13 décembre 2020 LA DANSE DES PARTIS
La foule est gouvernée par "l'intelligence" médiatique vers un comportement complètement incohérent propice à renforcer l'avènement des forces mondialistes.
LE VOTE BLANC
Le système électoral, particulièrement en France fait partie intégralement de ce dispositif. Lorsque le bulletin exprimé blanc, n'est pas compté dans les bulletins exprimés, cela produit toute une cascade statistique qui amène la population à choisir ce qu'on appelle pudiquement "le vote utile".
Amener le concept du vote utile dans les consciences comme étant la seule possibilité d'exprimer son opinion fait partie de la stratégie mondialiste appliquée aux systèmes politiques locaux.
Il est facile de comprendre que par le raisonnement du vote utile le peuple n'exprime pas son opinion mais son contraire.
Hier, aujourd'hui, encore et toujours demain, en cas d'élection, les gens appliquent le théorème fallacieux du vote utile.
Il faut en finir une bonne fois pour toute avec ce concept destructeur de la démocratie.
Grâce au vote dit utile, de moins pire en moins pire on arrive inéluctablement au pire. La cascade de la croissance du pire ne cesse de s'amplifier depuis Mitterrand. L'avènement du pire au pouvoir suprême est le fruit du vote utile dont la clef de son avènement dans les consciences est le statut du vote blanc.
Le refus de compter les votes blancs dans les votes exprimés implique l'inscription du théorème du vote utile dans l'esprit des gens. Mais, lorsque un citoyen se lève le matin avec sa carte d'électeur d'une main et sa carte d'identité dans l'autre, lorsqu'il choisit sciemment le bulletin blanc il exprime une opinion. Il n'y a pas à en douter.
Un bulletin blanc ne peut pas avoir le même statut qu'un bulletin nul. Comment se fait-il que tout le monde accepte cette confusion de statut des bulletins ?
Quelle que soit l'opinion qu'il exprime, le vote blanc doit être compté dans les votes exprimés.
En termes de rétablissement de la démocratie le statut du bulletin blanc est décisif.
Il n'y a que l'UPR qui propose d'inscrire dans la Constitution le statut du bulletin blanc comme vote exprimé.
Le conditionnement insensé des citoyens au concept scélérat du "vote utile" a produit Macron.
Vous comprenez que si le vote blanc était compté dans les votes exprimés jamais Macron n'aurait pu être élu. Je vous propose de bien réfléchir là-dessus à froid.
Depuis Mitterrand jusqu'à Macron, à chaque changement de président, on a vu augmenter l'allégeance des acteurs politiques à la finance mondialiste et diminuer leur allégeance au peuple.
Dans cette évolution il ne peut pas exister pire que Macron. Il est le résultat du vote utile par lequel, je ne le répéterai jamais assez "de moins pire au moins pire on arrive inéluctablement au pire". Qu'on se le dise !
LA VOIX DU PEUPLE
Si on applique ce même théorème à propos de l'adhésion individuelle aux partis politiques, même dans l'hypothèse où ils trahiront, le peuple au moins sera représenté politiquement ; sa parole sera portée dans les médias publics.
Aujourd'hui les manifestations citoyennes privées de l'écho politique ne pèsent politiquement rien.
C'est alors qu'adossé à un parti politique la manifestation populaire retrouvera un poids politique consistant et incontournable.
En plébiscite en un parti politique souverainiste, la foule se dote d'un poids politique conséquent. Imaginons que l'UPR, le seul parti politique historiquement souverainiste et probe, se voit doté de 3 millions d'adhérents.
Quelles en seraient les conséquences ?
Trous millions d'adhérents représentent une minorité de bascule électorale. L'UPR serait donc incontournablement mentionné dans les médias publics, non pas pour ses beaux yeux mais pour tenter de contrôler ce parti politique.
La population citoyenne privée aujourd'hui de parole se trouverait tout à coup en état de s'exprimer dans les grands médias par la voix de l'UPR. Cela représenterait pour le peuple toujours en échec dans la rue depuis 2 ans après avoir acquitté le prix du sang, une victoire considérable.
Ce serait la fin définitive de la macronie, le renouveau de la Liberté de la démocratie et de la souveraineté du peuple français sur sa Nation.
Aujourd'hui, les gens comptent sur un homme providentiel pour sortir la France de la chienlit. Ils comptent sur les forces de l'ombre.
Par définition personne ne sait ce qu'il en est, où si elles existent. Autant attendre le salut de son barreau chaise érigée au rang de Messie.
Nous « le peuple », devons agir avec les cartes que nous avons en main ; non avec les cartes improbables des rumeurs et des contres rumeurs à propos de Donald Trump pour qui j'ai le plus grand respect. Bien sûr sa victoire est absolument indispensable à la nôtre. Mais nous ne pouvons et devons compter que sur nous-mêmes. En cas de victoire, Trump trouverait alors en France un terrain particulièrement favorable pour précipiter la chute de la macronie et de son mondialisme.
En effet, si l'homme providentiel se manifeste et les forces de l'ombre agissent au grand jour, ils devront bien s'appuyer sur un peuple déjà potentiellement organisé pour résister. Sans la force du peuple, les forces de l'ombre seront démunies.
À moins que chacun considère le peuple comme un pantin qui bouge au gré des ficelles qu'on anime. La vocation politique du peuple ne consisterait qu'à choisir son marionnettiste ?
Lors de l'élection nous donnons volontairement notre voix à ceux qui de moins pire en moins pire agissent politiquement contre le peuple. S'il semble logique au plus grand nombre, d'agir selon le principe fallacieux du vote utile, ils n'appliquent pas ce même principe là où il est profitable c'est-à-dire envers les partis politiques.
Grâce au principe du "choix utile" que les forces médiatiques ont mis dans la tête des gens, le peuple est perdant sur les deux tableaux. Pour le moment, la démocratie est brisée, la représentation du peuple en politique est éteinte et le dispositif de propagande interdit la résurrection de la représentation du peuple en politique.
Il est absolument impératif aujourd'hui que chacun investissent un parti politique de son choix ; car pour exister, il sera obligé de tenir un discours contradictoire à la messe macronique. C'est tout ce qu'on lui demande, les citoyens feront le reste.
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