le culot de demander aux pauvres de se saigner encore plus pour les esclavagistes au gouvernement qui protègent les plus riches dans les paradis fiscaux, et les absous de toute solidarité nationale. C'est une honte.

Il serait temps que l'opposition à géométrie variable prenne la direction de la défense du peuple en assumant entre autre chose,  leur responsabilité de blocage au parlement.

De toute façon il est toujours temps de voir la déferlante des gilets jaunes régler toute cette affaire puisque il n'existe personne pour le faire politiquement à leur place.

La perversité des gens qui sont aujourd'hui au pouvoir politique de la France est incommensurable.
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30-05-2020 Vu à la télé

Le débat entre Zemmour et Onfray du 29 mai 2020, vu à la télé, fut prometteur avant,  puis décevant pendant et après, car stérile.

Aucun enseignement de fond n'en ressort. Zemmour brillant comme d'habitude n'a pas laissé à Onfray le temps de développer sa pensée. Les deux ont une raison solidement légitime et argumentée. C'est déjà pas si mal.
Ils se sont opposés dans un langage de sourds un peu plus élaboré qu'à l'accoutumée ce qui en France dans la forme est d'un luxe remarquable.

Leur raisonnement singulier soutient une incohérence  commune qui tient tout entière dans la proposition suivante: "l'universalité des lois oui,  mais pas pour tout le monde". C'est juste que pour l'un ou l'autre ce n'est pas le même monde.
C'est sur cette question que tout est à dire  à comprendre et à donner à penser. C'est le rôle et la responsabilité de la sphère intello médiatique.

Pour ce qui concerne le souci de souveraineté qui les unis, ni l'un ni l'autre de ces deux souverainistes n'ont évoqué l'#UPR, le seul parti français du #FREXIT.

Il est remarquable de constater que l'UPR inconnu des français parce-que interdit de médias et  boycotté par les intellectuels et les politiques en France est connu et cité bien des fois à l'étranger.
À l'étranger, les populations sont toujours convaincus que la France est un pays de liberté....

Les gens soucieux de "la souveraineté de la France" dans et par la démocratie, seraient bien inspirés de faire connaître à la population citoyenne, l'existence de toutes les propositions politiques. Sinon de quelle démocratie  parlent-ils?
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30-05-2020 Lettre ouverte à l'UPRD

L'UPR existe avec ses statuts et son règlement interne parfaitement conformes au droit. Vous les avez approuvé, vous avez adhéré au mouvement et le mouvement fonctionne conformément à ses statuts.

Le fonctionnement interne de l'UPR vous a permis "démocratiquement" d'atteindre un niveau de responsabilité important dans le mouvement. Au lieu de le remettre en cause,  vous devriez vous féliciter que ce mouvement existe, et qu'il progresse malgré les embûches multiples et la censure généralisé contre lui. Il n'a pas besoin que vous en rajoutiez une couche de l'intérieure.

Vous devriez plutôt utiliser votre énergie à combattre le macronisme et à favoriser le FREXIT.
À l'évidence, vous ne prenez pas la mesure de la gravité de la situation du pays. Je constate que ce n'est pas votre priorité.

Je peux parfaitement entendre que pour le genre de personnage que vous illustrez, l'UPR soit  une question de goût avant d'être une question de respect.

Dans ce cas, si vous n'avez aucun respect pour le mouvement de l'UPR ni aucun goût pour son fonctionnement, je vous assure que ça ne se discute pas.

Alors, rien ne vous interdit de quitter le mouvement et de créer le vôtre. Vous verrez alors quel sont les adhérents de l'UPR qui choisiront de vous suivre.
Vous ne pourriez rêver meilleur expression démocratique. N'est-ce pas ainsi?
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31-05-2020 Viva la Révolution

Partout le malaise s'empare des uns et des autres, des sociétés et des nations. À toutes les échelles on attend ou l'on craint ou l'on souhaite que quelque chose de fondamental change.

D'aucuns souhaitent un nouveau mai 68. Il est naturel de se raccrocher à ce que l'on connaît déjà en termes de tremblement de terre socio-politique. Jusqu'à maintenant l'histoire du changement nous indique la direction de la démocratie pour tous les peuples. Chaque révolution, qu'elle échoue ou qu'elle réussisse est un pas de plus vers la démocratie qui anime tous les esprits.
En effet, cette direction invariable et universelle vers la démocratie n'existe véritablement que dans les esprits. Elle est un guide universel pour penser les rapports fondamentaux entre le citoyen et la société.

Défendre la cause démocratique c'est la circulation de la parole et des idées. C'est pourquoi la première condition de son avènement c'est la communication.

Pour le moment cette circulation n'a lieu que ici. Elle permet de faire savoir l'attente d'un mai 68. Elle permet de rappeler que les conditions de mai 68 n'existent pas. Mai 68 fut une invention de la société qui ne ressemble pas à 1789 parce que les conditions de mai 68 et de la révolution ne se ressemblent pas.

Lorsque le directoire n'est plus adéquat à la volonté du peuple, chaque époque invente "sa révolution".
À notre époque nous avons inventé les gilets jaunes, nous avons inventé l'économie parallèle, nous avons inventé la communication parallèle. Et nous avons compris que partout dans le monde la démocratie est un progrès et que partout dans le monde elle n'existe nulle part (sauf peut-être en Suisse un peu plus qu'ailleurs)

Mais collectivement nous ne sommes pas encore en mesure de comprendre véritablement comment et pourquoi les changements politiques et sociaux prennent forme. Comprendre les effets de l'injustice économique ne permet pas de comprendre pourquoi elle existe.

Dans quel état les civilisations doivent-elles être pour tirer un avantage de l'injustice économique ?

Cette question universelle remplace la question du pain en 1789 et remplace la question de la liberté d'expression de mai 68.
Demain, la révolution sera ontologique.
En effet à toutes les échelles à tous les niveaux de la vie humaine, de façon centrale et insistante, c'est à notre époque que la question de "l'autre" se pose. L'étranger,  le migrant,  le Riche,  la nature,  les autres espèces,  etc, etc.

Quand nous aurons compris que le premier "autre" capable de révolutionner notre ontologie c'est "le féminin", la révolution la plus profonde qui puisse exister dans le genre humain aura commencée.

Si nous faisons l'effort de comprendre la signification et les implications du concept de "l'autre de l'homme" à l'échelle individuelle et à l'échelle de l'espèce humaine, il sera aisé d'en finir avec la version libérale de l'économie planétaire.
Cette forme de économie est la cause de l'injustice que l'on dénonce et l'effet du concept que l'on ignore.

Tant que cette question restera écartée du chant de la communication. Au lieu de s'exprimer par les mots les idées et le débat, elle s'exprimera par les passages à l'acte sociétal et politique. Par l'inflation répressive, la propagande et l'autorité.

Quoi qu'il en soit, le résultat sera le même: au bout du compte, beaucoup de machines au service d'une humanité plus réduite...
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31-05-2020 Lettre ouverte à Monsieur Bigard

Le mouvement des gilets jaunes c'est l'expression du peuple quand le président de la République qui est son porte-parole naturel a failli.
Le phénomène des gilets jaunes est un fait de société majeur.  Par la mise en acte public, il est l'expression du désaccord du peuple avec le gouvernement. Il témoigne autant de l'échec politique profond et totale du gouvernement que de la trahison de l'opposition aux affaires.

Face à ce désastre, rien n'interdit à Monsieur Bigard de présenter sa candidature aux élections présidentielles.

Cependant, l'idée de vouloir représenter les Gilets Jaunes s'apparente en toute logique à une tentative de récupération du mouvement ou à une très mauvaise appréciation de sa signification. Cette proposition aura pour effet de canaliser ce mouvement alors que sa force et précisément de ne pas pouvoir le faire.

Soyons un peu sérieux. Un problème politique se règle avec une solution politique. Il est donc question de chercher parmi les acteurs politiques les propositions les plus adéquates pour restaurer la République Nº5.
Et puis lui adjoindre:
/ le RIC,
/ remettre dans l'ordre démocratique les élections législatives et présidentielles,
/ considérer le vote blanc comme un vote exprimé puisque c'est le cas,
/ inscrire dans le marbre du projet politique "le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes"
/ construire une déontologie de la presse qui détermine sa responsabilité ses droits et ses devoirs, et qui protège les journalistes qui sont en démocratie autant de lanceurs d'alerte.
À certains de ces effets dont le RIC qui est fondamental, il existe depuis 13 ans l'#UPR dont toutes les analyses se sont révélées exactes et dont les convictions n'ont pas variées d'un iota.
Pour lutter contre Macron il serait plus sérieux de plébisciter soutenir et renforcer un mouvement politique qui a déjà fait ses preuves, et dont les médias les politiques et les intellectuels de ce pays s'interdisent avec obstination de faire connaître l'existence. Allez savoir pourquoi?

Quand un régime politique soucieux de démocratie et de justice sociale, sera en mesure de gouverner, la réaction "gilet jaunes" qui n'est que l'inflammation du corps social infecté par la macronie, disparaîtra.
Ce n'est la vocation de personne de passer ses weekends sur les ronds-points et dans les manifestations pour se faire molester, au risque de perdre un œil une main ou la vie.

Chacun aspire à la paix. Mais il ne saurait exister de paix sans justice et il ne peut pas y avoir de justice hors du principe de partage.
Mais il ne pourra y avoir de partage que lorsque ce principe sera inscrit dans le Politique comme la  source indiscutable de la sécurité et du respect de tous et de chacun.