Comprendre
l'accroissement du crétinisme nécessite de poser la question au
dessus du sens commun.
La question du crétinisme « en marche », se pose dès lors où les consciences restent étanches au principe de rétention. Ce principe qui gouverne les sociétés et les esprits est arrivé à son point de singularité en privant les humains de leur humanité, c'est à dire en faisant de l'humanité la cible de la rétention.
L'éducation ne transmet plus mais valorise la vitesse et l'obéissance par la concurrence. Ce faisant, le mépris de la diversité des talents et des rythmes est massivement destructeur d'humanité aux échelles individuelles et civilisationnelles.
Les médias ne nourrissent plus l’esprit en informant mais jouent la carte de la sidération en exploitant à loisir la misère la violence et la folie dans des émissions de divertissement. Les médias anesthésient la population par la banalisation de l’horreur. Ils gouvernent l'opinion par la menace implicite dans le domaine de l'économie, de la politique et de la sécurité. Le soucis d'informer, de donner à penser, est remplacé par la mission de capter, de modeler, d'abaisser la vigilance au lieu d'éveiller les consciences.
Les divertissements médiatiques s'adressent à l'instinct et au pulsionnel. Ils se fondent sur l’infantilisme ou le sadisme psychique et physique.
Le temps lui même, indispensable à l'élaboration de la pensée est oblitéré par l'accroissement exponentielle du virtuel qui se substitue de façon croissante au réel. L'interaction des humains entre eux et avec la nature diminue avec la croissance de la virtualisation de l'expérience existentielle humaine.
Le crétinisme relève fondamentalement d'une volonté politique et cette volonté politique relève fondamentalement d'un principe de rapport ou seule la rétention, la maîtrise, la pensée unique doivent croître, car dans ce « principe de rétention » qui gouverne tous les rapports et se place au dessus des paradigmes, le sentiment de sécurité ne s'obtient que par l'accroissement de l'avoir du pouvoir, et du savoir pour le faire, et surtout ne rien faire d'autre.
L'accroissement du crétinisme dans les consciences interdit radicalement la compréhension du paradigme de rétention et condamne sans appel notre espèce par auto-destruction.
Au bout de la course de l'humanité, quand la rétention a atteint son point culminant qui s'exprime dans la mondialisation par exemple, si elle n'accouche pas du partage, l'humanité deviendra profondément inadéquate à la nature. C'est pourquoi si elle n'évolue pas vers le partage pour s'adapter à la nature, l’humanité disparaîtra selon le processus commun et singulier à toutes les espèces. N'oubliez jamais que l'échelle de temps de la nature n'est en rien celle d'une espèce.
Le crétinisme s'applique aux consciences. Plus il grandit et moins il permet la compréhension de nos perceptions au delà de l'immédiat émotionnel. C'est pourquoi telle la luciole que l'on suit dans la nuit, il convient de soutenir dans les urnes tout ce qui favorise le partage, et tout ce qui accroît "le droit des femmes à disposer d'elles mêmes".
"Le droit des femmes à disposer d'elles même". J'insiste lourdement car ce point est capitale. Ce point est de la plus haute importance car il favorise l'avènement de “l’autre” à l’échelle ontologique.
Or, sans l'idée de l’autre, la question du partage à l’échelle de l'espèce puis à l'échelle politique puis individuelle, puis dans les consciences s’effondre. La question du partage n'a aucun sens sans l’émergence de la notion de l'autre.
A l'échelle individuelle, la notion de l'autre existe bien évidement. Mais à l'échelle d'une culture et de l’espèce, là ou, au bout de la rétention, le destin de l’espèce et des civilisations se joue, « l'autre » n'existe pas. Cet "autre" c'est aussi la nature. C'est dans l’avènement de "l'autre" comme principe à la place du principe de rétention que l'écologie par exemple prend du sens. Sinon, l'écologie plongé dans la rétention, c'est la tyrannie du bien c'est à dire une autre formes de rétention. L'écologie ce n'est pas un parti politique, ce n'est pas une doctrine, l'écologie, ce n'est pas une morale ni une philosophie, ce n'est même pas une vision; l'écologie c'est comme l'intelligence, tout le monde doit en avoir.
Tout ce que nous avons à faire pour réfuter l'auto-destruction de nos civilisations (oui c'est bien la question, ne nous voilons pas la face...) , c'est de commencer à faire exister la notion de l'autre au delà de nous même, c'est à dire sur le plan politique. Ce serait la première marche à notre portée. Ce serait le premier pas vers notre Humanité.
Sur le plan politique, défendre la démocratie en demandant le comptage de toutes les voix changera l'offre politique qui est toujours une offre de rétention sous diverses formes.
Et puis il nous incombe de s'abstenir quand on ne souscrit pas une offre politique, en refusant de céder au chantage du moins pire. Ce chantage au scrutin où les citoyens sont poussés à voter pour le moins pire au lieu du meilleur est rendu possible par le non comptage des bulletins blancs et autres abstentions. La persistance de ce non comptage des bulletins de renoncement à l'offre politique participe d'une stratégie électorale défendue par tous les acteurs politique tous bords confondus. Je vous laisse deviner pourquoi.
Il faut bien comprendre en quoi s'abstenir de voter est une parole démocratique qui doit être prise en compte, qui a du sens et qui exprime une idée de renouveau politique particulièrement quand cette parole abstentionniste est largement majoritaire.
En grossissant le rang des abstentionnistes, nous donnerions un signal démocratique puissant pour obliger les prétendants au directoire politique à renoncer aux politiques de rétention pour s’ouvrir d’avantage, par conséquent aux politique de partage. Car quand la rétention, commandeur de tous nos rapports recule, c'est le partage qui le remplace.
https://youtu.be/1uEEQwlHx5s
La question du crétinisme « en marche », se pose dès lors où les consciences restent étanches au principe de rétention. Ce principe qui gouverne les sociétés et les esprits est arrivé à son point de singularité en privant les humains de leur humanité, c'est à dire en faisant de l'humanité la cible de la rétention.
L'éducation ne transmet plus mais valorise la vitesse et l'obéissance par la concurrence. Ce faisant, le mépris de la diversité des talents et des rythmes est massivement destructeur d'humanité aux échelles individuelles et civilisationnelles.
Les médias ne nourrissent plus l’esprit en informant mais jouent la carte de la sidération en exploitant à loisir la misère la violence et la folie dans des émissions de divertissement. Les médias anesthésient la population par la banalisation de l’horreur. Ils gouvernent l'opinion par la menace implicite dans le domaine de l'économie, de la politique et de la sécurité. Le soucis d'informer, de donner à penser, est remplacé par la mission de capter, de modeler, d'abaisser la vigilance au lieu d'éveiller les consciences.
Les divertissements médiatiques s'adressent à l'instinct et au pulsionnel. Ils se fondent sur l’infantilisme ou le sadisme psychique et physique.
Le temps lui même, indispensable à l'élaboration de la pensée est oblitéré par l'accroissement exponentielle du virtuel qui se substitue de façon croissante au réel. L'interaction des humains entre eux et avec la nature diminue avec la croissance de la virtualisation de l'expérience existentielle humaine.
Le crétinisme relève fondamentalement d'une volonté politique et cette volonté politique relève fondamentalement d'un principe de rapport ou seule la rétention, la maîtrise, la pensée unique doivent croître, car dans ce « principe de rétention » qui gouverne tous les rapports et se place au dessus des paradigmes, le sentiment de sécurité ne s'obtient que par l'accroissement de l'avoir du pouvoir, et du savoir pour le faire, et surtout ne rien faire d'autre.
L'accroissement du crétinisme dans les consciences interdit radicalement la compréhension du paradigme de rétention et condamne sans appel notre espèce par auto-destruction.
Au bout de la course de l'humanité, quand la rétention a atteint son point culminant qui s'exprime dans la mondialisation par exemple, si elle n'accouche pas du partage, l'humanité deviendra profondément inadéquate à la nature. C'est pourquoi si elle n'évolue pas vers le partage pour s'adapter à la nature, l’humanité disparaîtra selon le processus commun et singulier à toutes les espèces. N'oubliez jamais que l'échelle de temps de la nature n'est en rien celle d'une espèce.
Le crétinisme s'applique aux consciences. Plus il grandit et moins il permet la compréhension de nos perceptions au delà de l'immédiat émotionnel. C'est pourquoi telle la luciole que l'on suit dans la nuit, il convient de soutenir dans les urnes tout ce qui favorise le partage, et tout ce qui accroît "le droit des femmes à disposer d'elles mêmes".
"Le droit des femmes à disposer d'elles même". J'insiste lourdement car ce point est capitale. Ce point est de la plus haute importance car il favorise l'avènement de “l’autre” à l’échelle ontologique.
Or, sans l'idée de l’autre, la question du partage à l’échelle de l'espèce puis à l'échelle politique puis individuelle, puis dans les consciences s’effondre. La question du partage n'a aucun sens sans l’émergence de la notion de l'autre.
A l'échelle individuelle, la notion de l'autre existe bien évidement. Mais à l'échelle d'une culture et de l’espèce, là ou, au bout de la rétention, le destin de l’espèce et des civilisations se joue, « l'autre » n'existe pas. Cet "autre" c'est aussi la nature. C'est dans l’avènement de "l'autre" comme principe à la place du principe de rétention que l'écologie par exemple prend du sens. Sinon, l'écologie plongé dans la rétention, c'est la tyrannie du bien c'est à dire une autre formes de rétention. L'écologie ce n'est pas un parti politique, ce n'est pas une doctrine, l'écologie, ce n'est pas une morale ni une philosophie, ce n'est même pas une vision; l'écologie c'est comme l'intelligence, tout le monde doit en avoir.
Tout ce que nous avons à faire pour réfuter l'auto-destruction de nos civilisations (oui c'est bien la question, ne nous voilons pas la face...) , c'est de commencer à faire exister la notion de l'autre au delà de nous même, c'est à dire sur le plan politique. Ce serait la première marche à notre portée. Ce serait le premier pas vers notre Humanité.
Sur le plan politique, défendre la démocratie en demandant le comptage de toutes les voix changera l'offre politique qui est toujours une offre de rétention sous diverses formes.
Et puis il nous incombe de s'abstenir quand on ne souscrit pas une offre politique, en refusant de céder au chantage du moins pire. Ce chantage au scrutin où les citoyens sont poussés à voter pour le moins pire au lieu du meilleur est rendu possible par le non comptage des bulletins blancs et autres abstentions. La persistance de ce non comptage des bulletins de renoncement à l'offre politique participe d'une stratégie électorale défendue par tous les acteurs politique tous bords confondus. Je vous laisse deviner pourquoi.
Il faut bien comprendre en quoi s'abstenir de voter est une parole démocratique qui doit être prise en compte, qui a du sens et qui exprime une idée de renouveau politique particulièrement quand cette parole abstentionniste est largement majoritaire.
En grossissant le rang des abstentionnistes, nous donnerions un signal démocratique puissant pour obliger les prétendants au directoire politique à renoncer aux politiques de rétention pour s’ouvrir d’avantage, par conséquent aux politique de partage. Car quand la rétention, commandeur de tous nos rapports recule, c'est le partage qui le remplace.
https://youtu.be/1uEEQwlHx5s
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