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vendredi 28 décembre 2018

Le GIEC, Macron, l'EURO, les Gilets Jaunes et le FREXIT


Qui soutient MACRON ?
Tout le monde soutient Macron. Les gilets jaunes en dénonçant les effets tout en protégeant la cause, et l'oligarchie Maastritchienne qui l'a placé à la tête de la France car il était plus « marketing » que Fillon.
Mais une chose est sure, Macron ne représente pas la France ni les français. Il représente l'Euro. Et il le sait . Macron : « Je suis arrivé par effraction ... »

Il est arrivée au poste suprême par la combinaison de trois facteurs essentielles.
  1. Une faille du suffrage universelle. Ce suffrage ne peut pas traduire démocratiquement un taux d'abstention majoritaire qui est une posture politique qui ne peut pas être ignorée. L'ignorer fait les Gilets Jaunes.
  2. La pression médiatique qui interdit la parole des autres candidats, avant le suffrage, pendant le suffrage et après le suffrage. Ce qui pose sérieusement la question de l'indépendance de la presse dans notre pays.
  3. La construction médiatique de la seule concurrence qui obligerait les électeurs à voter pour Macron : la mise en place du pire incarné par Le Pen.
On visionne très bien la dedans, la même stratégie que la façon de guider un troupeau pour le mener là où on veut qu'il aille. Mais cette stratégie a échoué car elle a créer 55% d'abstention, ce qui retire à Macron sa légitimité à représenter le peuple et à incarner la France, et ce qui donne aux « Gilets Jaunes » toute la légitimité pour représenter le peuple et incarner la France.

Si les représentants syndicaux et politiques, les députés de gauches en particulier ne font pas à l'assemblé le travail que le peuple exige d'eux, à savoir demander le départ de Macron et l’arrêt de sa politique en invoquant l'article 68 de la constitution, alors ils trahissent ceux qu'ils prétendent représenter et renoncent à la démocratie qu'ils prétendent défendre.

Et c'est ainsi que le peuple de France se fait Gilets Jaunes
pour se représenter lui même.

Ce que je pense:
Maintenant, si la tromperie ne Macron ne prend pas, l'oligarchie va favoriser « les affaires » pour le dégager. Les politiciens en ont tous, et ceux qui ne sont pas inquiétés ne vont pas se dénoncer au nom de la solidarité entre politiciens. Au contraire, ils se réjouissent d'un concurrent de moins. L'oligarchie Maastritchienne qui veut garder la maîtrise le fera remplacer par un autre dirigeant plus intelligent.

Les gilets jaunes se sont trompés d'ennemi. Ce n'est pas faute de le faire savoir.
Ils sont en train de perdre. L'ennemi c'est Maastricht, et non sa marionnette.
"Qui se trompe d'ennemis aide son ennemi". Qu'on se le dise.

FREXIT & CLIMAT
On nous fait savoir que "Macron distribue l'argent qu'il n'a pas...... "...! Mais c'est une proposition complètement débile. Une pensée stupide. l'État crée la monnaie en équivalent de la demande; et la transforme en échange. C'est ce qui fonde et structure une Nation. L'Europe détruit ce processus au profit de (la grande) l'Allemagne . C'est pourquoi hors du FREXIT, le mouvement des Gilets Jaunes ne mènera nul part. Ils ne sont qu'un accident de parcours "d'en marche". Qu'on se le dise.... Voilà ce qu'il faut faire savoir sur ce sujet.
Sur le sujet du climat, il faut arrêter de croire ce qu'on nous raconte, et commencer à réfléchir un instant. La dette et le climat sont les deux mamelles auxquelles s'abreuvent les dirigeants.
Le gradient énergétique de l'activité humaine est tout à fait négligeable par rapport à l’énergie drainée naturellement sur cette planète (tellurisme, soleil, tectonique etc...).
Le réchauffement existe en effet, car la terre est une planète chaude avec des périodes très brèves où il y a de l'eau sous forme de glace. Nous sortons d'une de ces périodes (multi-cycles). Dans les mesures effectuées, l'accroissement de gaz carbonique n'est jamais coordonné avec le réchauffement. Il ne l'est que dans les modèles théoriques qui affichent une tolérance de 300% (minimum).
300% ce n'est pas une tolérance de calcul c'est une inadéquation volontaire du calcul, c'est à dire une escroquerie.
La science qui vient au secours d'une politique, ça ne vous rappel rien?
Raisonnons simplement. Le gaz carbonique c'est bon pour les plantes qui survivent à la voracité humaine. Si l'on veut diminuer la participation de l'activité humaine au réchauffement, alors il faut en finir avec le méthane des élevages industriels et donc avec la viande, en finir avec la destruction massive des forêts primaires pour quelques centimes de bénéfice en plus. Il faut en finir avec le carbone issue du trafic aérien et maritime. Le parc automobile fait pâle figure à coté. Etc etc...

 Au fait, qui prend l'avion? 
Les dirigeants! 
Et qui prend la voiture? 
Les dirigés!

La déforestation les plastiques, les éoliennes et les voitures électriques c'est bon pour la finance et mortel pour la planète.
Résoudre la faim, la soif, la misère, le respect de la diversité biologique, c'est bon pour la planète mais mauvais pour la finance. 
Le climat est un bon cheval de Troie pour justifier le mal au nom du bien. 

Il faut retrouver une économie souveraine et en finir avec cette UE qui détruit les peuples... Ce serait déjà un bon départ.

Le GIEC Triche. Il faut obliger les médias à réaliser de vrais débats contradictoires sur la dette, le FREXIT et le climat... Ces trois sujets sont intimement liés. Donner à penser n'est-ce pas le rôle des médias? Il n'y a que l'aliénation à perpétuité qui sort des rares et brefs débats "plébicitoires" qu'ils organisent.

La secte des faussaires
Le métier de politicien c'est l'art d'embrouiller le chaland pour la cause des dirigeants..... Dans son domaine scientifique, Gervais à raison et la raison politique n'y a pas sa place.
Le GIEC est selon moi une secte de faussaires au services des financiers.
La question climatique est une façon perverse de créer de la demande inutile et de la financer en pompant dans la manne fiscale payée par ceux et celles qui travaillent. Cette procédure de détournement de l'argent public vers les banques privées, oblige l'abandon de souveraineté. Elle s'appelle "euro".
L'écologie est instrumentalisée pour la cause quand elle soutient l'amplification et la délocalisation de la pollution énergétique de l'Europe. Elle se trahie elle même quand elle favorise la tyrannie des plus pauvres et prend l'alibi d'un avenir incertain pour sacrifier les gens au présent, à tous les présents depuis 20 ans... Ne sommes nous pas l'avenir des sacrifiés des années 90... L'écologie doit s'employer au bien des gens au présent et de biens en bien l'avenir se construirait au mieux. La fin, la soif, le droit à la vie des autres espèces, les plastiques la déforestation etc etc..., sont les objets au présent de l'écologie. L'économie devrait être son objet cardinal. Il n'existe pas de GIEC de ces questions là n'est-ce pas! Pourquoi?
Pour remettre l'écologie à l'endroit et tout ce qui s'ensuit, Il faut ABSOLUMENT retrouver notre souveraineté comme l'exprime l'UPR et sortir de l'Euro, ce piège économique.
Faire notre monnaie, c'est répondre à notre demande.
Renseignez vous sur l'UPR. Informez vous sur Asselineau, totalement censurées par les médias. Et vous saurez pourquoi.
Ensuite, à la question : "Pourquoi Asselineau est-il rendu inexistant"?  Au lieu d'être transformé en chambre d’écho de la pensées unique, vous aurez vous-même répondu à cette question avec votre conscience.
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Déjà, il y a longtemps à propos du climat, la politique contrôlait la science. Aujourd'hui elle la remplace. C'est ça le GIEC. 
Les gens comme Asselineau sont interdits d'antenne, mais d'autres aussi. Par exemple: Onfray, Chouard, Porcher, Gave, Gervais, etc, tous de bords différents, comme les Gilets Jaunes. 





mardi 18 décembre 2018

Le Macronomicon «Les deux Mamelles du peuple»

Tout s'achète.
Macron ne distingue pas la différence entre un conflit social, une rupture de démocratie ou un dysfonctionnement de la République. Dans tous les cas de désordre public, Macron ne voit que la perte de revenus des riches.
Quant il a le dos au mur, la seule réaction du gouvernement, consiste à offrir de l'argent en échange de l'ordre public.
A force de tout confondre, il est allé trop loin. Son aveuglement a donné naissance aux Gilets Jaunes. Les Gilets Jaunes c'est une interrogation sur le fonctionnement de la République et de la démocratie. Au lieu de traiter le problème qui lui est ainsi révélé, il voudrait racheter la République en offrant chichement quelques argents aux plus pauvres, ajoutant l'humiliation à leur indigence.
Ce comportement montre que la République lui a bel et bien échappé par ses actions qui n'en relèvent pas et qu' à ses yeux, la République peut se monnayer à vil prix.

« Acheter ! »
Macron ne connaît que ce langage. Prendre les citoyens pour des clients et des employés n'est pas une posture de Président. Il ne sait pas ce que veut dire être Président. Être Président c'est être le porte parole et le représentant du peuple, que les Gilets Jaunes incarnent à sa place puisque ce mouvement est l'émanation du peuple tout entier.
En tant que Président il aurait du comprendre sans délais la nature institutionnelle de la crise, au lieu de proposer de l'argent. La source du désordre public, est sa politique brutale et inadequate. Macron doit partir.

Les deux Mamelles
Il n'existe dans le monde que deux groupes distincts de populations. Il y a les dirigeants et les dirigés. Le rôle des dirigés consiste à nourrir les dirigeants. Le rôle des dirigeants consiste à leur dire comment faire.
Dirigeants et dirigés obéissent au même (méta)paradigme de « rétention » comme source de sécurité. Tout cela fonctionne tant que les dirigés gardent une confiance aveugle envers les dirigeants.
Les dirigeants racontent une histoire au dirigés. Les dirigés y croient puis y souscrivent et deviennent les acteurs zélés de leur propre servitude. Tout cela fonctionne tant que les dirigeants n'asphyxient pas les dirigés.

Aujourd'hui on nous tanne avec « l'Urgence Climat ». Il est même question de prendre les enfants à venir en otage pour justifier le sacrifice du présent.
Les gens sont sensibles à ce genre d'arguments. Les enfants qui n'existent pas dans un avenir qui n'existe pas c'est plus important que le bien du présent par le partage.
Faire le mal tout de suite au nom du bien de demain est la plus perverse des escroqueries. C'est en allant de de biens en biens au présent qu'on arrive au bien de demain.
Les gens sont d'accord pour se sacrifier à quelque chose qui n'existe pas. Il suffit de le leur demander. Quelque soit l'histoire que les dirigeants racontent aux dirigés, elle sera toujours vrai dans l'esprit du dirigé. Le dirigé ne veut qu'une seule chose, « ...Que l'histoire existe ». Quoi que racontent les dirigeants, y compris une chose et son contraire, ils ne perdrons jamais la confiance des dirigés.
Pourquoi ? Parce que le rapport de confiance dérive du principe de délégation qui fixe la nature de l'humain. L'espèce « humaine » est la seule espèce dans laquelle les individus qui la compose délèguent aux autres individus tout ce qui est nécessaire à la survie individuelle, pour la simple raison que l'être humain seul est impuissant en tout. C'est sur cette propriété de délégation que se construit sa capacité de puissance.
Le principe de délégation forge la nature de l'être dans l'altruisme si bien qu'à l'échelle du petit groupe, la survie de tous et de chacun s'appuie sur le partage et la confiance.

Mais à grande échelle cette capacité de puissance n'est plus gouvernée par l'altruisme individuelle. Les rapports de confiances deviennent sans objets et le principe de partage comme source de sécurité s'effondre et se voit remplacé par le principe de rétention .

Voilà pourquoi la confiance consubstantielle à l'être, qui née de son altruisme, est systématiquement trahie à grande échelle. La confiance est toujours obligatoirement trahie en politique, et en économie car ce sont des domaines qui appartiennent à la grande échelle de l'humain. A petite échelle, le principe de délégation fonde la sécurité dans les rapports de partage. Appliqué à grande échelle dans l'espace de rétention, le principe de délégation se trouve anéanti.
Voilà pourquoi les gens aiment qu'on leur racontes des histoires car la délégation naturelle à l'être l'invite toujours à croire ceux qui reçoivent leur délégation. Si le gens décident de réfléchir, cela veut dire que la trahison est mortelle pour eux. Et s'ils renoncent à déléguer. Alors ils renoncent à la loi car ils n'y croient plus. C'est à ce phénomène (ontologique) que l'on est en train d'assister avec le mouvement des gilets jaunes.

Parmi les histoires que les dirigeants inventent pour obtenir l'adhésion des dirigés à leur propres servitude, il y a aujourd'hui l'histoire du climat et le roman de la dette.
La dette et le climat sont les deux mamelles des peuples pour engraisser les financiers.

Qu'est ce que le roman de la dette ?
La dette est une stratégie financière d'une haute perversité. Il suffit de décréter que les états ne font plus leur monnaie eux mêmes. Dans ce cas, dès qu'il y a de la demande à transformer en échange, au lieu de fabriquer la monnaie qui correspond à la quantité de demande, les états rempruntent aux banques privées. Cette opération génère des intérêts artificiels qui sont acquittés en piochant dans la manne fiscale.
Qui alimente la manne fiscale ? Les dirigés.
Qui profite de cette manne fiscale détournée de l'usage public ? Les dirigeants.

Cette stratégie financière imaginée par nos dirigeants politiques est simplissime mais d'une redoutable perversité. En cas de souveraineté monétaire, l'histoire de la dette prend fin. Tout simplement.

La dette génère un certain nombre de produits dérivés en fonction des circonstances. Les gaz réfrigérants qui ont généré des milliers de milliards de dollars de chiffre d'affaire pour changer les systèmes réfrigérants, le diesel, puis l'essence pour renouveler le parc automobile tous les 30 ans, les éoliennes et les panneaux solaires qui consomment plus d'énergie qu'elles n'en fournissent, etc..
Et puis le Climat qui est la plus grande escroquerie du siècle mais qui est le produit dérivé le plus prometteur. Les nations y mettent le paquet.

Quelle est cette l'histoire « climat » qui nous est comptée?
Le climat est un produit dérivé de la stratégie de la dette. Ce qu'on appel un produit dérivé, ce n'est qu'un « pari » que le dirigeant fait sur le dirigé. Le dirigeant se pose la question suivante : « L'histoire que l'on raconte aux dirigés peut-il me rapporter de l'argent ? » Selon ce qu'il imagine, il investira peu ou prou.

L'urgence climatique est un slogan pour abreuver les riches. La preuve :
Tout ce qui est véritablement polluant est précisément écarté des réformes et du débat public. Et quand débat il y a, c'est un spectacle organisé entre ceux et celles qui nous servent la même histoire, celle dont les pouvoirs publics sont garants.

Parmi les sujets qui devraient être l'objet du débat public, il y a :
  • Le FREXIT: Ce débat est méticuleusement absenté des tous les média. L'idée même est évacué des esprits. Le FREXIT est une non histoire que l'on raconte aux gens comme si l'Europe est naturelle au peuple de France? Ce n'est évidement pas la cas. Le FREXIT est l'ennemi juré de la gouvernance ciblée par le peuple tout entier à travers les Gilets Jaunes. C'est un sujet interdit. Un sujet qui n'a pas le droit d'exister. Pourquoi un débat sur cette question est-elle si redoutable pour le pouvoir. L'Europe est la plus grande cause de pollution. Et en disant cela je ne joue pas sur les mots. La source de la pollution est avant tout le système économique. Sans la maîtrise de notre économie, tout ce qui se raconter dans l'Europe en direction de l'écologie est un mensonge absolue. L'Europe et la cause écologique sont les sources de revenus les plus prometteuses pour les pouvoirs en place en particulier pour l'Allemagne. (...)
  • Les plastiques, C'est fondamental. Ils concours à la destruction des espèces part toutes sortes d’impacts néfastes et irrévocables. Les dirigeants se contentent de cultiver la participation citoyenne au trie des poubelles pour gérer la situation. Et les dirigés sont contents. Ils sont même capable de s'accuser entre eux d'être des irresponsables. Cette histoire marche très bien. Les dirigés sont les acteurs de leur propre aliénation. Et les dirigeants se frottent les mains au lieu de changer de technologie.
  • L'espace vital des autres espèces que l’espèce humaine s'approprie sans appel. Ce problème est essentiel et concerne toute la biomasse terrestre et maritime.
  • Le transport aérien: 3 fois plus polluant que le parc automobile mondial.
  • Le transport maritime :10 fois plus polluant que le parc automobile mondial.
  • Les éoliennes et les panneaux solaires qui, pour être produite, géré, et recyclés quand c'est possible,.produisent moins d'énergie qu'elle n'en consomment.
  • Le réchauffement : Il n'existe strictement aucunes mesures climatiques qui en attestent la véracité. Cette thèse est une construction théorique douteuse et incohérente dont le seul crédit vient de ce qu'il est porté part une grande quantité de dirigeants. Si tous les dirigeants qui ont la paroles disent la même chose, cela fait-il une vérité ? La réponse est hélas « OUI ! »
  • La voiture électrique : Cette technologie a un double objectif économique.
    1. Renouveler l'offre qui est faite aux « consommateurs », et gagner beaucoup d'argent en changeant le parc automobile.
    2. Déplacer la pollution issue de cette technologie dans des pays émergents. Rien de plus naturel que de rendre la pollution invisible aux yeux des êtres humains enclins à croire les histoires car l'humanité précisément consiste à déléguer à l'autre.
    Si la moitié du parc automobile devient électrique, il faudra près de 40 centrales nucléaires pour l'alimenter. Les sources d’énergie les plus importantes dans le monde et qui sont croissante c'est le charbon et le pétrole. Faire de l'électricité avec de l'uranium ou du charbon ou du pétrole sera toujours plus polluant en moins rentable du point de vue de l'énergie que de mettre directement le pétrole dans le moteur de la voiture. Alors on raconte l'urgence climatique, la santé des enfants etc... Le but de ces politiques, ce n'est ni le climat ni la santé, mais le rendement financier.
    Il faut bien garder à l'esprit que chaque watts d'énergie que l'on exploite, génère de la chaleur et de la « pollution ». Plus le circuit de transformation de l'énergie solide en énergie cinétique (mouvement de la voiture) est court, moins il y aura de pollution.
    On voit bien que sur la question de l'automobile, la solution est la moindre consommation par l'optimisation des moteurs le développement des transports en commun et leur gratuité.
Maintenant, posons nous la question de savoir :
  • Qui roule en voiture ?
Des centaines de millions de dirigés.
  • Qui prend l'avion et le bateau ?
  • Qui vend des éoliennes et des panneaux solaires ?
  • Qui détruits les écosystèmes pour quelques centimes de plus?
Ce sont les dirigeants, et ils sont en train de gagner leur pari.

Sans le traitement de la monnaie par les banques privés, sans la destruction des souveraineté par l'UE et sa prédominance politique et économique, ces égarements politiques et économiques seraient moins amplifiés.
L'UE est la nouvelle saison de la même histoire. « Une histoire qui marche si bien, pourquoi s'en priver ? » se disent les dirigeants. Et voilà les gilets jaunes... ça c'est une autres histoire....

L’écologie
Dans l'espace (ontologique) de « la rétention », l'écologie est un produit dérivé des dirigeants.
Si l'écologie existait, elle devrait favoriser le passage de l'économie de rétention à l'économie de partage.
Si l'écologie existait, elle serait honnête avec les dirigés pour leur expliquer la vérité sur le climat, c'est à dire « rien sur le climat » ; sur l'énergie, c'est à dire les circuits court et l’énergie de proximité.
Si l'écologie existait, elle s'occuperait du bien être des être vivants, et imposerait un moratoire pour le droit à la vie des autres espèces
Si l'écologie existait, elle poserait au dessus de tout, la question du partage de la planète avec les autres espèces.
Si l'écologie existait, elle œuvrerait à la fin des matières plastiques.
Si l'écologie existait, elle s'occuperait de l'équité, de l'éducation pour favoriser le jugement des citoyens acteurs de leur destin et non complice malgré eux de leur propre servitude.

Si l'écologie veut exister elle doit dès à présent construire une économie de partage soucieuse du présent de tous les vivants au lieu de les prendre en otage. Mais l'humanité n'y est pas encore. Cependant, c'est cette histoire que les Gilets Jaunes commencent à raconter.
Tant que l'écologie reste sans critiques à l'égard du principe de rétention, elle restera un produit dérivé de la finance au service des dirigeants.
Pour sortir du paradigme de rétention, grand commandeur des conscience et des civilisations, il faut créer « l'autre de l'homme » dans l'espace ontologique. Cela se traduit factuellement de façon très simple : « Conquérir le droit des femmes à disposer d'elles même sans conditions et sans appel »
Toutes les politiques se décident dans les urnes. En la circonstance de ce moment historique de l'histoire de l'humanité (mondialisée), il importe d'abandonner un instant le principe de délégation qui nous anime profondément.
Pour mettre son bulletin dans l'urne, Il est temps, pour un instant de cesser de croire et de décider de réfléchir par nous même; d'être critique envers les histoires qu'on nous raconte pour comprendre ceci :
  • Favoriser le droit des femmes à disposer d'elles mêmes
  • Sortir de l'Union Européenne
Sont les deux clefs, et il n'en existe pas d'autres, pour aller collectivement vers plus d'humanité.


dimanche 16 décembre 2018

Le Macronomicon: "Le Porte Parole"

Il existe un rapport étroit entre la dette, l'Europe, le climat et les gilets jaunes. Ce sont les stratégies et les effets de la même politique.

L'INSURRECTION :
Ce matin, au lendemain du 5eme acte des Gilets Jaunes, la presse s'obstine à déplorer l'absence d'un « porte parole ».
Comme je l'ai expliqué longuement, la question du porte parole ne s'applique pas au mouvement des GJ. Il ne s'applique qu'à un groupe social, or, les gilets jaunes ce n'est pas un groupe social c'est le peuple tout entier.
Par conséquent, la question du porte parole ne s'applique pas au gilets jaunes, sauf à considérer que le porte parole du peuple tout entier c'est le président. Ce qui en République, est la stricte vérité.

Il s'ensuit que la recherche du porte parole des GJ, c'est la recherche d'une autre représentation de la nation. Rechercher un porte parole aux gilets jaune c'est exactement dénoncer Macron comme un usurpateur de la représentation du peuple et de la nation, ce qu'il reconnait d'ailleurs lui même

Par quelle prodige cette usurpation fut-elle rendu possible ? Elle fut rendu possible par une inadéquation du suffrage universelle dès lors que les pouvoirs politiques de la France ont renoncé à la souveraineté du pays alors que la population aspire à la souveraineté.

Le gouvernement et les médias sont-il stupides, aveugles ou fous de ne pas voir qu' en dénonçant l’enrichissement des riches contre la paupérisation du peuple, ce mouvement réclame le retour à la souveraineté nationale ? IL n'est pas besoin d'être grand clerc pour comprendre que l'abandon de souveraineté est la source de la rupture définitive entre le pouvoir et le peuple.

Le gouvernement veut négocier comme s'il s'agissait d'un conflit d'entreprise. On voit bien la dedans à quel point Macron est une personne immature et sans intelligence. Que ce soit pour garder son poste, pour communiquer, ou pour servir sa mission qui consiste à porter la parole du peuple, il reste les bras ballant et répète hébété toujours la même chanson.

Le gouvernement veut négocier quoi ?
  • On ne négocie pas la république, on la respecte.
  • On ne négocie pas la démocratie, on l'applique.
  • On ne négocie pas le contrat social, on le sert par la justice sociale.
Voilà tout ce que le peuple demande à Macron.
Et voilà surtout ce que le peuple ne devrait jamais avoir à demander à « son » président.
Que veut-il savoir de plus ?
S'il veut négocier avec le porte parole des gilets jaunes, c'est donc avec lui même qu'il doit parlementer. C'est la logique même.

Maintenant, ou Macron est capable de renouer avec la souveraineté et le respect du peuple et des institutions de la République souveraine de France, ou il s'en va!

Pour qu'il quitte le pouvoir suprême, il n'existe que deux voies possibles.
  1. L'insurrection massive à cause de l'accumulation de l'arrogance et de l'injustice
  2. L'activation de l'article 68 à la disposition des députés de l'assemblée Nationale qui parait-il, soutiennent le mouvement des gilets jaunes.
A ce sujet, pourquoi diable, les oppositions n'invoquent t-ils pas l'article 68 en destitution du président?

J'affirme ici que l’intérêt de Macron et des politiciens de l'opposition parlementaire convergent. Les Mélenchon et autre Le Pen, ont intérêt à espérer l'insurrection. L'insurrection serait mauvais pour le peuple mais bon pour eux. Macron pourrait décréter la loi Martial et jouir un moment des pleins pouvoir. Pour les autres, en surfant sur la vague de l'insurrection, chaque partis aura sa chance d'emporter la palme du pouvoir. C'est la seule réponse logique à l'attitude frileuse des oppositions, toujours plus stratèges pour leur propre compte que pour l’intérêt du peuple.

Pour Macron autant que pour ses opposants politiques, le peuple est l'instrument de leur soif de pouvoir.

L'idée d'un porte parole des gilets jaunes n'a aucun sens. Mais il existe une structuration lente et progressive du mouvement vers l'Assemblée Constituante qui est la seule alternative à l'insurrection généralisée parce que quand la parole circule elle prend l'ascendant sur les actes. C'est pourquoi, les conseillers de Macron, pour éviter le pire et lui restaurer un peu de dignité, seraient bien avisés de lui souffler l'initiative de l'organisation de l'Assemblée Constituante Populaire.


LE CLIMAT & LA DETTE
Les médias et les politiques persistent et signent sur la question de la dette et du climat .

La question de la dette publique est une construction comptable liée à l'abandon de la souveraineté monétaire. Elle s'appuie sur l'ignorance du public pour justifier des prélèvements croissants. L'abandon de souveraineté des peuples au profit de la souveraineté « des nobles » nourri la politique de paupérisation en Europe et au-delà.

Les médias et les politiques persistent et signent sur la question du climat.
La question du climat est une construction pseudo scientifique qui ne s'appuie que sur des mesures triées sur le volet pour ne pas réfuter la thèse du réchauffement climatique au service de la souveraineté « des nobles ». Il y a abondance de littératures, d'études et de mesures sur ce sujet.

Pour l'économie comme pour le climat nous sommes en face d’allégations mensongères. Pour que les mensonges paraissent vrai, il faut cultiver l'ignorance du public et s'appuyer sur la confiance naturelle innée à l'être humain. En effet l’espèce humaine est parmi les espèces vivantes (encore...), celle qui délègue à l'autre tout ce qui est nécessaire à sa survie. Il ressort de cela l'existence innée d'un rapport de confiance qu'il suffit de trahir sans risquer de le perdre. (...)

Est-ce que le climat se réchauffe globalement ?
Oui bien sur, c'est le cycle naturel de la planète qui par ailleurs est une planète chaude dont 99% de son temps de vie, se passe sans glaces.
La terre sort tout simplement d'une période froide.

Est ce que l'activité humaine détruit le climat ?
Non. Le gradient d'énergie de l'activité humaine est complètement négligeable par rapport aux forces naturelles en exercice, comme le soleil le tellurisme, ou l’atmosphère.

L'effet de serre est-il un problème ?.
Non ! C'est définitivement NON.
L'effet de serre existe bel et bien c'est pourquoi il existe de la vie sur cette planète. Le gaz a effet de serre le plus important et de très loin, est un gaz naturel qui s'appel « la vapeur d'eau »..
Ce gaz permet à la terre de garder sa chaleur. Quand il y a trop de chaleur, la vapeur forme des nuages en grande quantité dont la blancheur renvoi dans l'espace le trop plein d'énergie solaire. Et la température baisse. Voila le mécanisme de régulation qui est inchangé depuis la création de notre planète, et qui n'est pas près de changer puisque la quantité d'eau sur la planète est un invariant.

Le gaz carbonique produit par l'activité humaine n'est pas impactant sur le climat. L'homme n'est pas si puissant.
Si l'on comptabilise la déforestation massive, le bilan carbone de l'activité humaine produit une baisse de gaz carbonique dans l'atmosphère. Le gaz carbonique issue de l'activité humaine est loin de compenser la quantité de carbone nécessaire à la végétation qui reste. Ce point est particulièrement inquiétant pour l'avenir.

Parmi les gaz produits par l'activité humaine, le méthane est le plus redoutable en terme d'effet de serre et de destruction d'ozone. Il résulte massivement des élevages industriels de bovins, d'ovins et de volailles.

L'activité humaine est-elle mortelle pour les autres espèces vivantes ?
Oui à plus d'un titre. D'une façon indirecte et complètement négligée, les végétaux sont en phase d’asphyxie.
D'une façon directe, le plastique est un élément définitif qui entre dans la composition cellulaire de toutes les espèces. La conséquence à court terme est une baisse généralisée de fécondité des espèces. A long terme, c'est un élément dont il est impossible de mesurer la conséquence mais qui concours à l'activité destructrice sans retour sur l'ensemble des espèces vivantes.

Et puis, l'homme est le pire prédateur que la création ai porté. Rien n'a le droit de vivre à part son espèce. C'est pour cette raison que l’espèce humaine est en danger. Si l'activité humaine impacte trop la diversité, la chaîne biologique dont chaque espèce dépend, y compris, l'humanité en tant qu’espèce, pas seulement civilisationnelle, est compromise.

Les conférences internationales sur le climat protègent précieusement les lobbys des industries agro-alimentaires. Ce sont les masses financières les plus volumineuses de la planète. Ces conférences font partie des stratégies de prédation. Il s'agit de créer de toutes pièces un motif de prédation crédible et indiscutable comme le fut l'invention technique de la « dette d'un état ».

La dette public et le climat sont les chevaux de Troie permettant à la classe dirigeante de s'appuyer sur la culpabilité et la confiance toujours renouvelée de la population pour justifier le maximum de prélèvements.

La prise de conscience par les populations de la planète, de la trahison inhérente l'exercice du pouvoir mondialisé (la finance), conduit invariablement les peuples des Nations, à la construction d'une « Assemblée Constituante Citoyenne». C'est la seule solution pour préserver les acquis démocratiques des civilisations, les faire évoluer vers le principe du partage et donc de préserver la vie sur cette planète.

vendredi 14 décembre 2018

Le Macronomicon « Parole de Gilets Jaunes »

"Qui peut porter la parole des Gilets Jaunes?"
Cette question procède de la peur que ce mouvement suscite dans les sphères dirigeantes et d'une intention politique de tout mettre en œuvre pour détourner le citoyen de sa vrai nature. (dans tous les sens du terme...) 

Le rassemblement des « Gilets Jaunes », n'est pas un groupe social identifié. Si c'était le cas, il suffirait de négocier ses revendications pour qu'il cesse d'exister.
Le gouvernement et les médias persistent à faire croire à la population, que les « Gilets Jaunes » sont un groupe social identifié. Si l'on poursuit la logique de cette représentation fallacieuse, alors les « Gilets Jaunes » représentent un groupe social composé de toute la population française. (+de 80% dit-on)

Quelque soit la façon d'évoquer les « Gilets Jaunes », il sont tout simplement le peuple. C'est pour cela qu'il ne peut y avoir de porte parole. Un porte parole s'applique à un groupe social singulier qui porte la parole d'une revendication locale.
Ce qui correspond au mouvement du peuple tout entier, ce n'est pas un porte parole mais un représentant du peuple tout entier.

Et nous y voilà.
Qui est le représentant du peuple tout entier ?
Mais c'est l’Élu du peuple, c'est à dire Macron lui-même.

En conséquence tant que la confusion est alimenté dans les esprits, ni Macron ni le peuple ne peuvent se parler. Le seul vecteur d'échange entre le peuple et celui qui devrait porter sa parole ce sont les actes. C'est pourquoi toute personne qui se qualifierait elle-même, porte parole des « Gilets Jaunes » serait un leurre crée de toute pièce par la presse, Macron et ses ouailles.  

Si le peuple se soulève ce n'est pas en raison d'une revendication particulière ou générale. Si le peuple se soulève c'est précisément pour reconstruire la représentation de l'élu qui porte sa parole. Force est de constater que celle de Macron ne porte pas la parole du peuple.

Avant l'allocution de Macron à la télévision, l’inadéquation entre la parole de Macron et sa politique avec l'aspiration du peuple était devenue flagrante dans tous les esprits. Tout le monde a compris le détournement de l'assemblée nationale qu'a effectué Macron. A ce sujet, il est utile de rappeler que dans la République, les députés se doivent de représenter les voix du peuple et ses aspirations. Au lieu de cela, plus que jamais, l'assemblé ne porte que la parole de Macron sans celle de ses apôtres qui eux, n'en ont pas.
Ainsi plus que jamais, la Démocratie est trahie et la République est brisée.
Voilà comment le suffrage universel, en proposant toujours de choisir entre le pire et le moins pire, à conduit les citoyens de ce pays au pire.

Depuis l'allocution de Macron à la télévision, nous comprenons la nature de cette inadéquation majeur entre le peuple et son représentant : « l'élu du peuple »
  1. Macron ne porte que la parole de quelques privilégiés de la finance.
  2. Macron persiste à tricher avec le peuple, à lui mentir, à le mépriser, à le menacer et à ne rien comprendre à ce qui se passe sous son nez. Ce serait se méprendre que de croire un instant qu'il comprend ce qui se passe et choisi sciemment cette politique.
On nous fait savoir que le mouvement des « Gilets Jaunes » dénonce une chose et son contraire. Rien n'est plus faux. Puisque celui qui se doit de porter sa voix ne parle jamais au non du peuple, et que le mouvement des « Gilets Jaunes » c'est le peuple qui s'exprime lui-même directement, alors, par les actes, il est naturel que toutes les voix individuelles soient aussi variées que le sont les situations des gens.

Donner aux voix individuelles des gens le statut de paroles des « Gilets Jaunes », c'est une tactique naïve et puérile de la part de la sphère politico-médiatique de créer artificiellement un porte parole. La tactique de création artificielle d'un porte parole donne l'opportunité au pouvoir politique via les médias, d'attaquer la légitimité des « Gilets Jaunes » comme étant l'expression du peuple, et de ramener le soulèvement citoyen au statut d'un groupe social qu'il est aisé d'abattre.

Non, les « Gilets Jaunes » qui prennent la parole toujours à juste raison, disent deux choses distinctes. La colère profonde de tous les cas particuliers et la « révolution » Républicaine.

La colère profonde vient de la conscience aiguë de l'injustice sociale chez tous les citoyens.
La révolution Républicaine vient de la conscience aiguë de l'impossibilité structurelle de mettre en place un élu du peuple qui porte la parole du peuple.

De ces deux prises de conscience émane en deux points fondamentaux, l'attente des « Gilets Jaunes », c'est à dire l'attente du peuple Français tout entier.
  1. La justice sociale : Ce point appel le PARTAGE ÉQUITABLE entre tous, des fruits du travail des citoyens.
  2. Le référendum révocatoire : Ce point appel une RÉVISION CONSTITUTIONNELLE qui redonne au peuple
    • La parole décisionnaire en matière de politique, d'économie, de souveraineté.
    • La capacité du peuple de révoquer un élu si comme Macron il n'est plus au service du peuple et ne porte plus sa parole.
    • Et j'ajoute personnellement
      • L'interdiction sans appel du financement privé des partis politiques.
      • Obligation faite à la télévision publique de garantir le même temps de présence aux hommes politiques tout au long de l'année. A ce sujet, le seul politicien qui cultive l'ennemi juré de Macron, c'est Asselineau au sein de l'UPR. C'est pourquoi il est rendu inexistant par les médias.
On voit bien que l'attente ou la demande des « Gilets Jaunes est parfaitement structurée et cohérente. Mais pour le reconnaître, le gouvernement et les médias, doivent cesser de nier la vraie nature de ce sursaut citoyen face au cassage de leur République.

Le referendum et la justice sociale sont très exactement impensables dans la stratégie politique de Macron.
Alors de quoi veut-il parler ?
Qu'est-ce qu'il veut négocier avec le peuple de France ?

Adoptant lui-même la position de revendiquer sa haute trahison envers le peuple, il évacue de faite tous sujets de parole ni objet de négociation de l'espace d'échange entre le peuple lui même. Pour ce qui est en jeu, le seul objet de parole entre le gouvernement et les citoyens c'est l'abdication de Macron. Comment et quand sont le seul sujet d'échange entre Macron et le peuple trahi.
Pour l'heure, la posture de Macron n'est qu'une déclaration de guerre envers le peuple de France. Le gant sera relevé ou non. Seule l'avenir le dira.

Les deux prises de conscience que sont la nécessite du référendum et de la justice sociale, dans l'esprit des gens du peuple, ne date pas d'hier. Mais sous Macron cette double prise de conscience a atteint son paroxysme. La bêtise politique de Macron, son engagement sur le traité de Marrakech alors que nuls élus étrangers n'ignorent que sa signature ne peut pas engager le peuple Français sur le fond, sa haine viscérale pour le peuple mêlé du mépris systématique qu'il compose à son endroit, l'humiliation systématique des gens par ses petites phrases arrogantes, l'ont dénoncé plus vite que les autres, et ont fini par le rendre obsolète et incompatible avec le peuple et la République Française.l
Pour communiquer avec le peuple après l'avoir mépriser par le silence, il se met en scène dans un personnage de cire, un personnage cadavérique, un personnage sans vie sans émotions sans âme qui profère des menaces des mensonges et des absurdités comme la posture d'un enfant contrarié dans ses caprices. Voilà qui est Macron, cette erreur du suffrage universelle.

Les « Gilets Jaunes » ce n'est pas un parti politique, ce n'est que le peuple qui construit sa voie.
L’élu du suffrage universelle est choisi pour porter la voix du peuple. Macron ne la porte pas. Voilà pourquoi il n'existe aucun porte parole, ni aucun motif de négociation.

Voilà pourquoi, Macron doit partir, avec élégance ou sans honneur.
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Annexes:
  1. La clef de la « honte d'être pauvre » n'est pas le manque de pouvoir d'achat mais l'écart entre riches et pauvres. Quand l'écart est faible il y a de la solidarité. Quand l'écart est grand il y a de l'exclusion. Dans les deux cas c'est le principe de Rétention qui les nourri.
  2. L'internationnal des Gilets Jaunes
  3. Signification métaphysique du mouvement :Nous assistons aux prémisses de la révolution ontologique. C'est pourquoi le mouvement est mondial. La révolution ontologique est la remise en cause du principe de rétention qui commande le rapport de prédation dans les politiques et les consciences comme seul rapport de sécurité individuelle et collective. Mais les peuples ne le savent pas encore. Quand ils le comprendront, c'est à dire quant ils identifieront le principe de rétention, alors l'ontologie sera révisée pour faire toute sa place au féminin. A cette condition, "l'autre de l'homme" (in Genèse...) comme concept émergera partout et obligera le principe de sécurité à s'appuyer non pas sur la rétention mais sur le partage. En effet, le principe de partage ne peut pas exister sans que le principe de l'autre (le féminin) n'émerge dans l'ontologie.





mardi 11 décembre 2018

Le Macronomicon: Les médias

Les médias tentent de retourner l'opinion en rependant l'idée que la population est satisfaite du discours de Macron. Ce n'est pas plus la vérité que le propos de Macron n'est le changement de politique attendu. Quand les médias sont au service d'un menteur professionnel de quelle vérité osent-ils se prévaloir?

L'intox des médias devient insupportable. Bien sur que non, le discours de Macron n'a pas fait changer d'avis les français sur l'utilité des Gilets Jaunes pour réparer la République. Cette information c'est de l'intox. Comme la Dette, c'est de l'intox aussi, puisque le concept de dette ne s'applique pas à un état souverain. Le discours de Macron c'est de l'intox à tous les niveaux parce qu'il protège toujours les riches, et qu'il demande toujours à "ceux qui ne sont rien" de payer ceux qui sont moins que rien. Qui est dupe?

Les médias veulent donner des mots d'ordre, c'est leur rôle de dire aux gens ce qu'ils doivent penser. Les citoyens sont des victimes du "système" politico-médiatique. Ils sont conditionnés à déléguer aux médias leur capacité de penser comme on délègue le pain au boulanger et la maçonnerie au maçon.
Le principe de délégation et la confiance qui en découle, forment le fondement naturel de l'humain.C'est pourquoi à l’échelle politique (et dans le paradigme de rétention), il n'y a pas de réussite possible sans trahison. (...) . Alors raison de plus pour redoubler de présence ici et là.

Contrairement à la propagande médiatique, force est de constater que le mouvement des Gilets Jaunes s'affirme partout. Il devient Européen et même au delà. Ce qui montre que le point d'origine du « malaise » est l'Union Européenne. Le débat sur le FREXIT est donc absolument fondamental. Tellement fondamental que les médias censurent la question.
En rendant le FREXIT inaudible et invisible, L'arme fatale contre Macron et son dieu (l'UE) n'existe pas dans les esprits.

Tout le monde sait que la politique de Macron lui est dictée par l'exigence de Maastricht; alors pourquoi si peu de place au FREXIT? La véritable stratégie "anti-macronisme" (anti-Maastricht) c'est le FREXIT.
En attendant, Macron doit partir. Il sert l'UE et la servira toujours. Jamais il ne servira les citoyens de son pays. Ce n'est pas son rôle; ni sa place. N'oublions pas qu'il est arrivé aux affaires par une faille du suffrage universel (les bulletins blancs...). Virer Macron sans FREXIT ne servira politiquement à rien du tout. Il est vain de dénoncer les effets sans identifier et combattre la cause. L'UE est un amplificateur de déshumanisation et de paupérisation. «Qui se trompe d'ennemi renforce son ennemi».

Les médias sont en vérité le premier pouvoir, c'est pourquoi il sont mis aux ordres du pouvoir. Il serait utile de penser un cahier des charges pour exiger des médias un débat national sur cette question afin de les mettre, de force s'il le faut, au service des citoyens.

La pression sur les médias dans le but de donner la parole aux partisans du FREXIT est à mon avis le moyen à privilégier pour faire avancer la cause du peuple français, en nourrissant les citoyens avec un vrai débat de fond.

Le Macronomicon "Réplique"

Quelle Honte de prétendre œuvrer au bien du peuple en donnant un petit coup de pouce ici et là. Un coup de pouce? Quel mépris, c'est jeter un os aux chiens qui aboient trop fort. Le reste de son discours n'est que du vent, de la rhétorique. En vérité Macron ne lâche rien. Je m'explique. 
Les mesures qui sont énoncées ici seront très vite compensées par le libéralisme des prix de l'énergie et de l'immobilier. Sans contrôle de ces prix là, il n'y a pas de croissance du pouvoir d'achat pérenne. Donner un revenu supplémentaire aux ayant droits du RSA et du SMIC de 200€ ne coûterait que 7 milliards. En face il y a 80 Milliards de fraude des riches et pas un mots pour lutter contre cette évasion fiscale, sans compter le cadeaux insensé donné aux entreprises par le CICE qui sert aussi à leur rembourser les hausses de salaires sur nos impôts. Sans compter les 21 milliards que l'on donne à l'UE contre 13 Milliards de subventions, ... etc... etc...etc... etc... La politique de l'UE est toujours d'actualité. Dans la tempête, Macron a compris qu'il fallait lâcher un peu de mou.. Laisser filer... Quelques temps. Pas un mot sur le FREXIT et le débat public sur cette question. L'économie se joue sur des échéances très longues. Un ans ou deux de petits SMIC et de petite CSG, ce n'est pas cher payer pour casser ce mouvement. Mais comprenez bien que sans sortir de l'UE, RIEN ne changera. Et si  Macron augmente un peu le revenu des plus faibles, sans contrôle des prix de l’énergie et de l'immobilier, sans indexer les revenus sur l'inflation, la vraie celle du porte monnaie qui frise les 3% ici et les dépasse ailleurs,  il n'y a pas de croissance du pouvoir d'achat possible. Nous sommes en République. Nous demandons un parlement qui représente le Peuple de France et non le gouvernement, et un élu démocratiquement et non par une faille du suffrage universel. Un élu qui porte les attentes du peuple français et fait honneur au pays. Un élu capable de veiller à la politique voulu par le peuple et non voulu par Maastricht. Macron doit partir. Sa politique actuelle est le contraire de sa campagne électorale. C'est ce qui a déclenché la tempête jaune. Cette tempête se répercute partout en Europe et dans le monde, ce qui prouve que c'est bien la politique Européenne (qui relaie la finance mondiale) qui est anti-citoyens. L'honneur du Président c'est de reconnaître l’échec de sa politique et l'échec de l'abandon de la souveraineté de la France alors qu'il en est le gardien. Trahir sa trahison ne refait pas le juste.

Video===> Discours du 11-12-2018 du président

lundi 10 décembre 2018

Le Macronomicon « Le Mouvement »

QUESTION : Faut-il structurer le mouvement des Gilets Jaunes ? .
Ma réponse est NON. Surtout pas
Pourquoi ?
  1. Le mouvement est une réponse spontanée des citoyens. Ils se représentent tous comme un seul corps.
    L'état autiste trouve en face de lui un mouvement sans porte parole, ce qui l'oblige à répondre aux citoyens par des actes. L'état veut entraîner les citoyens de ce mouvement sur son terrain, celui de la rhétorique où il excelle pour pouvoir le combattre. Sans porte parole le mouvement est invincible.
    En vérité l’État n'est pas désireux de négocier parce qu'il n'y a rien à négocier. L’État voit entend et comprend. C'est une volonté politique de ne pas agir, et c'est une tactique de vouloir un porte parole. Depuis quand la proie (le peuple) négocie avec son prédateur (L’état)
    Structurer c'est donner à l’État un porte parole c'est à dire les moyens de tuer le mouvement.
  2. Il existe de part le pays milles mouvements qui tous participent de la même colère et de la même attente. Augmentation du pouvoir d'achat tout de suite, chasse à la fraude, Isf (etc...) et redonner le pouvoir législatif au peuple.
    Si des mouvements se structurent localement, ils seront fatalement en concurrence avec ceux qui ne le sont pas. Le mouvement ne sera plus global, et il sera divisé et hiérarchisé c'est à dire globalement affaibli.
Presque aucun gilet jaune n'est de taille face à la rhétorique politique et médiatique. Ce mouvement doit continuer sans interlocuteur. Un interlocuteur c'est donner au gouvernement une tête à couper.

MES REVENDICATIONS CLEFS

1/ Le comptage des bulletins blancs dans la catégories des bulletins exprimés, simplement parce que c'est la vérité.
IMPOSONS A NOS DÉPUTES DE FORMULER UNE LOI DE REFORME DU SCRUTIN DANS CE SENS.

2/ Décaler les élections législatives par rapport au quinquennat présidentiel, soit avec une échéance plus courte, soit avec une échéance plus longue, afin de rétablir le débat démocratique national
EXIGEONS DE NOS DÉPUTÉS UNE REFORME DANS CE SENS.

3/ Ouvrir le débat national sur le FREXIT avec l'UPR qui est le seul parti politique complètement censuré par les médias et qui maîtrise complètement le sujet.
IMPOSONS AUX MÉDIAS FINANCÉS PAR NOS IMPÔTS DE RÉALISER LE DÉBAT D’IDÉES SUR CETTE QUESTION DE LA PLUS HAUTE IMPORTANCE.

4/ Favoriser le droits des femmes à disposer d'elles mêmes sans conditions et sans appel.
Pour préparer l'avenir des civilisations. Il est absolument indispensable de commencer la mutation de nos modes de penser. En créant le principe de « l'autre de l'homme » à l’échelle de l'ontologie, on crée à cette échelle le concept de partage pour la simple raison que si l'autre n'existe pas, le concept du partage est sans objet. Or, il est question de fonder les politiques et les économies non plus sur la rétention mais sur le partage. Sans cette mutation, en restant gouverné par le principe de « rétention » et celui du« mérite » toutes réformes de quelques domaines que ce soit seront toujours à plus ou moins long terme défaites.
HORS PARTAGE,EN RESTANT DANS LA RÉTENTION, PAS D'ÉCOLOGIE ÉTHIQUE POSSIBLE AU BÉNÉFICE DE LA VIE SUR CETTE PLANÈTE, ET FIN ASSUREE DES CIVILISATIONS OCCIDENTALES.


samedi 8 décembre 2018

Le Macronomicon : « Petit Lexique Jaune »


À la radio, sur les écrans, nous entendons tout et son contraire à propos des « Gilets Jaunes »
- « Mais c'est quoi les Gilets Jaunes » ?
Demandent agacés les journalistes pressés de sidérer leur interlocuteur et de s'assurer de garder leur job. Les gilets Jaunes qui causent, causent très bien et savent répondre à cette intimidation professionnelle.

A cette questions, les politiques tournent autour du pot. Ils tentent de ne déplaire ni aux « Gilets Jaunes » ni aux dirigeants. Il y aura bien un jour une circonstance par laquelle il pourront tirer les marrons du feu.
A l'instar de Macron, les syndicats ont échoué à défendre l’intérêt des gens. Ils ne se contentent que de négocier en ordre dispersé la paupérisation des classes les plus faibles. Ils ne savent pas dire « NON ». Ils ont toujours accompagné la classe dirigeante comme une soupape de décompression. C'est de cette soupape dont Macron l'enfant Roi, le plus stupide Président de toutes les Républiques, s'est privé. Quant aux politiciens de gauche, ils ne savent que trahir...
Rappelons nous Hollande : « Mon ennemi c'est la finance... ! ». Puis 3 mois après son accession au trône, il nous chie : « .. Ah mais, on m'avait caché l’état de la France »
Et le voilà aujourd'hui qui se représente devant les Français comme le sauveur, lui ce malfaisant de gauche qui s'est nourri de Macron pour orchestrer sa politique de droite.

Les intellectuels et autres chercheurs et politiciens, dont le discours est vraiment dissonant, mais parlent vrai, ont de moins en moins droit au chapitre comme Emmanuel Todd, ou jamais comme François Asselineau et jamais plus jamais, comme envers Michel Onfray ; et j'en passe. Même Zeimour voit son audience baisser. Mais lui il peut encore servir tant que les médias arrivent à le maintenir dans le rôle de l'épouvantail d’extrême droite.

Aux MEDIAS
Les hommes politiques, chercheurs et autres intellectuels, n'ont pas besoin de s'aimer et d'être d'accord entre eux pour élaborer des analystes fondées. Ils ont juste besoin d'être intelligent. Alors je lance un appel aux chaînes publiques et grands journaux pour ouvrir une tribune à toutes les personnalités qui ont une alternative politique et économique à exposer à la population pour en débattre et nourrir les esprits.

Je rêve ? Non, pas du tout. Le gouvernement est dans les choux non seulement aux yeux du peuple de France mais de tous les autres gouvernements de part le monde. Aux yeux de nombreux pays, Macron, est la honte de la République, tandis que les Gilets Jaunes, partout hors des frontières, font la fierté de la France et des Français.

A cette question : « Mais c'est quoi les Gilets Jaunes » ?
C'est à dire « D'où viennent-ils ? », « Qui sont-ils ? » , « Que veulent-ils ? » etc, le plus simple est d'ouvrir sa sensibilité à la souffrance profonde et l'immense l'inquiétude des gens qui composent leur rangs.
Le plus simple c'est de renoncer à une attitude comptable de la moralité ou de l'argent.
Une telle attitude face à la parole des « Gilets Jaunes » est indigne en conscience, des pouvoirs publics et des médias. Comment oser quantifier la misère pour la relativiser et la justifier alors que le fruit du travail est immense ?
Cette perception est monstrueuse quand on se laisse porter par notre humanité ou simplement par la raison « comptable » honnête.C'est pourtant cette attitude comptable qui est le regard essentiel posé sur ce mouvement. Pourquoi la perception est-elle si liée à la nécessaire prédation et au mépris sans lequel la prédation n'est pas possible humainement ? (voir plus bas)

Par exemple : Si on augmente le SMIC, il y a des problèmes nous font savoir les économistes, les politiciens, les syndicats, etc... Les entreprises vont souffrir etc ? Mais de qui se moque t-on ? ASSEZ CA SUFFIT... ! (voir tableau en bas)

Qu'est ce que les « gilets Jaunes » ?:
Ce Mouvement est une dénonciation au principe des privilèges qui a survécu à la République.
« Les Laborieux, les sans dents, ceux qui ne sont rien etc... » se révoltent ?
« Mais cela ne se peut pas.... ! »
« C'est nous les nobles. Le monde est le notre. On les tolère à notre service et ils ne sont pas contents ? »
« Et qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Et qu'est-ce qu'on fait maintenant ? Demande Macron à ses apôtres ? »
« Tu te casses, lui répondent les gilets Jaunes, TU TE CASSES... ! »

Alors ce mouvement des Gilets Jaunes qu'est-ce qu'il veut?
Il veut une renonciation au principe des privilèges qui a survécu à la République.
Croire que cette révolte relève de revendications qu'il suffirait d’exaucer pour le dissoudre est d'une coupable et impardonnable cécité.

Alors Mesdames et Messieurs les journalistes, faites votre devoir,construisez une antenne citoyenne à la disposition des interdits de paroles. Tous les interdits de paroles. Ne voyez-vous pas qu'entre un gouvernement autiste et un mouvement sans porte parole, c'est bien la communication qui manque cruellement. Et votre métier c'est quoi ?
Vous voulez, Mesdames et Messieurs les journalistes, persister dans la confiscation de la communication ? Vous aurez alors des actes en lieu et place des mots, mais vous garderez votre job...

Non, ce n'est pas avec Macron et ses disciples que le peuple veut parler et « négocier », c'est avec lui même.
A ce titre c'est vous les journalistes qui avez le premier rôle. À vous de savoir qui vous voulez servir, et ne nous la ramenez plus avec votre discours sur la neutralité de l’information, vous savez très bien que ça n'existe pas. Vous êtes aussi des « Gilets Jaunes » ne l'oubliez pas.
Et sur quoi la négociation porte t-elle si elle ne porte pas sur des revendications ? Elle porte sur la République.

Petit Lexique : à l'usage des aveugles et des mal-comprenants, des médias, des partis politiques et des syndicats.

  1. Qu'est-ce que les Gilets Jaunes : C'est d'abord le peuple tout entier qui se donne à se représenter lui-même. Les casseurs en font partie autant que Macron qui n'est que le premier casseur. La République a élevé ce casseur au rang de Président et par voie de conséquences, son action engendre « les Gilets Jaunes » .
    Ensuite, « Les Gilets Jaunes » c'est l'expression de la faillite du Suffrage universel. Les gilets Jaunes sont comme une réaction immunitaire contre une infection que le suffrage universel à laissé s'infiltrer, c'est pourquoi il faut le réformer.
  2. L'Union Européenne : C'est un amplificateur de violence économique et une dépossession de la politique souveraine, c'est à dire une dépossession de la République aux citoyens de France. On voit la dedans la source majeur du principe des Gilets Jaunes. La situation de dépossession des souverainetés est si répandu dans le monde que le principe des gilets Jaunes s'exprime un,peu partout.
  3. Le principe du mérite : Le mérite n'est autre que le prolongement dans toutes les consciences et les politiques, des « privilèges ». Il n'est pas compatible avec l'esprit de la République.
    La liberté citoyenne est égale pour tous oui ou non ? Et quel est l'unité de mesure de la liberté ? Si on y regarde avec distance, c'est bien la conquête de LIBERTE qui instaure « spontanément » les Gilets Jaunes , c'est à dire tout le peuple de France.
  4. Le Droit des Femmes à Disposer d'elles-mêmes : C'est l'agrandissement de l'espace de l'humanité par la transformation ontologique de l'humanité elle-même. « Le droit des femmes à disposer d'elles mêmes » crée au sommet du principe de l'humain, le dispositif indispensable à la création du concept de l'autre hors lequel le concept de partage s'effondre. « Le droit des femmes à disposer d'elles mêmes » crée dans les consciences le principe de partage à la place du principe de rétention Le principe de rétention dans lequel nous baignons tous et toutes à toutes les échelles, se traduit concrètement par la prédation aux commandes l'économie mondiale et l'UE.
    Concrètement, « Le droit des femmes à disposer d'elles même » se constitue en supprimant du code civile et du code pénale toutes les dispositions contraignantes en raison de l'appartenance au genre féminin. C'est ainsi que se constitue la reconnaissance de nature. Sans la reconnaissance de nature, toute égalité de droit conduit à l'abolition de nature par la confusion de nature.
    Dans l'équité (la reconnaissance de nature), peut s'exprimer la singularité du droit et l'égalité citoyenne.Le devoir d'une société envers un genre d'être (« femme » et « homme ») exige la reconnaissance d'une nature singulière. Aliéner la femme à l'homme est la culture de toutes les civilisations. Cette aliénation ne se distingue entre les civilisations que par une question de degrés, et ne saurait constituer une reconnaissance singulière, pas plus que l'esclave assimilé à un objet n'a de reconnaissance singulière qui satisfasse son humanité.
  5. Le coup de pousse : Quant il s'agit d'augmenter d'une misère le revenu des plus pauvres, les salariés du SMIC et les ayants droit au RSA, il est question d'un « coup de pousse ».
    Quand les pauvres aboient un peu trop fort, on leur jette un os comme à un chien pour les faire taire. C'est la signification de ce que syndicats, gouvernements et journalistes appellent « le coup de pousse ». Le « coup de pouce » , c'est un petit cadeau, pour calmer un petit caprice de chiourmes que les dirigeants en accord avec les syndicats s’arrangeront toujours pour récupérer avec une taxe par exemple. Vivre dignement, ce n'est pas un droit.
    Au fait, depuis quand les pauvres ont-ils des droits ? Toutes les lois Macrons depuis Hollande relèvent de l'abolition du droit initié par Sarkozy pour pouvoir agir librement pour Maastricht et contre les peuples.
    Recouvrer nos droits c'est reconquérir la République, c'est redevenir Citoyen de la République Démocratique et Indivisible de la France. C'est redevenir acteur de notre destin collectif. .... C'est ça les Gilets Jaunes. 
(Cliquer sur l'image pour l'agrandir)




jeudi 6 décembre 2018

Les Gilets Jaunes de la Violence

La violence des casseurs qui se mélangent aux Gilets Jaunes ? Parlons en.

Tous mouvements de foule agrège toutes sortes de composantes plus ou moins visibles. On ne remarque que les composantes qui dérangent comme la violence des casseurs.

Le mouvement des Gilets Jaunes, n'échappe pas à cette règle de composition. Dire que les casseurs ne sont pas représentatifs des Gilets Jaunes ne doit pas masquer le fait qu'ils y sont corrélés, et non l'inverse. Les casseurs sont simplement une composante plus visible que les adorateurs de l'oignon ou du fa dièse (si ça existe).

Les Gilets Jaunes c'est quoi au juste ? C'est le peuple souverain. Tout le peuple avec toutes ses composantes, y compris les joueurs de pétanques et les amateurs de BD. C'est le peuple souverain, tout entier, dans sa diversité et la richesse extraordinaire de sa prise de conscience.
C'est le peuple qui aurait dû être représenté en mai 2017 par le vainqueur du suffrage universel. Alors, comme il n'est ni représenté ni considéré, il se manifeste. il parle, il explique, il énonce, et il cogne quand en face de lui il n'existe que la surdité et le mépris.

Et pendant que Macron, est arrivé par effraction à l’Élysée, avec la complicité des médias, le peuple trinque. Il paye, il est pressurisé, exploité, ratissé, jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Mais Macron ne comprend pas. Il exige aveuglement encore et encore, et quand le peuple dit "ASSEZ", il veut encore et il lui répond par le mépris et l'humiliation.
Face au désarrois des gens, Macron ricane de toute sa perversité. Toujours.

Mais si ce n'était que cela ?

Tout en étant sur le fond illégitime, macron et ses disciples conduisent avec méthode, la plus grande violence qui soit, volontairement ciblée à l'endroit des plus faibles. Les vieux, les jeunes et les familles qui ont à perdre le peu qu'ils possèdent si jamais ils ouvrent la bouche pour autre chose que la pâtée pour chien qui leur sert de repas à la fin du mois. (NDA Ceci n'est pas un mot d'esprit mais la vérité)

A quand la comptabilité des suicides issues de sa politique ?
A quand la comptabilité des familles composées d'une mère avec enfants, qui après paiements de ses incompressibles, après paiement des taxes, tout en gagnant le SMIC ne peut pas donner à manger à ses enfants ? Elles sont légions ses familles là.

Voilà une composante des Gilets Jaunes,

Et vous voudriez qu'elle soit silencieuse. Mais le rassemblement n'est pas fait pour être silencieux, il vient précisément du silence dans lequel le confine les pouvoirs publics. Cette violence là de l'état sur personnes en grande fragilité est condamnable. Mais ou est la législation pour juger ces forbans qui assassinent le peuple ?

Voilà une autre composante de l'esprit des Gilets Jaunes ?

Alors la violence des casseurs qui sont aussi des citoyens en colère et qui s'expriment comme Macron, sans paroles dans la langue des actes, n'est que la moindre des violences. C'est une violence visible qui coûte de l'argent, celle de Macron est une violence invisible qui coûte des vies. Et visiblement, force est de constater que l'argent à plus de valeur que la vie dans la bouche des apôtres de Macron et dans celles des médias.

En l'état de surdité absolue de Macron et de sa clique qui je le répète usurpent l’Élysée et font honte à la France, pensez-vous Mesdames et Messieurs, qu’un cortège de Gilets Jaunes qui défilerait gentiment, bien en rang entre les trottoirs sur un parcours calibré, accordé par le Préfet, avant le soir venu, de sa disparition en silence; que croyez vous que le gouvernement en ferait ? Rien !

Maintenant, on nous fait savoir qu'il n'y a que le dialogue pour trouver une issue à la crise de démocratie. Mais un dialogue entre qui et qui ? Entre un peuple sans représentation et un gouvernement autiste ?
Et puis, les gens du gouvernement sont-ils si cons ou si débiles qu'ils ne voient pas de leur propre yeux la détresse des gens, et qu'ils éprouvent le besoin de discuter, de négocier sans avoir rien à offrir que des menaces éventuellement différées ?
Pour discuter, pour négocier, il faut d'abord éprouver du respect pour les gens.

Et puis négocier quoi ? Les termes de l'injustice sociale à laquelle le peuple doit se soumettre ?
Négocier l'injustice sociale, c'est le travail des syndicats et des partis politique de gauche. Pas des Gilets Jaunes.

Heureusement, la force des Gilets Jaunes c'est précisément d'être le reflet sans tête d'un gouvernement sans conscience.

LA FOULE
Une foule spontanée, est toujours l'expression de l'inconscient des gens qu'elle agrège. Si c'est la colère qui au naturel est refoulée, ou sublimée, c'est la foule qui donnera à cette colère le chemin de son expression.
Il y a dans l'inconscient de la foule toutes les composantes du corps social, y compris la colère. Or en l’occurrence c'est la colère qui dans la foule des Gilets Jaunes sort de l'inconscient comme le loup sort du bois pour s'exprimer en pleine lumière.

Cette violence est précisément celle à laquelle le citoyen renonce pour la confier à l'état. Le contrat social est validé quand l'état use de cette violence dans la justice sociale. Mais si l'état met sa capacité de violence que le peuple lui a accordé au service de l'injustice, alors le contrat social est rompu et le peuple reprend le contrôle de la violence.

C'est surtout ça les Gilets Jaunes.

Pour mettre un terme à la « Jacquerie », la seule chose que le gouvernement peut faire, c'est d'écouter le peuple ou partir. Mais le gouvernement à grillé la proposition « écouter »
Il ne lui reste plus que « partir »... Et le plus vite sera le mieux.