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mercredi 30 septembre 2020

Actualités Septembre 2020

01 septembre 2020 - 2022 dès maintenant

Macron a détruit tous les contre-pouvoirs indispensables à la démocratie. Il s'est arrogé les pleins pouvoir. Il pilote à sa guise le parlement les juges et toutes les institutions en collaboration avec les lobbys.

Macron a pris soin de détruire toutes les représentations de groupes sociaux avant l'introduction du covidisme et l'autorité d'une dictature basée sur la manipulation mentale de la population (peur, mensonge, violences. Passe droits, contradictions, menace....)

Jusqu'à aujourd'hui, la population privée de mots d'ordres est rendu visiblement impossible à fédérer contre le macronisme. La propagande bat son plein. Elle fait l'apologie de l'UE, elle répand la supercherie du covidisme sans le moindre débat contradictoire. ...

Il faut t'être lucide, la bulle Internet de contestation ne peut avoir aucun impact sur la société et la politique car cette bulle est refermée sur elle-même. Croire qu'internet peut remplacer l'impact des grands médias est un égarement funeste.
Pour l'essentiel, internet n'est que la catharsis illusoire de l'activité de contestation. 

Je crois qu'il est urgent de prendre un peu d'avance et de préparer les urnes de 2022 par le FREXIT ou le boycott.
Le boycott doit être envisagé car une élection sans FREXIT sera obligatoirement l'élection d'un Macron numéro 2.
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01 septembre 2020 - LA QUESTION QUI TUE

   La question ontologique : "Qu'est-ce ça veut dire d'être un humain ? " Se pose aujourd'hui à l'humanité.
   Au lieu de la traiter par le dialogue publique, le Covidisme la traite par les actes non dans le but et d'y répondre mais de l'éluder.

   LE VACCIN DU TRANSHUMANISME
   Contre le virus covid, les pouvoirs publics introduisent un vaccin. C'est un vaccin à ARN. Avec ce vaccin nous assistons au balbutiements de l'ambition transhumaniste...
   À long terme le vaccin anti-covid  impacterai le génome humain car il intervient directement à l'intérieur de la cellule.
   Contrairement à un vaccin qui reste à l'extérieur des cellules, l'ARN pénètre la cellule. C'est un moyen d'utiliser la cellule pour qu'elle produise un travail spécifique. Quel travail l'ARN demande t-elle à la cellule d'exécuter ?

   Contre un virus si peu répandu à la virulence douteuse, ce vaccin est conçu pour être répété. Quel est son impact à long terme sur le génome humain? 
   Est-il susceptible de transformer la gamétogenèse ? Si c'est le cas il impactera définitivement le code génétique humain pour les générations futures. Cette question reste ouverte.
  
   Ces questions sont légitimes dans la mesure où le vaccin sera répété périodiquement tout au long de la vie (Nda : ... Sinon où serait le bénéfice...?)

   Soyons pragmatique. L'humanité n'échappera pas à ce genre d'évolution. Elle est la suite logique du cheminement technologique de l'humanité qui la porte vers le transhumanisme. Mais le transhumanisme véritable n'est pas dans la technologie, il est dans l'ontologie. 

   Chaque évolution technologique entraîne le changement de la perception du monde et du soi par la transformation du rapport au monde. Avec l'avènement du feu et de la roue, les humains ont changé radicalement de monde. 
...Fabrication d'outils, conquêtes géographiques, transformation de l'environnement. On ne voit là-dedans que le parcours technologique de l'humanité. Mais à chaque marche technologique, une transformation de lui-même s'opère à la marge. Avec le progrès technologique, l'écart entre la nature humaine et le niveau technologique se creuse. Par exemple aux âges préhistoriques tous les êtres humains comprennent le feu et la roue au quotidien.
   Qui aujourd'hui comprend la technologie usuelle qu'il emploi au quotidien? Et si l'on fait la transposition du feu à l'atome, l'évolution ontologique de l'humain concomitante à l'évolution technologique est aujourd'hui négligeable. 

Chaque évolution technologique est accompagnée par une évolution ontologique. La connaissance du feu n'implique pas que l'on doive tout brûler. L'avènement du bulldozer suppose assez de conscience pour ne pas tout détruire avec etc.
Mais plus le progrès technologique avance plus il échappe à la conscience de son usage. Le schisme entre le progrès technologique que constitue la biologie, échappe totalement à l'état de la conscience humaine. Tout se passe comme si des enfants avait appris affaire des explosifs pour jouer avec.

   Le fantasme qui consiste à mêler le progrès humain et le progrès technologique consiste en vérité à stopper l'humanité, à la noyer dans un fonctionnalisme maîtrisé et maîtrisable qui soustrait l'humain à sa propre existence et l'affranchie de la vie elle même.
   Le vaccin représente une évolution technologique, sauf qu'en l'occurrence l'évolution ontologique associée n'est plus à la marge. Par le jeu du paradigme de rétention en un vase clos, à la recherche d'un objet de prédation, l'effet de l’évolution technologique sur le progrès humain s'est inversée. Au lieu de servir l'humain par la conquête, les territoires, l'évolution technologique fait de l'humain son objet de conquête. C'est ça qu'on appelle le transhumanisme.

   Si les progrès technologiques persistent à s'effectuer dans le paradigme de rétention qui pilote depuis toujours son évolution, l'humanité programme son autodestruction. 

   DE QUOI LE COVIDISME EST-IL LE NOM ?
  Jeter la pierre à un groupe social ou un autre (La gauche, la droite, les financiers, les politiciens, les journalistes, le gouvernement profond, le peuple, les riches, les pauvres, etc etc...) c'est éviter de comprendre la situation et de la résoudre.

   Il y a les effets et les cause du covidisme. Confondre les effets et les causes ne mène nulle part. C'est pourquoi il est indispensable de les nommer. Ne pas nommer les choses interdit la distinction des effets et des causes. 

   S'il cause beaucoup de dégâts sur les libertés, le Covidisme est fondamentalement un effet. 
Appréhender les effets du paradigme de rétention c'est faire de "l'éthno-philosophie"(1) sans le dire. De même, regarder le ciel et comprendre qu'il va pleuvoir s'est faire de la météorologie sans se le dire. Mais puisque le sujet du Covidisme n'est pas habituel, il faut bien nommer les choses pour le traiter. 
   Il s'agit de comprendre comment et pourquoi le paradigme de rétention fixe les rôles les ambitions et les comportements de tous les acteurs grands et petits qui composent l'humanité. 
   Le paradigme de rétention détermine la puissance des groupes humains les uns par rapport aux autres et dans l'absolue, c'est-à-dire par rapport au reste du monde. Il hiérarchise les groupes humains. Il fixe la structure pyramidale du pouvoir. Cette structure est conçue, voulue, reconnue, et défendue par tous les humains.

   Lutter contre les effets du covidisme ou de quoi que ce soit d'autre, est un combat perdu d'avance. S'il s'agit de combattre le covidisme, il s'agit de combattre sa cause. 
   La lutte contre le Covidisme ne consiste pas en une confrontation musclée entre les pour et les contre, mais à son renoncement naturel par une compréhension de ce qui le sous-tend, à savoir un paradigme de rétention qui a atteint son objectif et auquel l'humanité doit renoncer au risque de devenir l'objet de sa propre rétention.

   Remonter aux causes du paradigme de rétention c'est interroger l'ontologie, à savoir:  "Qu'est-ce que ça veut dire d'être un humain?". 

   Aujourd'hui, contrairement à l'apparence usuelle, le vaccin du covidisme traite aussi de la question : "Qu'est-ce que ça veut dire être un humain ?" Parce que c'est cette question qui se pose aujourd'hui à l'humanité ; pas une autre !

   Dans la Rétention, le Covidisme est la seule voie possible qui se dégage à l'humanité pour qu'elle se pose cette question. Le problème formulé de façon concrète  et factuelle par le Covidisme doit être posé de façon verbale à l'échelle ontologique de l'humanité. 
   À l'intérieur de la rétention, dans sa forme factuelle, la question de l'ontologie ne peut être traitée qu'au débit de l'humanité. 

   TRANSFORMATION
   Lorsqu'un système change d'état, selon qu'il baigne dans le feu ou dans l'eau, ne donne pas le même résultat. 

   Au début il faut le feu et l'enclume pour modeler la lame, ensuite il faut l'eau pour la durcir. 
   Si l'on maintient le feu et l'enclume au moment où il faut la durcir dans l'eau la lame sera détruite.
   Il en va de même pour l'humanité. Si l'on maintient le principe de délégation dans le paradigme de rétention, l'humanité sera détruite.

   Le changement d'état de l'humanité dans la rétention permet la conquête, la transformation de l'environnement c'est-à-dire la destruction naturelle du dit environnement pour l'adapter aux besoins de l'humanité selon l'état juvénile qui la manifeste. L'état de désordre et de destruction dans lequel l'humanité a mis la nature n'est plus à démontrer.

Dans la mondialité, l'homme a conquis tous les espaces et tous les territoires. Il ne reste plus maintenant à l'homme qu'à se conquérir lui-même.
   Le Covidisme est un phénomène mondiale. Dans le principe de rétention, il est la préfiguration de cet élan naturel de conquête de lui-même par lui-même. La conquête de lui-même qui a toujours été à la marge de ses conquêtes technologiques, doit aujourd'hui être pris en considération et doit primer sur la conquête technologique.

   A l'étape de la transformation de l'humain par lui-même, c'est-à-dire dans la mondialité avérée, le changement d'état de l'humain dans la rétention, produira sa transformation destructrice. À cette étape de l'évolution de l'humanité, le paradigme de rétention n'est plus adapté au progrès des humains. L'humanité doit choisir la maturation et non persister dans la prédation. C'est pourquoi il doit identifier le paradigme de rétention et s'efforcer de le transformer pour se transformer lui-même. Encore une fois c'est ça le transhumanisme véritable.

   C'est pourquoi j'affirme persiste et signe que la révolution doit être ontologique pour que l'humanité survive à elle-même.
    La vraie question est comment identifier, interroger et remplacer le principe de rétention ?
   La réponse dans son expression factuelle, existe, elle est sous notre nez depuis l'aube des temps, elle est très simple, mais hélas contre-intuitive et inadmissible.
   Son expression factuelle amènera les humains à ouvrir les yeux sur la question de l'ontologie. La transformation du paradigme de rétention sera automatiquement assurée en une génération. 
   Mais tant que la question du Covidisme continuera de masquer la question ontologique, les humains aurons les yeux fermés sur la réponse qui leur crève les yeux...

   L'ETAT DE PUISSANCE 
   Les politiques et financiers profitent de leur état de puissance considérable pour infléchir le destin de l'humanité. Vouloir la maîtrise au niveau de son état de puissance est le lot de tous les humains.

   Avec l'évolution de l'humanité dans le paradigme de rétention, l'état de puissance de quelques-uns est devenu si gigantesque (puissance politique = puissance économique) que leur objet de maîtrise est l'humanité tout entière.
   Mais cette maîtrise rendu possible sur le monde entier par quelques-uns, ce n'est pas un effet de leur volonté, mais un effet de l'évolution de l'humanité dans le paradigme de rétention.

   La question n'est pas la dénonciation de leur état de puissance mais l'identification du paradigme de rétention qui l'a rendu possible.
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   (1) Ethnophilosophie : concept ad-oc pour traiter le phénomène du covidisme seulement selon ses effets, c'est-à-dire comme une collection de phénomènes sans causes
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03-09-2020 Les connaissances

Histoire de se distraire un peu des tribulations honteuses du petit bonhomme national plus ou moins masqué.
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Pourquoi la seule connaissance validée est celle issue de la raison ?
Parce que l'humanité en est encore au stade de la maîtrise à laquelle il est incapable de concevoir une alternative. C'est pourquoi le transhumanisme se parle dans la technologie.
Le monde qu'il constitue et qui le constituent émane de l'interaction qui s'établit entre ses sens et le réel inconnaissable. Mais le réel s'étend au-delà du monde. La marche des humains ne fait que commencer.

RAISON ET CONNAISSANCE :
La rationalité est une forme d'accès à la connaissance par la prééminence exclusive de la maîtrise et du contrôle. C'est a cet espace "scalaire" de la connaissance que se contraint et se limite l'esprit humain quand il est gouverné par le paradigme de rétention.

Cependant, une connaissance est assimilée quand extraite de la rationalité, elle est investie par le sensible. Par exemple, sans être rationnel l'art relève de la connaissance. Il fait découvrir des rapports dont la rationalité ne saurait rendre compte.
Le monde est constitué de ce qui se rapporte au sensible et de ce qui se rapporte à la raison.
La beauté d'une colonne Grec par exemple ne se comprend pas avec la raison mais avec le sensible.
Une équation ne relève pas du sensible mais de la raison. La beauté n'entre pas dans le champ de la raison pas plus qu'une équation ne relève de l'émotion.
Cependant il est remarquable de constater qu'une équation n'est qualifiée de "comprise" que lorsqu'elle est investi secrètement par le sensible.
En toutes choses, l'opération de "comprendre" commence par la raison pour investir le sensible.

La rationalité comme moyen de connaissance est le chemin le plus étroit et le plus exigu qui soit.  Mais il est le seul qui soit praticable par un "esprit" encore juvénile. Et de ce fait la rationalité ne forme que le monde le plus étroit et le plus exigu nécessaire et suffisant pour exercer de la maîtrise.
Vis-à-vis de l'entièreté du réel tout à fait insondable par les sens, il est établit par les rationalistes eux-mêmes que l'idée de maîtrise est illusoire, car elle ne concerne que les apparences, le factuel. La rationalité est une étape. Elle n'est pas une porte fermée mais ouverte sur son propre dépassement.

LA RÉTENTION :
La raison est un artifice. Elle est la construction de l'esprit complexe, dont le somment est inaccessible au plus grand nombre. Là-dedans, la raison a pour fonction de distinguer les sachants des ignorants pour produire un rapport de délégation inconditionnel. La domination est un avatar du paradigme de rétention. La domination s'exerce toujours par la rétention de l'avoir du pouvoir et du savoir. Elle gouverne les esprits les politiques les économies et les cultures.

Pourtant la démarche de connaissance est universelle à tout ce qui prétend à l'humanité. À l'échelle des civilisations, la rationalité est un échafaudage transitoire qui trouve sa justification dans l'étape de rétention dans laquelle l'humanité veut persister ad-eternum, exactement comme un enfant conserve son jouet et vit à travers lui pendant qu'il joue avec.
La démarche de connaissance dans la rationalité est l'étape de l'aube de l'Humanité.

ART ET SCIENCE :
L'astrologie, la voyance par toutes sortes de médias, comme les cartes la boule de cristal ou le marc de café, passons sur les entrailles de poulets car nous sommes des gens civilisés, bref, toutes les formes de métaphysiques ritualisées, sont des chemins offerts à l'esprit pour aller à la rencontre de la connaissance. L'art et l'esthétique sont aussi des chemins de la connaissance, mais il n'en prétendent pas en avoir la vertu. C'est pourquoi l'art n'est pas combattu par la raison, il ne prétends pas la concurrencer. L'art n'interroge pas la raison directement. Alors il peut s'exercer presque librement.

TRANSHUMANISME :
Les sciences, qu'elles soient dures ou molles relèvent des mêmes dispositions de l'esprit. Les sciences sont des chemins qui évacuent de la connaissance tout ce que la rationalité ne peut pas appréhender. Les sciences ne concernent que ce que la rationalité pure de l'esprit peut encoder.

Ce qu'on appelle usuellement le transhumanisme est la noyade de l'humanité dans le paradigme de rétention qui lui semble indépassable. Alors il ne voit de salut que dans l'accroissement de puissance par la technologie.

L'accroissement de puissance par la technologie, c'est la recherche de maîtrise, c'est aussi et surtout la capacité de prévoir qui élude les questions de toutes sortes et fait entrer les humains dans la certitude et la prévision. C'est un sentiment de perfection.  
Ce sont là des propriétés tout à fait contraire à la vie. La vie c'est l'invention, la question, l'improbable,  la surprise, l'adaptation et l'absence de contrôle,  l'harmonie, la mouvance. La vie c'est l'abaissement de puissance et non son augmentation.

Les propriétés du transhumanisme sont précisément les propriétés de la mort. La seule chose qui soit prévisible, certaine, dans quoi les questions existentielles et toute la puissance accumulée s'effondrent, ce n'est pas la vie, c'est la mort.
Le transhumanisme dans le paradigme de rétention cultive la mort.
Le transhumanisme et un mot un peu particulier qui est en réalité veut dire la transcendance de l'humain. C'est-à-dire la transcendance de ce qui nous fait humain. Et ce qui nous fait humain ici et maintenant depuis toujours c'est le paradigme de rétention.
Le transhumanisme en vérité nous parle par les actes de la transformation de ce qui nous fait humain c'est-à-dire de la transformation du paradigme de rétention. Mais cette transformation ne peut intervenir que par l'esprit, par le dialogue de l'esprit.
Le transhumanisme est la transformation de la rétention.

Les avancées considérables, par le constat des scientifiques intellectuellement honnêtes, attestent de notre considérable ignorance.  
Pourquoi?
Parce que tous les chemins qui poursuivent la connaissance mènent au sensible qui lui, n'est pas concerné par l'encodage rationnel.

Tous ces chemins de la connaissances une fois parcouru, sont comme des échafaudages indispensables dont on doit se défaire quand ils ont "suffisamment" rempli leur office.
Le premier échafaudage qui offre aux humains de construire leur humanité est le paradigme de rétention. L'identifier conduira la raison à concevoir le transhumanisme comme transformation de l'humanité non dans la technologie mais dans l'ontologie.

{Nda : Ceci est une analyse déduite du "mécanisme de délégation source d'humanité, plongé dans le (méta)paradigme de rétention", comme cadre de référence... Qui n'engage que moi... }
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04-09-2020  POURQUOI LES GENS OBÉISSENT T-ILS AVEUGLÉMENT ?

Le goût de la justice de la liberté du bon du beau et du vrai, même partagés par la multitude (on peut rêver) ne sera jamais en mesure de transformer le monde des hommes.

Si on y regarde de près, l'immense majorité des êtres humains possèdent ou aspirent à ces vertus.

Seulement voilà, le comportement individuel n'a rien à voir avec le comportement du groupe.
Prêter au groupe les vertus qui siègent individuellement en chaque sujets qui le compose, est un égarement normal et naturel. C'est  la signature de notre humanité.

De la foule émerge la norme à laquelle le plus grand nombre aspire, et les autres se soumettent. Les gens ne sont pas des moutons contrairement aux apparences.

L'humanité s'affirme et se constitue
dans et par le principe de délégation. Voilà pourquoi les humains obéissent aveuglément. S'il en était autrement, l'humanité ne pourrait pas être.

Et maintenant approchons-nous du comment les humains obéissent aveuglément?

La séduction :
La politique par l'économie ne s'adresse jamais au sujet mais au groupes diverses. Les groupes sont les lignes de force de la foule. C'est pourquoi il est fondamental pour transformer notre société de traiter les situations à l'échelle du groupe.

Les politiciens s'adressent par conséquent seulement a des groupes sociaux par la séduction électorale plutôt qu'à la société tout entière. Il est toujours possible de séduire un  groupe pour obtenir ses voix. 
La séduction en politique est source de discorde au sein d'une société.

Séduire la société tout entière est tout à fait impossible car elle est composée de groupes aux intérêts contradictoires. Lorsqu'il s'adresse à la société toute entière, le politique pratique la langue de bois. C'est à dire un discours généraliste de conviction sans consistance.

En effet, la société tout entière ne relève pas de la séduction politique. Elle relève d'un discours souverainiste. Ce serait un discours de concorde, contraire à l'ambition politique.

S'adresser à la société toute entière par la séduction obligerait les hommes politiques à prendre de la hauteur et a baser leur système de séduction sur tout ce qui lie et oppose les groupes sociaux dans leur diversité. Ce qui n'a strictement aucun sens.
 {Nda : "Plaire à tout le monde et à personne n'est pas donné à n'importe qui... ! Jean Ferrat"}.

La Rétention :
Nonobstant, composer un discours qui prend de la hauteur nécessite et suppose en amont de ce discours une politique ouverte sur l'éducation et la culture. Ce qui est le strict contraire de l'ambition politique. Faire croire le contraire de ce qui est, le contraire de la vérité, égarer les esprits, est tout l'art du discours de séduction.

L'accession au pouvoir dans le paradigme de rétention pousse le politique à aller contre l'humanité dont la démocratie est la manifestation à l'échelle de la société toute entière. La concentration du profit inhérent au principe de rétention, dans la grande puissance à laquelle l'humanité est arrivé en son état de mondialité, nécessite la destruction de la concorde des sociétés pour accroître sa rentabilité.

Une fois en place, pour persister sur son siège vis à vis de ses donneurs d'ordres (l’État profond), il ne  reste plus à l'homme politique qu'à cultiver les arguments du principe de rétention auquel tous les êtres humains sont soumis. L'idée de démocratie étant le fond culturel de la société tout entière, pour persister sur son siège vis-à-vis de la population, l'homme politique se dédouane par un discours de concorde.

Le principe de délégation amènera toujours et systématiquement le plus grand nombre à croire la parole du délégué, ou du "spécialiste" en lieu et place de sa propre expérience.

Au bout du paradigme de rétention le propos politique est devenu exclusivement un propos de séduction et une exploitation indigne du principe de délégation.

Pour s'opposer à la trahison politique, il s'agira de promouvoir l'éducation et la culture; a commencer par la  restauration de la liberté et l'indépendance de la presse; la presse étant l'organe qui sert à la parole et à la réflexion du groupe.
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04-09-2020 La République théocratique    

Pas plus la logique que l'honnêteté intellectuelle ne concernent les rituels religieux. Le covidisme est une religion d'État. Une théocratie nouvelle qui se distingue de l'islam.
     Dans l'islam, le politique émerge du religieux, dans le covidisme d'État, le religieux émerge du politique. C'est ce qui explique la proximité de l'islam et de la politique républicaine française. C'est aussi ce qui permet à la théocratie d'État de s'implanter incognito.

     La théocratie d'État est utile car le  peuple obéit sans réserves et sans discussions à une doctrine religieuse.
     Le confinement, le masque, la distanciation sociale, etc, tout les gestes qui mettent le covidisme en actes quotidiens sont des rituels d'astreintes conformes à une dictature théocratique. 
     En tant que théocraties, islam et covidisme relèvent du même processus sociologique pour imposer la même politique. Dans le pays inventeur de la laïcité, ce retour en arrière politique et civilisationnelle, extrêmement pernicieux doit être identifié pour pouvoir s'y opposer avec plus d'efficacité.

     Quand d'une façon ou d'une autre le sacré fait de la politique, il devient religion. La religion est le plus puissant vecteur de domination des peuples.

     Le projet du macronisme est la destruction de la nation au profit d'une souveraineté européenne. Or à l'échelle européenne ou mondiale l'identification d'appartenance sociale n'est plus possible. Les gouvernements le savent. La tentative de fédération globale transcendant les nations en appelle donc obligatoirement aux ressorts religieux. 
     Ainsi, le soutien du gouvernement français à l'Islam est une stratégie d'appartenance alternative, par le biais du religieux.   

     En ce début de septembre 2020, l'activité diplomatique de Macron autant que sa politique intérieure, les diverses déclarations autour de la question du Liban par exemple, convergent pour favoriser les meilleures relations possibles avec le monde Arabe. Il y a toutes les raisons du monde de s'en féliciter, à condition qu'elles ne soient pas motivées par un stratagème politique d'envergure. 

     L'expérience de la théocratie par le covidisme comme moyen de gouvernance des peuples est un succès sans appels. À la suite de tout cela, je fais donc l'hypothèse que la domination de la politique islamique dans la République française, n'est pas à exclure à plus ou moins long terme des projets de la macronie.

     Puisque la théocratie et une garantie de paix civile plus solide et fiable que la paix démocratique, la direction indispensable à la gouvernance du monde qui se profile à l'horizon, se trouve bien avisée de favoriser la théocratie qui "marche" partout dans le monde à savoir l'islamisation.

Si mon hypothèse est vrai, la stratégie politique qui passe de la démocratie à la théocratie est parfaitement masquée par le covidisme qui en est le préliminaire.
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07-09-2020 Le bain de l'humanité (Fin)

Piégée dans le paradigme de rétention invisible aux consciences, l'humanité est piégée dans un régime d'inflation répressive. Avec l'avènement du macronisme, l'état d'urgence est devenue l'état du droit commun. Ce n'est que le coup d'envoi... 

On peut déplorer ici et là des directives gouvernementales qui passent au-dessus des lois. La liste des décrets et réglementations répressifs et contradictoires est aujourd'hui sans fin.

Plutôt que d'en faire la liste qui ne sera jamais exhaustive et n'explique rien. Plutôt que de se perdre en déploraisons qui sont autant de messages d'alertes impuissants, je pense qu'il est nécessaire de se pencher sur les principes qui rendent toute cette chienlit possible. 

Chercher la responsabilité de la chienlit dans l'obéissance de la population est un égarement. Les gens ne sont pas des moutons ils sont disciplinés.

Sans l'obéissance, il est élémentaire de comprendre qu'il ne peut pas y avoir d'ordre sociale. Le paradigme de rétention exploite l'obéissance à sa propre conservation, à l'envers de l'ordre sociale usuellement conçu dans l'esprit du citoyen.

C'est pourquoi depuis le paradigme de rétention, l'anarchisme (l'ordre sans le pouvoir) est perçu comme une utopie surréaliste. Mais c'est un autre débat...

L'ordre social usuellement conçue par le citoyen, consacre l’obéissance à la concorde, au bien et à la sécurité. En contrepartie de l'obéissance, l'ordre social procure une augmentation de culture, une structuration de réponses aux besoins. Il en appel à la solidarité, favorise la convivialité et répand l'éducation. Ces bénéfices, tout en étant plus ou moins fluctuant sont le fruit d'une évolution chaotique dans le paradigme de rétention tant qu'il existe de l'espace où il se déploie. Le profit issu du paradigme de rétention en croissance est utilisé pour la conquête du monde et des connaissances plutôt qu'aux biens des populations.
Lorsque le paradigme de rétention arrive à sa destination c'est-à-dire à la mondialité, le surplus d'énergie obtenu par les capitalisations en tous genres, n'a plus d'objet extérieur pour se déployer. Il  fait alors de l'humanité son objet de maîtrise. c'est alors qu'il fait entrer l'humanité dans le transhumanisme technologique.

L'obéissance dans le paradigme de rétention au stade de sa puissance maximum (mondialité), s'exprime dans le covidisme, c'est-à-dire dans une obéissance sans contreparties.
Bien au contraire, dans la condition de rétention achevés ce ne sont plus les espaces vierges qui doivent être conquis, c'est déjà fait.  À la recherche d'un objet de prédation, c'est la culture, la structuration de la réponses aux besoins, la solidarité, la convivialité et l'éducation qui sont attaqués par le covidisme. Il suffit d'ouvrir les yeux.
Cette attaque est la conséquence directe des principes qui gouvernent nos consciences nos économies nos politiques et nos civilisations. Ces lois ses règles et ses principes sont la forme et le genre de l'ontologie qui contraignent nos esprits et nos civilisations.

La forme et le genre d'ontologie qui nous gouvernent inscrivent le paradigme de rétention dans tous les actes et les conceptions de l'activité humaine. 
Dans la mondialité, le covidisme est la conséquence incontournable du genre d'ontologie qui nous gouverne. Le covidisme, c'est la théocratie d'État en marche vers un nouvel ordre mondial.

Comprendre la source consiste à considérer les causes que l'on dénonce, comme des effets que l'on dénonce. C'est une démarche obligatoirement abstraite. Il ne saurait en être autrement. Comprendre la source, n'interdit pas de manifester sa colère et son impuissance. Mais le moment venu, permet de prendre les bonnes décisions, à savoir celles qui mettront un terme aux causes des effets que l'on dénonce.

Approcher les grandes lois ( comportement des masses, médias, ontologie...) qui nous gouvernent est indispensable pour que se dévoile un peu dans quelle direction il faut aller pour améliorer les choses.

Déduire les principes qui nous gouvernent, identifier les lois qui contraignent nos comportements, les décrypter, consiste à tenter de les mettre en mots. Pour celui qui lit, c'est à dire "celui ou celle qui lit", il n'est pas toujours possible de simplifier un propos inhabituel.

"Celui ou celle... ?"
Mettons-nous dans la peau des femmes. Dans toute la littérature et dans tout ce qui est écrit, il n'y a de référence qu'au masculin. Comment dans ces conditions à l'intérieur d'une civilisation, le féminin peut-il se penser pour "lui-même" ? { Nda : Voyez jusqu'où ça va... ?}

Partout et depuis toujours, dans le langage, le féminin n'a à sa disposition que le masculin ou le neutre, c'est-à-dire la négation où l'inconsistance pour incarner son  "je". Or, le langage est l'organisation de la pensée. Il  structure le sujet dans ses rapports avec lui-même avec la nature et avec l'autre. Il conditionne l'organisation des cultures et des civilisations.

La question : "Comment dans le paradigme de rétention le féminin peut-il se penser lui-même pour lui-même ? ", est une question ontologique. Elle n'est pas anecdotique, elle est essentielle et fondamentale pour construire le devenir de l'humanité.

Derrière la rectification de pure forme quand on ajoute "celle" à "celui", se cache toute une architecture paradigmatique qui conditionne l'entièreté de l'humanité depuis l'aube des temps. Une architecture qu'il s'agit d'identifier pour que l'humanité la transcende...

Cette architecture est la combinaison 
du principe de délégation fondateur d'humanité, et du paradigme de rétention dans lequel il est immergé. 

Aujourd'hui, la puissance de l'humanité est à son paroxysme. Cette puissance est le fruit du paradigme de rétention. Au sommet de la puissance du paradigme de rétention, le principe de délégation s'effondre obligatoirement, il entraîne l'effondrement de l'ordre social, et dans la mondialité, entraîne l'humanité dans son effondrement.

Le transhumanisme est un effet naturel à la croissance de l'humanité. Il est naturellement ontologique et salvateur. 
Mais tant que l'humanité sera immergé dans le paradigme de rétention alors que ce paradigme a conçu la mondialité, le transhumanisme sera technologique et destructeur.

La question qui se pose aujourd'hui est de savoir : "Quel bain paradigmatique permettra à l'humanité de se révéler à travers le principe de délégation qui la constitue pour un ordre social harmonieux ? 

Après la transformation de son monde, l'humanité doit entrer dans sa transformation ontologique. C'est pourquoi la question de tout ce qui compose l'humanité doit être posée ?

Le transhumanisme est une façon de poser cette question par les actes. C'est pourquoi il est judicieux de le nommer transhumanisme technologique car il exprime par les actes le transhumanisme ontologique.

L'intrication entre la rétention et la délégation dans l'ontologie, conditionnent l'expérience humaine et l'évolution de l'humanité. Le transhumanisme est la traduction par les actes de la question ontologique.

Dans l'expérience humaine, cette intrication est totalement invisible. Elle ne peut-être qu'invisible car elle fonde les consciences qui servent à mesurer notre rapport au réel. C'est exactement comme si la température changeait la graduation du thermomètre. 

Puisque usuellement, à l’échelle des foules il n'est question d'évoluer que par les actes, l'acte majeur que représente la clef du devenir de l'humanité consiste en l'établissement du "droit des femmes à disposer d'elles-mêmes sans conditions ni restrictions".

Cet acte, à propos du droit des femmes doit se matérialiser dans le droit et dans la culture. Il viendra interroger l'ontologie à l'insu des consciences.
... Et le reste suivra...!

EPILOGUE
Du plus haut intérêt.
Fin de l'économie France Culture:  franceculture: emissions de cause à effets
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1) Dans la forme : Quand on a quelque chose à dire on va droit au but.
2) Dans le fond : La critique de tous les défauts et de toutes les vertus du système économique exprime les propriétés du paradigme de rétention sans le savoir. Aujourd'hui, la question ontologique qui est la question de la poursuite de l'humanité se pose à travers le transhumanisme. Le transhumanisme technologique n'est que l'incapacité de traiter le Transhumanisme ontologique.
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08-09-2020  Le transhumanisme

La question du transhumanisme se pose dans la technologie parce que le paradigme de rétention empêche les consciences de poser la question du transhumanisme dans l'ontologie.  
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12-09-2020 LA RESISTANCE REELLE

En politique, GJ ce n'est que le symptôme de l'absence de la parole citoyenne. Les GJ sont l'expression de la volonté de démocratie d'un peuple tout entier ...

Durant l'année passée et celle d'avant, malgré les privations, le sang versée, et les souffrances endurées, cette volonté par la rue est restée lettre morte.
Le 12 septembre 2020, nous montre l'effondrement de cette volonté. 
{Nda : Macron jubile ! Sa stratégie de la terre brûlée des médias et des partis politiques est gagnante.. }

Pour résister au macronisme, il est temps de faire le point avec pragmatisme.

La voix des citoyens portée en politique est portée par les représentants dans les médias. C'est comme ça et pas autrement. 
Macron a détruit les deux. 

C'est pourquoi l'action consiste à renforcer les partis politiques de l'opposition quels qu'ils soient pour que la parole citoyenne existe en politique. 
C'est comme ça et pas autrement.

Les stratégies politiques c'est SEULEMENT la conquête des urnes. C'est un fait avéré chez nous partout, et toujours parce que l’idée de démocratie a conquis tous les esprits. 
{Nda : À l'échelle de l'ontologie et de l'histoire des civilisations c'est un immense progrès ...}

L'arme du peuple est donc la démocratie qui s'exprime dans les médias par la voix des représentants du peuple. Si les gens comprennent cela ils deviennent invincibles.
Seules les forces politiques qui ont compris cela ont déjà gagnés. La macronie c'est juste ça. Rien d'autre.

Je prie le lecteur de réfléchir froidement à tout cela et à décider de son action lui-même pour lui-même.
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13 Septembre 2020 Pourquoi le salariat ?

On accepte le salariat parce que la source de l'humanité c'est le principe de délégation. Sans l'obéissance à ceux à qui le groupe a délégué le soin de l'administrer, il n'y a pas d'ordre sociale possible et le groupe s'effondre.

Or, l'humanité est grégaire. J'insiste elle n'est que grégaire. L'humanité en l'être n'existe que dans et par le groupe exclusivement selon toutes les formes de rapports sans exceptions que l'être effectue avec le groupe.
Le salaire c'est ce qui est attribué à chaque membres du groupe pour sa survie individuelle à l'intérieur du groupe.Tout ce qui est supplémentaire à la survie individuelle du plus grand nombre est consacré à l'affirmation du statut de délégué du groupe et à la conquête de la croissance dans le domaine qui est conditionné par le (méta)paradigme de rétention.

Le paradigme de rétention arrive à sa fin dès qu'il a constitué la mondialité de l'économie par la prédation. C'est chose faite. Le groupe est maintenant mondial.
Or nous avons vu (posts précédents) que l'administration du groupe procède d'une délégation émergente. Dans une délégation émergente, la confiance inhérente au principe de délégation est alors obligatoirement structurellement systémiquement trahie. 
La fonction de cette trahison répond à la pulsion de prédation comme puissance de progrès. La Rétention imprime la pulsion de prédation dans les consciences les cultures les économies et les politiques.

L'humanité doit se débarrasser du paradigme de rétention qui l'anime en le transformant pour permettre au principe de délégation de s'épanouir en dehors de la prédation.

La révolution c'est la transformation du regard de l'économie des consciences des politiques et des cultures sur le monde sur l'être et sur "l'autre". Elle sera ontologique; en dépit de quoi, même debout, il n'y aura plus personne pour se poser la question.
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17 septembre 2020  LA CONTESTATION STERILE

Bien des vidéos montrent la violence policière. Un homme à terre sans raison. Sans raison un flic lui écrase la tête avec le pied. Et pendant de longues, très longues minutes il suffoque pendant qu'un autre flic lui place les menottes dans le dos. 

Ce temps long, trop long pour poser les menottes ne se justifie pas. Il est calculé pour donner précisément le spectacle que l'on dénonce.
Et Macron se réjouit. 

On se scandalise, on affirme qu'ils n'ont pas le droit. Mais si, ils ont le droit. Non seulement ils en ont le droit mais ceux qui agissent en ont aussi l'envie...
Et Macron se réjouit parce que ce spectacle produit exactement l'effet escompté.

Mais il y a pire que la violence policière, il y a la violence faite aux enfants. Ils sont inquiets, interdits de parler, interdits de respirer librement, interdit de bouger librement alors qu'un enfant pour s'épanouir doit bouger dépenser beaucoup d'énergie et respirer librement.
La macronie prive les enfants de leur enfance avec la complicité forcé de leurs parents et de leurs enseignants.

Et Macron se réjouit car il prépare ainsi la génération de demain.
Savez-vous que parmi les mammifères qui vivent sur cette terre l'homme est le seul capable de contrôler consciemment sa respiration ! Savez-vous que le contrôle de la respiration est la voie royale du contrôle psychique ?

Savez-vous qu'aujourd'hui la justice considère qu'un enfant de 5 ans peut consentir à un acte sexuel ? 
C'est de la folie et pire encore c'est une abomination. Il y a quelque chose d'innommable simplement dans le fait d'imaginer cette possibilité de la part d'une société qui prétend avoir renoncé à la peine de mort. Mais ce que la justice fait aux enfants c'est pire que la mort.

NOUS ASSISTONS LES BRAS BALLANTS À LA STÉRILISATION DE L'ENFANCE DES ENFANTS. Alors oui, on en fait des bulles sur Internet et alors ? 

Les gens peuvent-ils être coupables de ne rien comprendre ? Puis, se faisant rendus coupables d'impuissance ?
Non, les gens ne sont pas coupables ils sont victimes !
Ils ne sont pas des moutons ils sont obéissant !
En vertu du principe de délégation qui fonde l'humanité, ils obéissent. Sans l'obéissance aveugle il ne peut pas exister d'organisation, de structure, et d'ordre social. À méditer ... !

La question est toujours la même. Par quel prodige le politique est-il amené à trahir systématiquement la délégation qu'on lui confie pour administrer le groupe ?
Ce prodige s'appelle le méta-paradigme de rétention dont j'ai mainte fois fait mention ici  et qui sous nos yeux est en train de programmer le coup de grâce de l'humanité dans les consciences, les économies, les politiques et les cultures...
 { Nda : Le concept  de méta-paradigme de rétention" n'existe pas dans les livres ...}

Comprenez-vous qu'accepter toute cette aliénation et toute cette violence ne peut pas être l'effet d'une aspiration personnelle, mais un effet de psychologie-sociale appliquée aux masses. 

Les manifestations, les contre-pouvoirs, les médias, et l'avenir par la maîtrise de l'enfance sont stérilisés.
Et Macron se réjouit. Il gagne sur tous les tableaux avec une facilité déconcertante.

Quant à la violence policière, c'est une violence calculée. Elle est inutile à l'ordre public. Elle est aussi un choix personnel. N'importe qui ne la met pas en œuvre. Ce n'est pas n'importe quel flic qui se comporte comme ça. De même ce n'est pas n'importe quel déporté qui devint capot.

Ne levez pas les bras au ciel, il s'agit exactement du même processus appliqué à la société toute entière avec tous les citoyens dans le rôle des Juifs. Et pour le moment ce qui se dessine dans le rôle des Juifs sous la botte nazie de la mondialité, c'est l'humanité entière, comme si le traitement historique fait au juif n'est que le brouillon de ce que l'humanité destine à l'humanité.

Et Macron le tout petit pion de la mondialité se réjouit de son œuvre politique local qui avance sans le moindre obstacle.

Revenons aux spectacles de la violence policière. Comprenez bien ceci. Sur le plan macro-sociologique cette violence a pour fonction de stopper la contestation globale en provoquant une tétanisation individuelle. Et ça marche... N'est-ce pas ainsi?

Avant cela, Macron a remporté la victoire politique et sociétale en détruisant tout les systèmes français de contre-pouvoirs.

Il a remporté la victoire en stérilisant aussi toutes les représentations de groupes sociaux, les manifestations, les soins, l'éducation, l'enfance, la justice, les biens communs de la nation, les services publics etc ... C'est vrai ou c'est pas vrai ?
De plus il a accaparé la presse consacrée entièrement à sa propagande.
En conséquence, la rue n'ayant aucuns relais politiques, ne mène rigoureusement à rien.
{Nda : Dans ces conditions, même 30 millions de personnes qui défileraient en levant le point avec ou sans casses ne signifierait rien.}

Si nous sommes en majorité d'accord là-dessus, quelle conclusion doit-on en tirer pour contester l'autorité non républicaine et non démocratique de la macronie ?
C'est très simple : 
Puisque Macron a construit son succès par la destruction des contre-pouvoirs politiques nous devons renforcer les contre- pouvoirs politiques. N'est-ce pas la logique même ? 

Si l'on ne fait pas ça nous pourrons défiler dans les rues autant que nous voudrons; déplorer dans les bulles fermées d'Internet autant que nous voudrons... Sans strictement aucune espèces d'effets politique.

oeuvrer à la restauration des forces de contre-pouvoir est le point le plus fondamental pour contester la dérive Républicaine. 

Selon moi, le parti politique le plus à même de restaurer la République et la démocratie, c'est l'UPR. 
Ne nous occupons pas de la trahison des partis politiques. Par nature un parti politique ne peut pas plaire à tout le monde ... l'UPR rassemble sur la souveraineté de la Nation, sur le recouvrement du bien public dilapidé. L'UPR lance le démarrage du principe de partage à la place du principe de rétention en économie. Il prevoit l'instauration du RIC et du droit citoyen dans la constitution elle-même et bien d'autres choses encore ...  Si vous voulez contester sérieusement la macronie je vous laisse réfléchir là-dessus.

Tout ce que l'on dénonce ici à l'intérieur de nos bulles de déploraison est l'expression de la destruction de la République et de la Nation. Je parle de l'UPR parce-que c'est le seul parti dont le but est de restaurer la République et la Nation.

Mais qu'importe l'UPR ce n'est pas le plus important. Le plus important c'est de choisir le parti que vous voulez pour le renforcer. Cessons de tergiverser sur l'honnêteté des partis politiques il n'est plus temps ; il faut choisir. 
Au point où nous en sommes rendu il n'y a pas d'autres moyens contre la macronie que la restauration des contre-pouvoirs politique.

Vous n'en n'avez pas assez de l'impuissance, de la déploraison stériles, de l'humiliation permanente, de la violence et comme seule réponse à tout ça la contestation spectacle sur internet ? 
Moi si ! 
Et Macron se marre ...

On me commente souvent: "c'est bien joli la philosophie mais qu'est-ce qu'on peut faire ?"

Et bien voilà ce qu'on peut faire : Restaurons les contre-pouvoirs politiques en prenant la carte d'un parti politique; n'importe lequel !
Alors le sésame des médias s'ouvrira à la raison contestataire de tous bords. 
Point final !

EPILOGUE
Ceci est mon dernier post je n'ai rien de plus à ajouter. 
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17 septembre 2020 Lettre ouverte aux médias

Bonjour, comme beaucoup de citoyens j'en suis persuadé, à titre individuel vous n'êtes pas insensible à l'assommoir d'horreur dont internet vous gave. J'en suis persuadé aussi à titre personnel, la raison qui vous anime n'a rien à voir avec ce que vous mettez en actes et en discours dans vos éditoriaux.
Comme tous les citoyens, éclairés ou non, vous préférez l'obéissance à la résistance et au sacrifice parce que dans l'état actuel des choses l'obéissance où le sacrifice ne conduisent à rien.

Je suppose que beaucoup d'entre vous lorsque vous prenez la parole pour vous adresser à vos millions d'auditeurs vous avez conscience de mentir de tricher de collaborer.
Beaucoup... d'entre vous parmi les journalistes j'en suis absolument certain, n'ignorez pas les milliers de publications contestataires qui ne sont en somme que l'expression d'une souffrance profonde et indicible fruit du nihilisme que votre discours cultive.

Une souffrance des populations qui ne fait plus échos chez les gens de pouvoir. Gens de pouvoir qui vous ont condamné à faire écho à la messe qu'ils vous dictent et à rien d'autre.
Dans la situation actuelle, toutes ces publications sont comme des larmes au milieu de la pluie. 

Vous qui avez reçu la délégation de mettre en mots les événements politiques "sociales" et économiques de la société civile, pourquoi aucun d'entre vous n'a eu l'idée profitable de faire une émission consacrée à des questions majeurs diffusées sur internet. Faite cela sous forme de débat contradictoire. "La Messe contre la Rumeur". Voilà un concept porteur.
 
Je vous offre ce concept. Je vous assure que vous ferez de l'audience et beaucoup d'argent.
Car enfin l'événementiel d'internet n'est-il pas un phénomène de société considérable ? 
A ce titre n'est-il pas concerné au premier chef par votre activité professionnelle ? 
Ne rien faire de ce fait de société qui s'appelle le réseau social est une faute professionnelle. Pire c'est la négation même du journalisme éthique. 

Je prétends que l'heure est grave. Dans le silence assourdissant des médias. J'ai acquis la conviction que les réseaux sociaux ne servent qu'à capter l'énergie de révolte et de contestation, à sidérer la pensée en l'enfermant dans l'émotion.

Il y a, là aussi, une escroquerie qui consiste à laisser croire qu'il suffit de s’émouvoir en vase clos pour que la politique change.

Depuis le mois de janvier, au rythme de l'actualité de notre aliénation à votre messe médiatique, j'ai écris des réflexions pour tenter de sortir par le haut. De comprendre le mécanisme qui nous écrase aujourd'hui.

C'est le même mécanisme mis en œuvre par le national-socialisme en Allemagne au temps des années brunes. Aujourd'hui c'est la population de la planète qui joue le rôle du juif. Qu'on se le dise.

En cherchant le fondement de toute cette chienlit, j'ai dégagé le méta-paradigme de rétention, dont je prétends que les principes sont solides et bien argumentés et les ramifications sans fins. J'ai établi aussi le principe de délégation fondateur de l'humanité. Humanité en l'être et Humanité en tant que groupe planétaire, et aussi en tant qu'espèce. 

Du jeu de ces deux concepts, se dégage la forme et le genre de croissance de l'espèce humaine, la situation actuelle et l'enjeu auquel elle est confrontée.

Se pose aujourd'hui la question de la poursuite du progrès humain sous la forme du transhumanisme. D'aucun ne voit dans le transhumanisme que le transhumanisme technologique car les esprits, les consciences, les cultures, les politiques, et les économies, sont formatés conditionnés par le paradigme de rétention.

Le transhumanisme technologique ce n'est que l'expression acté de l'intention réelle et indicible du transhumanisme qui en vérité est ontologique, et rendu incapable d'émerger dans les esprits.

En vertu du principe qu'on ne peut agir que sur ce que l'on perçoit, Il n'existe pas de possibilité d'infléchir la direction prise par l'humanité sans nommer ce qui conditionne sa dynamique.

Pour faire court, la fonction du principe de délégation dans un genre de méta-paradigme, par le taux de trahison induit, conditionne la dynamique d'évolution de l'humanité. 

Je m'évertue depuis le mois de janvier 2020 à expliquer activement cela dans le but de déclencher un débat, une discussion, une critique, car on ne s'approche de la vérité que par la contradiction; en vain !

Alors aujourd'hui je me contente de délivrer une conclusion simple qui semble dérisoire, et qui pourtant s'impose.

1 / Sur le plan tactique du politique usuelle :
Il s'agit seulement de faire un effort individuel pour renforcer le poids des partis politiques dont la faiblesse fait le lit du macronisme.

2 / Sur le plan fondamental, la question ontologique de l'humanité traduite de façon factuelle consiste à oeuvrer aveuglement et sans concession pour :
 "Le droit des femmes à disposer d'elles-mêmes sans conditions ni restrictions". 

Et ce n'est pas parce qu'on ne comprends pas cette proposition qu'elle n'est pas vrai. 
À cette condition seulement de grès ou de force,  la fin du méta-paradigme de rétention sera inéluctable. 
Le passage du méta-paradigme de rétention au méta-paradigme de partage est constitutif du surhomme de Nietzsche, par exemple …
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17 septembre 2020  FAUX. 

L’Hitlérisme cultivé sur WhatsApp par des policiers allemands dont parle l'info de ce jour 17 sept 2020, n'est pas un extrémisme de droite, ce qui est devenu un truisme,  mais un extrémisme de gauche. 
Le National Socialisme, mère du nazisme est une doctrine de gauche.
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20 septembre 2020 La France fasciste

Nous sommes à l'aube d'une situation d'autodestruction de nos civilisations. Transposé à un individu qui possède de la puissance, cela signifie que lorsque quelqu'un traverse au feu vert devant une voiture qui démarre. Il est écrasé et meurt.
Le conducteur déclare : "Il est passé au vert j'étais dans mon droit...".
Dans cette situation on ne pose même pas la question de la valeur de la vie. Qu'elle s'efface devant le droit devient naturel.

La loi aujourd'hui protège l'obéissance à l'aliénation contre la raison, la vie et la liberté.
Nous sommes entré exactement dans ce processus. Mais ce n'est que le commencement. Aujourd'hui quelqu'un qui refuse le test ne peut pas être hospitalisé, il ira mourir chez lui. Aujourd'hui c'est le masque et le test, dès demain ce sera le vaccin.
Un enseignant qui parle 8h par jour à grand débit retire son masque pour exercer sa fonction et respirer. Il est dénoncé expulsé de l'école et le directeur touche une prime.
Etc... Etc...
Et tout est en ordre !
N'est-ce pas ainsi ?

Le fascisme est en train de s'inscrire doucement et naturellement dans les esprits et les consciences.
Nous avons aboli la peine de mort et la société tout entière fait de la mort sa culture. Emballée dans le droit, dans la raison, cautionnée par la science qu'elle soit frelatée ou non, cette culture là de la mort c'est le fascisme installé sans réserve dans la vie quotidienne. Il est rendu invisible parce qu'il devient très doucement très lentement la norme à laquelle chacun se soumet naturellement par l'obéissance. 

L'obéissance n'est pas à contester. C'est l'obéissance qui fonde l'ordre social. Ce qui est contestable c'est la trahison de l'obéissance quand ceux qui ont reçu délégation pour cultiver les valeurs de la vie, pour cultiver la justice et le bien, les détruisent au lieu de les respecter.

Lorsque quelqu'un ne peut plus se rendre au magasin, se nourrir, travailler, circuler voyager, se cultiver, se soigner, etc, il est assassiné.
La désobéissance, est punie de privation de liberté de torture et de mort.
Ceci a déjà commencé, de façon tragique pour les enfants par exemple. Même si dans l'incurie totale des contre-pouvoirs, défiler dans rue est sans le moindre effet politique, les enfants, eux, ne peuvent même pas ni désobéir, ni défiler dans la rue.

Les gens se mobilisent pour 3 francs 6 sous, pour le droit du travail et du soin, etc, mais pour protéger les plus fragiles qu'on assassine collectivement il n'y a personne. Ou à la marge, comme une anecdote, un détail qu'il convient de ne pas oublier... C'est un fait. Où sont les émeutes massives pour défendre le droit à l'enfance ?

Il est vrai que le droit pour un enfant d'avoir une enfance n'a pas grand-chose à voir avec les intérêts financiers et le droit du travail ...

Le conditionnement des consciences à l'horreur légitime est un processus identique au nazisme mais aujourd'hui il est plus lourd et plus profond dans les sociétés, les politiques et les consciences.
Celui qui désobéit à l'injonction d'État doit mourir.  C'est aussi simple que ça.
Ce n'est pas l'horreur de demain c'est maintenant. Grâce aux rituels du covidisme, c'est arrivé; le processus est acté au quotidien pour tout le monde. Sa légitimité est bien comprise. Elle est devenue la normalité que le plus grand nombre cultive et défend au nom du bien.

Avec le vaccin, le processus de mort pourra se généraliser à tous les secteurs de la vie sociale.

En 2007, l'avènement de Nicolas Sarkozy aux affaires fut le lancement de l'Inflation Répressive. C'est le résultat de la logique du vote utile. "De moins pire en pire on arrive toujours au pire."

Ne cherchez pas. Individuellement il n'y a aucun moyen d'endiguer ce processus de culture de la mort au nom du bien. Mais il est possible de mettre un terme à la dynamique du pire.
La seule chose que nous pouvons faire consiste à renforcer les contre pouvoirs politiques en adhérant individuellement à un parti politique
Parce que pour combattre un système il faut un système. La foule, la rue ce ne sont pas des systèmes, ce sont des symptômes de son absence.

En tant que système, en tant que proposition politique, en tant que crédibilité par la permanence et la pertinence de leurs idées, ma préférence va à l'#UPR. Le seul parti qui offre la garantie de l'indépendance législatives et de la souveraineté nationale indispensable pour résister au rouleau compresseur de la finance internationale (État Profond...) qui nous impose la politique de la mort. {Nda : Et si on se plante sachez qu'il n'y a ni mieux  ni autre chose à faire aujourd'hui..}

En cas de victoire en 2022, l' UPR est le seul parti à même de construire en France un îlot souveraineté d'indépendance et de liberté, qui sera perçu comme une locomotive pour les autres pays du monde. Ceci est vrai et ce n'est pas rien.

Et si la victoire n'est pas au rendez-vous, le poids politique de l'issue de l'élection, constituera l'UPR comme le contre-pouvoir souverainiste Incontournable, susceptible de donner du sens et du poids à la contestation populaire. Ceci est vrai et ce n'est pas rien.

En toute chose il est impossible d'arriver à destination sans avoir parcouru le chemin et il n'existe pas de chemin directes et sans embûches. Mais tout commence par un premier pas. Le premier pas qui est à notre portée c'est le renforcement des contre pouvoirs politiques qui disent radicalement non au macronisme.
À cet effet, à votre avis, existe-t-il un autre partie que l' #UPR ?
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21-09-2020 L'Abstention

Ce qui est évident depuis 2007 c'est l'échec total de la stratégie du vote utile. Pourquoi ?
Parce-que l'élection se construit avec la puissance médiatique et non avec la parole du peuple. C'est un fait.
Il suffit de comparer la courbe de l'audience des candidats avec la courbe du résultat des élections...

S'obliger à voter pour un candidat dans ces conditions là, c'est donner sa voix contre nos convictions. Ce n'est pas ça la démocratie. La démocratie consiste à exprimer ses convictions.

En raison de l'aliénation Populaire à l'idée du vote utile, en choisissant de voter pour n'importe qui, de moins pire en moins pire on arrive inéluctablement au pire. N'est-ce pas ainsi ? 

1995 - 2002 : Jacques Chirac. 80% contre Jean-Marie le Pen... Ce vote utile fut par la suite considéré comme un plébiscite Ultra majoritaire pour la politique de Chirac. 

2007 :  Sarkozy.  Le mépris du peuple et l'abrogation du droit. Coup d'envoi de l'inflation répressive. 

2012 : Hollande. Trahison majeur dans tous les domaines. En mai : "Mon ennemi c'est la finance" ; en septembre : "On m'avait caché l'état de la France !" 
{NDA: depuis Hitler jusqu'à Hollande en passant par Staline, la gauche est un monument de trahison, parce que l'idéologie de gauche ne peut pas s'épanouir dans le méta-paradigme de rétention..}

2017 : Macron. Le démantèlement de la France, la haine du peuple, l'autisme politique, la dictature et le fascisme (les pleins pouvoirs et la gouvernance par la menace et la peur)

Tous les 5 ans, grâce au "Vote Utile", la répression s'accentue. Voyez la progression. Si l'on persiste dans le vote utile quelle sera la prochaine étape ? 
C'est maintenant qu'il faut commencer à réfléchir à 2022 et stopper ce cycle infernal de l'inflation répressive dont le "vote utile" et le cheval de Troie.

Il ressort de tout cela que l'idée du vote utile est une stratégie des pouvoirs publics pour favoriser la reconduction de sa politique. 

En démocratie c'est la majorité qui gagne. Avez-vous remarqué qu'aux dernières élections la majorité qui a gagné n'est pas représentée.
Avec une majorité à 54 pourcents d'abstention c'est l'élection qu'il fallait refaire. 

Si les bulletins blancs étaient comptabilisés dans les bulletins exprimés, tous les candidats et les médias auraient dû revoir leur copie.

Quand les bulletins blancs seront comptabilisés dans les bulletins exprimés, les médias seront obligés à la justice médiatique, et les hommes politiques n'auront pas d'autre choix que d'être honnête.
Sur la question de l'honnêteté de la proposition politique et de son exécution, l'UPR inscrira le RIC dans la constitution. Qu'on se le dise.

En l'état actuel des choses, puisque les bulletins blancs ne sont pas des bulletins exprimés, l'abstention permet d'abaisser la légitimité de l'élu. 

Parce qu'il se soucie de démocratie réelle, l'UPR inscrira dans la constitution le comptage des bulletins blancs comme bulletins exprimés. Dans ce cas, l'abstention perdra de sa signification politique.

Le statut des bulletins blancs est la clef de la démocratie. 
À défaut de compter les bulletins blancs dans les bulletins exprimées, la clef de la démocratie devient l'abstention quand les candidats du 2e tour se ressemblent ou sont contraires à nos convictions.

En conclusion, tant que le bulletin blanc n'est pas comptabilisé dans les bulletins exprimés, le meilleur comportement pour favoriser nos convictions, c'est-à-dire la démocratie et faire reculer l'inflation répressive et le contournement de la République, c'est l'abstention. 

Je vous propose de bien réfléchir là-dessus.
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22-09-2020 La Parole du Peuple

Est-ce trop demander aux gens que de leur proposer d'utiliser leur raison pour juger des rituels du covidisme et de toutes les privations qu'il impose ?

Oui c'est trop demander. Ou plus précisément la raison en l’occurrence est sans objets. 
Cela revient à se demander pourquoi il n'est pas raisonnable que l'eau puisse être moins humide.

Le ressort du covidisme ce n'est pas la raison, c'est la croyance. Et la croyance est étanche à la raison. 
Aujourd'hui, le covidisme fonde l'ordre publique avec une portée universelle.

Le covidisme est une théocratie. Dans la théocratie d'État qu'est le covidisme, le religieux émane du politique tandis que dans la théocratie de l'Islam, le politique émane du religieux. 
Pour rassembler des peuples différents, des cultures différentes, la théocratie est-ce qu'il y a de plus efficace. 

Les deux théocraties poursuivent le même but : Le gouvernement du monde. Contrairement à la démocratie, la théocratie construit une pensée et impose un comportement. Poussé par les velléités mondialistes, les démocraties dérivent vers l'autorité et imposent aux populations la pensée unique.
Dans les deux systèmes, il s'agit de conditionner la population aux rituels de tous les instants. Il s'agit de penser à la place des gens. Et de condamner à mort, chaque système selon sa façon singulière, tous les réfractaires à la religion.

Le covidisme universel est l'entrée en religion de toute la planète. Peu importe l'argumentaire. le voile et le masque relève du même processus.
L'obéissance indispensable à l'établissement de l'ordre public fait le reste, parce que les gens aspirent à l'ordre public. 

La convergence politique entre la théocratie politique et la théocratie religieuse est utile de part et d'autre. Le projet du pouvoir en France étant la destruction de la République, la pénétration destructive d'une culture par une autre est utile à ce projet et est favorisée à dessein. "En même temps", l'affaiblissement de la République offre à la théocratie religieuse, une opportunité considérable d'expansion.

L'UE est le premier acte de la mondialité. Il s'agit de rassembler dans une unité politique, des cultures et des histoires différentes appartenant à des peuples aux intérêts singuliers et opposables. Alors que constituer une souveraineté de toutes ces distinctions par la démocratie serait un processus contraire à l'injonction de rétention.

Mais personne ne se pose la question de savoir d'où vient la nécessité de constituer une unité politique dans l'UE puis sur la planète ... 
{Nda : Le paradigme de rétention a constitué  l'état de puissance par la concentration des avoirs des pouvoirs et des savoirs. La conquête de la planète étant achevé par la mondialité, l'état de puissance acquise peut rayonner sur le monde entier}

Pour ce qui concerne la France, il ne peut y avoir qu'une seule souveraineté. Pour le moment c'est celle de l'UE qui est cultivée par les dirigeants de la politique et de la finance. Que ce soit à l'échelle de l'Union européenne ou du monde entier, la distinction des peuples et des cultures est un obstacle majeur à l'établissement de l'ordre mondial et bien entendu à l'établissement de l'ordre politique de l'UE. 
La constitution d'une autorité politique théocratique et la seule solution envisageable (à l'intérieur du méta-paradigme de rétention).

L'avènement des théocraties politiques, la destruction des Républiques, des cultures, la domination des intérêts financiers, le mensonge et la dictature écologique, le désengagement universel de l'effort d'éducation, la mise en danger sanitaires des populations par l'opération covid qui porte radicalement atteinte aux libertés et aux démocraties, se tiennent dans une structure profondément intriquée ...

Cette structuration des politiques mondiales est rendue possible par l'oblitération universelle de la parole du peuple. C'est cette oblitération qui en France fait les gilets jaunes. En notre démocratie moribonde, les Gilets Jaunes sont le symptôme de l'absence de la parole du peuple.

L'oblitération de la parole politique du peuple est réalisée par l'oblitération des représentants de groupes sociaux et autres partis politiques.
À l'échelle du politique, la voix de l'entité politique c'est les médias. C'est pourquoi les médias sont totalement consacrés à la propagande du pouvoir en place. 

En terme de communication le macronisme à faire reculer la France à l'age pré-révolutionnaire. 

Chacun devrait orienter ces actions de résistance en faveur de la représentation de la parole du peuple.
Le peuple c'est une diversité d'individus. La pensée n'appartient pas au peuple mais à l'individu, c'est pourquoi la représentation de la pensée individuelle s'efface devant le consensus entre les individus. 
La construction du consensus suppose la communication entre les individus. La construction du consensus c'est le rôle de la presse. Au lieu de construire le forum comme source de consensus de la parole du peuple, elle construit le consensus en relayant la parole du pouvoir.

La reconquête de la justice et de l'équité médiatique en faveur de la parole du peuple devrait constituer l'axe majeur de la revendication démocratique. La justice médiatique est la clé de voûte de la contestation constructive.

Entre la propagande qui rend les médias consensuels captifs du pouvoir et les bulles internet qui isolent la parole des individus, l'idée même du forum est mis en échec majeur.
Aujourd'hui la circulation nécessaire à la parole du peuple est rendu impossible inopérante et non représentable.

En conclusion :
C'est pourquoi l'urgence à la portée de chacun consiste à renforcer par son adhésion, les représentations politiques qui s'opposent au macronisme, d'où qu'elles viennent.
Le simple fait de répandre cette stratégie offrira aux partis politiques l'opportunité d'un discours contestataire qui ne sera pas sans effets.
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22-09-2020 La corruption équitable

La corruption provient du déséquilibre entre pouvoir et contre-pouvoir. Dans le méta-paradigme de rétention, n'importe quel pouvoir a tendance à s'amplifier là où il est favorisé. 
Or, le paradigme de rétention favorise la concentration de la puissance en avoir en pouvoir et en savoir.
C'est pourquoi le politique émerge des possédants et ne peut être qu'au service des possédants.

Ce qu'on appelle la corruption c'est les promesses tenues des politiciens, au pouvoir de l'argent.
Au cas où les contre-pouvoirs dans la société civile deviennent puissants, l'intérêt des politiciens est d'obéir au peuple. Dans ce cas les politiciens trahiront les promesses faites aux puissances de l'argent.

Lutter contre le covidisme et le macronisme suppose implique et oblige à renforcer les contre-pouvoirs par une adhésion personnelle au parti politique de son choix. D'une part.
Et d'autre part, nécessite d'identifier le méta-paradigme de rétention dans le champ de l'ontologie, avec autant de ferveur que la population a mis pour identifier la démocratie au 18e siècle, comme un espace de liberté universel.

Aujourd'hui ce qu'on appelle le transhumanisme qui est en vérité un transhumanisme technologique, vient masquer l'objet véritable du transhumanisme. À savoir la transformation de l'homme. Il s'agit donc fondamentalement du transhumanisme ontologique.

Que l'humain soit parvenu à cette étape de son évolution est déjà une prouesse considérable. Elle le doit à l'application douloureuse du paradigme de rétention dont il est temps qu'il s'écarte aujourd'hui, en cultivant le principe de partage comme source de sécurité individuelle et collective.

En bref,
Faire porter la parole citoyenne et contestataire en politique et dans les médias, est la seule voie praticable pour restaurer la démocratie et la République. Le destin de l'humanité réside dans les forces du respect du vivant et de la Liberté en mouvement, c'est-à-dire relève de la prise de conscience du paradigme de rétention qui conduira inexorablement à sa transformation (méta)paradigme de partage. 

La passation ontologique de la rétention vers le partage est simple à réaliser. Mais la rétention étant le conditionnement des esprits, des civilisations, des cultures, des politiques, et des économies, rend impossible (et inacceptable) sa mise en œuvre concrète.
Sa mise en œuvre concrète dans tous les domaines de la vie humaine, c'est-à-dire de l'ontologie sera une conséquence émergente du "droit des femmes à disposer d'elles-mêmes sans conditions ni restrictions"...

Cette proposition est la clef incontournable de la suite de l'humanisation des humains.
Sans la compréhension de cette clef aussi simple que logique et naturelle, les conséquences émergentes de la perpétuation du principe de rétention constitue d'ores et déjà la direction de l'humanisation vers sa perte.
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24 septembre 2020 Pour quelques euros de moins.

Il est urgent d'investir 10 € dans l'année au minimum pour l' UPR. Il y a beaucoup à y gagner.

Il et très important que les adhésions augmentent à L'#UPR. C'est la seule façon pour que ce parti politique digne de la République parce que protégeant la souveraineté de la France et l'obéissance de la République à son peuple, puisse porter une nouvelle parole politique dans les médias.
C'est la seule façon d'attaquer la propagande toute-puissante que le  pouvoir politique exerce sur la population.

Respectueux de l'analyse et de la vision de chacun, je me suis toujours abstenu d'inviter les gens à choisir l'UPR pour porter leurs paroles dans les médias.
Mais aujourd'hui une autre ligne rouge vient d'être dépassée.
Après moult dérives anti-Républicaines, il est question maintenant d'un péage sur les routes nationales. Si ça ce n'est pas une ligne rouge de trop, alors tout en levant les bras au ciel, même avec le poing fermé et des invectives pleins la bouche,  nous ouvrirons une autoroute sans péage à la macronie...

Et Macron se marre... ?

Si l'on veut agir, il n'y a pas une autre solution que de plébisciter l'#UPR parce que c'est le seul parti politique défenseur de la République, de la laïcité du respect des institutions, de la souveraineté du peuple sur l'exécutif via le parlement, et de l'indépendance nationale qui émerge de la souveraineté nationale. ... "Et le faire à dix sous..., c'est pas cher !" - Bourvil.

Nda : "Il est impossible d'agir plus haut que ses fesses. Alors voilà comment agir efficacement".
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24 septembre 2020 « Un désir de communisme »

Du sociologue Bernard Friot"

Réplique:
La liberté au travail c'est la liberté de choisir ce que l'on fait et comment on le fait. Mais nul ne peut choisir  pourquoi fondamentalement on le fait. 

Que le choix surgisse d'un consensus ou d'une dictature patronale, il sera toujours conditionné par la nécessité de puissance.

Ne rien choisir au travail, c'est tout à fait naturel. Même en état de puissance on n'est pas en état de choisir. C'est la nécessaire perpétuation de la puissance  qui conditionne l'objet du choix en toutes circonstances. La forme du choix, qu'elle soit consensus ou non, n'a aucune importance sur la question de l'objet du choix.
Cependant, le consensus peut donner un sentiment de confort par le libre choix de son genre d'aliénation à la nécessité de puissance.

Alors que les civilisations, les cultures, les consciences sont conditionnées de façon séculaire et naturelle par et pour le paradigme de rétention, c’est-à-dire l'accumulation de puissance, l'idéal collectiviste du paradigme de partage dont le désir de communisme relève est rendue inaccessible. 
Croire qu'il soit possible d'acter le communisme en politique et en économie dans le méta-paradigme de rétention, c'est croire qu'il est possible de faire du froid dans du chaud ou du chaud dans du froid. Ou encore agir comme dans l'eau quand on est sur le sol ou le contraire.
 
Dans le paradigme de rétention, tous les rapports politiques et économiques sont pervertis par la nécessité de puissance. C'est pourquoi le communisme politique ne peut-être que perverti et se transforme incontournablement en dictature.

À l'intérieur du méta-paradigme de rétention qui fixe tous les échanges économiques mondiaux ou local, toute tentative de collectivisme sera réduite à néant. À l'échelle d'une nation, à l'intérieur du paradigme de rétention, le communisme conduit inexorablement à la dictature puis au fascisme.

Passer du libéralisme au collectivisme est une révolution ontologique qui consiste à identifier le paradigme de rétention à l'échelle des cultures, comme au 18e siècle fut identifié la démocratie comme nouveau paradigme politique, source de liberté universelle. 

Le "désir de communisme" vient d'une préférence pour le consensus en lieu et place de la dictature. Le désir de communisme c'est l'émergence dans les esprits, d'un système de rapport basé sur le partage. C'est-à-dire d'une anté-perception du méta-paradigme de partage. 

Le communisme relève d'une idéologie visionnaire d'accroissement des propriétés positives de l'humanité. L'humanité étant constituée dans sa grégarité par les rapports de délégation qui fondent obligatoirement l'accroissement positive de ses propriétés dans l'amplification des rapports de partage.
Or, le communisme relève intégralement des rapports de partage. C'est pourquoi le communisme représente une vision tout à fait théorique qui en vérité propose sans le vouloir et sans le savoir le préalable de la révolution ontologique. 

L'organisation communiste des cultures, des sociétés et des économies, ne saurait être envisagée sans qu'il y ait en amont, à l'intérieur du paradigme de rétention, un travail culturel très important sur l'évolution des consciences vers le (méta)paradigme du partage, à commencer par l'identification du paradigme de rétention.
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25 septembre 2020 Le sens sûr.

La censure de Facebook est produite automatiquement par des algorithmes qui reconnaissent les mots.

La censure est sommes toutes, un évènement tout à fait dérisoire. 
L'importance qu'on lui prête est proportionnelle à l'importance que l'on donne Facebook, c'est-à-dire à l'importance de la pénétration du réseau social dans la substitution de la vie. 

La réaction globale à la censure se rapporte davantage à l'infantilisme dans lequel le virtuel et la technologie en général,  plonge les êtres humains, qu'à une réaction raisonnable et rationnelle consécutive à la vraie place et au vrai rôle joué par les réseaux sociaux. 
Ce point est très important en termes d'aliénation de la vie par le virtuel. La dictature du virtuel est croissante dans tous les domaines de la vie...

Au passage, ce point évoque en filigrane la signification du transhumanisme. Dans l'infantilisme de l'humanité il est technologique, dans sa maturation il est ontologique. (...)

Essentiellement, l'effet sociétal de la censure consiste à renforcer l'importance du réseau social comme système de capture des forces de contestation.
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25-09-2020 La communication

D'aucuns tentent de convaincre le quidam de l'intérêt de l'internet comme solution à la rencontre humaine. Mais c'est un trompe l'oeil addictif et aliénant. 
Aujourd'hui plus qu'hier, si "vous" cherchez à rencontrer quelqu'un dans la vie, c'est un problème. Si vous cherchez à résoudre le problème par internet, vous avez deux problèmes. 

Internet n'est pas une solution mais le symptôme de la brisure de convivialité dans notre société que précisément la virtualisation des rapports humains rend possible alimente et amplifie.

Mais en amont de la virtualisation des rapports humains, la brisure de convivialité dans nos sociétés post-modernes est inscrite dans le marbre du (méta)paradigme de rétention.
Cette brisure advient lorsque ce paradigme a atteint le maximum d'expansion possible, c'est-à-dire la mondialité. À ce moment-là, privé d'espaces vierges en tous genres à conquérir, alors que la rétention ne connait que la prédation, ce qu'il a construit reste le seul objet de conquête comme seul moyen de perpétuer la rétention de l'avoir du pouvoir et du savoir.
 
La convivialité, c'est-à-dire la communication dans tous les sens et de tous les genres est l'axe principal de l'action de destruction du méta-paradigme de rétention dans la mondialité. 
Le rituel universel du masque nous le signifie de la plus incontestable façon. 

C'est seulement le rétablissement de la communication dans tous les sens et dans tous les genres qui est à même de stopper l'inflation de rétention mortelle pour l'humanisation de l'humanité.
Même si internet rends captifs la communication dans des bulles fermées sur elles-mêmes, la communication reste vivace. En l'état actuel, que la communication survive et s'alimente, c'est ça qui est important.
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27 septembre 2020 L'émigration et l'immigration

De pays souverains à pays souverains, que ces pays produisent de l'Industrie lourde du pétrole ou des olives, il existe des accords commerciaux.
D'aucuns prétendent que le commerce de l'énergie entre l'Occident et les pays producteurs de pétrole est à l'avantage de l'Occident. Mais les pays producteurs de pétrole sont souverains et parfaitement capables de fixer le tarif qui convient à leurs intérêts. L'idée selon laquelle l'immigration est le résultat de la malhonnêteté occidentale est une imposture.

Si l'Occident achète son énergie dans les pays arabes, ce n'est pas en échange de rien, la richesse des dirigeants des pays pétroliers n'est pas une légende. Que le peuple local bénéficie ou non de la manne financière que le pétrole rapporte aux dirigeants des pays producteurs, ce n'est pas l'affaire de la France... Le choix de développement d'un pays souverain est souverain, quand bien même l'absence de développement engendre l'émigration de ses ressortissants vers l'Occident.

En France, le rapport entre la communauté islamique et la République pose de façon cruciale  la question du prosélytisme.
La République a vocation d'intégrer toutes les formes de culte; c'est la vertu de la laïcité.
Nonobstant Il n'a échappé à personne que l'islam est une théocratie qui revendique dans la République une singularité de droit en combattant la laïcité sous tous les angles. 
Et il se trouve que la République lui accorde raison de temps en temps. Ce n'est pas pour les beaux yeux de l'islam, c'est pour séduire l'électorat de bascule. (Entre autre...)

Le problème, si problème il y a, ce n'est pas l'immigration c'est la carence de République qui laisse penser à l'islam qu'il peut espérer un jour remplacer le droit républicain sur le territoire français.
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27 septembre 2020 La Crise Mondiale

Dans les médias, ça persiste et signe avec l'idée complètement débile de la crise sanitaire associée au covid.
Tous les chiffres, tous les indicateurs, et toutes les analyses d'éminents professeurs éclairés montrent que c'est un fantasme, de la science-fiction.
Depuis quand dans une république digne de ce nom, la parole politique l'emporte sur une parole d'experts indépendants.
Depuis quand dans une République digne de ce nom, la croyance l'emporte sur la raison.
Aujourd'hui, en cas de maladie il est plus efficace de consulter un politicien au lieu d'un médecin ? 

Comment faut-il expliquer à qui veut l'entendre qu'il n'existe pas de crise sanitaire dans le monde ?

Il existe cependant une crise politique et économique profonde parce que le méta-paradigme de rétention n'a plus aucun débouché dans la mondialité.
Pour garantir le modèle de profit de quelques-uns il est question de tout mettre en œuvre pour que  survivre ce paradigme à sa propre fin. 
Voilà à quoi sert l'intoxication mondiale des esprits au covidisme.
Pour que le paradigme de rétention, condition du profit et constructeur du monde, ayant avec succès accompli sa mission, puisse survive à sa propre fin à n'importe quel prix, le prix de la vie des gens ne pèse rien.

Pour lutter contre ce système il faut un autre système. Il y a Trump pour les États-Unis et le monde, il y a Asselineau pour la France et l'Europe.

Il n'existe actuellement aucunes autres voies.
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29 septembre 2020 Les Prédateurs

Les nouvelles se succèdent et se ressemblent. Elles illustrent autant qu'elles font la preuve de la nature prédatrice dans tous les domaines et à toutes les échelles du comportement humain.

La capacité de prédation de l'humanité augmente avec son augmentation de puissance, jusqu'à ce que cette puissance privée d'objet de conquête fasse de l'humanité sa cible de prédation.
En effet, lorsque l'augmentation de puissance de l'humanité atteint la mondialité, il ne reste plus d'espace vierge à conquérir. De ce fait le produit de la prévention qui est la rétention de l'avoir du pouvoir et du savoir (le profit) ne peut se maintenir que par la prédation de l'humanité elle-même, là où sa rentabilité en terme de profit est négative.

L'humanité est aujourd'hui en 2020 arrivée à ce stade. C'est le covidisme universel, la destruction des Nations et la confusion des genres et des cultures. Ce sont là, comme "faits de mondialité", la signature du paradigme de rétention, moteur du progrès humain, qui s'applique à l'humanité elle-même.

Dans l'expérience individuelle autant que collective, chacun constate une augmentation d'autisme et d'hostilité de la part de l'organisation des sociétés vis-à-vis des individus, alors même que faire société devrait conduire à la facilitation de la vie individuelle.

C'est l'instinct de prédation qui mène les peuples, les cultures, les politiques, les économies et les consciences. Pourquoi ?
Parce que l'humain en tant qu'espèce est faible. Sa condition qu'est la grégarité est structurée par le principe de délégation. Il compense donc sa faiblesse avec la grégarité et inscrit son organisation de groupe dans le principe de rétention.

Ce paradigme teinte de rétention tous les rapports au monde, à soi et à l'autre. C'est une phénoménologie ontologique qu'il convient de bien concevoir pour comprendre au jour d'aujourd'hui ce qu'on appelle le transhumanisme.
Le transhumanisme est technologique pour masquer par la factualité sa véritable nature ontologique.

La complexité du système construit par l'homme vie sa propre vie. Croire qu'il puisse exister un homme providentiel pour l'infléchir ou qu'il puisse exister un petit groupe d'hommes pour le commanditer est un égarement de l'esprit.
La révolution est ontologique et elle appartient à chaque individu.

La seule façon de sortir l'humanité de l'ornière c'est de se poser la question :  "Qu'est-ce que ça veut dire d'être un humain ?

Même perverti par le paradigme de rétention, que ce soit l'alimentation l'écologie, l'économie libérale et collectiviste, l'éducation, le soin, etc ... ; n'est-ce pas cette question qui est communément posée dans tous les domaines : "De quoi l'humain est-il le nom ?"
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29 septembre 2020 AGIR POUR DE VRAI

Du côté du peuple, il est temps de mettre un terme à l'accumulation sans fins de la déploration stérile contre un gouvernement partisan et violent. Il est temps et il est possible d'agir avec efficacité au lieu de persister dans la paralysie. 
Dans les faits, toute manifestation même très importante qui n'est pas relayée en politique ne mène nulle part.
Bien entendu, il est impossible d'agir plus haut que son cul. 

Du côté du gouvernement, le pouvoir absolu de Macron vient de la destruction des contre-pouvoirs. 

En conséquence le travail que le citoyen doit accomplir pour oeuvrer à rétablir la République consiste à reconstruire les contre-pouvoirs et ce faisant, il rétablira la signification politique de la manifestation. 

Cette action n'est « que individuelle ». Elle consiste à REdonner vie aux partis politiques quels qu'ils soient. 

Comment ?

En grossissant les rangs des adhérents des partis souverainistes avec la cotisation minimum. 
Voilà c'est tout. Il n'y a rien à faire de plus ni de mieux.
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jeudi 24 septembre 2020

Question de République

 24-09-2020 Question de République

Ce texte est une discussion sur la façon dont Islam, République et UE sont intriqués.

Nous sommes quotidiennement abreuvés, gavés, saturés, d'Islam.
Le problème apparaît quand, sans motifs particuliers, l'Islam est présent partout. Radio, télé, journaux, internet, dans la rue, dans les espaces publics, dans l’entreprise privée et dans les institutions de la République. 
La violence culturelle, c'est quand les médias nous gavent d'Islam jusqu'à l'overdose. Pas une journée, pas un média sans qu'il y soit fait référence à tous propos, comme si la culture tout entière de la République française ne puis plus aujourd’hui exister que sous perfusion d'Islam.
La violence politique, c'est quand face à l'exigence communautariste, la République renonce à elle-même. C'est quand l'insulte à la République sur le sol Français n'appelle aucune réplique de la part des pouvoirs publics. Dans le même temps, un panneau qui brocarde le Président Macron fait l'objet de poursuites ...

Vouloir interdire d'autorité ce que la République autorise, s'appelle une incivilité. 
Lorsque l'Islam veut interdire ce que la République autorise en particulier à propos des femmes, la République s'efface. La République s'efface devant ce qu'il convient d'appeler une incivilité communautaire.
Lorsque au nom de son culte, l'Islam réclame des droits singuliers, la République s'efface. 
Les médias, les partis politiques, toutes les officines de pouvoir relayent et amplifient le prosélytisme Islamique au nom de la laïcité de la République. Mais ce n'est pas ça la laïcité, et ce n'est pas ça non plus la République.

Ce brouhaha politique et médiatique est une source importante de tensions sociales. Sur le plan individuel, être la cible d'une telle pression médiatique en raison de son appartenance religieuse est la source la plus virulente de paranoïa dans toute la population en particulier chez les musulmans dont l'immense majorité, au milieu de ce tohu-bohu médiatique gardent le cap de la civilité. 

Pourquoi un tel tapage à propos d'une religion dans une République laïque ?
Parce que la stratégie mondialiste et europeiste que la politique de Macron inflige au peuple français consiste à soutenir le projet de la souveraineté européenne. Elle œuvre obligatoirement à la destruction de la République par tous les moyens à sa disposition. Le favoritisme à l'égard de l'Islam fait partie de sa stratégie politique comme source de désordre social et de remise en cause des institutions.

La vertu du désordre social est de diviser les forces d'opposition déjà en bernes. Le désordre social sert tous les pouvoirs à droite comme à gauche, car la désagrégation de la souveraineté nationale profite à la souveraineté de l'UE poursuivie autant par la droite que par la gauche. Et puis, parce que de façon tactique, le clientélisme politique à droite comme à gauche se disputent les voix des musulmans de France, sans aucune espèce de considération pour la voix du peuple. L'effort de séduction politique vise toujours la minorité de bascule représentée aujourd'hui en France par la communauté islamique. 

En macronie plus que jadis et plus qu'ailleurs, la question de la démission de la République est radicalement posée. 
La déconfiture de la République française trouve son origine dans la pression de la souveraineté de l'UE. C'est ça le véritable "grand remplacement". Là-dedans, l'exploitation du communautarisme Islamique est un instrument politique qui accessoirement, permet la pénétration de leur doctrine dans la République, et dont une souveraineté européenne c'est-à-dire transculturelle se fiche éperdument. 

En tant que religion, qu'est-ce que l'Islam a de si particulier pour que cette doctrine fasse l'objet d'un favoritisme cultuel inégalitaire ? 
En tant que théocratie, qu'est-ce que l'Islam a de si particulier pour que cette doctrine interroge le droit, au point de se demander si le droit Républicain serait bien avisé de se nourrir du droit Islamique ? 

Et pendant ce temps, la revendication de justice sociale de tout un peuple est trompée par les médias et, moquée par le politique au Parlement et dans l'exécutif. Au Parlement la parole du peuple souverain est inexistante ou tournée en dérision. A droite, les députés ricanent et méprisent la volonté du peuple. A gauche, ceux de l’opposition ourdissent leur stratégie en trompe l’œil pour garder leur électorat sous le coude. Tous calculent la meilleure façon de conserver leurs privilèges, et s’alignent sur le macronisme comme on s'aligne toujours du coté du plus fort pour conserver ses privilèges. 

Ainsi, au lieu de représenter le peuple et d'apporter la contradiction démocratique dans l’élaboration des lois et des réformes, le Parlement s’aligne sur l’exécutif et soutient la politique europeiste de Macron. Dans l'exécutif, seule la politique d’intérêt mondialiste et europeiste des lobbys est mise en œuvre. 
Dans les médias sous contrôle politique, la propagande a remplacé la parole du peuple souverain. 
Privé de représentation politique au Parlement et dans la vie institutionnelle des partis, le peuple de France ne représente plus rien. C'est la signification exacte du phénomène Gilets Jaunes... 

Et pendant le temps que l'on consacre à nier le peuple et à promouvoir l'Islam, des propositions politiques et économiques du plus grand intérêt sont victimes d'un ostracisme radical de la part des médias parce que ce sont des propositions et des analyses souverainistes. 
Qui a entendu parler des analyses économiques de Monsieur Porcher, des analyses de Monsieur Chouard et consorts ?
Qui connaît les analyses politiques de Monsieur Asselineau de l'#UPR par exemple ? 
Ce sont des analyses d'une grande pertinence, dont les prévisions depuis 13 ans, toujours, sont vérifiées dans tous les domaines. Toutes les grandes réformes économiques et sociales imposées par Macron : travail, retraite, santé publique, commerce extérieur, régionalisme, biens communs, industries et finances, ont été parfaitement prévues et se sont toujours réalisées conforment aux prévisions.

Aujourd'hui en la République française, le peuple connaît davantage l'existence du Coran que l'existence du FREXIT. Fort de sa promotion Républicaine et médiatique, l'Islam en France, comme alternative politique, a le vent en poupe.

Pourquoi une religion éprouve-t-elle le besoin de dicter le droit à la République ?
Ne devrait-il pas se produire le contraire ? 
Ou tout du moins pourrions-nous nous attendre à un respect des valeurs de la République de la part d'une religion qui souhaite faire son nid dans la République. 
Nous pourrions nous attendre aussi à ce que l'Islam se nourrisse des progrès de la République. Mais le communautarisme de cette théocratie reste parfaitement étanche aux vertus de la République, aux vertus de sa laïcité et au bienfondé de la démocratie comme source de légitimité des lois par "la souveraineté du peuple par le peuple pour le peuple". 
Cependant, cette question reste et doit rester interne à l'Islam. L'ingérence de la République dans les affaires religieuses n'est pas permise par la laïcité. L'ingérence du pouvoir religieux dans les affaires de la République n'est pas davantage permise par la République. 
Sauf que nous avons affaire à une religion bicéphale. C'est à la fois une religion et un pouvoir politique c'est-à-dire une théocratie.

En tant que doctrine politique, l'Islam est parfaitement fondée par la République à apporter sa contribution à la transformation des institutions. C'est pourquoi dans tous les domaines de la vie citoyenne, l'Islam ne s'en prive pas sur tous les fronts à commencer par une contestation récurrente de la laïcité. Biens des territoires de la République, qu'ils soient géographiques ou institutionnels sont d'ors et déjà conquis par l'Islam comme alternative à la République ...

Si la question du droit de l'Islam dans la République est d'une si grande importance, pourquoi les médias sont-ils abyssalements muets sur le droit des chrétiens de tous bords, le droit des bouddhistes, des juifs, des orthodoxes des anglicans, des adorateurs du fa dièse et des idolâtres de l'oignon ? 
Parce que toutes ces doctrines ne sont que religieuses. Elles n'ont aucune espèce d'ambition politique et ne sont pas prosélytes. Elles ne sont d'aucune utilité pour alimenter le projet de déstabilisation de l'ordre social qui nourri l'abandon de la souveraineté nationale au profit d'une souveraineté européenne sous la poussée des lobbys mondialistes (ce qu'on appelle le gouvernement profond).

Que je sache, la laïcité n'a pas vocation à hiérarchiser les religions de la République, mais au contraire à les traiter en toute indépendance sur le même pied d'égalité. Pourquoi la République fait-elle une exception pour l'Islam ?
Parce que l'Islam est utile au projet mondialiste contre le projet souverainiste de la France.

Si dans la République, porter la contradiction politique est légitime, l'argumentaire du FREXIT aurait dû obtenir une place particulièrement justifiée dans les médias, d'autant que la question de la souveraineté de la France est aujourd'hui fondamentale. Elle est au coeur de la préoccupation de tout le peuple de France.
Au lieu de ça, l'autorité politique invite une religion à porter la contradiction politique au sein de la République ; n'est-ce pas une perversion de la République ?

Alors que la souveraineté de la nation contre celle de l'UE est la grande question contemporaine, la question du FREXIT est totalement absente des médias. À la faveur d'un affaissement de la République, l'Islam finit par se constituer implicitement, lentement mais inexorablement comme une alternative politique. Ce n'est pas encore tout à fait visible mais le chemin est radicalement tracé par le pouvoir politique en place.

La pratique religieuse de l'Islam est aujourd'hui plus étendue que les pratiques du Christianisme. Et alors ? Ce n'est pas le sujet. Les us et coutumes sont susceptibles d'évoluer à l'intérieur de la République.
Le sujet c'est quand la République s'agenouille devant le lobbying mondial et qu'elle instrumentalise la composante politique de l'Islam pour favoriser les politiques mondialistes contre les politiques souverainistes.

La grande question contemporaine de la souveraineté de la nation ainsi que la question secondaire de l'Islam qui se constitue implicitement comme une alternative politique, relèvent de la même intention dans le projet Macron tout à fait clair : "La volonté politique de détruire la République, la souveraineté et l'indépendance nationale. De détruire les capacités industrielles, sanitaires, agricoles, économiques et militaires". Sur ce dernier point, il est question de céder le siège Français de l'ONU à l'Allemagne en le transformant en siège européen. Aujourd'hui en 2020, grâce l'UE la France est passé du 3eme rang au 10eme rang des pays industrialisés. 

Le problème s'il en est, ce n'est pas la force de pénétration politique et culturelle de l’Islam. C'est la démission de la République dans tous les domaines. On ne peut pas reprocher à l'Islam son fondement prosélyte cultuel et politique. On ne peut pas reprocher à l'Islam de chercher à combler les vides de la République. Ce serait en effet lui reprocher d'exister selon sa nature.

La République ne peut pas intégrer le fait qu'une culture comme l'Islam puisse à la fois être religieuse et politique. C'est précisément sur ce point que l'Islam s'appuie pour cultiver incognito son prosélytisme rendu possible seulement par la volonté de désagrégation de la République par le sérail politique.

Quant au peuple culturellement conditionné à la laïcité, c'est-à-dire à l'indépendance du religieux et du politique, il ne peut pas d'avantage intégrer le prosélytisme théocratique de l'Islam que le covidisme nouveau.
Le covidisme, en effet, parce qu'aussi étanche à la raison que l'Islam, relève du religieux. Covidisme Républicain et Islam sont deux théocraties qui échappent à l'entendement des populations, c'est pourquoi elles évoluent sans contre-pouvoirs.
Dans l'Islam, le politique émane du religieux, dans le covidisme Républicain, c'est le religieux qui émane du politique. La collusion du religieux et du politique dans une intention d'ordre sociale n'est pas concevable par la foule conditionnée profondément à la séparation de l'église et de l’État.

La part politique de l'Islam est profondément prosélyte. Sa part religieuse ne l'est pas. Comment laisser librement s'épanouir la part religieuse de l'Islam tout en rendant caduque la manifestation de sa composante politique ? La réponse est simple : c'est impossible ! 
Intégrer en son sein une religion théocratique, c'est « ça » que la République ne sait pas faire.
C'est par cette faille que s’épanouit le prosélytisme politique de l'Islam. A nous citoyens, il nous appartient de bien distinguer les deux composantes de l'Islam. 

En tant que symbole religieux, dans une République Française digne de ce nom, c'en est fini de la question du voile. Elle n'existe même pas. En tant que « mouvement » politique la question du voile est centrale car il est « LE » signe ostentatoire censé occuper les espaces politiques symboliques et culturels. Le voile est comme un cheval de Troie portant en son sein une proposition politique alternative qui émane du religieux et non du peuple. 

Notre conception républicaine du religieux ne nous permet pas de comprendre l'amalgame du politique et du religieux (théocratie) qui est au fondement de l'Islam. C'est aussi parce que cette intrication est le fondement de l'Islam que l'Islam au contact de la République ne peut pas se réformer. Réforme et Islam sont deux termes antinomiques. Sans réforme, point dévolution. La proposition politique de l'Islam fige de façon définitive le progrès social et culturel d'une société. 
L'intrication du politique et du religieux, conditionnée par le religieux au lieu de la raison, permet seulement à l'Islam de s'adapter à tous les systèmes culturels, pour ensuite proposer sa délégation politique. 
Lorsque l'Islam se manifeste ce n'est pas la composante religieuse qui pose un problème à la République c'est la République qui pose un problème à la composante politique de l'Islam ; parce que l'Islam est fondamentalement un système conquérant au sein d'une République intégratrice. 

En résumé : 
La République n'est pas blanche, noir, rouge, ou pied de poule... La République est intégratrice de toutes les particularités, y compris les démographies singulières aux groupes sociaux. Elle intègre aussi toutes les variétés de cultes et de religions dans la laïcité. 
La grandeur de la République Française repose toute entière dans le respect de ses institutions et de ses principes. Faire respecter la République est précisément la mission du pouvoir politique ; mission volontairement abandonnée par l'autorité politique du pays. 

La République c'est la synthèse de toutes les différences dans une unité sociale, politique et économique cohérente, fondatrice de l'unité nationale. Faire que la République soit respectée est l'expression démocratique profonde mais sans échos de tout le peuple de France. Alors pourquoi vouloir sacrifier la République ? Mais parce qu'elle s'oppose à la souveraineté de l'UE. 

Notre conception républicaine culturelle et centenaire du religieux ne nous permet pas de comprendre l'amalgame entre politique et religion qui fonde la théocratie de l'Islam et inscrit cette doctrine dans une ambition politique conquérante.
Le prosélytisme de l'islam est l'expression de sa composante politique. Sa composante politique émerge du religieux pour lui conférer un sens sacré. Parce que non négociable et non discutable cette doctrine se dote d'une cuirasse impénétrable. 

Comment dans la République, cultiver la part religieuse de l'Islam tout en maîtrisant sa part politique ? La réponse s'appel l'intégration. Mais l’intégration suppose de la part de l'Islam une capacité de transformation contraire à son fondement. 
De la part du pouvoir politique mondialiste « en marche », la politique d’assimilation est tout à fait hors de question. Il est préférable de favoriser cette théocratie car elle représente une opportunité de désordre social favorable à l’avènement de l'ordre mondial.

La pression prosélyte de la composante politique de cette doctrine à laquelle se heurte notre culture, nous oblige et nous force à repenser la République à la fois pour que la composante religieuse de l'Islam y trouve sa place légitime dans le cadre de la laïcité, et pour que sa composante politique ne puisse plus faire pression régressive sur la République.

La République émane du peuple et suppose que tous les communautarismes soient assimilés dans le peuple et non distingués du peuple. C'est pourquoi la seule façon de faire une place harmonieuse à l'Islam dans la République est le renforcement des institutions Républicaines. 

La composante cultuelle de l'Islam n'est pas en cause dans le débat national. Seule la composante politique prosélyte de cette doctrine est la révélatrice historique des faiblesses de la République qui sont la cause exclusive de la montée de l'Islam en France.