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jeudi 3 décembre 2020

LA MEDECINE FINANCIERE

03 décembre 2020 LA MEDECINE FINANCIERE

Les médecins ne peuvent plus exercer sereinement la médecine. Ils sont chapeautés par une quantité d'autorités politiques qui encadrent leur activité et leur droit de prescription.
Les médecins ne sont pas responsables de la situation. Ils en sont les victimes, autant que leurs patients. 

LA MEDECINE HUMAINE

La médecine vraie est holistique. L'approche de la médecine moderne est une négation de la personne humaine. Elle ne donne que l'illusion du soin.
La médecine moderne n'est plus humaine. Elle est devenue exclusivement la médecine du symptôme.
À un symptôme correspond un traitement, c'est-à-dire quasiment toujours une pilule. C'est tout.

La personne humaine n'est pas requise. La médecine moderne n'échappe pas au paradigme de rétention. Dans le paradigme de rétention la personne humaine doit être niée. À l'instar des autres institutions, la médecine en est l'avatar. Elle est obligée de se soumettre à cette prescription "paradigmatique".

Tous symptômes énoncés par le patient qui ne figurent pas dans le codex n'existent pas. Ainsi, la médecine moderne est une négation du patient et de la personne humaine.

Or, la médecine, la vraie, ne s'adresse pas à la mécanique des organes mais à la personne humaine. Chaque patient est particulier ; chaque approche et singulière. Deux pathologies avec les mêmes symptômes impliquent deux approches singulières.  Les deux patients devraient être traités de façon particulière pour que la médecine soit humaine et efficace. 

Afin d'exercer leur art selon leur serment d'Hippocrate, de quels moyens les médecins ont-ils besoin ? 
Ils ont simplement besoin de temps à consacrer par patient et de la liberté de prescrire. Le résultat en termes de guérison serait si consistant qu'il engendrerait des économies drastiques sur le budget social. Mais aussi une perte financière considérable pour les producteurs de médicaments.
Or il se trouve que c'est la finance du médicament qui dicte toutes les politiques de santé publique. Elle contraint les médecins par la menace et le profit et instrumentalise leurs patients. Il y a manifestement un problème qui ne relève pas de la médecine mais de la politique.

Du point de vue du politique et du financier la population est comme un seul "patient générique", producteur de profit. 

LA MÉDECINE GÉNÉRIQUE

Du point de vue de la médecine humaine, il ne peut pas exister un seul patient générique. Quand la médecine devient générique, le patient devient générique aussi et il est déshumanisé. De ce fait l'efficacité de la médecine est réduite quasiment à néant. 

Quel que soit son visage, le patient générique recevra un seul traitement. C'est-à-dire le même pour tout le monde ; juste le traitement qui permet de maintenir le taux de vente du médicament. 
Et au lieu de guérir le malade, dans l'immense majorité des cas, la maladie et la pathologie sont conservées.

Le patient devenu générique comme les médicaments, rend possible les consultations par téléphone ou par Internet. Un ordinateur pourrait faire le travail de la "médecine du symptôme", qui n'est que l'exploitation économique du patient.
Il n'y a pas de petites rentabilités financières. 

La médecine cultive davantage l'illusion du soin et soigne de moins en moins. Cette progression n'est pas prete de s'arrêter puisque aujourd'hui au nom de la médecine, on donne la maladie et la mort.
Ce sont les vaccins et les médicaments placebos. Ce sont l'interdiction des substances naturelles qui concurrencent la finance pharmaceutique comme l'Artemisia ou qui sont à la fois efficaces et non rentables comme la chloroquine. 

Bien d'autres médicaments, à l'instar de l'obsolescence programmée ont fait l'objet d'étude pour diminuer leur efficacité, où ont été tout simplement supprimés

Maintenant avec l'alibi du covidisme un nouveau seuil vient d'être franchi. La politique financière de santé publique est passée de la suppression des médicaments efficaces, à l'assassinat formel et revendiqué de salubrité publique.

Assassinat dans les maisons de retraite.
Avortement prénatal à 9 mois d'aménorrhée.
Intoxication progressive par le masque.
Développement des pathologies psychiques dû au blocage d'activité, à la désocialisation, à la destruction de la convivialité, de la culture, bref à l'étouffement généralisé de tous les aspects de la vie, que le masque permanent et  omniprésent symbolise à la perfection. 
Confinement inutile propice à interdire l'adaptabilité du virus à l'humain et de l'humain au virus ce qui est un mouvement naturel et sain.

Sur un plan plus théorique, l'inhibition de l'expression humaine accroît toutes sortes de pathologies par le canal psychosomatique. Maladie et suicide font florès. C'est l'effet politique recherché et ce n'est que le début. 
 
Sur le plan de cette épidémie de carnaval, masque distanciation et confinement poursuivent le but de vouloir maintenir la virulence du virus le plus longtemps possible. Sur ce point, malgré le confinement, la virulence du virus diminue. Alors, pour justifier l'aliénation des populations au confinement, il reste le trucage des chiffres.

Masque distanciation et confinement sont la programmation politique de mort et de maladies des populations.

L'autorité politique fait de la médecine et des médecins un instrument de destruction des populations.

Pour que la médecine moderne soit vraie sans la présence du patient nous aurions à faire soit à de la sorcellerie soit à de l'escroquerie. Mais la sorcellerie n'existe pas. Il n'existe que l'escroquerie politique.
En vérité, nous nageons en plein nihilisme.

L'ARGENT

La Médecine sous la tutelle du politique et du financier ne cherche pas à guérir, seulement à soulager l'effet du symptôme en évitant précieusement le soin efficace et la guérison.
Bien souvent, le soin consiste seulement à rétablir une sensation de confort en empêchant le corps d'engendrer un signal d'alerte.
Ce faisant, la médecine ne soigne pas. Elle invite le patient à accentuer sa maladie. 

Pour la raison économique, la médecine a déraillé vers le rendement financier. Pour des questions prioritaires de profit, la médecine travaille à la conservation du malade.  "Tout patient est un malade qui s'ignore. Si on guérissait les malades où serait le bénéfice..." (Dr Knock ...)

C'est pourquoi en France, les médecines parallèles sont pourchassées et détruites impitoyablement par le pouvoir politique et le pouvoir financier International qui sont un seul et même pouvoir.

LA RETENTION

La question de la médecine est un avatar du paradigme de rétention qui a atteint son état de puissance  et donc de rayonnement maximum.

Mais alors, qu'est-ce qu'on peut faire ?
Politiquement, concrètement il est très important de sortir de l'UE et de recentrer la population sur son identité nationale. 
Il est indispensable de construire la démocratie par le RIC, et de l'inscrire dans la Constitution, pour restituer au citoyen la capacité de choisir sa politique de santé publique aujourd'hui pilotée par la nécessité de la souveraineté de l'UE sur les Nations.
La démocratie est la seule source de l'éthique en politique.

Mais comment ?
En redonnant au peuple la parole à travers les partis politiques qui représentent les groupes sociaux. Le peuple n'a pas de bouche. Il ne s'exprime que par la bouche du parti politique. 

Oui mais tous pourris !
Non pas tous. Il y a l'UPR. 
Les politiques et les médias, tous plus pourris les uns que les autres, cultivent l'injonction de ne pas suivre l'UPR. 
Et sans savoir pourquoi, les citoyens obtempèrent ! Et la boucle est bouclée.

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