26 02 2021 LE NERF DE LA GUERRE
"Et qu'est-ce qu'on peut faire contre tout ça ?"
"Et qu'est-ce qu'on fait de Fabius, de Royal, de Mélenchon, de Le Pen ...?
À part pérorer dans le vide, ils n'ont rien à proposer et trahissent le peuple à tour de bras".
"Et qu'est-ce qu'on peut faire contre Macron et son covid, contre sa politique de la peur et de l'ignorance ? "
"Qu'est-ce qu'on peut faire contre sa propagande folle et paradoxale ?
"Qu'est-ce qu'on peut faire contre ses consignes liberticides autant que meurtrières ?"
Etc ...
Autant de questions qui tournent en ronds dans l'esprit des citoyens et qui restent sans réponses...
"Alors on danse...?" (Stromaë).
Et bien non ! On ne danse pas ; c'est interdit !
Alors on manifeste ?
C'est interdit aussi et d'ailleurs on peut y perdre une main un œil ou la vie !
Alors quoi ?
Alors ?
Alors on ferme sa gueule au quotidien, et lorsque la coupe est pleine on va vomir notre impuissance dans les bulles fermées des réseaux sociaux. Mais pas trop ; gare à la censure, alors on s’autocensure. On écrit "M4cron" à la place de "Macron".
Ainsi les contestataires, les révolutionnaires se réduisent volontairement à un infantilisme conspirateur" digne du cours élémentaire. ...
Mais "On", c'est qui ?
C'est du politique. C’est-à-dire du consensus populaire.
En démocratie, le consensus populaire vient du peuple quand les citoyens communiquent ensembles.
Lorsque la capacité de faire consensus par la communication est réduite à néant par la propagande, les médias ne sont plus en mesure de permettre le sens critique, la réflexion, la culture, et sa conséquence : "le consensus".
Ajouter à cela la peur, la menace, bref tout le rituel politique du covidisme, et vous vous apercevez oh surprise que le "on" n'existe pas.
Le "on" citoyen relève du politique. Mais vis-à-vis de la démocratie, les acteurs politiques ont fait sécession... (MPR...).
Au lieu de chercher le consensus du peuple pour gouverner la destinée de la Nation dont ils ont reçu mandat pour l'administrer, ils imposent au peuple un consensus qui vient de l'UE et qui condamne la Nation à sa perte (1).
Macron est celui qui administre de force à la France cette politique qui ne vient pas du peuple Français.
Le politique est l'espace incontournable de l'administration du peuple. Quelle que soit la forme et le genre de cette administration, elle est indispensable à la structuration d'une société, c'est pourquoi, de gré ou de force, elle s'impose au peuple et c'est pourquoi naturellement le peuple est toujours dans l'obéissance. "Le politique" est consubstantiel au peuple.
Chercher l'adhésion des populations est une garantie de paix sociale c'est pourquoi la démocratie est un progrès social sur toutes les autres formes politiques. Invalider la démocratie, ce que fait la politique de Macron, est une régression.
Quand la forme démocratique est invalidée, le politique prend la forme de la dictature. Ceci vient du fait que les politiciens, c'est-à-dire les acteurs qui servent le politique se sont constitués en une caste qui a fait sécession vis-à-vis du peuple et de sa responsabilité envers la Nation. (2)
La clef de notre combat pour recouvrer la liberté et la démocratie ce n'est pas de chercher à invalider des clowns périphériques comme Fabius, Royal, Macron, Idalgo ... et compagnie. Ne jamais perdre de vue que ces acteurs n'ont d'existence politique que par la pression des médias.
Au lieu de faire exister ces clowns dans la tête des gens, pour qu'ils pensent à leur place, la démocratie bien l'établi consiste à faire exister dans la tête des gens, des idées, des débats, des analyses pour qu'ils pensent par eux-mêmes.
Œuvrer efficacement à la reconquête de nos libertés et de la démocratie implique de consacrer notre énergie à tout mettre en œuvre pour restaurer la justice médiatique.
Restaurer la justice médiatique est la clé de notre combat.
Pourquoi restaurer la justice médiatique ?
Tout simplement pour restaurer la démocratie en donnant aux gens le spectacle du discours alternatifs, d'analyses singulières et contradictoires propices à stimuler la pensée et le goût du politique dans la population, pour qu'elle choisisse son destin et celui de sa Nation.
Ce ne sont pas les députés, l'Élysée, le Sénat, et autre Préfectures dont il faudrait faire le siège. Il s'agit avant tout de faire le siège des rédactions et des grands médias publics pour les obliger à "fermer leur gueule" tant qu'ils n'auront pas établi dans leur statut l'obligation de donner libre cours à la parole contradictoire.
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(1) {Nda : L'UPR, depuis 14 ans s'efforce de le faire savoir au français malgré l'omerta médiatique radicale dans laquelle ce parti politique est confiné par les pouvoirs publics.}
(2) {Nda : C'est pourquoi l'écriture d'une nouvelle Constitution est une escroquerie ontologique. La sixième Constitution de Mélenchon est sans fondement. On ne détruit pas les fondations on construit dessus.
Une constitution est une fondation de la Nation qui doit évoluer au fur et à mesure des biais pervers qui ne manque pas de se dévoiler avec le progrès que cette même constitution rend possible … }
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