Or rien ne saurait exister qui ne soit dialectique;
et tout existant ne peut se fixer à une borne de la dialectique sans s'éteindre à son échelle
de temps.
Tout existant est un équilibre dynamique entre les deux bornes de sa dialectique. En conséquence, il existe une autre borne aux antipodes de la rétention. C'est le principe de partage.
Si on ne conçoit pas la problématique dialectique du partage et de la rétention à l'échelle du (méta) paradigme, tout ce qui est issu des consciences, relève cultive et renforce partout le principe de rétention. Un tel renforcement aveugle quand il y a peu « d'énergie » n'est pas perturbateur. Mais au niveau d'énergie (de richesse produite et de puissance universelle) où en est l’humanité, la question de la perception de la rétention dans le méta-paradigme devient cruciale. Si cette perception ne s'effectue pas, en vertus de l'unicité de la rétention rendu non perceptible, l'objet de rétention ne peut être que l'humanité toute entière.
Le partage comme alternative salvatrice à la rétention dépend seulement de sa mise en dialectique. Il s'ensuit automatiquement une « revisitation » de l'ontologie qui elle aussi ne peut plus être unitaire. L'ontologie dialectique est créatrice de l’altérite à l'humain c'est à dire de l'autre de l'homme. Sans l'obtention ontologique de l'autre, la question du partage est sans objet. Il s'ensuit que la rétention hors dialectique devient invisible et ne saurait être corrigée par quelques idées politiques qui soient car toutes les idées politiques sont issue du principe de rétention lui même.
Le principe de rétention est donc invisible et partout à la fois. Un peu comme le Lucifer des croyants. Je propose simplement de le mettre en pleine lumière non pas avec des incantations religieuse mais avec la raison, la réflexion et l'ouverture d'esprit sur l'humanité. (NDA: Je rappel que Lucifer veut dire (celui qui porte la lumière)).
On voit bien comment l'économie et la philosophie qui traitent l'une et l'autre des échanges aux divers échelles de l'être, sont intriqués et complémentaires
Dans la rétention on organise la captation des richesses.
Dans la rétention, la Richesse donne la puissance de captations des richesses aux plus riches. Mais l'argent n'est pas une richesse. L'argent comme richesse n'est qu'une croyance.
Avec un peu de réflexion, on comprend naturellement que la monnaie n'est qu'une unité de mesure arbitraire des échanges. Et que je sache la valeur d'un thermomètre n'est pas inscrite sur les graduation de température.
La monnaie n'est pas une richesse.
La richesse conférée à la monnaie est une croyance.
La monnaie est une unité de mesure POLITIQUE. Elle sert la communication politique pour qu'elle corresponde au principe de rétention.
La valeur de la monnaie, sa distribution, sa répartition, sa gestion pour organiser disette ou abondance en faveur des plus riches est un choix politique.
La monnaie est une information politique qui orchestre les échanges, forge ou éteint la demande, renseigne, fixe et oriente les rapports entre les humains et les biens. La conception, le rôle et la place de la monnaie sont corrélés à la place et au rôle du paradigme de rétention dans les consciences humaines.
Tout existant est un équilibre dynamique entre les deux bornes de sa dialectique. En conséquence, il existe une autre borne aux antipodes de la rétention. C'est le principe de partage.
Si on ne conçoit pas la problématique dialectique du partage et de la rétention à l'échelle du (méta) paradigme, tout ce qui est issu des consciences, relève cultive et renforce partout le principe de rétention. Un tel renforcement aveugle quand il y a peu « d'énergie » n'est pas perturbateur. Mais au niveau d'énergie (de richesse produite et de puissance universelle) où en est l’humanité, la question de la perception de la rétention dans le méta-paradigme devient cruciale. Si cette perception ne s'effectue pas, en vertus de l'unicité de la rétention rendu non perceptible, l'objet de rétention ne peut être que l'humanité toute entière.
Le partage comme alternative salvatrice à la rétention dépend seulement de sa mise en dialectique. Il s'ensuit automatiquement une « revisitation » de l'ontologie qui elle aussi ne peut plus être unitaire. L'ontologie dialectique est créatrice de l’altérite à l'humain c'est à dire de l'autre de l'homme. Sans l'obtention ontologique de l'autre, la question du partage est sans objet. Il s'ensuit que la rétention hors dialectique devient invisible et ne saurait être corrigée par quelques idées politiques qui soient car toutes les idées politiques sont issue du principe de rétention lui même.
Le principe de rétention est donc invisible et partout à la fois. Un peu comme le Lucifer des croyants. Je propose simplement de le mettre en pleine lumière non pas avec des incantations religieuse mais avec la raison, la réflexion et l'ouverture d'esprit sur l'humanité. (NDA: Je rappel que Lucifer veut dire (celui qui porte la lumière)).
On voit bien comment l'économie et la philosophie qui traitent l'une et l'autre des échanges aux divers échelles de l'être, sont intriqués et complémentaires
Dans la rétention on organise la captation des richesses.
Dans la rétention, la Richesse donne la puissance de captations des richesses aux plus riches. Mais l'argent n'est pas une richesse. L'argent comme richesse n'est qu'une croyance.
Avec un peu de réflexion, on comprend naturellement que la monnaie n'est qu'une unité de mesure arbitraire des échanges. Et que je sache la valeur d'un thermomètre n'est pas inscrite sur les graduation de température.
La monnaie n'est pas une richesse.
La richesse conférée à la monnaie est une croyance.
La monnaie est une unité de mesure POLITIQUE. Elle sert la communication politique pour qu'elle corresponde au principe de rétention.
La valeur de la monnaie, sa distribution, sa répartition, sa gestion pour organiser disette ou abondance en faveur des plus riches est un choix politique.
La monnaie est une information politique qui orchestre les échanges, forge ou éteint la demande, renseigne, fixe et oriente les rapports entre les humains et les biens. La conception, le rôle et la place de la monnaie sont corrélés à la place et au rôle du paradigme de rétention dans les consciences humaines.
Dans
le paradigme de partage (à l'échelle de l'ontologie), qui
inéluctablement succédera à la rétention, les consciences
accèdent au concept de la monnaie comme unité de mesure. Il
s'ensuit l'abandon de la captation des avoirs (pouvoir et savoir...)
par le plus grand avoir, et c'est le partage qui devient
naturellement source de sécurité.
Comprendre
cela. Il n'y a que ça à faire . Comprendre permet le passage en
douceur, par les urnes de la transformation des consciences, des
cultures des économies et des politiques. Comprendre est à la
portée de tout le monde. C'est en comprenant que l'on change le
monde. Il n'y a pas d'autres voies. Et il n'y a rien d'autres à
portée de la volonté des hommes de quelques fortunes dont il
relèvent, que de comprendre le monde qu'ils forgent de leur
ignorance.
Un
abandon de créances de la part des banques est indispensable
aujourd'hui car l'inflation des profits est en train de détruire le
tissu de production et d'éteindre la demande.
La
dette n'existe que sur des livres comptables d'entreprises ou
de particuliers. A l'échelle des états la dette change de
signification. Elle n'est qu'un indicateur d'importance strictement
politique et non économique (...) car à l'échelle des états,
c'est à dire là où la monnaie se crée, elle n'est que
la quantification des échanges.
La dette, est un slogan pour vendre de la rigueur.
Le fondement de l’Europe est l'accroissement de la richesse financière par la captation du fruit du travail par les banques privés qui font la monnaie à la place des états et confisquent l’impôt.
La dette, est un slogan pour vendre de la rigueur.
Le fondement de l’Europe est l'accroissement de la richesse financière par la captation du fruit du travail par les banques privés qui font la monnaie à la place des états et confisquent l’impôt.
A ce
jeu, les états sont complices.
Avant
les années 70, le fruit du travail était redistribué
majoritairement vers les travailleurs. Depuis la fin des années 70,
le fruit du travail est majoritairement capté par la finance.
Pourquoi?
Parce
que la productivité est très grande. Si grande que la masse
salariale ne peut que baisser (moins de bras sont requis pour
répondre à la même demande). C'est pourquoi il faut indexer les
charges sociales non sur la masse salariale mais sur le chiffre
d'affaire puisque la mise au chômage des travailleurs concours pour
beaucoup à la richesse des riches, (Plus de dividendes à la place
de distribuer du salaire) .
Comprenez
qu'il est impossible d'avoir la croissance (moins de salaire pour
plus de capital) en même temps que le plein emploi (plus de salaire
pour moins de capital).
La vrai
croissance, le vrai progrès c'est travailler moins pour gagner plus,
c'est à dire passer du régime de rétention au régime de partage.
L'écart
entre riches et pauvres est devenu historiquement gigantesque car
l'économie consiste à ne répondre qu'aux besoins primaires avec un
outil de production très puissant. Le surplus de richesse dégagée
n'est pas redistribué mais accumulé dans le capital de quelques
familles. Ces familles les plus riches sont aussi celles qui font la
morale au plus pauvres en dénonçant par exemple ce qu'ils
appellent l’assistanat comme cause de "la dette"....
Parmi ces gens, une quarantaine de famille en France gagnent 800 euro
à la seconde. Est-ce là le fruit de leur travail? Ou celui du
travail des autres? Il est temps de tirer les leçons de l'Europe qui
rend possible l’accélération des inégalités et fait fleurir
partout les idées radicales.
Dans la
rétention, la pauvreté est le ciment de toutes les sociétés. Dans
toutes les sociétés il n'existe que deux genres de citoyens, les
dirigeants et les dirigés. Dans la rétention, le bien des
dirigeants dépendra toujours de la mise en œuvre des politiques de
rétention. Que ce soit la rétention de l'avoir par la politique du
salaria ou la rétention du savoir par les politiques éducatives et
la communication médiatique conçue par des dirigeants pour être au
service des dirigeants.
La
pauvreté n'est pas une fatalité. Elle est un choix politique qu'il
est possible de changer en ouvrant les yeux sur la véritable nature
de l'argent et d'en débattre.
Et si la
perception du paradigme de rétention est trop abstrait pour susciter
de l’intérêt, il suffit de favoriser dans les urnes les idées de
partage comme
Le
revenu universel (partage de la liberté)
Le droit
des femmes à disposer d'elles mêmes (construction de l’altérité
humaine)
Le
respect du bulletin blanc et de l'abstention (partage du pouvoir)
Pour ne citer que trois points fondateurs.. Ou
s'abstenir.
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