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dimanche 13 octobre 2019

Le syndrome Zemmour

Eric Zemmour est un homme cultivé qui observe le monde avec une acuité lucide. Il connait bien l'histoire et ses enjeux, il expose les mécanismes politiques et sociologiques avec clarté. Il expose les faits contemporains et construit des raisonnements falsifiables. Il fonde des hypothèses à propos de l'évolution des cultures des sociétés et des politiques qu'il livre courageusement et sans filets.

Zemmour est un homme ouvert aux idées, toutes les idées, ouvert aux débats, tous les débats. Qui peut montrer le contraire?

D’où vient donc l'idée que son propos est non fondé?
Au lieu de débattre, au lieu de lui opposer des idées par la raison, on l'insulte et on "l'accuse". On lui oppose une intention qui ne l'anime pas mais qui au contraire anime ses accusateurs. Elle ne se fonde pas sur la peur mais sur la peur d'avoir peur.
On l'accuse de façon brutale et pulsionnelle car, par la raison, il ouvre les yeux des gens qui ne veulent regarder la vérité que les yeux fermés.

À la raison qui anime le propos de Zemmour on oppose l'opinion la morale et la décence..(!). Pourquoi? Parce que son propos fondé sur le réel est incontestable. Il est très difficilement opposable à l'intelligence. En toute honnêteté intellectuelle ses analyses et ses déductions sont justes. Si ce n'était pas le cas, il serait facile par la raison, d'en rire au lieu de l'accuser.

Pourquoi les médias lui donne t-il la parole? 
Parce qu'il fait de l'audience et donc du chiffre.
Dans la stratégie des médias, le soucis de vérité est toujours accidentel. La vérité est toujours un mal nécessaire quand il est possible de l’étouffer . Si le souci de démocratie animait les médias, la parole  serait donnée à toutes les alternatives politiques contradictoires.

Par exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de l'étouffer car elle ne relève pas de  la peur mais seulement de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de démocratie que le pouvoir confisque de place en place.

Les discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place sont strictement interdits dans ce pays.
Et en face de Zemmour il n'y a simplement que la confiscation de la démocratie et la démission de la République.

Donner la parole à Zemmour rapporte plus que de la lui confisquer. Face à un détracteur démuni envahissant et sans arguments qui ne sait qu’empêcher l'autre d'exister, qui veut l’entraîner sur le terrain de l'opinion et de la pulsion, il garde toujours sa raison. Pourtant "on" le trouve insultant, alors qu'aucune insulte, aucun jugement moral jamais ne vient troubler l'exposé de ses analyses. Vous pouvez chercher, ça n'existe pas.

Le prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat Sifaoui/Zemmour (1) est le même que le voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte qu'elle n'explose.

Zemmour n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs; l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.

(1) Débat Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews


Eric Zemmour est un homme cultivé qui observe le monde avec une acuité lucide. Il connait bien l'histoire et ses enjeux, il expose les mécanismes politiques et sociologiques avec clarté. Il expose les faits contemporains et construit des raisonnements falsifiables. Il fonde des hypothèses à propos de l'évolution des cultures des sociétés et des politiques qu'il livre courageusement et sans filets.

Zemmour est un homme ouvert aux idées, toutes les idées, ouvert aux débats, tous les débats. Qui peut montrer le contraire?
D’où vient donc l'idée que son propos est non fondé?

Au lieu de débattre, au lieu de lui opposer des idées par la raison, on l'insulte et on "l'accuse". On lui oppose une intention qui ne l'anime pas mais qui au contraire anime ses accusateurs. Elle ne se fonde pas sur la peur mais sur la peur d'avoir peur.
On l'accuse de façon brutale et pulsionnelle car, par la raison, il ouvre les yeux des gens qui ne veulent regarder la vérité que les yeux fermés.

À la raison qui anime le propos de Zemmour on oppose l'opinion la morale et la décence..(!). Pourquoi? Parce que son propos fondé sur le réel est incontestable. Il est très difficilement opposable à l'intelligence. En toute honnêteté intellectuelle ses analyses et ses déductions sont justes. Si ce n'était pas le cas, il serait facile par la raison, d'en rire au lieu de l'accuser. 
Pourquoi les médias lui donne t-il la parole? Parce qu'il fait de l'audience et donc du chiffre.

Dans la stratégie des médias, le soucis de vérité est toujours accidentel. La vérité est toujours un mal nécessaire quand il est possible de l’étouffer. Si le souci de démocratie animait les médias, la parole serait donnée à toutes les alternatives politiques contradictoires.

Par exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de l'étouffer car elle ne relève pas de  la peur mais seulement de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de démocratie que le pouvoir confisque de place en place.
Les discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place sont strictement interdits dans ce pays.
Et en face de Zemmour il n'y a simplement que la confiscation de la démocratie et la démission de la République.

Donner la parole à Zemmour rapporte plus que de la lui confisquer. Face à un détracteur démuni envahissant et sans arguments qui ne sait qu’empêcher l'autre d'exister, qui veut l’entraîner sur le terrain de l'opinion et de la pulsion, il garde toujours sa raison.
Pourtant "on" le trouve insultant, alors qu'aucune insulte, aucun jugement moral jamais ne vient troubler l'exposé de ses analyses. Vous pouvez chercher, ça n'existe pas.

Le prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat Sifaoui/Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews est le même que le voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte qu'elle n'explose.

Zemmour n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs; l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.


Dans le débat Asselineau /Zemmour, la rhétorique de Zemmour ne tient pas devant la logique d'Asselineau. Zemmour évite soigneusement d'approfondir la question du FREXIT. Il explique que les français sont lâches et timorés. Si les Anglais font le BREXIT c'est parce qu'ils ont une mentalité de vainqueur! Ce n'est pas un argument...
En tout, ce n'est plus la France ni les français qui décident. C'est un fait.

Travaillons d'abord ensemble au retour à la souveraineté, ensuite on peut discuter avec les français du destin de France. On appel ça la démocratie selon Asselineau et selon les gilets jaunes.

La rhétorique de Zemmour c'est du vent. Comme le Pen, il occupe la place et le rôle de l'épouvantail utile, sinon il serait interdit d'Antenne comme Asselineau.
Cependant, Zemmour a raison dans le sens où La France est conquise, je dirais "rongé", très lentement de l'intérieur par l'islam politique, c'est à dire l'Islam tout cours.

Asselineau a raison quand il dit qu'on est conquis de l'extérieur par l'Union Européenne et qu'il convient d'en sortir par la voie de la loi et non par celle des voyous qui s'assoient sur la loi comme le prône Melenchon et d'autres.
Le bilan prospective de cette situation c' est une France transformée politiquement en landers administrés par l'Allemagne. Qu'il y ai dedans des régions à gouvernance musulmane n'empêche pas de nommer ce groupe de landers "la France", évolution possible qui ne semble pas interroger Gérard Miller.

Voilà où nous mène la politique médiatique de Macron. Il est temps que des gens comme Asselineau soient entendus par les citoyens. ... Alors oui, "Justice médiatique" avant tout encore et toujours car il appartient aux médias de donner aux Français toutes les offres politiques. Et ensuite à eux de décider.

Pérorer sur la démocratie ici et là est un cul de sac. Sans justice médiatique. Pas de démocratie possible.


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