La responsabilité démocratique de l'état vis à vis du peuple est détruite, et la constitution dans son esprit et dans sa lettre est assassinée.
Nous sommes sensé être dans un état de droit, et le rôle de l'état est sensé le préserver, pas le détruire.
Quand le droit est bafoué, outre que ça leur semble très loin d'eux, il est très inconfortable pour les gens de l'admettre. C'est pourquoi nos esprits se rebellent à croire que quelques textes dans la constitution changent profondément la vie des gens au point de la transformer en enfer.
"L'enfer constitutionnel" c'est quand au milieu de la richesse produite par le travail d'un pays, au lieu d'assurer la sécurité par le respect du travail et le partage de ses fruits, l'état n'a de cesse que de cultiver l'injustice et le mépris, de distiller l'inquiétude, la discorde, la colère et l'impuissance, à savoir un cocktail de haine pour justifier la dictature "En Marche" dans ce pays
Cette politique n'est pas celle de la 5eme République, mais de la République de Mitterrand après 1983, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron. Une classe filtré par les médias et que l'on présente au peuple en face de ce qui figure "le pire" pour qu'il donne sa voix à ce qui figure pour lui, "le moins pire". Mais de moins pire en moins pire, on arrive toujours au pire.
C'est pourquoi il faut AU MINIMUM.
1. -OBLIGER LES MÉDIAS A DONNER LA PAROLE A TOUTES LES TENDANCES POLITIQUES.
Comment? A nous de l'inventer.
2. -OBLIGER NOS DÉPUTES DE TOUS BORDS, A COMPTER LES VOTES BLANCS DANS LES VOTES EXPRIMES.
Comment? A nous de l'inventer.
Sans arguments particuliers, les gens sont parfois rebelles à l'évidence parce que ce serait trop gros pour être vrai. Sauf que c'est un fait. C'est très gros et c'est très vrai.
Dans le reportage qui va suivre, oublions la mise en scène et examinons de près les arguments de droit qui encadrent la légitimité du président de la France et des Français.
Les arguments avancés sont institutionnellement et constitutionnellement vrais et sourcés. Faciles à vérifier.
A nous "le peuple" de refuser ou d'accepter les conséquences de ce qui est vrai. C'est à dire à nous de vouloir rester dans un état de droit en inventant notre façon de répondre ou de choisir de laisser s'installer la dictature.
« Les Gilets Jaunes » qui demandent la justice sociale, le partage des richesses et le respect des services publics, sont une réponse pacifique à la surdité et au mépris du pouvoir.
Les « Gilets Jaunes » sont l'expression spontanée du peuple FRANÇAIS qui refuse de renoncer à sa constitution, dans tous les sens du terme, et qui se mobilise contre les politiques qui toujours l'on trahi.
C'est pourquoi, censuré ou non par les médias, le parti politique UPR qui est le seul parti politique à cultiver par fondement les préoccupations énoncées par les Gilets Jaunes, n'est pas en situation de confiance.
Mais, pour atteindre ses objectifs, il faudra bien que le mouvement des Gilets Jaunes se structure et se politise au risque de s'éteindre.
Nous sommes sensé être dans un état de droit, et le rôle de l'état est sensé le préserver, pas le détruire.
Quand le droit est bafoué, outre que ça leur semble très loin d'eux, il est très inconfortable pour les gens de l'admettre. C'est pourquoi nos esprits se rebellent à croire que quelques textes dans la constitution changent profondément la vie des gens au point de la transformer en enfer.
"L'enfer constitutionnel" c'est quand au milieu de la richesse produite par le travail d'un pays, au lieu d'assurer la sécurité par le respect du travail et le partage de ses fruits, l'état n'a de cesse que de cultiver l'injustice et le mépris, de distiller l'inquiétude, la discorde, la colère et l'impuissance, à savoir un cocktail de haine pour justifier la dictature "En Marche" dans ce pays
Cette politique n'est pas celle de la 5eme République, mais de la République de Mitterrand après 1983, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron. Une classe filtré par les médias et que l'on présente au peuple en face de ce qui figure "le pire" pour qu'il donne sa voix à ce qui figure pour lui, "le moins pire". Mais de moins pire en moins pire, on arrive toujours au pire.
IL EST TEMPS QUE CELA CESSE...!
C'est pourquoi il faut AU MINIMUM.
1. -OBLIGER LES MÉDIAS A DONNER LA PAROLE A TOUTES LES TENDANCES POLITIQUES.
Comment? A nous de l'inventer.
2. -OBLIGER NOS DÉPUTES DE TOUS BORDS, A COMPTER LES VOTES BLANCS DANS LES VOTES EXPRIMES.
Comment? A nous de l'inventer.
Sans arguments particuliers, les gens sont parfois rebelles à l'évidence parce que ce serait trop gros pour être vrai. Sauf que c'est un fait. C'est très gros et c'est très vrai.
Dans le reportage qui va suivre, oublions la mise en scène et examinons de près les arguments de droit qui encadrent la légitimité du président de la France et des Français.
Les arguments avancés sont institutionnellement et constitutionnellement vrais et sourcés. Faciles à vérifier.
A nous "le peuple" de refuser ou d'accepter les conséquences de ce qui est vrai. C'est à dire à nous de vouloir rester dans un état de droit en inventant notre façon de répondre ou de choisir de laisser s'installer la dictature.
« Les Gilets Jaunes » qui demandent la justice sociale, le partage des richesses et le respect des services publics, sont une réponse pacifique à la surdité et au mépris du pouvoir.
Les « Gilets Jaunes » sont l'expression spontanée du peuple FRANÇAIS qui refuse de renoncer à sa constitution, dans tous les sens du terme, et qui se mobilise contre les politiques qui toujours l'on trahi.
C'est pourquoi, censuré ou non par les médias, le parti politique UPR qui est le seul parti politique à cultiver par fondement les préoccupations énoncées par les Gilets Jaunes, n'est pas en situation de confiance.
Mais, pour atteindre ses objectifs, il faudra bien que le mouvement des Gilets Jaunes se structure et se politise au risque de s'éteindre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire