LIBERTE EN QUESTION

 26 novembre 2020 LIBERTE EN QUESTION

IL SEMBLE BIEN QUE LA LIBERTÉ AUJOURD'HUI SOIT DE L'HISTOIRE ANCIENNE.

Au train où vont les choses, rien n'indique que la liberté que nous avons connu avant l'ère Macron puisse revenir un jour.

Ici et là, d'aucuns affirment leur liberté. Mais c'est une liberté le principe. Quand la liberté devient une fronde, qu'elle s'exprime dans la crainte, sous diverses menaces, ce n'est pas la liberté.

La liberté c'est l'adéquation naturelle d'aller et venir, et d'assurer ses fonctions vitales, avec les lois, les règlements, les usages, et les coutumes.

Suis-je dans l'erreur ?

Si j'y suis que l'on m'explique en quoi ! 

Et si je n'y suis pas, nous avons le devoir citoyen de construire la méthode pour stopper la politique liberticide.

Pour le moment la construction de la liberté consiste à inscrire son aliénation dans les us et coutumes. À la suite de quoi, la nouvelle expérience de la liberté sera mise en conformité avec les lois liberticides, qui de ce fait ne seront plus liberticides. Telle est la direction politique du macronisme.

Cette direction politique n'est pas adéquate à l'idée de liberté véritable. À l'évidence, la question de la liberté et une question politique, c'est-à-dire une question d'administration du peuple.

Un système politique ne peut être interrogé que par un autre système politique. Or, dans le macronisme, les systèmes politiques se sont laissés achetés, et ce sont trouvés désertés par les citoyens.

Les partis politiques sont devenus sans consistances. Le macronisme domine totalement tout le champ politique français par la menace et la confiscation des libertés. C'est pourquoi le macronisme est une dictature fasciste. 

Le macronisme n'est possible qu'avec l'extinction des partis politiques c'est pourquoi leur résurrection par les forces populaires est absolument indispensable pour le combattre.

La liberté ne s'applique pas à l'individu elle s'applique à la population. La population fonde la norme dans l'esprit de l'individu ; norme à laquelle l'individu se soumet en dépit de quoi il n'y a aucune possibilité de faire société.

C'est pourquoi la clef de la Liberté est dans l'administration du peuple c'est-à-dire dans le politique. Pour combattre un système politique liberticide, il nous faut obligatoirement lui opposer une parole politique. Cette parole ne peut-être portée que par un autre système politique. 

Cette parole doit être portée dans les médias publics pour rendre l'opposition politique consistante.

Notre premier devoir "libertaire" consiste à forcer les médias publics en amplifiant le poids politique des partis souverainistes. 

Tous les partis souverainistes sont d'inspiration UPR . 

SOUTENONS INDIVIDUELLEMENT LE PARTI SOUVERAINISTE DE NOTRE CHOIX. 

IL N'EXISTE PAS D'AUTRES VOIES... !

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