Zemmour est un homme ouvert aux idées, toutes les idées, ouvert aux débats, tous les débats. Qui peut montrer le contraire?
D’où vient donc l'idée que son propos est non fondé?
Au lieu de débattre, au lieu de lui opposer des idées par la raison, on l'insulte et on "l'accuse". On lui oppose une intention qui ne l'anime pas mais qui au contraire anime ses accusateurs. Elle ne se fonde pas sur la peur mais sur la peur d'avoir peur.
On l'accuse de façon brutale et pulsionnelle car, par la raison, il ouvre les yeux des gens qui ne veulent regarder la vérité que les yeux fermés.
À la raison qui anime le propos de Zemmour on oppose l'opinion la morale et la décence..(!). Pourquoi? Parce que son propos fondé sur le réel est incontestable. Il est très difficilement opposable à l'intelligence. En toute honnêteté intellectuelle ses analyses et ses déductions sont justes. Si ce n'était pas le cas, il serait facile par la raison, d'en rire au lieu de l'accuser.
Pourquoi les médias lui donne t-il la parole?
Parce qu'il fait de l'audience et donc du chiffre.
Dans la stratégie des médias, le soucis de vérité est toujours accidentel. La vérité est toujours un mal nécessaire quand il est possible de l’étouffer . Si le souci de démocratie animait les médias, la parole serait donnée à toutes les alternatives politiques contradictoires.
Par exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de l'étouffer car elle ne relève pas de la peur mais seulement de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de démocratie que le pouvoir confisque de place en place.
Les discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place sont strictement interdits dans ce pays.
Par exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de l'étouffer car elle ne relève pas de la peur mais seulement de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de démocratie que le pouvoir confisque de place en place.
Les discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place sont strictement interdits dans ce pays.
Et en face de Zemmour il n'y a simplement que la confiscation de la démocratie et la démission de la République.
Donner la parole à Zemmour rapporte plus que de la lui confisquer. Face à un détracteur démuni envahissant et sans arguments qui ne sait qu’empêcher l'autre d'exister, qui veut l’entraîner sur le terrain de l'opinion et de la pulsion, il garde toujours sa raison. Pourtant "on" le trouve insultant, alors qu'aucune insulte, aucun jugement moral jamais ne vient troubler l'exposé de ses analyses. Vous pouvez chercher, ça n'existe pas.
Le prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat Sifaoui/Zemmour (1) est le même que le voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte qu'elle n'explose.
Zemmour n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs; l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.
(1) Débat Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews
Le prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat Sifaoui/Zemmour (1) est le même que le voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte qu'elle n'explose.
Zemmour n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs; l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.
(1) Débat Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews
Eric
Zemmour est un homme cultivé qui observe le monde avec une acuité
lucide. Il connait bien l'histoire et ses enjeux, il expose les
mécanismes politiques et sociologiques avec clarté. Il expose les
faits contemporains et construit des raisonnements falsifiables. Il
fonde des hypothèses à propos de l'évolution des cultures des
sociétés et des politiques qu'il livre courageusement et sans
filets.
Zemmour
est un homme ouvert aux idées, toutes les idées, ouvert aux débats,
tous les débats. Qui peut montrer le contraire?
D’où
vient donc l'idée que son propos est non fondé?
Au lieu
de débattre, au lieu de lui opposer des idées par la raison, on
l'insulte et on "l'accuse". On lui oppose une intention qui
ne l'anime pas mais qui au contraire anime ses accusateurs. Elle ne
se fonde pas sur la peur mais sur la peur d'avoir peur.
On
l'accuse de façon brutale et pulsionnelle car, par la raison, il
ouvre les yeux des gens qui ne veulent regarder la vérité que les
yeux fermés.
À la
raison qui anime le propos de Zemmour on oppose l'opinion la morale
et la décence..(!). Pourquoi? Parce que son propos fondé sur le
réel est incontestable. Il est très difficilement opposable à
l'intelligence. En toute honnêteté intellectuelle ses analyses et
ses déductions sont justes. Si ce n'était pas le cas, il serait
facile par la raison, d'en rire au lieu de l'accuser.
Pourquoi
les médias lui donne t-il la parole? Parce qu'il fait de l'audience
et donc du chiffre.
Dans la
stratégie des médias, le soucis de vérité est toujours
accidentel. La vérité est toujours un mal nécessaire quand il est
possible de l’étouffer. Si le souci de démocratie animait les
médias, la parole serait donnée à toutes les alternatives
politiques contradictoires.
Par
exemple, sur le plan de la politique générale, des propositions
comme celle de l'UPR (FREXIT) dont on ne peut ni les accuser de quoi
que ce soit ni invalider les raisonnements, sonneraient à terme le
glas des pouvoirs en place. Cette vérité là, il est impossible de
l'étouffer car elle ne relève pas de la peur mais seulement
de la raison. L'UPR défend réellement le soucis de partage, et de
démocratie que le pouvoir confisque de place en place.
Les
discours alternatifs et contradictoires à celui du pouvoir en place
sont strictement interdits dans ce pays.
Et en
face de Zemmour il n'y a simplement que la confiscation de la
démocratie et la démission de la République.
Donner
la parole à Zemmour rapporte plus que de la lui confisquer. Face à
un détracteur démuni envahissant et sans arguments qui ne sait qu’empêcher l'autre d'exister, qui veut l’entraîner sur le terrain de
l'opinion et de la pulsion, il garde toujours sa raison.
Pourtant
"on" le trouve insultant, alors qu'aucune insulte, aucun
jugement moral jamais ne vient troubler l'exposé de ses analyses.
Vous pouvez chercher, ça n'existe pas.
Le
prosélytisme islamique envahissant à l'oeuvre dans le débat
Sifaoui/Zemmour du 14 octobre 2019 sur Cnews est le même que le
voile dans l'espace publique. Il est interdit de penser.
À l’échelle de ce débat, on assiste à la stratégie perverse de
l'Islam qui s'appuie sur l'ouverture aux autres de la culture
française. L'islam à l'échelle des peuples, c'est comme de la
nitro-glycérine. Les gens, l'état...ont peur de réagir de crainte
qu'elle n'explose.
Zemmour
n'a rien contre l'islam en l'occurrence. Il constate seulement un
déficit de République dans lequel s'engouffre les autres pouvoirs;
l'UE et l'Islam étant les plus gourmands.
Dans
le débat Asselineau /Zemmour, la rhétorique de Zemmour ne tient pas
devant la logique d'Asselineau. Zemmour évite soigneusement
d'approfondir la question du FREXIT. Il explique que les français
sont lâches et timorés. Si les Anglais font le BREXIT c'est parce
qu'ils ont une mentalité de vainqueur! Ce n'est pas un argument...
En
tout, ce n'est plus la France ni les français qui décident. C'est
un fait.
Travaillons
d'abord ensemble au retour à la souveraineté, ensuite on peut
discuter avec les français du destin de France. On appel ça la
démocratie selon Asselineau et selon les gilets jaunes.
La rhétorique de Zemmour c'est du vent. Comme le Pen, il occupe la
place et le rôle de l'épouvantail utile, sinon il serait interdit
d'Antenne comme Asselineau.
Cependant,
Zemmour a raison dans le sens où La France est conquise, je dirais
"rongé", très lentement de l'intérieur par l'islam
politique, c'est à dire l'Islam tout cours.
Asselineau
a raison quand il dit qu'on est conquis de l'extérieur par l'Union
Européenne et qu'il convient d'en sortir par la voie de la loi et
non par celle des voyous qui s'assoient sur la loi comme le prône
Melenchon et d'autres.
Le
bilan prospective de cette situation c' est une France transformée
politiquement en landers administrés par l'Allemagne. Qu'il y ai
dedans des régions à gouvernance musulmane n'empêche pas de nommer
ce groupe de landers "la France", évolution possible qui
ne semble pas interroger Gérard Miller.
Voilà
où nous mène la politique médiatique de Macron. Il est temps que
des gens comme Asselineau soient entendus par les citoyens. ... Alors
oui, "Justice médiatique" avant tout encore et toujours car
il appartient aux médias de donner aux Français toutes les offres
politiques. Et ensuite à eux de décider.
Pérorer sur la démocratie ici et là est un cul de sac. Sans justice
médiatique. Pas de démocratie possible.
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