LE FEMINISME

 11 décembre 2020  LE FEMINISME

Le féminin comme genre d'être, c'est-à-dire comme proposition ontologique non pas alternative mais dialectique, est le vrai sens du transhumanisme quand enfin on a compris que le transhumanisme est ontologique.

Tant que le transhumanisme n'a pas de nom il est par défaut technologique c'est-à-dire réducteur de l'humanité à sa propriété de rétention de l'avoir du pouvoir et du savoir, jusqu'à extinction. En effet dans la mondialité, le paradigme de rétention ne peut plus s'appliquer à des espaces vierges mais à l'humanité elle-même.

C'est ce à quoi nous assistons avec le covidisme en 2020.

Je prétends que pour comprendre ce qui se passe, les concepts usuels ne sont pas suffisant. Il faut en inventer d'autres. Le méta-paradigme de rétention est le concept fondamental qui constitue l'espace dans lequel se déploie l'humanité par le principe de délégation...

Dans ce déploiement l'ontologie est unicitaire. Le plafond de verre que l'humanité doit traverser consiste à transformer l'ontologie d'unicitaire à dialectique.

J'arrête ici pour les "gros mots". J'ai conscience que ces propos ne sont pas adaptés au contexte d'ici. 

Mais en fin d'analyse, nous comprenons de façon incontournable à quel point la question du féminin est la clef du devenir de l'humanité.

La question du féminin n'est pas celle de la féminité ni la question des femmes ni la question du droit.

La question du féminin convoque la question de l'ontologie dans lequel l'humanité de demain se doit d'entrer à défaut de quoi elle disparaîtra.

Des gens comme Attali alimentent la disparition de l'humanité en expliquant de façon cynique le destin que nous sommes en train de nous construire.

Dans son propos, la destruction de l'humanité non seulement est inéluctable mais représente un destin glorieux.

Pour combattre ce genre de philosophie il nous faut une philosophie alternative. De même, pour combattre un système politique, il nous faut un autre système politique. Ce système nous nous l'avons, c'est l'UPR. Les gens comme Attali se garde bien de faire connaître l'UPR au grand public car alors, s'en serait fait de leur politique et de leur vision. La démocratie n'est pas leur souci c'est leur ennemi.

LE FEMINISME DE CULTURE

Le féminisme suppose la reconnaissance du féminin comme ontologie.  

L'égalité des sexes ça n'existe pas.

L'égalité de nature ça n'existe pas. 

L'égalité de traitement sociétal, ça n'existe pas. 

L'égalité de conscience seulement existe. 

L'égalité de responsabilité sociétale, ça n'existe pas... Etc etc... 

Militer pour l'égalité dans la confusion nature culture c'est, en aveugle, assurer la destruction définitive du féminin.

En le fondant dans l'ontologie du masculin, la destruction du féminin est amplifiée par le féminisme aveugle de façon encore plus radicale car cette fois, avec l'approbation des femmes. 

LE FEMINISME DE NATURE

Dans le respect des consciences et des natures, une société Humaine à le devoir de distribuer autrement la sécurité entre les hommes et les femmes. À commencer par supprimer des lois, tous les contrôles du corps des femmes. 

En vertu de l'égalité de conscience, la perpétuation  de l'espèce humaine est l'affaire des femmes. 

Au-delà du covidisme comme alibi de l'assassinat des libertés et des vies humaines, la question de la prolongation des civilisations humaines se pose en termes d'ontologie.

Qu'est-ce que ça veut dire d'être un humain ? Est la seule question que chacun doit se poser.

Le méta-paradigme de rétention a achevé sa mission. 

Comment construire le principe de partage pour le remplacer à l'échelle de ce méta-paradigme ? 

Par quoi remplacer la rétention et comment ? 

Il y a des réponses à ces questions. Mais les réponses n'ont aucune espèce d'importance. Ce qui est important c'est le fait de se poser ces questions et de considérer qu'elles doivent être en première ligne de notre souci pour piloter tout le reste à savoir les politiques les cultures et les économies.

Voilà l'espace de débat dans lequel nos consciences doivent entrer pour donner une chance à l'humanité de survivre au covidisme.