L'intox des médias devient insupportable. Bien sur que non, le discours de Macron n'a pas fait changer d'avis les français sur l'utilité des Gilets Jaunes pour réparer la République. Cette information c'est de l'intox. Comme la Dette, c'est de l'intox aussi, puisque le concept de dette ne s'applique pas à un état souverain. Le discours de Macron c'est de l'intox à tous les niveaux parce qu'il protège toujours les riches, et qu'il demande toujours à "ceux qui ne sont rien" de payer ceux qui sont moins que rien. Qui est dupe?
Les médias veulent donner des mots d'ordre, c'est leur rôle de dire aux gens ce qu'ils doivent penser. Les citoyens sont des victimes du "système" politico-médiatique. Ils sont conditionnés à déléguer aux médias leur capacité de penser comme on délègue le pain au boulanger et la maçonnerie au maçon.
Le principe de délégation et la confiance qui en découle,
forment le fondement naturel de l'humain.C'est pourquoi à l’échelle
politique (et dans le paradigme de rétention), il n'y a pas de
réussite possible sans trahison. (...) . Alors raison de plus pour
redoubler de présence ici et là.
Contrairement à la propagande médiatique, force est de constater que le mouvement des Gilets Jaunes s'affirme partout. Il devient Européen et même au delà. Ce qui montre que le point d'origine du « malaise » est l'Union Européenne. Le débat sur le FREXIT est donc absolument fondamental. Tellement fondamental que les médias censurent la question.
En rendant le FREXIT inaudible et invisible, L'arme fatale contre Macron et son dieu (l'UE) n'existe pas dans les esprits.
Tout le monde sait que la politique de Macron lui est dictée par l'exigence de Maastricht; alors pourquoi si peu de place au FREXIT? La véritable stratégie "anti-macronisme" (anti-Maastricht) c'est le FREXIT.
En attendant, Macron doit partir. Il sert l'UE et la servira toujours. Jamais il ne servira les citoyens de son pays. Ce n'est pas son rôle; ni sa place. N'oublions pas qu'il est arrivé aux affaires par une faille du suffrage universel (les bulletins blancs...). Virer Macron sans FREXIT ne servira politiquement à rien du tout. Il est vain de dénoncer les effets sans identifier et combattre la cause. L'UE est un amplificateur de déshumanisation et de paupérisation. «Qui se trompe d'ennemi renforce son ennemi».
Les médias sont en vérité le premier pouvoir, c'est pourquoi il sont mis aux ordres du pouvoir. Il serait utile de penser un cahier des charges pour exiger des médias un débat national sur cette question afin de les mettre, de force s'il le faut, au service des citoyens.
La pression sur les médias dans le but de donner la parole aux partisans du FREXIT est à mon avis le moyen à privilégier pour faire avancer la cause du peuple français, en nourrissant les citoyens avec un vrai débat de fond.
Contrairement à la propagande médiatique, force est de constater que le mouvement des Gilets Jaunes s'affirme partout. Il devient Européen et même au delà. Ce qui montre que le point d'origine du « malaise » est l'Union Européenne. Le débat sur le FREXIT est donc absolument fondamental. Tellement fondamental que les médias censurent la question.
En rendant le FREXIT inaudible et invisible, L'arme fatale contre Macron et son dieu (l'UE) n'existe pas dans les esprits.
Tout le monde sait que la politique de Macron lui est dictée par l'exigence de Maastricht; alors pourquoi si peu de place au FREXIT? La véritable stratégie "anti-macronisme" (anti-Maastricht) c'est le FREXIT.
En attendant, Macron doit partir. Il sert l'UE et la servira toujours. Jamais il ne servira les citoyens de son pays. Ce n'est pas son rôle; ni sa place. N'oublions pas qu'il est arrivé aux affaires par une faille du suffrage universel (les bulletins blancs...). Virer Macron sans FREXIT ne servira politiquement à rien du tout. Il est vain de dénoncer les effets sans identifier et combattre la cause. L'UE est un amplificateur de déshumanisation et de paupérisation. «Qui se trompe d'ennemi renforce son ennemi».
Les médias sont en vérité le premier pouvoir, c'est pourquoi il sont mis aux ordres du pouvoir. Il serait utile de penser un cahier des charges pour exiger des médias un débat national sur cette question afin de les mettre, de force s'il le faut, au service des citoyens.
La pression sur les médias dans le but de donner la parole aux partisans du FREXIT est à mon avis le moyen à privilégier pour faire avancer la cause du peuple français, en nourrissant les citoyens avec un vrai débat de fond.
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